Halte à la censure et la désinformation satanistes !
compteur
mardi 7 avril 2020
Attentat de Romans-sur-Isère du 4 avril 2020 : premier bilan
L’affaire a déjà sa fiche dans Wikipédia (voir ci-dessous).
Le djihadiste présumé a commencé à parler en garde à vue, mais est
encore atteint de trous de mémoire très opportuns dès que les questions
des enquêteurs se font plus précises, notamment sur le déroulé des
faits.
Une seconde garde à vue se poursuit, celle de son ami lui ayant rendu visite la veille, 3 avril 2020.
Je rappelle pour ma part observer bien des mouvements chez mes harceleurs précisément ce 3 avril 2020 :
Par ailleurs, les enquêteurs ont retrouvé chez le tueur pas moins de six téléphones portables.
Se serait-il lui aussi livré à du trafic de drogue ?
L’usage de téléphones multiples est en effet dans les habitudes de ces trafiquants.
On observe également que le jour même de cette attaque qui a fait
deux morts, dont un ingénieur informaticien de 55 ans de
Châtillon-Saint-Jean travaillant à son compte depuis le 20 décembre 2015
et venu faire ses courses dans la boucherie Breyton de Romans-sur-Isère
où il a été tué, Jean-Marc Donnadieu annonçait sur Facebook qu’à peine
sorti du confinement, avec son ami Michel Piccin il irait tuer encore
plein de gens, notamment des ingénieurs…
Naturellement, j’en fais partie. Or, je suis moi aussi ingénieur
informaticien et suis particulièrement bien placée pour savoir à quel
point il hait les ingénieurs informaticiens, lui qui se prétend bien
meilleur que nous en informatique sans avoir jamais reçu aucune
formation dans ce domaine et n’a bien évidemment jamais percé dans ce
métier faute de compétences suffisantes.
On relève encore que l’ingénieur tué samedi à Romans-sur-Isère
travaillait ou a travaillé dans le médical, un secteur très concerné par
la crise sanitaire actuelle et encore touché par-dessus le marché par
une telle recrudescence de cyberattaques (dont une contre l’AP-HP à la
date très symbolique du 22 mars 2020) que les spécialistes de la
sécurité informatique ont décidé de s’organiser pour faire payer les
pirates profitant de la crise du Covid-19.
S’il en était besoin, je rappelle encore une fois que mes harceleurs sont quasiment tous des pirates informatiques.
C’est notamment le cas de Jean-Marc Donnadieu et de son complice le
pédophile et mythomane notoire Pascal Edouard Cyprien Luraghi.
Pour finir, est rapporté ci-dessous un rappel des principaux
attentats islamistes commis en France depuis mars 2012, montrant, comme
je l’ai déjà fait remarquer à plusieurs reprises, une nette régression
de ces attaques à compter de l’année 2017, après le premier échec de
Pascal Edouard Cyprien Luraghi à me faire condamner à Paris alors que je
me défendais seule, sans avocat, et faisais ainsi pour tous ses
complices islamistes et autres la démonstration qu’il leur avait
toujours menti en me prétendant folle à lier et nulle en droit.
Je rappelle encore que les attaques des premières années, de 2012 à
2015, étaient à l’évidence liées à la procédure de la criminelle Josette
Brenterch du NPA de Brest à mon encontre, celles de 2016 au printemps
2018, à la procédure de son complice Pascal Edouard Cyprien Luraghi à
mon encontre, et celles qui ont débuté depuis, aux différentes
procédures engagées ou dirigées par Jean-Marc Donnadieu à la suite de
ses réglements de comptes publics des premiers mois de l’année 2018 sur
Facebook avec un ufologue de Strasbourg qu’il accuse depuis de
nombreuses années de l’avoir « trahi » en me communiquant des
informations à son sujet, cet ensemble de nouvelles procédures nous
visant l’un et l’autre.
Après l’attaque au couteau à Romans-sur-Isère (Drôme) samedi, la
commune de Châtillon-Saint-Jean est elle aussi sous le choc. Thierry
Nivon, l’une des victimes, habitait le village. Il a été mortellement
poignardé par l’assaillant alors qu’il faisait ses courses dans une
boucherie.
Ce samedi, Thierry Nivon s’est rendu à Romans-sur-Isère (Drôme) pour
faire de simples courses. L’homme de 55 ans a été poignardé à la
boucherie Breyton, tué par l’assaillant avec un couteau appartenant au
commerce. Cet homme était informaticien, il habitait à
Châtillon-Saint-Jean. Dans la petite commune, les habitants sont
choqués.
Le maire Gérard Fuhrer a rendu visite à l’épouse du défunt. Il aurait
aimé pouvoir organiser un hommage pour son administré, mais le confinement empêche tout rassemblement. « Habituellement
lorsqu’il y a un décès dans la commune, nous nous réunissions. C’est
important de se soutenir, de se voir. Avec le coronavirus et le
confinement, les malheurs s’ajoutent les uns aux autres et ce deuil est
d’autant plus difficile à supporter », avoue le maire.
Des gestes de soutien, à distance
Pour témoigner de leur soutien, certains habitants ont allumé une bougie sur le rebord de leur fenêtre, d’autres ont publié des messages sur les réseaux sociaux. « Il n’y a pas que la présence physique qui compte, assure Gérard Fuhrer, on peut aussi être présent par la pensée ».
Les confidences du tueur au couteau de Romans-sur-Isère
Abdallah Ahmed-Osman, l’auteur de l’attaque au couteau samedi, a
expliqué qu’il s’était senti « en ligne avec la religion » après avoir
commis son massacre.
A Romans-sur-Isère (Drôme) l’attaque au couteau d’Abdallah Ahmed-Osman a fait deux morts et cinq blessés. AFP/Jeff Pachoud
Par Jérémie Pham-Lê
Le 6 avril 2020 à 14h54, modifié le 6 avril 2020 à 20h33
Abdallah Ahmed-Osman est-il un djihadiste adepte
de la dissimulation ? Ou un réfugié qui a trouvé dans la violence et la
religion un exutoire à son mal-être ? Trois jours après avoir semé la
mort et l’effroi dans le centre-ville de Romans-sur-Isère (Drôme) avec
un couteau, faisant deux morts et cinq blessés, le Soudanais de 33 ans
s’est longuement livré.Selon des sources concordantes, Ahmed-Osman a
reconnu être l’auteur de l’attaque en garde à vue, oscillant entre
déclarations paranoïaques, trous de mémoire et sentiment de
satisfaction. Le jeune Soudanais, arrivé en France en 2016, a expliqué
qu’il se sentait « épié et menacé par tout le monde » lorsqu’il est
passé à l’action à Romans samedi. Il résume son massacre à un « pétage
de plombs ». « En attaquant les passants, il dit qu’il a voulu se
défendre et se protéger, confie un proche de l’enquête. Mais en même
temps, il déclare qu’il s’est senti en ligne avec la religion une
fois qu’il avait terminé. » Raison pour laquelle il psalmodiait à
genoux lors de son interpellation. A certaines questions précises sur le
déroulé de l’attaque, le terroriste présumé a répondu : « Je ne me
souviens plus ».VIDÉO. Romans-sur-Isère : deux morts et cinq blessés dans une attaque au couteauDevant les enquêteurs, Ahmed-Osman a aussi décrit
un certain mal-être, qu’il impute notamment au confinement. Il aurait
mal vécu d’avoir été mis au chômage alors qu’il venait d’obtenir un
emploi à la section maroquinerie d’une entreprise d’outillage de découpe
de la Drôme. Le jeune réfugié a également raconté être allé à l’hôpital
de Romans « six jours » avant l’attaque car il pensait être contaminé
par le Covid-19. Le personnel soignant l’aurait renvoyé chez lui avec
des médicaments, sans le tester. Avec le recul, Ahmed-Osman pense que
ses symptômes relevaient surtout « de l’angoisse ». Les policiers
tentaient hier de retrouver trace de cette consultation et vérifier s’il
a séjourné en établissements psychiatriques, notamment à Grenoble
(Isère) où il a vécu entre 2016 et 2018. Selon nos informations, des
anxiolytiques ont été découverts lors de la perquisition à son
appartement de Romans.
« C’est un profil proche de celui de l’auteur de
l’attaque de Villejuif [le 3 janvier 2020, NDLR] avec une certaine
fragilité psychologique, souligne un connaisseur du dossier. Le discours
djihadiste semble avoir eu une influence sur son passage à l’acte et la
religion serait l’élément déclencheur. Pour autant, il n’assume pas son
appartenance à une organisation terroriste. » En garde à vue, Abdallah
Ahmed-Osman s’est en effet décrit comme un musulman à la pratique
modérée, respectant la prière et se rendant épisodiquement à la mosquée
de Romans. « Chez le suspect, il y a un cocktail de psychiatrie, de
mal-être du réfugié, de ressentiment sur sa place dans notre société et
de religion, observe une source policière. En l’espèce, le confinement a
sûrement joué un rôle. »
A son domicile, les enquêteurs ont saisi un tapis
de prière, un coran ainsi qu’un texte manuscrit dans lequel Ahmed-Osman
convoque l’imagerie djihadiste. « Je vous implore pour que nous ayons
le pardon. C’est ce qu’attend tout combattant […] Je ne veux plus vivre
dans ce pays de mécréant », écrit le jeune Soudanais dans un mélange de
français et d’arabe. Les témoins de l’attaque ont par ailleurs décrit un
assaillant « le regard hagard », « très déterminé à tuer ». A l’une des
victimes, Ahmed-Osman a demandé si elle était de confession musulmane.
Aucune lettre de revendication ou d’allégeance à
une organisation terroriste n’a néanmoins été retrouvée à ce jour. Les
nombreux témoins interrogés – commerçants, voisins, amis et employeur du
suspect – ont dit n’avoir décelé aucun signe de radicalisation mais ont
décrit un homme « anxieux et dépressif » ces jours-ci, « aigri » par le
confinement. Les exploitations de ses supports informatiques, en vue de
retrouver éventuellement de la documentation djihadiste ou des
recherches préparatoires, sont toujours en cours. En garde à vue,
Abdallah Ahmed-Osman a accepté de donner les codes de son smartphone.
Cinq autres téléphones de modèles très anciens ont été saisis chez lui
ainsi qu’une clé USB.
Ce lundi soir, Ahmed-Osman a été transféré dans
les locaux de la sous-direction antiterroriste (SDAT), co-saisie de
l’enquête avec la police judiciaire de Lyon et la Direction générale de
la sécurité intérieure (DGSI) à Levallois-Perret (Hauts-de-Seine). De
même qu’un ami du suspect, Mustapha A.M. Ce Soudanais de 28 ans avait
été interpellé samedi dans l’immeuble du suspect à qui il rendait
visite, inquiet de son état fébrile. La veille, il lui avait confié son
inquiétude à l’idée d’être malade du Covid-19 et son désarroi vis-à-vis
des mesures de confinement. Les deux hommes, tous deux réfugiés, se sont
rencontrés il y a quelques mois à l’Agence nationale pour la formation
professionnelle des adultes (AFPA) de Romans-sur-Isère, où Ahmed-Osman
suivait une formation en maroquinerie. Un troisième homme, colocataire
de Mustapha A-M., a été remis en liberté ce lundi après-midi.
Cet article concerne un événement récent ou en cours (4 avril 2020).Ces
informations peuvent manquer de recul, ne pas prendre en compte des
développements récents ou changer à mesure que l’événement progresse. Le
titre lui-même peut être provisoire. N’hésitez pas à l’améliorer en
veillant à citer vos sources.
La dernière modification de cette page a été faite le 7 avril 2020 à 07:31.
Cet article est lié à une affaire judiciaireen cours.Le
texte peut changer fréquemment, n’est peut-être pas à jour et peut
manquer de recul.Le titre et la description de l’acte concerné reposent
sur la qualification juridique retenue lors de la rédaction de l’article
et peuvent évoluer en même temps que celle-ci.
N’hésitez pas à participer de manière neutre et objective, en citant vos sources et en n’oubliant pas que, dans nombre de systèmes judiciaires, toute personne est présumée innocente tant que sa culpabilité n’a pas été légalement et définitivement établie.
La dernière modification de cette page a été faite le 7 avril 2020 à 07:31.
Il est le fait d’un réfugié soudanais
Abdallah Ahmed-Osman rapidement interpellé après ses actes en train de
prier. Durant son passage à l’acte, il tue deux passants et en blesse
cinq autres, leur demandant s’ils sont de confession musulmane1.
L’attaque a lieu durant la période de confinement en raison de la pandémie de Covid-19. Le 4 avril 2020, vers 10h45, un homme rentre dans un bureau de tabac de Romans-sur-Isère
et poignarde un client. Puis, il se rend dans une boulangerie et
continue ses attaques. Ensuite, il poignarde des passants dans le centre
ville. Il poursuit son périple meurtrier durant plusieurs minutes entre
les rues Gally, Guillaume pour arriver au boulevard Dormoy. Là, il est
arrêté par les équipages de police appelés. Les policiers trouvent sur
lui le couteau qui a servi à l’agression ainsi qu’une carte de séjour.
Enquête
Le jour même, le Parquet national antiterroriste se saisit de l’affaire2,3.
Le colocataire du suspect, un soudanais est placé en garde a vue. Puis
le lendemain dans la matinée un troisième soudanais un proche du suspect
est lui aussi placé en garde à vue. L’un d’eux avait vu Ahmed-Osman la
veille de l’attaque, ce dernier se plaignait du confinement et avait
peur d’avoir le coronavirus4.
Le Ministre de l’IntérieurChristophe Castaner
se déplace le jour même des faits à Romans-sur-Isère à la rencontre du
maire de la ville Marie-Hélène Thoraval, du préfet de la Drôme Hugues
Toumouh, du directeur départemental de la sécurité publique Noël Fayet
et du procureur de Valence Alex Perrin pour un état des lieux. Le
Ministre qualifie aussitôt ce fait de « parcours terroriste » et salue
le courage des équipages de police ayant intercepté Abdallah Hamed-Osman5.
Suspect
Le suspect, Abdallah Ahmed-Osman, âgé de 33 ans, est né en 1987 au Soudan est soudanais. Il a obtenu le statut de réfugié le 29 juin 2017 et un titre de séjour de dix ans cette même année6 délivré par la préfecture de l’Isère4. Il est célibataire, sans enfant et de confession musulmane7. Interrogée après l’attaque, la maire de Romans-sur-Isère Marie-Hélène Thoraval indique qu’elle ne savait pas que l’assaillant était présent sur le territoire de sa commune8.
Avant de s’installer en fin d’année 2019 à Romans-sur-Isère dans un
logement côte Jacquemart loué par une association, il est arrivé dans le
département de la Drôme en juin 2018 et a vécu à Moras-en-Valloire7 de septembre 2018 à janvier 2020 où il avait un contrat de professionnalisation via l’Afpa de Romans dans une entreprise de maroquinerie9
dénommée Veyret Techniques Découpe où Hamed-Osman est passé d’intérim à
un contrat de de CDD et devait obtenir un CDI prochainement10.
Suspicion de motivation terroriste
Le suspect aurait crié « Allah Akbar » au moment de lancer son
agression. Lors de son arrestation, selon des policiers, il se serait
mis à genoux et aurait récité la profession de foi des musulmans : « il n’est de Dieu que Dieu et Muhammad est son prophète »11.
L’enquête retient rapidement la qualification d’attentat terroriste à
caractère religieux. Le parquet anti terroriste souligne notamment que
la perquisition effectuée au domicile du suspect a révélée des notes
manuscrites en arabe dans lesquelles il « se plaint de vivre dans un
pays de mécréants »12. Les enquêteurs mettent également la main sur cinq portables4.
Victimes
Il y a deux morts et cinq blessés13, dont deux toujours en soins intensifs au lendemain de l’attaque14.
Nom
Situation
Age
Infos
Sources
Thierry Nivon
Décédé
55 ans
Ingénieur informatique, il est tué alors qu’il faisait ses courses à la boucherie.
L’attaque survenue à Romans-sur-Isère dans la Drôme ce samedi matin
s’ajoute à la longue liste des attques terroriste survenues en France
depuis cinq ans.
Rappel des attentats islamistes meurtriers commis depuis 2015 en
France, après que le parquet national antiterroriste s’est saisi de
l’enquête sur l’attaque au couteau ayant fait deux morts et quatre
blessés à Romans-sur-Isère dimanche.
Depuis janvier 2015, ces attentats, attribués ou revendiqués par la mouvance islamiste, ont fait plus de 250 morts.
- 3 janvier: Nathan C., un jeune homme de 22 ans
converti à l’islam depuis 2017 et atteint de troubles psychiatriques,
attaque des promeneurs aux cris « d’Allah Akbar » dans un parc de
Villejuif (Val-de-Marne), tuant un homme et blessant deux femmes, avant
d’être abattu par la police.
2019
- 3 octobre : un informaticien travaillant à la
Direction du renseignement, Mickaël Harpon, poignarde à mort trois
policiers et un agent administratif dans l’enceinte de la préfecture de
police de Paris, avant d’être abattu. L’enquête, confiée à des juges
antiterroristes, n’a pas encore déterminé, les motivations de cet agent
soupçonné de radicalisation.
2018
- 11 décembre : Chérif Chekatt, un homme de 29 ans
fiché « S » pour sa radicalisation islamiste, ouvre le feu sur des
passants au coeur du marché de Noël de Strasbourg et en attaque d’autres
à coups de couteau: cinq morts, onze blessés. L’assaillant est abattu
après deux jours de traque. Peu après l’annonce de sa mort, il est
adoubé « soldat de l’Etat islamique » par l’agence de propagande de
l’EI.
- 23 mars : un Français d’origine marocaine de 25
ans, Radouane Lakdim, vole une voiture à Carcassonne en tuant le
passager et blessant grièvement le conducteur. Il pénètre ensuite dans
un supermarché de Trèbes, revendique être un « soldat » de l’EI et tue
deux personnes. L’officier de gendarmerie Arnaud Beltrame, qui s’est
offert comme otage à la place d’une femme, est mortellement blessé à la
gorge. Le jihadiste est abattu.
2017
- 1er octobre : un Tunisien de 29 ans, Ahmed
Hanachi, tue deux jeunes femmes sur le parvis de la gare Saint-Charles à
Marseille en criant « Allah Akbar », avant d’être abattu. L’attentat
est revendiqué par l’EI.
- 20 avril : à Paris, un policier, Xavier Jugelé,
est tué par balle et deux autres sont blessés sur les Champs-Élysées par
un repris de justice de 39 ans, Karim Cheurfi, qui est abattu. L’EI
revendique l’attentat.
2016
- 26 juillet : Jacques Hamel, un prêtre de
Saint-Étienne-du-Rouvray (Seine-Maritime), est égorgé dans son église
par deux jihadistes, Abdel Malik Petitjean et Adel Kermiche, qui sont
abattus. L’assassinat est revendiqué par l’EI.
- 14 juillet : à Nice, un Tunisien de 31 ans,
Mohamed Lahouaiej-Bouhlel, fonce dans la foule au volant d’un camion
quelques instants après le feu d’artifice, tuant 86 personnes et en
blessant plus de 400. Il est tué par la police. L’attaque est
revendiquée par l’EI.
- 13 juin : un policier de Magnanville (Yvelines) et
sa compagne sont assassinés chez eux par un jihadiste de 25 ans.
Larossi Abballa, qui avait revendiqué son action au nom de l’EI, est
abattu.
2015
- 13 novembre : la France est frappée par les pires
attentats de son histoire. Neuf jihadistes font 130 morts et plus de 350
blessés à Paris, dans la salle de concert du Bataclan (90 morts), aux
terrasses de bars et restaurants (39 morts) et près du Stade de France
(un mort). L’EI revendique les attaques.
- 26 juin : Yassin Salhi tue et décapite son patron
Hervé Cornara à Chassieu (Rhône), puis tente de faire exploser l’usine
de Saint-Quentin-Fallavier (Isère) en précipitant son fourgon contre des
bouteilles de gaz. Il est arrêté.
- 19 avril : Sid Ahmed Ghlam, un étudiant algérien
fiché S et en possession d’armes de guerre, est arrêté à Paris alors
qu’il projetait d’attaquer une église de Villejuif. Il est soupçonné
d’avoir tué une femme après une rencontre imprévue qui aurait
contrecarré ses plans.
- 7-9 janvier : les frères Chérif et Saïd Kouachi
tuent 12 personnes, le 7, au siège de l’hebdomadaire satirique Charlie
Hebdo à Paris. Après deux jours de cavale, les deux islamistes radicaux,
qui se réclament d’Al-Qaïda dans la péninsule arabique (Aqpa), sont
abattus. Le 8, Amedy Coulibaly tue une policière à Montrouge
(Hauts-de-Seine). Le lendemain, le délinquant radicalisé qui se
revendique de l’EI tue quatre otages, tous juifs, dans un supermarché
casher de l’est parisien. Il est abattu dans l’assaut.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire