Allemagne : Un Afghan menaçant et armé d’un couteau abattu par la police à Magdebourg
Psychose•Le
pays a été frappé par de nombreux drames ces derniers mois, notamment
des attaques terroristes au couteau ou à la voiture-bélier ciblant des
passants au hasard
Un Afghan menaçant et armé d’un couteau a été abattu par la police vendredi près de Magdebourg, en Allemagne.
Cet homme « de 26 ans aurait, pour des raisons encore inconnues, menacé
un Allemand de 26 ans dans un immeuble collectif » de la ville de
Schönebeck, a expliqué la police de Magdebourg.
Il aurait ensuite
menacé avec un couteau des policiers intervenus sur les lieux, ce qui a
provoqué la mobilisation « d’unités spéciales » de la police criminelle
du Land de Saxe-Anhalt. « Celles-ci ont alors tiré sur le suspect. Ce
dernier est décédé plus tard à l’hôpital. L’enquête est en cours ».
Recrudescence d’attaques meurtrières dans le pays
L’Allemagne
est sur le qui-vive face à la recrudescence d’attaques meurtrières dans
le pays, dont certaines commises par des étrangers. Schönebeck, commune
de 30.000 habitants, est voisine de Magdebourg, ville meurtrie en
décembre par une attaque à la voiture bélier sur un marché de Noël. Un
médecin saoudien avait foncé dans la foule, faisant six morts et quelque
300 blessés.
Lundi,
un Allemand ayant des problèmes psychiques a lancé sa voiture lundi sur
des passants en plein centre de Mannheim, tuant deux personnes et en
blessant onze autres, avant d’être arrêté par la police.
En effet, le nombre de consultations de mon blog est remonté à 413 hier, toujours grâce à des clics provenant principalement d'Autriche et d'Allemagne :
Et plus que jamais, il est question d'un gros carton (46 consultations pour cet article hier, et déjà 99 consultations pour ce seul mois de mars 2025, soit en même pas 5 jours, pour 96 consultations sur toute la durée du mois de février 2025, et précédemment, 86 consultations en avril 2022 et 79 consultations en août 2018) :
Les commanditaires de tous ces attentats isolés ou coordonnés sont toujours les mêmes, ils le revendiquent sur mon blog à leur manière devenue habituelle dès les premières années, entre 2012 et 2014, et continuent comme ils l'ont toujours fait à manipuler des malades psychiatriques pour toutes leurs exactions, qu'il s'agisse de toutes celles qu'ils peuvent commanditer à mon encontre, procès délirants y compris, ou de tous les attentats "islamistes" associés.
Cette fois-ci, un tabloïd britannique et non allemand révèle l'existence d'une feuille de papier comportant des inscriptions intrigantes retrouvée sur le tableau de bord du véhicule ayant servi à l'attaque, de la même manière qu'en décembre 2014, un carnet rempli de notes qualifiées de "délirantes" avait été retrouvé dans le véhicule de Sébastien Sarron après son attaque du marché de Noël de Nantes.
Une autre attaque très étrange s'était accompagnée, avec le suicide présumé de l'auteur des faits, d'une lettre d'explications à l'allure rocambolesque, il s'agit de la tentative d'assassinat perpétrée à Brest le 27 juin 2019 par le Lyonnais Karl Foyer contre l'imam de la mosquée Sunna de Brest, à Pontanézen, Rachid Eljay.
Enfin, n'oublions pas le petite bibliothèque affichée par Amedy Coulibaly lors de sa revendication des attentats de janvier 2015 à Paris et véhiculant autant de messages très significatifs :
Attaque à la voiture-bélier à Mannheim : le profil du suspect intrigue les enquêteurs allemands
Le conducteur de la voiture, un Allemand de 40 ans, a été rapidement
interpellé par la police. Il n'a toutefois pas pu être entendu par les
enquêteurs : il s'est tiré une balle dans la bouche avec un pistolet
d'alarme.
Des policiers allemands enquêtent sur l'attaque à la voiture-bélier à Mannheim. (FERDINAND MERZBACH / NEWS5)
Il s'est servi de sa voiture "comme d'une arme", selon les autorités. Un homme a tué deux piétons et en a blessé onze autres,
lundi 3 février, en fonçant au volant de son véhicule sur une foule en
plein centre de Mannheim, dans l'ouest de l'Allemagne, alors qu'elles
s'apprêtaient à participer au carnaval, avant d'être arrêté par la
police. En milieu de journée, le conducteur a foncé dans la zone
piétonne de Mannheim "à très grande vitesse", a indiqué le ministre de l'Intérieur de l'Etat régional où est située cette ville, le Bade-Wurtemberg.
Cet acte de violence intervient à la suite de plusieurs attentats à
la voiture-bélier qui ont ébranlé ce pays ces dernières semaines et
dominé la récente campagne électorale. Rapidement, les autorités ont
également exclu "un mobile politique" et mettent en avant des problèmes "psychiques" du conducteur, qui a causé la mort d'une femme de 83 ans et d'un homme de 54 ans.
"Maladie psychique"
Le suspect est un Allemand de 40 ans : Alexander S. travaillait comme
paysagiste à Ludwigshafen, une ville voisine de Mannheim. Après sa
course folle, il s'est tiré une balle dans la bouche avec un pistolet
d'alarme, une arme de dissuasion mais qui peut provoquer de graves
blessures à bout portant. Blessé, son état de santé est décrit comme
stable. La police n'a pas encore pu l'interroger.
Pour les enquêteurs, cela ne fait pas de doute : l'homme, qui
circulait à vive allure dans la zone piétonne, a foncé délibérément dans
la foule. Le scénario est identique à l'attaque de Munich, le mois
dernier et à celle commise sur le marché de noël de Magdebourg fin
décembre. Mais à Mannheim, contrairement à d'autres attentats, le
suspect n'aurait ni motivation religieuse, ni motivation politique.
Les enquêteurs s'attellent à retracer le parcours du suspect : "Nous
avons plutôt des indices concrets d'une maladie psychique chez
l'auteur, c'est pourquoi l'enquête se concentre sur cet aspect", a
souligné le procureur, Romeo Schüssler. Il avait purgé, il y a 10 ans,
une courte peine de prison pour coups et blessures. En 2018, le suspect
avait été condamné à une amende pour un commentaire jugé haineux sur
Facebook d'une image d'extrême droite. "Nous ne pouvons pas déterminer s'il s'agit d'un état d'esprit" général du suspect "ou d'une déclaration faite par bêtise" à l'époque, a-t-il ajouté, précisant que l'enquête dans ce domaine se poursuit.
Une longue série d'attaques similaires
Du côté de la population, c'est l'effroi, le choc et des
interrogations sur la répétition d'attaques meurtrières dans le pays ces
derniers mois. Ce drame s'ajoute en effet à une longue liste, commencée
en avril 2018 à Münster, dans l'ouest du pays, où un homme souffrant de
troubles psychologiques avait foncé avec une camionnette sur des gens
assis à des cafés en terrasse, tuant quatre personnes. À Magdebourg, en
décembre, c'est un médecin saoudien de 50 ans qui avait fauché la foule
d'un marché de Noël à bord d'un puissant véhicule BMW lancé à toute
allure dans une attaque qui a fait six morts et quelque 300 blessés.
Mi-février 2025, à Munich, un automobiliste, qui aurait agi "par motivation religieuse",
avait déjà précipité sa voiture sur des manifestants, tuant deux
personnes, dont une enfant de deux ans, et faisant plusieurs blessés.
Toutes ces violences ont dominé les débats des élections législatives
de fin février, qui ont vu la victoire du parti conservateur de
Friedrich Merz et une poussée spectaculaire du parti d'extrême droite
AfD. Lundi soir, le chancelier Olaf Scholz a déploré un "acte de violence insensé", quand le conservateur Friedrich Merz, probable futur chancelier, lui, a estimé que "l'Allemagne doit redevenir un pays sûr. Nous y travaillerons avec toute la détermination nécessaire".
Attaque à la voiture-bélier à Mannheim :
dessins de cœurs, visages souriants, calculs de freinage… Une feuille
retrouvée scotchée sur le tableau de bord
Une feuille au format A4 était scotchée dans la voiture.dpa - Boris Roessler
Cette nouvelle fonctionnalité utilise une voix synthétique générée par ordinateur. Il peut y avoir des
erreurs, par exemple dans la prononciation, le sentiment et le ton.
Alexander S., l’auteur des faits, devrait être entendu prochainement.
Au lendemain de l’attaque à la voiture-bélier dans la ville de Mannheim (Allemagne), les équipes médico-légales ont dévoilé l’existence d’un papier scotché sur le tableau de bord du véhicule, une Ford Fiesta noire.
Le tabloïd britannique The Sun, qui a rapporté l’information, dévoile que sur ce bout de papier format A4, l’auteur des faits a dessiné un visage souriant accompagné de cœurs.
Mais ce n’est pas tout : il a également écrit ce qui pourrait s’apparenter à des calculs ainsi que des formules qui lui auraient permis de calculer la distance de freinage du véhicule ainsi que le temps de réaction. Les enquêteurs cherchent encore à comprendre pourquoi ce papier a été mis ici.
Déjà connu des services de police
Les enquêteurs n’ont toutefois pas
encore pu entendre la version de l’auteur des faits puisqu’il s’est tiré
une balle dans la bouche avec un pistolet d’alarme. Cependant, son état
de santé est stable, d’après les autorités.
L’homme, un Allemand de 40 ans,
identifié comme étant Alexander S., était paysagiste. Il a déjà été
condamné dans le passé, notamment pour agression et conduite en état
d’ivresse.
Concernant
son état psychologique, le procureur Romeo Schüssler a déclaré : "Nous
avons plutôt des indices concrets d’une maladie psychique chez l’auteur,
c’est pourquoi l’enquête se concentre sur cet aspect." Un "acte à
motivation politique" a été exclu par les enquêteurs.
L’incident
s’est produit alors que des personnes se rassemblaient dans différentes
villes, notamment en Rhénanie, pour des défilés à l’occasion de
l’ouverture de la saison du carnaval, qui comprend 60 stands de
restauration, des manèges et des jeux animés. De nombreuses personnes
ont été blessées et deux sont mortes.
L’homme a foncé dans la foule, dans le centre-ville de Mannheim.
Le phénomène devient récurrent, à chaque fois que le malade mental et terroriste en chef Pascal Edouard Cyprien Luraghi m'annonce la commission d'un nouvel attentat pour le lendemain ou le surlendemain, ce sont en fait deux attentats coordonnés qui sont organisés, l'un en Israël et l'autre en Europe.
Pour aujourd'hui, comme le montrent mes statistiques de blog pour les dernières 24 heures, c'est bien encore l'Allemagne qui était visée :
Mais cela s'annonçait déjà samedi, comme je l'avais montré dans cet article en précisant que la menace était toujours bien là :
Un mort et quatre blessés dans un attentat à l'arme blanche à Haïfa, le terroriste neutralisé
Hassan
Dahamsha, 62 ans, a été déclaré mort sur les lieux de l'attaque
perpétrée par un druze israélien âgé de 20 ans, né en Allemagne
i24NEWS
3 min
■ dernière modification
Attentat à Haïfa, le 03.03.2025According to the Israeli copyright law 27A
Hassan
Dahamsha, un Israélien âgé de 62 ans, résident du village arabe de Kfar
Cana, poignardé à plusieurs reprises dans le dos, a été tué et quatre
autres personnes blessées dans une attaque au couteau près de la gare
routière Merkazit Hamifratz de Haïfa, selon les informations des
services de secours. Les médecins et les ambulanciers du Magen David
Adom (MDA) ont constaté le décès de l'homme sur les lieux de l'attaque
et fourni des soins médicaux puis orienté quatre autres blessés vers
l'hôpital Rambam de Haïfa. Un homme et une femme d'une trentaine
d'années et un adolescent d'environ 15 ans sont grièvement blessés et
une femme d'environ 70 ans est dans un état modéré.
Le
terroriste, dont le profil est inhabituel, est un druze israélien âgé
de 20 ans, né en Allemagne, pays dont il possède également la
nationalité et résident du village arabo-druze de Shfaram. Il a réussi à
poignarder pendant 6 à 7 minutes avant que quelqu'un n'intervienne. Le
terroriste a été neutralisé par les tirs d'un agent de sécurité et d'un
civil présents sur les lieux.
Les dirigeants druzes condamnent l’attaque au couteau de Haïfa
Jethro Shaheen, 20 ans, Israélien druze, qui a
poignardé cinq personnes, a grandi en Allemagne et souffrait de
troubles mentaux ; deux Druzes parmi les blesses
Les forces de sécurité sur les lieux d'une attaque à Haïfa, le 3 mars 2025. (Crédit : David Cohen/Flash9)
L’auteur de l’attaque meurtrière à l’arme blanche survenue à
Haïfa souffrait de troubles mentaux et avait grandi en Allemagne, ont
indiqué lundi plusieurs responsables de la communauté druze qui ont
fermement condamné l’attentat.
Jethro Shaheen, un Israélien druze de 20 ans, également détenteur de
la nationalité allemande, a poignardé cinq personnes après être descendu
d’un bus à la gare routière Lev Hamifratz de Haïfa plus tôt dans la
journée. Il a été neutralisé sur place par un agent de sécurité et un
civil armé.
Dans une interview accordée à Ynet, l’oncle de l’assaillant, Roni
Kharis, affirme que son neveu n’était pas un terroriste, mais qu’il
souffrait plutôt de graves troubles mentaux.
« Je suis un vétéran handicapé de Tsahal et son autre oncle est un
soldat de réserve. Notre famille a toujours été loyale envers l’État, il
n’y a aucune hostilité en son sein », a-t-il déclaré.
Le politicien druze Ayoub Kara, ancien député du Likud, a réagi sur
X, se disant choqué et honteux que la communauté druze soit évoquée en
lien avec cette série d’attaques au couteau. Il a précisé que Shaheen
était né et avait grandi en Allemagne et qu’il souffrait de
schizophrénie.
« Cet incident étrange et isolé ne fera que renforcer le lien de sang
et l’alliance civique entre les Druzes et l’État d’Israël », a-t-il
poursuivi. Il a également affirmé que Shaheen avait tenté de commettre
des attentats terroristes lorsqu’il vivait en Allemagne.
Selon la police, Shaheen était arrivé en Israël une semaine avant son attaque, après avoir passé plusieurs mois à l’étranger.
Le maire de Shfaram, ville d’origine de l’agresseur, s’est dit choqué
par l’incident dans une déclaration à la chaîne publique Kann.
« C’est un crime odieux que je condamne sans réserve », a-t-il
déclaré, ajoutant que Shaheen souffrait de troubles mentaux et était
suivi par les services sociaux de la ville. Il a également souligné que
l’assaillant avait grandi en Allemagne.
Le maire a révélé que deux des blessés dans l’attaque sont eux-mêmes
habitants de Shfaram, dont l’un est parent d’un responsable de la
municipalité.
Le cheikh Muafak Tarif, chef spirituel de la communauté druze
d’Israël, a présenté ses condoléances à la famille de la victime
assassinée, un homme d’une soixantaine d’années dont l’identité n’a pas
encore été dévoilée, lors d’une interview à Ynet.
« La communauté druze combat le terrorisme où qu’il se trouve, et les
civils qui ont participé à sa neutralisation étaient eux aussi membres
de la communauté druze », a-t-il ajouté.
Le forum des chefs des autorités druze et circassienne a publié un
communiqué condamnant fermement l’attentat, écrivant : « Nous sommes
convaincus que l’identité de l’agresseur et son état mental seront
bientôt clarifiés, et il semble déjà probable que l’assaillant soit
d’origine allemande ».
Le forum a conclu en réaffirmant son unité et sa détermination à
lutter contre toute tentative de porter atteinte à la sécurité des
citoyens israéliens.
Une ambulance dans le centre-ville de Mannheim, dans le lander de Bade-Wurttenberg, en Allemagne, le 3 mars 2025. (RENE PRIEBE / DPA / AFP)
Le centre-ville de Mannheim a été bouclé, lundi 3
mars, après qu'une voiture a foncé dans un groupe de personnes, faisant
au moins deux mort et plusieurs blessés, selon la police allemande. "Un suspect a été identifié et arrêté",
a précisé un porte-parole. Il s'agit d'un Allemand de 40 ans, d'après
les autorités régionales. Il s'est servi de son véhicule "comme d'une arme", a déclaré le ministre régional de l'Intérieur. D'après Thomas Strobl, il n'existe "aucun indice d'un fond extrémiste ou religieux" dans cet acte dont la motivation "pourrait être liée à la personne de l'auteur".
Un marché se tenait dans la zone du drame, alors que la ville lance le début des festivités du carnaval. Les passants ont été percutés par la voituredans le quartier de Paradeplatz, "dans la zone piétonne de Mannheim" vers 12h15, avait déclaré plus tôt dans l'après-midi un porte-parole de la police sur la chaîne de télévision NTV.
Le chancelier allemand Olaf Scholz a déploré unaprès qu'un automobiliste. "Nous pleurons à nouveau avec les familles des victimes d'un acte de violence insensé et craignons pour les blessés", a-t-il dit sur X(Nouvelle fenêtre). L'Allemagne a été confrontée à plusieurs attaques à la voiture-bélier ces derniers mois qui ont ébranlé le pays. Mi-février
à Munich, un Afghan de 24 ans avait précipité sa voiture sur des
manifestants, tuant deux personnes, dont une fillette de deux ans, et
faisant plusieurs blessés.
Mort d’Yvan Colonna en prison : l’Etat condamné à payer 75 000 euros aux héritiers
Yvan Colonna, qui purgeait une peine de réclusion à perpétuité,
avait été violemment agressé en mars 2022 à la prison d’Arles par un
détenu radicalisé. Il est mort des suites de ses blessures deux semaines
plus tard.
Le Monde avec AFP
Publié le 18 février 2025 à 12h26, modifié le 18 février 2025 à 17h01
« Après
avoir relevé des dysfonctionnements majeurs dans l’organisation et le
fonctionnement du service, le tribunal retient certains manquements
fautifs de l’administration pénitentiaire comme le défaut de
surveillance des détenus et le défaut d’inscription du codétenu, auteur
de l’agression, en quartier d’évaluation de la radicalisation », écrit le tribunal administratif de Marseille dans un communiqué.
« C’est une vraie victoire de la reconnaissance des fautes de l’administration qui sont en lien direct avec l’agression et le décès d’Yvan Colonna », a réagi Patrice Spinosi, avocat de la famille, sollicité par l’Agence France-Presse (AFP). Il y avait déjà eu un accord transactionnel entre l’État et la famille avec le versement d’un peu plus de 200 000 euros, rappelle Patrice Spinosi. Cette fois, il s’agissait d’un autre volet, porté non pas au nom des héritiers mais au nom d’Yvan Colonna lui-même, pour établir son préjudice.
Violente agression
L’État proposait 40 000 euros mais la famille a refusé cette proposition et a donc saisi la justice administrative pour réclamer 200 000 euros. Finalement, le tribunal a suivi les conclusions du rapporteur public et a condamné l’État à verser 75 000 euros aux héritiers directs en réparation des préjudices propres subis par Yvan Colonna « liés à l’angoisse de sa mort imminente et un sentiment d’abandon de ne pouvoir ainsi échapper à son agresseur ».
Yvan Colonna, qui purgeait une peine de réclusion à perpétuité pour l’assassinat du préfet Claude Erignac en 1998, a été violemment agressé le 2 mars 2022 dans la salle de sport de la prison d’Arles par Franck Elong Abé, un détenu radicalisé condamné notamment dans un dossier terroriste. Il est mort des suites de ses blessures deux semaines plus tard.
Au moment des faits, Franck Elong Abé était classé détenu particulièrement signalé (DPS) depuis novembre 2015 en raison de sa « grande dangerosité », de « son instabilité » et de « la persistance de son comportement violent », selon des documents d’enquête. Il purgeait alors plusieurs peines, dont une de neuf ans d’emprisonnement pour association de malfaiteurs terroriste, et était libérable en décembre 2023.
L'assaillant de 37 ans a été mis en examen et écroué mercredi soir, ses proches gardés à vue ont été relâchés.
En dépit d'un profil schizophrène détecté lors d'une enquête réalisée pour apologie du terrorisme à la suite de faits commis le 5 novembre 2023, une
expertise psychiatrique a conclu à son absence
d'abolition ou d'altération du discernement, son passage à l'acte ne s'inscrit
pas "dans un cadre délirant".
Jeudi 27 février, un Bosnien se disant en rupture de traitement qui réclamait des médicaments et menaçait d'égorger des passants sur le même marché de la ville où a eu lieu cet attentat a été arrêté par la police.
Par ailleurs, avec 472 consultations de ce blog Satanistique pour hier vendredi 28 février 2025, ce qui reste d'un niveau inhabituellement élevé, il me semble qu'une menace est toujours bien présente.
Voici donc mes statistiques de blog les plus récentes, indiquant notamment que si je suis totalement invisibilisée depuis des années et inconnue en France en dehors des sphères de mes harceleurs et calomniateurs, je reste néanmoins bien lue dans plusieurs pays étrangers.
Brahim.A, un Algérien en situation
irrégulière en France, a été mis en examen par le juge d'instruction du
parquet national antiterroriste le 26 février en début de soirée. Il est
poursuivi pour assassinat en relation avec une entreprise terroriste
pour avoir commis un attentat à Mulhouse le 22 février, au cours duquel
une personne a été tuée et six autres blessées.
France
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Le juge d'instruction du parquet national antiterroriste (PNAT)
s'est prononcé. Brahim.A, l'assaillant de l'attentat de Mulhouse
(Haut-Rhin), où une personne a été tuée et six autres blessées le 22
février, a été mis en examen à Paris le 26 février en début de soirée, a
annoncé l'institution judiciaire. Il a été placé en détention
provisoire.
L'Algérien en situation irrégulière, âgé de 37 ans, est poursuivi pour plusieurs chefs d'accusation
: assassinat, tentatives d'assassinat commises sur personnes
dépositaires de l'autorité publique, violences avec arme sur des agents
de police municipale, le tout en relation avec une entreprise
terroriste, a indiqué le parquet national antiterroriste. L'institution a
précisé, plus tôt dans la journée du 26 février, que l'homme de 37 ans
avait reconnu "partiellement la matérialité des faits" mais "contesté toute adhésion aux thèses djihadistes".
Un "périple criminel"
Les faits qui ont conduit à cette mise en examen se sont déroulés le 22 février,
en marge du marché du canal couvert de Mulhouse. Aux alentours de 15 h
45, Brahim.A agresse à l'arme blanche deux agents de stationnement et,
quelques minutes plus tard, attaque mortellement au couteau un passant
de 69 ans sous les cris d'"Allah Akbar". Au total, un mort et six blessés ont été recensés par les forces de l'ordre durant ce "périple criminel".
Lors de l'enquête pour apologie du terrorisme qui a suivi, une
expertise psychiatrique a été réalisée et a conclu à son absence
d'abolition ou d'altération du discernement. Le parquet national
antiterroriste précise également que ce passage à l'acte ne s'inscrit
pas "dans un cadre délirant" d'après l'examen psychiatrique.
Toutefois, le "profil schizophrène" de Brahim.A a été "détecté"
par le passé lors d'une enquête pour apologie du terrorisme réalisée en
2023 à la suite de faits commis le 5 novembre de cette même année. Il
s'est vu notifié par la suite un arrêté portant l'obligation de quitter
le territoire français.
Auprès de l'AFP, l'avocate de l'assaillant, Julia d'Avout d'Auerstaedt, a réagi après la mise en examen de son client : "l'instruction
doit suivre son cours pour préciser le contexte des faits. Il est
notamment indispensable que soit diligentée une expertise psychiatrique,
car ce volet ne doit pas être occulté par la dimension politique du
dossier."
Les deux frères de Brahim A., ainsi que son hébergeur, ont aussi été
placés en garde à vue avant d'être relâchés les 25 et 26 février "en
l'absence d'éléments permettant, à ce stade des investigations, de
caractériser leur implication dans le projet criminel terroriste", a
indiqué le parquet national antiterroriste. Pour l'heure, les
investigations se poursuivent dans le cadre de l'information judiciaire
et la mise en examen de l'assaillant.
Mulhouse : un Bosnien menace d’égorger des passants sur le marché frappé par un attentat
Six jours
après l’attentat de Mulhouse, qui a fait un mort et plusieurs blessés,
un homme connu de la justice a menacé d’égorger des passants au même
endroit. Il a été interpellé par les forces de l’ordre.
Moins d’une semaine après l’attentat de
Mulhouse, un homme de 35 ans a été interpellé tandis qu’il déambulait
sur le même marché de la ville en menaçant d’égorger des passants,
rapporte France Info. Il a été arrêté par la police
ce jeudi 27 février alors qu’il réclamait des médicaments, se disant en
rupture de traitement, selon une source proche du dossier citée par nos
confrères.
Aucun objet dangereux n’a été trouvé sur lui. Le suspect est un
ressortissant bosnien en situation régulière déjà connu de la justice.
Il devrait faire l’objet d’un examen psychiatrique, précise France Info.
Si aucun blessé n’est à déplorer, ce nouvel évènement a de quoi
décourager les habitants qui côtoient ce marché.
Un attentat terroriste samedi
Samedi 22 février, Brahim A., 37 ans, a poignardé à mort Lino Sousa Loureiro, 69 ans, au cri d'« Allah Akbar ». Trois personnes ont également été blessées. Ce ressortissant algérien était sous le coup d’une obligation de quitter le territoire français
(OQTF). Mais l’Algérie a refusé quatorze fois de le reprendre sur son
sol. Un comportement que le Premier ministre François Bayrou a jugé « inacceptable », et qui l’a mené à lancer un ultimatum à Alger, sous peine d’un réexamen de « la totalité des accords » bilatéraux sur les questions migratoires.
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