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lundi 20 avril 2020
Tuerie au Canada dans la nuit de samedi 18 à dimanche 19 avril 2020 : au moins 19 morts, encore une influence "sceptique"...
En effet, très bizarrement, ces derniers jours, j’ai
enregistré dans les statistiques de Satanistique plusieurs visites pour
mon unique article consacré à la tuerie masculiniste du 6 décembre 1989 à
Montréal, ce qui n’est pas du tout habituel, cet article du 10 mars
2019 n’ayant jamais intéressé grand monde (voir ci-dessous les trois
dernières, des 9, 13 et 14 avril 2020).
Or, la dernière de ces visites, du 14 avril 2020, montre bien que son
auteur était également très intéressé par le soi-disant « sceptique »
Jean-Marc Donnadieu, comme ne le sont habituellement que ses amis et
complices… pour la plupart également masculinistes…
Canada : un homme armé tue au moins 18 personnes au cours de la pire fusillade de l’histoire récente du pays
Le suspect de 51 ans a trouvé la mort lors de son arrestation à
l’issue d’une vaste chasse à l’homme d’une douzaine d’heures dans toute
la province de Nouvelle-Ecosse.
Des policiers inspectent un véhicule alors qu’un homme armé a
fait au moins 16 morts, à Debert, au Canada, dans la nuit du 18 au 19
avril 2020. (JOHN MORRIS / REUTERS)
Un homme armé a tué au moins 18 personnes en Nouvelle-Ecosse
(Canada). Un précédent bilan faisait état de 16 personnes tuées, dans la
nuit du samedi 18 au dimanche 19 avril, en plus du tueur abattu par la
police, mais il s’est alourdi lundi. C’est la pire tuerie de ce genre
qu’ait connu le Canada.
Le suspect de 51 ans, un prothésiste dentaire, qui s’appelait Gabriel
Wortman, selon les médias, a trouvé la mort lors de son arrestation à
l’issue d’une vaste chasse à l’homme d’une douzaine d’heures dans toute
cette province de l’est du Canada. Lundi, le Premier ministre Justin
Trudeau a demandé « aux médias de ne pas utiliser le nom ou les photos de l’auteur de ces actes terribles ». « Ne lui faisons pas ce cadeau, concentrons-nous plutôt sur les victimes et leurs proches », a justifié Justin Trudeau.
« La tragédie n’aurait jamais dû se produire. La violence n’a jamais sa place dans notre pays », a déclaré le Premier ministre canadien. « Bien que la pandémie [de coronavirus] nous empêche » de nous réunir physiquement pour rendre hommage aux victimes, « une veillée virtuelle aura lieu en ligne à 19 heures vendredi [heure locale]« sur un groupe Facebook, a-t-il précisé.
Un mobile encore inconnu
Cet homme a notamment circulé à bord d’une voiture semblable à celles
de la police, portant au moins une partie d’un uniforme de policier. Il
a semé la mort en plusieurs endroits, dans des circonstances et pour
une raison encore mystérieuses qui ont choqué le pays, où les fusillades
de masse sont rares. Ses motivations doivent encore être éclaircies par
l’enquête.
« Il est trop tôt pour parler de mobile », a expliqué, lors d’un point-presse, un responsable de la police fédérale de Nouvelle-Ecosse. Plusieurs victimes « ne semblent pas avoir de lien avec le tireur », a-t-il noté. Mais « le
fait que cet individu disposait d’un uniforme et d’une voiture de
police laisse certainement penser que ce n’était pas un acte spontané ».
Selon les médias locaux, Gabriel Wortman était propriétaire d’un
cabinet de prothésiste dentaire à Dartsmouth, près de Halifax. La police
a indiqué qu’elle tenterait de déterminer si ce massacre a un lien
quelconque avec l’épidémie de coronavirus, qui a entraîné la fermeture
des activités non essentielles dans tout le pays.
Canada : dix-huit morts dans une fusillade, la plus meurtrière de l’histoire du pays
La tuerie a eu lieu dans la nuit de samedi à dimanche en
Nouvelle-Ecosse. L’auteur présumé de ces meurtres a trouvé la mort lors
de son arrestation, à l’issue d’une chasse à l’homme d’une douzaine
d’heures.
Le Monde avec AFP et AP Publié hier à 23h32, mis à jour à 18h14
Intervention des forces de police pour abattre l’auteur de
la fusillade, dans une station-service d’Enfield, en Nouvelle-Ecosse, au
Canada, le 19 avril. TIM KROCHAK / AP
Un homme armé a tué au moins 18 personnes pour une raison encore
inconnue dans la nuit de samedi 18 à dimanche 19 avril en
Nouvelle-Ecosse, au Canada, selon un bilan actualisé annoncé lundi par
le premier ministre, Justin Trudeau. Il s’agit de la pire tuerie de ce
genre qu’ait connu le Canada.
L’homme de 51 ans, un prothésiste dentaire selon les médias, a trouvé
la mort lors de son arrestation, à l’issue d’une vaste chasse à l’homme
d’une douzaine d’heures dans toute la province de l’est du Canada, a
annoncé la police.
Gabriel Wortman a notamment circulé à bord d’un véhicule ressemblant à
une voiture de police, et portait plusieurs éléments d’un uniforme de
policier. Il a semé la mort en plusieurs endroits, dans des
circonstances et pour une raison encore mystérieuses qui ont choqué le
pays, où les fusillades de masse sont rares.
Motivations inconnues
Les motivations de Gabriel Wortman doivent encore être éclaircies par l’enquête. « Il est trop tôt pour parler de motivation »,
a expliqué lors d’une conférence de presse le responsable des enquêtes
criminelles de la police fédérale de Nouvelle-Ecosse, Chris Leather.
Plusieurs victimes « ne semblent pas avoir de lien avec le tireur », a-t-il noté. Mais « le
fait que cet individu disposait d’un uniforme et d’une voiture de
police laisse certainement penser que ce n’était pas un acte spontané ».
La tuerie a commencé samedi en fin de soirée dans la petite commune
rurale de Portapique, une bourgade à une centaine de kilomètres de la
capitale, Halifax. Plusieurs victimes ont été découvertes devant et à
l’intérieur d’une maison où la police a été appelée pour des
signalements de coups de feu.
L’auteur présumé de ces meurtres avait pris la fuite à l’arrivée de
la police, déclenchant une vaste chasse à l’homme d’une douzaine
d’heures dans toute la province. Les habitants de la région ont été
priés par les autorités de rester chez eux.
« Violence insensée »
Selon les médias locaux, Gabriel Wortman était propriétaire d’un
cabinet d’orthodontie à Dartsmouth, près de Halifax. La police a fait
savoir qu’elle tenterait de déterminer si ce massacre avait un lien
quelconque avec l’épidémie due au coronavirus, qui a entraîné la
fermeture des activités non essentielles dans tout le pays.
Ce massacre est d’ores et déjà le plus grave que le Canada ait connu
de toute son histoire. Une policière, mère de deux enfants, fait partie
des victimes.
Le 6 décembre 1989, un homme avait tué par balles 14 femmes à l’Ecole
polytechnique de Montréal avant de se donner la mort, provoquant ce qui
était à l’époque la pire tuerie de masse de l’histoire du pays. Le
23 avril 2018 à Toronto, le conducteur d’une camionnette de location
avait tué huit femmes et deux hommes qu’il avait volontairement percutés
sur un trottoir d’une artère du centre-ville.
« C’est avec tristesse que j’ai appris l’acte de violence insensé
qui a été perpétré en Nouvelle-Ecosse et a coûté la vie de nombreuses
personnes, y compris celle d’une membre de la gendarmerie royale du
Canada (GRC) », a réagi le premier ministre, Justin Trudeau, dans un communiqué.
Tuerie en Nouvelle-Écosse : au moins 18 victimes et « peut-être plus encore »
Le drame de Portapique, en Nouvelle-Écosse, a fait au moins 18 victimes, toutes des adultes.
Photo : La Presse canadienne / Andrew Vaughan
Radio-Canada
15 h 03 | Mis à jour à 19 h 48
Le bilan de la pire tragédie de l’histoire du Canada, survenue au
cours de la fin de semaine dans le nord de la Nouvelle-Écosse, fait
maintenant état de 18 morts, en plus du tireur. La Gendarmerie royale du
Canada (GRC), qui poursuit son enquête, a cependant prévenu lundi que
les nombreuses scènes de crime pourraient mener à la découverte d’autres
victimes.
Au total, la GRC a identifié au moins 16 scènes de crime, incluant des incendies, dans la petite communauté de Portapique et ailleurs dans le centre de la province.Nous pensons avoir identifié toutes les scènes de crime, mais nous
n’avons pas pu tout examiner, car, par exemple, il y a cinq incendies
de structures. La plupart de ces structures sont des résidences, a expliqué Chris Leather, chef des opérations criminelles de la GRC en Nouvelle-Écosse.
Cette multiplication des scènes de crime fait craindre aux autorités un bilan encore plus lourd que celui annoncé lundi.
Nous pensons qu’il y a possiblement des victimes dans ces maisons brûlées. Cette partie de l’enquête continue.
Nous en sommes au début de cette enquête très complexe. Nous
continuons à chercher des réponses. Nous avons des équipes qui se
chargent des différents processus de l’enquête : entrevue, travail
analytique et recherches sur les propriétés du suspect, a indiqué le chef des opérations criminelles.
Les autorités s’intéressent tout particulièrement au fait que le
tireur ait eu accès à une copie d’une voiture de patrouille ainsi qu’à
un uniforme identique à ceux que portent les agents de la GRC.
[C]ette fausse voiture de police a été découverte tôt le matin et
retrouvée sur une scène de crime qui impliquait la constable Heidi
[Stevenson]. En ce qui concerne l’uniforme de police, nous ne
connaissons pas l’origine. Nous pensons que c’était soit un vrai
uniforme ou soit une bonne reproduction. Nous n’avons pas tous les
éléments de l’enquête encore, a affirmé Chris Leather.
La GRC a aussi précisé que le suspect connaissait certaines de ses victimes, mais que d’autres lui étaient inconnues.
L’agente de la GRC Heidi
Stevenson, qui cumulait 23 ans de service, figure parmi les
18 personnes qui ont perdu la vie. Un autre policier, le constable Chad
Morrison, a été blessé par balle, mais on ne craint pas pour sa vie. Ce
vétéran qui compte 11 ans de service au sein de la GRC récupère chez lui, s’est réjoui Chris Leather.
Les drapeaux sont en berne sur les édifices du Parlement, à Ottawa, à la suite de la tuerie commise en Nouvelle-Écosse.
Photo : Radio-Canada
« Merci pour ce que vous faites »
Le premier ministre Justin Trudeau a profité de sa mise à jour
quotidienne sur la crise de la COVID-19, lundi, pour remercier les
premiers répondants qui risquent leur vie pour protéger la population.
Vous travaillez déjà très fort à cause de la pandémie. Plus que
jamais, on a besoin de vous et par moment, c’est une responsabilité qui
peut être lourde à porter, a-t-il reconnu.
Malgré des circonstances exceptionnelles, vous avez fait
ce que vous avez l’habitude de faire : vous n’avez pas hésité à risquer
votre vie pour sauver celle des autres. De la part de tous les
Canadiens, merci.
Le premier ministre a également saisi l’occasion pour demander aux
Canadiens d’être patients et de laisser l’enquête suivre son cours. Je sais que les gens ont des questions. L’enquête est toujours en cours, mais je peux vous assurer que la GRC et les autorités locales vont vous garder au courant des derniers développements, a-t-il précisé.
Longue chasse à l’homme
Le tireur, identifié comme étant Gabriel Wortman, 51 ans, a été tué
après que la police l’eut intercepté dans une station-service d’Enfield,
en Nouvelle-Écosse. La police affirme que ce dernier ne semble pas
avoir eu de complice.
Sa mort fait actuellement l’objet d’une enquête par un groupe
d’enquêteurs indépendant. Il n’était pas connu des autorités, selon la
commissaire de la GRC, Brenda Lucki.
Les derniers instants de la traque du tireur, le 19 avril 2020, à une station-service d’Enfield, en Nouvelle-Écosse.
Photo : La Presse canadienne / Tim Krochak
Pendant ce temps, la GRC tente de savoir exactement comment la tuerie s’est déroulée.
Les agents disent qu’ils ont d’abord reçu samedi
soir des signalements au sujet d’un homme armé dans la petite ville de
Portapique, en Nouvelle-Écosse.Les agents y ont trouvé de nombreuses personnes mortes ou blessées, à
l’intérieur comme à l’extérieur d’une propriété. Mais l’inspecteur en
chef Chris Leather a indiqué que lorsque la police est arrivée, le
tireur avait disparu.
Une chasse à l’homme d’une durée de plusieurs heures et une poursuite
policière ont suivi dans une partie de la province maritime.
M. Leather a noté que les meurtres semblaient être, au moins en partie, de nature très aléatoire.
Le premier ministre Stephen McNeil a décrit le massacre comme l’un des actes de violence les plus insensés de l’histoire de notre province.
Je n’aurais jamais pensé en allant me coucher hier soir que je me
lèverais en apprenant l’horrible nouvelle qu’un tireur était en fuite en
Nouvelle-Écosse, a déclaré M. McNeil à Halifax dimanche.
Tuerie en Nouvelle-Écosse: 19 victimes, dont certaines connaissaient le suspect
Agence QMI
Lundi, 20 avril 2020 12:55 MISE À JOUR Lundi, 20 avril 2020 14:21
Au moins 19 personnes ont perdu la vie dans la tuerie
survenue en fin de semaine en Nouvelle-Écosse, mais d’autres morts sont à
prévoir, a prévenu la Gendarmerie royale du Canada (GRC) dans son bilan
présenté lundi après-midi.
Le suspect, Gabriel Wortman, aurait tué 18 personnes lors d’une
cavale qui s’est échelonnée sur une douzaine d’heures. Elle a débuté
dans le petit village de Portapique, qui se situe à 40 kilomètres à
l’ouest de Truro, en bordure de la baie de Cobéquid.
L’homme de 51 ans qui s’est fait passer pour un policier a parcouru
en tout 90 kilomètres avant d’être intercepté et abattu à une
station-service d’Enfield, à une trentaine de kilomètres au nord
d’Halifax.
Cette rage meurtrière constitue la pire tuerie de masse de l’histoire
récente du Canada, devançant les événements de l’École Polytechnique.
En effet, la fusillade qui s’est déroulée dans l’université montréalaise
en 1989 avait fait 14 victimes et 14 blessés.
Gabriel Wortman aurait incendié sa propre maison et plusieurs autres
résidences de son quartier avant de faire feu sur les gens qui sortaient
de leurs demeures en panique. Le suspect a ensuite pris la fuite, en se
déguisant en agent de police de la GRC.
Dans son point de presse tenu lundi en début d’après-midi, le
superintendant de la GRC Chris Leather a précisé que le bilan des
victimes pourrait continuer à s’alourdir, puisque 16 différentes scènes
de crimes étaient analysées. Les pompiers combattaient aussi cinq feux
de structures, notamment dans des résidences, alors que des corps
pourraient s’y retrouver.
La GRC compte une victime parmi ses rangs, l’agente Heidi Stevenson
qui détenait 23 ans d’expérience dans son domaine. Un autre policier a
été blessé, mais on ne craint pas pour sa vie. Le superintendant n’a pas
écarté que d’autres agents aient pu subir des blessures.
Écoutez l’analyse de Geneviève Pettersen qui revient sur le point de presse de la GRC à QUB Radio:
Une cavale meurtrière
Des premiers tirs d’arme à feu ont été entendus à Portapique «samedi
en fin de soirée», selon les informations de la GRC. Le service de
police s’est ensuite servi de son compte Twitter à 23h32 pour signifier à
la population que ses agents enquêtaient et que les résidents devaient
se barricader dans leurs demeures.
Plusieurs résidents ont aussi entendu au moins une explosion, alors
que des bâtiments ont été rasés et des voitures incendiées. Gabriel
Wortman connaissait apparemment plusieurs de ses victimes, habitant
lui-même Portapique et étant denturologiste.
À 10h12, heure locale, dimanche matin, la GRC a rapporté que le
tireur pouvait être vêtu d’un uniforme des services de police en plus de
conduire une réplique des voitures de la GRC. Selon le «Globe and
Mail», le suspect aurait stoppé une voiture sur une route de campagne en
se faisant passer pour un officier, avant de tuer les occupants du
véhicule à bout portant.
Le superintendant Leather a affirmé que la voiture et l’uniforme du
suspect étaient des imitations très convaincantes et qu’il n’avait pas
encore reçu d’information sur un possible vol de ces items chez un
véritable agent de police.
Selon le parcours détaillé en direct par la GRC, le suspect aurait
finalement abandonné sa fausse voiture de police pour un VUS Chevrolet.
C’est dans ce véhicule qu’il a été appréhendé par la GRC à Enfield, à
11h40.
Toujours selon le «Globe and Mail», Gabriel Wortman a été décrit
comme un passionné de la police, lui qui en collectionnait plusieurs
souvenirs et plus de retaper à l’occasion des voitures de patrouilles.
Selon Nathan Staples, une source du quotidien torontois, le suspect
était «obsédé» par la police tandis que sa demeure de Portapique était
un «sanctuaire» en hommage à la GRC.
Des réactions de partout au Canada
Au-delà des milliers de réactions d’internautes et de personnalités
publiques sur les réseaux sociaux, le premier ministre Justin Trudeau a
débuté sa conférence de presse quotidienne à Ottawa, qu’il tient depuis
le début de la crise sur la COVID-19, par un hommage aux victimes de la
tuerie.
«Aux grands-parents qui ont perdu un enfant – aux enfants qui ont
perdu un parent – aux voisins qui ont perdu des amis – mes pensées et
les pensées de tous les Canadiens vous accompagnent», a mentionné M.
Trudeau.
«Une telle tragédie n’aurait jamais dû se produire. La violence n’a jamais sa place dans notre pays», a-t-il ajouté.
Dans son point de presse quotidien, le premier ministre du Québec
François Legault a offert ses condoléances aux victimes. «C’est une
tragédie épouvantable», a-t-il dit lundi.
L’Assemblée nationale a d’ailleurs annoncé que le drapeau québécois a
été mis en berne sur la tour centrale de l’hôtel du Parlement.
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