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samedi 8 décembre 2018
Comment à Paris on se moque des Bretons et des autres
Les mythomanes, menteurs et affabulateurs Pascal Edouard Cyprien
Luraghi de Puy-l’Evêque, Jean-Marc Donnadieu de Béziers, Josette
Brenterch du NPA de Brest et autres « déconnologues », auteurs de vastes
campagnes de calomnies publiques à mon encontre depuis les années 2008 à
2010, m’ont toujours traitée mensongèrement de mythomane, menteuse ou
affabulatrice à chaque fois que je démentais leurs allégations
mensongères à mon encontre et parlais un peu de moi-même ou de ma vraie
vie, la vraie de vraie, pas celle qu’ils ont décidé de m’inventer pour
le public.
La personnalité antipathique qu’ils m’attribuent mensongèrement, très
éloignée de ce que je suis réellement, est en fait la leur.
De même, la vie de « ratée absolue » qu’ils m’attribuent de manière délirante ressemble bien plus aux leurs qu’à la mienne.
Quant à tous les méfaits imaginaires dont ils m’accusent
régulièrement, dans des écrits publics ou plus ou moins confidentiels,
parfois adressés à des autorités susceptibles d’y donner suite, et
jusque devant des tribunaux et cours d’appel, ce sont systématiquement
et très exactement des faits de même nature que d’autres dont ils se
sont eux-mêmes réellement rendus coupables à mon encontre au préalable.
Cependant, ce ne sont pas les premiers pervers narcissiques à donner
dans ce travers caractéristique de leur maladie mentale en ce qui me
concerne.
Il y eut avant eux mes anciens employeurs harceleurs, des patrons
voyous pour lesquels ils travaillent toujours actuellement et dont ils
poursuivent depuis le début toutes les exactions à mon encontre.
Ceux-là sont donc les premiers à m’avoir fait passer pour mythomane
auprès de tiers, notamment dans mon milieu professionnel, en même temps
qu’ils me calomniaient dans le but de me discréditer et de me porter
préjudice à tout propos.
J’en ai déjà parlé un peu dans cet article du 19 août dernier :
Ayant un jour été interrogée par la commerciale représentant mon
employeur sur mes éventuelles capacités de musicienne, j’avais dit ce
qu’il en était et appris quatre ans plus tard que j’aurais été mythomane
en raison de la réponse que je lui avais faite ce jour car « tout
le monde sait bien que les Bretons sont des arriérés totalement incultes
et incapables de jouer d’un instrument, ils ne connaissent rien à la
musique ! »
Mais ce n’est pas tout !
Environ un an après avoir involontairement provoqué chez cette
commerciale un éclat de rire hystérique qui sera resté pour moi
totalement incompris durant quatre ans, c’est un autre commercial du
même groupe qui tout à coup, alors qu’habituellement il ne parlait
toujours que de cul ou de fric, s’était piqué d’évoquer la langue
bretonne en ma présence. Il la comparaît au grec, affirmant que c’était
pareil, car il l’avait entendu dire. Lui-même ne connaissait ni de près
ni de loin aucune de ces deux langues. Tout comme son quasi jumeau
Pascal Edouard Cyprien Luraghi, après avoir quitté l’école à
l’adolescence en situation d’échec et sans aucun diplôme, il s’était
fait dans la rue – à la force du poignet ou du couteau planté dans le
dos – et aurait bien pu soutenir de même : « Ne connaissant ni le pays
ni sa langue, je lui avais servi de guide ». C’est en effet ce qu’il
faisait au quotidien auprès de chacun dans le cadre de ses fonctions, à
la manière dictatoriale du « Konducator », et tous les professionnels du
secteur informatique l’en haïssaient.
Cette fois, donc, il entendait nous instruire sur le grec ou le
breton ou les deux à la fois. C’était gratuit, ou du moins, cela en
avait l’air. Pour le coup, j’étais sortie de mon mutisme habituel en
présence de ce pervers notoire lorsque nous n’avions aucun entretien
« professionnel ». Je n’avais pas réfléchi. L’entendant débiter ses
bêtises sur deux langues que je connaissais suffisamment l’une et
l’autre pour pouvoir les comparer, sentant bien que ses propos m’étaient
destinés, étant données mes origines, qu’il connaissait bien,
encouragée par le fait que pour une fois il ne s’agissait ni de cul ni
de fric, je m’étais enhardie à le corriger. Encore une fois, j’aurais
mieux fait de me taire. Il était resté me regarder comme frappé par une
hallucination quelconque et avait balbutié, l’air hébété : « Grec… Grec
ancien ! » C’est bien de grec ancien que je parlais, je suis helléniste,
mais il n’y entendait manifestement que du chinois. Vu le niveau de mon
interlocuteur, je n’avais pas insisté. C’était inutile et la question
discutée était de toute façon sans importance dans le contexte de nos
relations.
Or, voilà que trois ans plus tard j’apprenais que le pervers me
faisait passer pour mythomane dans tout mon milieu professionnel sous
prétexte que ce jour-là j’avais dit connaître le grec ancien et qu’une
autre fois, l’année précédente, j’avais dit à sa collègue pouvoir jouer
d’un instrument de musique.
Moralité : ne jamais badiner avec ces débiles mentaux, on ne sait jamais ce qu’ils vont en faire.
En attendant, je me retrouvais dans l’obligation de prouver à un
collègue de travail que je connaissais bien le grec et savais aussi
jouer de l’instrument que j’avais cité.
Le message est bien passé.
L’année suivante, je n’étais plus mythomane, mais toujours bien
bretonne et apprenais avec effarement avoir été élevée à Brest dans une
maison au sol en terre battue au milieu des cochons…
Par ailleurs, étant désormais bien entendu que j’avais reçu une
excellente éducation ayant nécessairement coûté une fortune, mon père
était devenu un « truand » bien connu du « milieu » brestois, car il
était absolument certain qu’il n’avait pu que « piquer dans la caisse »
pour pouvoir payer tous mes frais de scolarité, sachant que j’avais
aussi fait des études d’ingénieur alors que je n’étais qu’une fille…
Josette Brenterch et ses complices de la LCR de Brest renchérissaient
: il avait donné la même éducation à tous ses enfants, était
effectivement propriétaire, c’était donc bien un « truand ».
Aussi, il fallait assassiner tous ses enfants ingénieurs si bien éduqués car bien mal acquis ne doit pas profiter…
Précisons qu’entre autres choses, le pervers et ses complices me
demandaient depuis plusieurs années de leur faire don de tous les biens
ou de l’immense fortune de mes parents, dont ils déduisaient l’existence
selon eux absolument certaine au seul vu de mon CV d’ingénieur, de
telles études, réputées très difficiles, étant censées coûter une
fortune en cours particuliers ou en écoles privées.
En réalité, comme ils le savaient pourtant très bien en ce qui me
concerne, nous n’avons toujours fréquenté que des établissements
publics, et nos études, notre éducation, n’ont pas coûté grand-chose à
nos parents qui par ailleurs sont assez connus à Brest et véritablement
haïs par certains truands – de vrais de vrais, ceux-là – précisément en
raison de leur intégrité sans faille.
Mais personne n’a jamais pu faire entendre raison au pervers en chef
qui à cette époque se présentait partout comme étant celui qui savait
qui j’étais à l’exclusion de toute autre personne, exactement comme
l’ont fait par la suite la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest
et plusieurs de ses complices, notamment le mythomane Pascal Edouard
Cyprien Luraghi.
D’après lui, donc, j’étais faite pour la prostitution et rien
d’autre, comme toutes ces autres Bretonnes jadis montées à Paris pour
finalement s’y prostituer.
Je ne le savais pas moi-même, je ne le savais pas encore, mais lui le
savait et allait me l’apprendre, il allait me « révéler » à moi-même –
c’est exactement ce qu’il disait, il savait mieux que moi ce qui était
« bon » pour moi.
Les Brestois, les Bretons, ne savent pas qui ils sont. Ils ne savent rien.
Ils ont toujours besoin que des Parisiens, des rustres venus d’ailleurs le leur apprennent, les instruisent.
Le pouvoir central y veille et leur fournit à cette époque deux solides Ruthénois ayant tous deux fait leurs classes à Toulouse.
L’un a pour ainsi dire été expulsé de la ville de Brest au printemps
2002 après quelques mésaventures discrètement judiciarisées… et l’autre a
su par la suite gagner la confiance de l’actuel chef de l’Etat… pour
combien de temps encore ?
>Politique|Jannick Alimi| 07 décembre 2018, 20h12 | MAJ : 07 décembre 2018, 21h09 |21
Depuis le départ de Gérard Collomb de l’Intérieur, Richard
Ferrand est devenu l’un des interlocuteurs privilégiés d’Emmanuel
Macron. Certains lui prêtent même un avenir… à Matignon. LP/Arnaud
Journois
Englué dans la crise des Gilets jaunes, le chef de l’Etat compte
plus que jamais sur le président de l’Assemblée, marcheur des premiers
jours.
Étonnant. C’est Richard Ferrand, le président de l’Assemblée nationale, qui a précisé ce vendredi de façon quasi officielle l’agenda présidentiel.
Mieux ! Il délivre, comme l’aurait fait un porte-parole, le sens même
de l’intervention d’Emmanuel Macron. « Après différents échanges et un
tour d’horizon, le président, lucide sur le contexte et la situation, ne
souhaite pas mettre d’huile sur le feu et par conséquent n’a pas
l’intention de s’exprimer avant samedi (NDLR : jour de manifestation des Gilets jaunes)
», déclarait à 5 heures du matin (!) à l’AFP, le député LREM du
Finistère. « À l’inverse, en début de semaine prochaine, il sera amené à
s’exprimer », a ajouté Ferrand.
« On peut s’interroger sur la légitimité d’une telle déclaration,
souligne un élu macronien. En effet, que Ferrand, l’incarnation du
pouvoir législatif, intervienne dans la sphère élyséenne, et donc du
pouvoir exécutif, peut paraître pour le moins saugrenu. Mais quand on
connaît la proximité du président de l’Assemblée avec le chef de l’État,
il n’y a finalement rien de surprenant. »
On sait, en effet, que Richard Ferrand, premier des députés
socialistes à rejoindre Emmanuel Macron dans sa « grande marche » vers
l’Élysée, est resté fidèle parmi les — quelques — fidèles au président.
Mais cette proximité s’est encore renforcée depuis quelques semaines.
Depuis le départ de Gérard Collomb, l’autre « grognard de Macron », du ministère de l’Intérieur. Et surtout depuis la crise des Gilets jaunes, qui place l’Élysée au cœur d’un tsunami à l’issue totalement incertaine.
Visiteur du soir de l’Élysée
« Il fait partie de la poignée de personnes qui chuchotent encore à
l’oreille du président, à qui il fait confiance », confie un proche de
Macron. Visiteur du soir de l’Élysée, Ferrand écoute et conseille le
chef de l’État que l’on dit de plus en plus isolé au Château.
« Ferrand est le seul dans la Macronie à avoir une véritable
expérience politique ainsi qu’une connaissance fine des territoires,
explique Roland Lescure, député LREM et président de la Commission des
affaires économiques à l’Assemblée nationale. Seul Jacques Mézard,
ex-sénateur et ancien ministre de la Cohésion territoriale,
pouvait arguer de telles compétences, mais il n’est plus au
gouvernement. Jacqueline Gourault, qui lui a succédé, a également cette
perception intime du terrain mais elle est membre du MoDem et pas du
parti du président », poursuit Lescure.
Contesté lorsqu’il était président du groupe LREM
à l’Assemblée nationale, Richard Ferrand fait, en revanche, la
quasi-unanimité au Perchoir. « La conférence des présidents qui se tient
tous les mardis matin en présence de l’ensemble des représentants des
groupes, se déroule désormais en bonne intelligence, confie un député de
La France insoumise. Il n’y a plus de tensions et elle est efficace. »
Une réussite politique qui lui vaut, elle aussi, toute l’attention du
président de la République. À l’aise à Paris, et en contact permanent
avec ses terres bretonnes d’élection, Ferrand pourrait même, dit-on
remplacer, Édouard Philippe à Matignon… Mais l’heure ne semble pas
encore au remaniement et l’épée de Damoclès de l’affaire des Mutuelles
de Bretagne pend toujours au-dessus de Ferrand.
« Gilets jaunes » : on vous explique pourquoi autant de personnes ont été interpellées à Paris et ses alentours
En début de soirée, 920 personnes avaient déjà été arrêtées, dont certaines avant même d’atteindre la capitale.
Des policiers appréhendent un manifestant en marge de la
mobilisation des « gilets jaunes » à Paris, le 8 décembre 2018.
(CHRISTIAN HARTMANN / REUTERS)
Le chiffre grossit d’heure en heure. En début de soirée, 920
personnes ont déjà été interpellées en marge de « l’acte 4″ de la
mobilisation des « gilets jaunes » à Paris, samedi 8 décembre. C’est deux fois plus que samedi dernier, avec 412 personnes arrêtées au total.
Cette journée s’annonçant particulièrement violente, la préfecture de
police de Paris a mis en place une stratégie visant à filtrer les
individus avant même qu’ils ne gagnent la capitale. Objectif : tenter
d’éviter les débordements redoutés.
« Certaines personnes étaient identifiées et signalées en raison
de leurs appels à la violence sur les réseaux sociaux. Elles étaient
donc frappées par un interdit préfectoral, prohibant leur accès aux
zones de manifestation », explique une source policière à
franceinfo. Une information confimée par Laurent Nunez, secrétaire
d’Etat auprès du ministre de l’Intérieur, sur le plateau du 13 heures de
France 2 samedi : « Les services de police judiciaire ont travaillé
pour confondre les auteurs d’exaction et de menaces, interpellés tout
au long de la semaine et au petit matin », a-t-il explique. Au total, « 29 meneurs, membres de l’ultradroite ou de l’ultragauche ou de la frange radicalisée des gilets jaunes » ont été interpellés, a-t-il précisé.
Des boules de pétanque et des couteaux
Des contrôles ont également été menés, toujours via un arrêté pris
par la préfecture ou sur réquisition du procureur de la République, aux
péages situés autour de Paris et dans les gares de la capitale, pour
procéder à une fouille des sacs et des véhicules et saisir des armes ou
des objets. « Plus de 5 000 personnes ont été contrôlées sur les axes et péages », indique la gendarmerie nationale sur Twitter.
« On ne vient pas faire de la pétanque sur les Champs-Elysées », ironise Philippe Capon, secrétaire général du syndicat Unsa-Police, interrogé par franceinfo. Selon lui, « on
est sur un système de quadrillage faisant appel à la mobilité, la
réactivité et la possibilité d’intervention des forces de l’ordre », qui tranche avec le dispositif de samedi dernier, beaucoup « plus statique ».
Des objets saisis par la préfecture de police de Paris, le 8 décembre 2018. (PREFECTURE DE POLICE DE PARIS) Des masques à gaz saisis par la préfecture de police de Paris, le 8 décembre 2018. (PREFECTURE DE POLICE DE PARIS) « Les personnes interpellées avec ce matériel ne sont pas forcément placées en garde à vue. Il leur est confisqué »,
reprend une source policière interrogée par franceinfo. Sur
les 737 personnes interpellées samedi après-midi, 551 ont été placées en
garde à vue, a annoncé la préfecture.
Les forces de l’ordre pratiquent aussi la fouille systématique aux
abords des lieux de manifestation, et des personnes sont interpellées « sur site », à Paris, parfois par des policiers en civil. L’un d’entre eux, joint par franceinfo, estime que
« pour l’instant, la situation n’à rien à voir avec la semaine
dernière. Les barrages filtrant en préambule de cette manifestation ont
pour le moment porté leurs fruits. Beaucoup d’individus ont été
interpellés avant même d’avoir pu rejoindre les différents cortèges ».
Il fallait interpeller le plus tôt possible pour éviter de laisser le
temps aux casseurs de s’organiser et de se rassembler.Un policier en
civil à Parisà franceinfo
Pour traiter les gardes à vue, de nombreux officiers de police
judiciaire ont aussi été réquisitionnés. Au niveau national, 1 385
avaient déjà été interpellées sur l’ensemble de la France. Parmi elles,
974 ont été placées en garde à vue. Le ministre de
l’Intérieur Christophe Castaner s’est félicité d’avoir mis « un coup d’arrêt à la violence » même si elle demeure « à un niveau inacceptable ».
Quatre articles à lire sur le mouvement
des « gilets jaunes »
• Que risquent les « gilets jaunes » qui appellent à la violence sur les réseaux sociaux ?>> à lire ici • « Gilets jaunes » : comment l’arrivée d’un mystérieux « monsieur X » au sein du mouvement a tourné à la mauvaise blague >> à lire ici • « Chaos total », « remplacement des peuples » : trois
questions sur le pacte de Marrakech, qui affole certains « gilets
jaunes »>> à lire ici • POINT DE VUE. Les « gilets jaunes », énième symptôme de la crise de notre système politique>> à lire ici
« Gilets jaunes » : 1 385 interpellations et 974 gardes à vue en France samedi
Plusieurs rassemblements ont dégénéré à Paris, Toulouse ou encore
Saint-Étienne lors de « l’acte 4″ de la mobilisation des « gilets
jaunes » samedi.
Des voitures incendiées, boulevard de Courcelles, à Paris,
en marge de la manifestation des « gilets jaunes », samedi 8 décembre.
(SANDRINE ETOA-ANDEGUE / RADIO FRANCE)
1 385 personnes ont été interpellées en France samedi 8 décembre en marge des manifestations de « gilets jaunes », a
appris franceinfo de source policière. 974 personnes ont été placées en
garde à vue, a ajouté cette source. Depuis le début de l’après-midi,
certaines manifestations dégénèrent dans plusieurs villes de France. Quelque 125 000 manifestants se sont mobilisés, dont 10 000 à Paris, selon le ministère de l’Intérieur.
À Paris, des voitures ont été brûlées, plusieurs vitrines brisées et
des barricades dressées avenue de Friedland, boulevard de Courcelles ou
encore Gare Saint-Lazare notamment. 920 personnes ont été interpellées dans la capitale ou en région parisienne.
Des affrontements avec les forces de l’ordre
En région Occitanie, à Toulouse notamment, la situation dégénère. En
fin de journée de violents affrontements ont éclaté entre un millier de
manifestants et les forces de l’ordre. Des barricades ont été érigées
sur la chaussée avec du matériel de chantier et enflammées.
La situation est tout aussi tendue à Saint-Étienne où une voiture de
police a été incendiée ou encore à Rennes où la brigade
anti-criminalité, a chargé un groupe de manifestants « avec les visages
masqués ».
Plusieurs affrontements étaient toujours en cours dans la soirée.
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