Ils étaient de retour depuis quelques jours.
Cette fois, c’est une grosse vague qui fait bien monter mes nombres de visites.
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Le plan vise à étendre la trêve instaurée récemment à Alep à tout le territoire syrien. Il pourrait rentrer en vigueur ce soir à minuit. Moscou ne confirme pas.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2016/12/27/97001-20161227FILWWW00229-erdogan-accuse-l-occident-de-soutenir-ei.php
Le président turc Recep Tayyip Erdogan a accusé aujourd’hui l’Occident de ne pas tenir ses promesses en Syrie et d’y soutenir des « groupes terroristes », dont le groupe État islamique (EI).
« Les forces de la coalition ne tiennent malheureusement pas leurs promesses », a déclaré M. Erdogan lors d’une conférence de presse avec son homologue guinéen, Alpha Condé, en visite à Ankara. La Turquie est engagée depuis fin août en Syrie, où elle combat notamment l’EI et les milices kurdes qu’elle considère comme « terroristes ». Au moins 37 de ses soldats ont été tués depuis le début de cette opération.
L’armée turque et les rebelles syriens qu’elle soutient, tentent depuis plusieurs semaines d’enlever à l’EI son bastion d’Al-Bab, à environ 25 kilomètres au sud de la frontière turque dans la province d’Alep, où les forces d’Ankara ont essuyé la semaine dernière de lourdes pertes. Le président Erdogan s’est plaint que, plutôt que de soutenir la Turquie, l’Occident préfère venir en appui à l’EI ainsi qu’aux Kurdes du Parti de l’Union démocratique (PYD) et de son bras armé, les Unités de protection du peuple (YPG), soutenus par Washington.
Les Occidentaux « soutiennent tous les groupes terroristes, le YPG, le PYD, mais aussi Daech », a-t-il assuré en utilisant l’acronyme arabe de l’EI. »C’est parfaitement évident », a-t-il affirmé, assurant que la Turquie disposait de preuves en images. Il avait déjà affirmé que l’Occident soutenait l’EI lors d’un déplacement au Pakistan, en novembre, affirmant à l’époque que l’Occident « se tient actuellement au côté de Daech » et que les armes des jihadistes sont de fabrication occidentale.
Le président Erdogan s’est tout de même montré confiant mardi, assurant que la Turquie a « désormais complètement encerclé le groupe terroriste Daech à Al-Bab ». »Oui, nous avons des martyrs (…) mais il n’y a pas de marche arrière possible », a-t-il asséné. Que les forces de la coalition tiennent leurs promesses ou non, « nous poursuivrons notre route avec détermination », a-t-il ajouté.
Le président turc a ajouté que la Turquie et la Russie soutiennent un plan visant à mettre autour de la table les différentes parties du conflit syrien, lors d’une rencontre à Astana, au Kazakhstan.
Cette fois, c’est une grosse vague qui fait bien monter mes nombres de visites.
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http://www.lefigaro.fr/international/2016/12/28/01003-20161228ARTFIG00063-la-turquie-et-la-russie-s-accordent-sur-un-cessez-le-feu-total-en-syrie.php
La Turquie et la Russie s’accordent sur un cessez-le-feu en Syrie
- Par AFP agence , Alicia.Paulet
- Mis à jour le 28/12/2016 à 13:11
- Publié le 28/12/2016 à 11:20
Le plan vise à étendre la trêve instaurée récemment à Alep à tout le territoire syrien. Il pourrait rentrer en vigueur ce soir à minuit. Moscou ne confirme pas.
La Turquie et la Russie se sont entendues sur un accord de cessez-le-feu en Syrie
a annoncé mercredi l’agence progouvernementale turque Andolu. Le plan
consiste à étendre la trêve des combats, actuellement mise en place il y
a deux semaines à Alep, sur l’intégralité du pays. Mais Moscou, par la voix du porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, n’a pas confirmé cet accord. Le président turc Erdogan n’a pas non plus mentionné le cessez-le-feu, mercredi matin, lors d’un discours. Mevlut Cavusoglu, chef de la diplomatie d’Ankara,
a lui confirmé sans plus de détails qu’un projet de cessez-le-feu avait
été élaboré. Un responsable rebelle syrien a pour sa part affirmé à
l’Agence France-Presse à Beyrouth, sous couvert de l’anonymat, que les
détails n’avaient pas été soumis officiellement aux factions rebelles et
qu’il n’y avait donc pas encore de négociations.
» L’avenir de la Syrie discuté en Russie
Selon l’agence de presse turque, le cessez-le-feu doit débuter cette nuit à minuit. Les organisations terroristes ne seraient pas concernées par cette trêve. En cas de succès, cet accord devrait être la base des négociations politiques entre le régime de Bachar el-Assad et les groupes opposants, que Moscou et Ankara veulent organiser en janvier à Astana, capitale du Kazakhstan.
Depuis la victoire des forces gouvernementales syriennes à Alep mi-décembre, la Russie, proche allié du régime de Damas, a annoncé son intention de travailler avec la Turquie à la tenue de nouvelles négociations sur la Syrie, en tenant à l’écart les États-Unis et les Nations unies. Une démarche qui ne contrarie pas les États-Unis. «Nous ne sommes pas contre tout effort visant à stopper les multiples conflits qui se déroulent en Syrie», a déclaré Mark Toner, porte-parole actuel du gouvernement américain.
«Nous parlons souvent avec les Turcs. On parle fréquemment avec les Russes. Nous avons longtemps dit aussi que pour atteindre une sorte de résolution du conflit en Syrie, toutes les parties prenantes devaient se mettre d’accord et avaient besoin de parler les uns aux autres. Par conséquent, le fait que la Turquie et la Russie mettent en place un accord n’est pas nécessairement quelque chose que nous désapprouvons», a-t-il poursuivi.
La Russie et la Turquie se sont portés garants pour résoudre le conflit politique syrien et collaborent activement sur ce dossier. «Il est important de conclure rapidement des accords sur les modalités pratiques de l’arrêt des actions militaires en Syrie, sur la séparation entre l’opposition modérée et les groupes terroristes et sur les préparatifs de la rencontre d’Astana», a ainsi déclaré mardi le ministère russe des Affaires étrangères. Plusieurs tentatives d’accords initiées par les États-Unis et la Russie ont été mises en oeuvre, mais aucune d’entre elles n’a abouti.
Aucune date précise n’a été annoncé pour les réunions d’Astana, mais la porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères, Maria Zakharova, a insisté mardi sur le fait que cette réunion n’en est encore qu’au stade de «l’élaboration» et qu’elle ne remplacerait pas le processus de paix de Genève, où doivent également se tenir des négociations en février.
Le président turc Recep Tayyip Erdogan avait quant à lui lancé mardi l’une de ses plus virulentes attaques à l’encontre des politiques occidentales en Syrie, marquées selon lui par des promesses non tenues. Il a également reproché à l’Occident de ne pas soutenir les opérations militaires engagées par l’armée turque dans le nord de la Syrie, et qui subit des pertes de plus en plus nombreuses ces dernières semaines.
Confirmant la tenue des négociations à Astana, le président Erdogan s’est montré critique des réunions prévues à Genève: «Malheureusement, Genève n’a rien donné. Combien de réunions s’y sont tenues? Aucun résultat n’a été obtenu.»
Le conflit syrien a fait plus de 310.000 morts depuis 2011. Mercredi matin, 22 civils, dont dix enfants ont péri dans des raids aériens menés par des avions inconnus sur un village tenu par Daech dans l’est de la Syrie, dans la province de Deir Ezzor, selon l’Observatoire syrien des droits de l’Homme.
» L’avenir de la Syrie discuté en Russie
Selon l’agence de presse turque, le cessez-le-feu doit débuter cette nuit à minuit. Les organisations terroristes ne seraient pas concernées par cette trêve. En cas de succès, cet accord devrait être la base des négociations politiques entre le régime de Bachar el-Assad et les groupes opposants, que Moscou et Ankara veulent organiser en janvier à Astana, capitale du Kazakhstan.
Depuis la victoire des forces gouvernementales syriennes à Alep mi-décembre, la Russie, proche allié du régime de Damas, a annoncé son intention de travailler avec la Turquie à la tenue de nouvelles négociations sur la Syrie, en tenant à l’écart les États-Unis et les Nations unies. Une démarche qui ne contrarie pas les États-Unis. «Nous ne sommes pas contre tout effort visant à stopper les multiples conflits qui se déroulent en Syrie», a déclaré Mark Toner, porte-parole actuel du gouvernement américain.
«Nous parlons souvent avec les Turcs. On parle fréquemment avec les Russes. Nous avons longtemps dit aussi que pour atteindre une sorte de résolution du conflit en Syrie, toutes les parties prenantes devaient se mettre d’accord et avaient besoin de parler les uns aux autres. Par conséquent, le fait que la Turquie et la Russie mettent en place un accord n’est pas nécessairement quelque chose que nous désapprouvons», a-t-il poursuivi.
Plusieurs tentatives d’accords achoppées
La Russie et la Turquie se sont portés garants pour résoudre le conflit politique syrien et collaborent activement sur ce dossier. «Il est important de conclure rapidement des accords sur les modalités pratiques de l’arrêt des actions militaires en Syrie, sur la séparation entre l’opposition modérée et les groupes terroristes et sur les préparatifs de la rencontre d’Astana», a ainsi déclaré mardi le ministère russe des Affaires étrangères. Plusieurs tentatives d’accords initiées par les États-Unis et la Russie ont été mises en oeuvre, mais aucune d’entre elles n’a abouti.
Aucune date précise n’a été annoncé pour les réunions d’Astana, mais la porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères, Maria Zakharova, a insisté mardi sur le fait que cette réunion n’en est encore qu’au stade de «l’élaboration» et qu’elle ne remplacerait pas le processus de paix de Genève, où doivent également se tenir des négociations en février.
Plus de 310.000 morts depuis 2011
Le président turc Recep Tayyip Erdogan avait quant à lui lancé mardi l’une de ses plus virulentes attaques à l’encontre des politiques occidentales en Syrie, marquées selon lui par des promesses non tenues. Il a également reproché à l’Occident de ne pas soutenir les opérations militaires engagées par l’armée turque dans le nord de la Syrie, et qui subit des pertes de plus en plus nombreuses ces dernières semaines.
Confirmant la tenue des négociations à Astana, le président Erdogan s’est montré critique des réunions prévues à Genève: «Malheureusement, Genève n’a rien donné. Combien de réunions s’y sont tenues? Aucun résultat n’a été obtenu.»
Le conflit syrien a fait plus de 310.000 morts depuis 2011. Mercredi matin, 22 civils, dont dix enfants ont péri dans des raids aériens menés par des avions inconnus sur un village tenu par Daech dans l’est de la Syrie, dans la province de Deir Ezzor, selon l’Observatoire syrien des droits de l’Homme.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2016/12/27/97001-20161227FILWWW00229-erdogan-accuse-l-occident-de-soutenir-ei.php
Erdogan accuse l’Occident de soutenir EI
- Par lefigaro.fr avec AFP
- Mis à jour le 27/12/2016 à 19:58
- Publié le 27/12/2016 à 19:56
Le président turc Recep Tayyip Erdogan a accusé aujourd’hui l’Occident de ne pas tenir ses promesses en Syrie et d’y soutenir des « groupes terroristes », dont le groupe État islamique (EI).
« Les forces de la coalition ne tiennent malheureusement pas leurs promesses », a déclaré M. Erdogan lors d’une conférence de presse avec son homologue guinéen, Alpha Condé, en visite à Ankara. La Turquie est engagée depuis fin août en Syrie, où elle combat notamment l’EI et les milices kurdes qu’elle considère comme « terroristes ». Au moins 37 de ses soldats ont été tués depuis le début de cette opération.
L’armée turque et les rebelles syriens qu’elle soutient, tentent depuis plusieurs semaines d’enlever à l’EI son bastion d’Al-Bab, à environ 25 kilomètres au sud de la frontière turque dans la province d’Alep, où les forces d’Ankara ont essuyé la semaine dernière de lourdes pertes. Le président Erdogan s’est plaint que, plutôt que de soutenir la Turquie, l’Occident préfère venir en appui à l’EI ainsi qu’aux Kurdes du Parti de l’Union démocratique (PYD) et de son bras armé, les Unités de protection du peuple (YPG), soutenus par Washington.
Les Occidentaux « soutiennent tous les groupes terroristes, le YPG, le PYD, mais aussi Daech », a-t-il assuré en utilisant l’acronyme arabe de l’EI. »C’est parfaitement évident », a-t-il affirmé, assurant que la Turquie disposait de preuves en images. Il avait déjà affirmé que l’Occident soutenait l’EI lors d’un déplacement au Pakistan, en novembre, affirmant à l’époque que l’Occident « se tient actuellement au côté de Daech » et que les armes des jihadistes sont de fabrication occidentale.
Le président Erdogan s’est tout de même montré confiant mardi, assurant que la Turquie a « désormais complètement encerclé le groupe terroriste Daech à Al-Bab ». »Oui, nous avons des martyrs (…) mais il n’y a pas de marche arrière possible », a-t-il asséné. Que les forces de la coalition tiennent leurs promesses ou non, « nous poursuivrons notre route avec détermination », a-t-il ajouté.
Le président turc a ajouté que la Turquie et la Russie soutiennent un plan visant à mettre autour de la table les différentes parties du conflit syrien, lors d’une rencontre à Astana, au Kazakhstan.
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