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samedi 29 décembre 2018

Attentat de Strasbourg : le criminologue Xavier Raufer est-il "complotiste" ?







Je pose la question, car depuis quelques années ce qualificatif est régulièrement utilisé pour désigner des personnes trop bien renseignées au goût de certains comploteurs, notamment ceux de la bande de cybercriminels de Pascal Edouard Cyprien Luraghi, et particulièrement leurs victimes.

Ce dernier l’employait d’ailleurs à mon sujet dès les débuts de ses harcèlements à mon encontre, sur le site Rue89, en 2009.

Et j’ai encore été traitée de « complotiste » par son avocat dans l’enceinte du Tribunal de Grande Instance de Paris lors de l’audience du 8 novembre 2016 dans le cadre de sa procédure à mon encontre, au motif qu’à ses yeux j’avais le tort de me défendre, c’est-à-dire de dénoncer comme fausses ou mensongères toutes ses prétentions à mon encontre et d’exposer preuves à l’appui la réalité de nos contentieux.

En effet, cet avocat m’a toujours explicitement reproché de me défendre, dans plusieurs écrits comme par oral.

Cela le dérangeait énormément car, disait-il, son client attendait que je sois condamnée conformément à ses demandes le plus rapidement possible, quasiment dès la première audience fixée devant le juge des référés, le 13 septembre 2016.

A cette date, et juste avant l’audience, il m’avait même carrément demandé de reconnaître avoir commis tous les faits imaginaires dont son client m’accusait mensongèrement, en me promettant que si je persistais à vouloir me défendre, je serais de toute façon condamnée de la même manière, et devrais de plus lui payer les 10 000 euros (bien dix mille euros) de frais d’huissier que selon lui je l’obligeais à engager à raison de ma défense.

D’où je déduis assez logiquement que ses clients, au premier rang desquels, en réalité, la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest, très présente à ses côtés durant ces deux audiences de première instance, avaient fait le calcul que je ne pourrais pas du tout me défendre contre eux à Paris et qu’ils pouvaient ainsi raconter au juge et lui demander tout ce qui leur chantait, avec la quasi certitude de tout obtenir.

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