C’est aussi l’un de ses amis politiques depuis de très nombreuses années.
Et comme tous les amis de Josette Brenterch, il ment beaucoup.
Commençons par son Curriculum Vitae :
http://www.letelegramme.fr/ig/generales/regions/bretagne/reconversion-a-brest-29-le-facteur-devient-avocat-diapo-11-03-2010-818707.php
Le facteur devient avocat [Diapo]
11 mars 2010 / Vincent Durupt /
Roger Potin, 49 ans, avait arrêté ses études en 1977. Photo Eugène Le Droff Roger Potin, 49 ans, avait arrêté ses études en 1977. Photo Eugène Le Droff
Hier, Roger Potin, de Plougastel- Daoulas, a prêté le serment d’avocat devant la première chambre de la cour d’appel de Paris. Cet ancien facteur a gagné la partie en bataillant dans les prétoires prud’homaux pour Sud-PTT mais aussi en bûchant dur pour obtenir une maîtrise de droit.
«C’est vrai, il y a de la fierté, mais mesurée. Je sais d’où je viens, mon père était maçon, j’ai commencé en centre de tri, avec un BEP de comptabilité», observe Roger Potin. À 49 ans, il élargit, grâce à la robe, un sillon emprunté tôt. Le jeune homme de Gouesnou (29) réussit le concours de La Poste, fait ses armes à Paris en 1979 et revient en 1983 en Bretagne. Dès ses débuts, il milite à la CFDT. «Je l’ai quittée en 1991 quand elle a défendu le choix de Quilès de séparer France Télécom de La Poste». Roger Potin adhère à Sud-PTT en 1993 et en devient, cinq ans plus tard, le secrétaire finistérien. C’est là qu’il tombe dans la marmite du droit, grâce à Thierry Renard, responsable juridique de «l’Union syndicale Solidaires». «Il m’a fait aimer la discipline, j’ai suivi toutes ses formations». Double expérience L’autodidacte en droit va défendre, pendant dix ans, quantité de salariés devant les conseils de prud’hommes, en métropole et outre-mer. «J’ai perdu dans un seul dossier», indique-t-il. L’engagement politique l’a construit aussi, l’aidant dans le contact, l’expression publique. «Je suis profondément de gauche, sans être encarté», explique cet élu de Plougastel-Daoulas depuis 1989, adjoint un moment, et aujourd’hui dans l’opposition. «La méthodologie, de la folie» Un mandat à Sud qui arrive à son terme, un autre moins accaparant: Roger Potin s’interroge sur la valorisation de son expérience et se dit qu’un DU (Diplôme universitaire) serait bien. La personne rencontrée lui conseille la maîtrise d’emblée. «Je n’avais pas mon bac et j’avais quitté l’école il y a trente ans…». Il saute le pas. À Rennes 1, la formation demande deux jours de présence par mois, le reste est assuré à distance, grâce au numérique. Pendant deux ans, Roger Potin bûche des milliers d’heures, tard le soir, en retrait de la vie familiale. «Au début, la méthodologie en droit, c’était de la folie pour moi». Le postier s’accroche et décroche une maîtrise du travail et protection sociale fin 2008, avec mention assez bien. «J’étais très heureux, fier aussi pour ceux qui m’ont entouré». Roger Potin rencontre l’avocat de la fédération Sud à Paris, qui lui dit: «Il faut tenter le barreau». Dominique de Villepin, Rachida Dati sont devenus avocats grâce au quatrième alinéa d’un décret. Pour lui, ce sera le cinquième, qui ouvre une fenêtre pour les juristes attachés pendant au moins huit ans à un syndicat. Il lui faut trouver aussi un contrat de collaborateur, une tâche plus facile à Paris qu’en province -compte tenu de la surface-, ce qui ne l’empêche pas de plaider en dehors de la capitale. Roger Potin signe chez Dellien associés, un cabinet de droit social de cinq avocats (avec lui). Muni de tous ces sésames, il est auditionné en décembre dernier par le conseil de l’ordre. La réponse tombe: c’est oui. Date symbolique «Je serai un avocat militant, je ne défendrai que des salariés. Je sais ce que les gens vivent, ce n’est pas de l’abstrait pour moi. Mon souci, c’est qu’ils puissent accéder à la justice. C’est très difficile. Il faut savoir aussi la puissance de certains cabinets patronaux, qui peuvent avoir jusqu’à deux cents collaborateurs». Roger Potin est en disponibilité de la fonction publique depuis le 1ermars. «J’ai choisi la date, celle du passage de La Poste en société anonyme. Avec Quilès, la boucle est bouclée…».
Roger Potin n’est plus conseiller municipal de Plougastel-Daoulas depuis le printemps dernier. Il avait fait le choix de ne pas se représenter. La dernière élection qui l’ait vu rempiler comme conseiller municipal de Plougastel-Daoulas est donc celle de 2008 :
http://elections.letelegramme.com/municipales-2008/resultats/deuxieme-tour.php?insee=29189&ville=Plougastel-Daoulas
Résultats municipales 2ème tour | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
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LISTE ELUE
Cap
53.76 %
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Résultats municipales 1er tour | ||||||||||||||||||
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BALLOTTAGE
Cap
42.62 %
BALLOTTAGE
Le Gac
DG
36.61 %
BALLOTTAGE
Le Tallec
12.18 %
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Composition des listes :
http://elections.letelegramme.com/municipales-2008/candidats/dominique-cap_891365
Dominique Cap |
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COMPOSITION DE LA LISTE | |
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http://elections.letelegramme.com/municipales-2008/candidats/andre-le-gac_887711
André Le Gac |
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http://elections.letelegramme.com/municipales-2008/candidats/philippe-le-tallec_887770
Philippe Le Tallec |
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http://elections.letelegramme.com/municipales-2008/candidats/jean-pierre-marc_883826
Jean-Pierre Marc |
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La campagne de 2008 avait été marquée par une affaire de diffamation dont Roger Potin était l’un des principaux acteurs :
http://www.letelegramme.fr/ar/viewarticle1024.php?aaaammjj=20061021&article=20061021-12998370&type=ar
Plougastel-Daoulas Le maire porte plainte en diffamation
21 octobre 2006
Lors du conseil municipal du 22 juin dernier, dans le cadre du dossier du Plan local d’urbanisme, le maire avait été mis en cause par l’opposition pour « favoritisme concernant une zone mise à urbanisation dans le secteur de Traonliors ». En prélude au conseil municipal de jeudi, le maire a donné lecture d’un dépôt de plainte en diffamation, le 8 août, au tribunal de grande instance de Brest (sa famille s’étant portée partie civile) contre André Le Gac et Gisèle Le Guennec au motif que ces deux personnes (conseillers municipaux) « ont attaqué mon honneur, mon honnêteté, mon intégrité de maire et d’homme et qu’ils ont également attaqué ma famille, mes parents, frère et soeur ». De leur côté Gisèle Le Guennec et André Le Gac nous ont fait parvenir un communiqué où ils considèrent que leur déclaration, « au nom de la Gauche unie s’est faite dans le cadre d’un débat municipal démocratique », et ils s’étonnent « que des propos tenus en juin ne soient sortis qu’aujourd’hui. Si vraiment il y avait préjudice, écrivent-ils, pourquoi avoir attendu quatre mois ? ». Pour eux, « le maire veut tenter un coup politique avant les prochaines municipales » et ils terminent : « Si la justice veut nous entendre, nous pensons que nous avons des éléments intéressants à lui communiquer, nous sommes donc sereins ».
http://www.brest.maville.com/actu/actudet_-Plougastel-Andre-Le-Gac-a-t-il-diffame-Dominique-Cap-_loc-596819_actu.Htm
Mercredi 19 mars 2008 00:00
Plougastel : André Le Gac a-t-il diffamé Dominique Cap ?
…Troisième tour des municipales inattendu devant le tribunal hier : André Le Gac était poursuivi par le maire, Dominique Cap. Jugement le 29 avril.
Dans une « lettre ouverte », lue en séance du conseil municipal, le 22 juin 2006, l’opposition avait accusé le maire, Dominique Cap, d’avoir fait preuve d’un « favoritisme inacceptable » à l’égard de sa propre famille. Favoritisme qui aurait consisté pour le premier magistrat à déclasser des parcelles agricoles du hameau de Traon Liors, appartenant à sa famille, pour les rendre constructibles, lors de l’élaboration du Plan local d’urbanisme.Dominique Cap et sa famille – ses parents, son frère et sa soeur -, avaient alors porté plainte pour diffamation. La plainte visait André Le Gac, l’ancien maire et une conseillère, Gisèle Le Guennec. C’est elle qui avait lu la lettre.
Ces accusations avaient-elles un fondement ? Les débats ont porté évidemment sur cette question, avec l’audition de pas moins de sept témoins cités par la défense des prévenus qui entendaient prouver la véracité de leurs affirmations.
« Bruit de fond »
Interrogé sur le fait de savoir s’il était l’auteur de la lettre, André Le Gac a eu des réponses filandreuses au point que le président lui a fait remarquer qu’il avait « du mal à comprendre la distinction subtile entre la participation à la discussion et la rédaction du texte ». Alors, celui qui refuse qu’on le considère comme le chef de file de l’opposition, a fini par lâcher : « Les mots employés, je les assume, sinon, je serais inconséquent. »
André Le Gac a été « prévenu » du déclassement de Traon Liors « par une connaissance ». « Tout le monde en parlait. C’était le bruit de fond », explique-t-il. Ce qui lui vaut cette remarque d’un des avocats de Dominique Cap : « On peut assimiler cela à de la rumeur… »
Cité par la défense, Roger Potin, élu de l’opposition, a affirmé qu’il était allé vérifier à la mairie que les parcelles déclassées appartenaient à la famille Cap. Il a alors demandé des explications au directeur général des services, M. Labat, qui, à son tour, aurait appelé la responsable du PLU à la communauté urbaine de Brest. « Mme Mallégol a indiqué que la modification a été faite à la demande de la mairie. »
Entendus à leur tour, M. Labat et Mme Mallégol n’ont pas confirmé cela.
« La suspicion »
Ancien adjoint à l’urbanisme au moment de la définition des règles générales du PLU, Joël Labat, a estimé que le hameau de Traon Liors, « à l’extrême limite », pouvait bénéficier d’une extension d’urbanisation. Quand la polémique a éclaté, il avait suggéré que « les parcelles en question soient retirées pour éviter la suspicion ». C’est sa seule réserve.
« La suspicion va rester, le mal est fait », a regretté Me Omez, avocat de la famille du maire, « qui entend des réflexions à longueur de temps ». Comme le maire, parents, frère et soeur réclament 1 € symbolique en réparation de leur préjudice.
Pour Me Gloaguen, plaidant la relaxe en défense, « le déclassement des parcelles est une chose acquise. Ce qui pose problème, c’est le mot favoritisme ».
« Question légitime »
Selon l’avocat, « le traitement de faveur » s’est produit lors de l’instauration du PLU. « Lorsqu’il est apparu qu’une entorse au PLU avait été faite à Traon Liors, l’information est revenue à l’opposition. Et on s’aperçoit que le déclassement n’a pas été vu en commission d’urbanisme. Traon Liors n’a jamais été un village et ne pouvait bénéficier d’une extension d’urbanisation. » Face à ce qu’il qualifie de « zones d’ombre », il estime que l’opposition a mené une « enquête sérieuse » sur ces faits.
Me Rajjou, de son coté, a exhorté le tribunal a replacé l’affaire dans son contexte de « débat municipal ». Et « la bonne foi » des deux élus est, selon lui, réelle si les propos incriminés ont un but légitime. « Quoi de plus légitime que de s’interroger sur le classement de parcelles du maire et de sa famille ? »
Réponse du tribunal le 29 avril.
Yannick GUÉRIN.
http://www.letelegramme.fr/ig/generales/regions/finistere/diffamation-plougastel-lancien-maire-ecope-dune-amende-20080430-2992951_1309904.php
Diffamation à Plougastel. L’ancien maire écope d’une amende
30 avril 2008
A l’issue du délibéré, il a annoncé qu’il allait interjeter appel. L’ancien maire de Plougastel-Daoulas, André Le Gac, 63 ans, a été condamné hier à 1.500 d’amende, reconnu coupable de diffamation à l’encontre de l’actuel premier magistrat, Dominique Cap, qui obtient l’euro symbolique de dommages et intérêts. Aucune inéligibilité n’a toutefois été prononcée à son encontre. Une conseillère d’opposition, Gisèle Gouès, a écopé de la même peine. Les faits, évoqués le 18 mars, remontent au 22 juin 2006. En plein conseil municipal, André Le Gac avait dénoncé la politique de son rival en matière d’urbanisme. Sa colistière avait pris le relais en lisant un tract rédigé par leur liste d’opposition, accusant le maire de favoritisme et de népotisme. A en croire ses détracteurs, il aurait usé de son influence pour transformer des terres agricoles en terrains constructibles, dans une zone où ses propres parents, frères et soeurs, possédaient des parcelles. « Manoeuvre orchestrée froidement » pour le représentant de Dominique Cap. « Simple polémique dans le cadre d’un débat démocratique » pour le défenseur d’André Le Gac et Gisèle Gouès. Le tribunal a donc tranché en faveur du premier. En revanche, sa famille, qui avait aussi porté plainte pour diffamation et injures, a été déboutée de ses demandes et les deux conseillers relaxés de la prévention les concernant.
Et par la suite :
http://www.elus-socialistes-bmo.fr/article280.html
« Ça harcèle à Plougastel »
Après la presse locale, c’est le Canard Enchaîné qui se fait l’écho du climat détestable régnant au sein de la mairie de Plougastel. Dans son édition du 29 octobre, le journal dénonce un harcèlement généralisé envers les agents
Article paru dans Le Canard Enchainé du 28 octobre.
« Du harcèlement en Technicolor et dans les grandes largeurs. Pas envers une seule personne, ce serait mesquin. A la mairie de Plougastel (Finistère), le personnel est à bout : Roger Potin, conseiller municipal d’opposition (PS) au maire sans étiquette de Plougastel (Finistère) ne mâche pas ses mots quand il évoque l’ambiance municipale : « Les salariés de la mairie se gavent de médicaments ou pleurent dans leur voiture avant de rejoindre leur poste. »
Il arrive aussi qu’ils se rebel1ent. Ainsi, le mardi 8 septembre denier, vingt-cinq des quarante personnes travaillant à la mairie (les salariés en situation précaire ont préféré s’abstenir) ont campé sur les marches du bâtiment pour protester contre le climat qui règne à la mairie. Une grève a eu lieu la semaine suivante, avec distribution sur le marché de tracts dénonçant « les accusations à tort par la hiérarchie, les attaques verbales, les pressions et le non-respect du devoir de confidentialité ».
D’ordinaire, le stress au travail, c’est plutôt dans les grandes entreprises que dans les mairies. Mais, dans celle de Plougastel, » on veut faire marcher les gens au pas comme on n’oserait même pas le faire au sein de l’armée « , s’indigne une salariée. Les employés ont même reçu le soutien de l’ancien maire, André Le Gac (PC puis PS). Lors du conseil municipal du 1er Octobre, celui-ci a réclamé « la fin des vexations, des pressions, du dénigrement « .
Quant au directeur général des services de la mairie, il se défend : « On n’est pas des pères Fouettard. » Et de préciser : » Je ne suis que l’entremetteur des décisions prises par le maire. » Il n’en menace pas moins les protestataires de poursuites judiciaires. Dominique Cap, le maire, lui, ne trouve rien à redire et estime que dans sa mairie règne « un climat social satisfaisant ». Satisfaisant pour qui ?
Jean-Yves Viollier. »
« Du harcèlement en Technicolor et dans les grandes largeurs. Pas envers une seule personne, ce serait mesquin. A la mairie de Plougastel (Finistère), le personnel est à bout : Roger Potin, conseiller municipal d’opposition (PS) au maire sans étiquette de Plougastel (Finistère) ne mâche pas ses mots quand il évoque l’ambiance municipale : « Les salariés de la mairie se gavent de médicaments ou pleurent dans leur voiture avant de rejoindre leur poste. »
Il arrive aussi qu’ils se rebel1ent. Ainsi, le mardi 8 septembre denier, vingt-cinq des quarante personnes travaillant à la mairie (les salariés en situation précaire ont préféré s’abstenir) ont campé sur les marches du bâtiment pour protester contre le climat qui règne à la mairie. Une grève a eu lieu la semaine suivante, avec distribution sur le marché de tracts dénonçant « les accusations à tort par la hiérarchie, les attaques verbales, les pressions et le non-respect du devoir de confidentialité ».
D’ordinaire, le stress au travail, c’est plutôt dans les grandes entreprises que dans les mairies. Mais, dans celle de Plougastel, » on veut faire marcher les gens au pas comme on n’oserait même pas le faire au sein de l’armée « , s’indigne une salariée. Les employés ont même reçu le soutien de l’ancien maire, André Le Gac (PC puis PS). Lors du conseil municipal du 1er Octobre, celui-ci a réclamé « la fin des vexations, des pressions, du dénigrement « .
Quant au directeur général des services de la mairie, il se défend : « On n’est pas des pères Fouettard. » Et de préciser : » Je ne suis que l’entremetteur des décisions prises par le maire. » Il n’en menace pas moins les protestataires de poursuites judiciaires. Dominique Cap, le maire, lui, ne trouve rien à redire et estime que dans sa mairie règne « un climat social satisfaisant ». Satisfaisant pour qui ?
Jean-Yves Viollier. »
http://www.letelegramme.fr/ig/generales/regions/finistere/plougastel-daoulas-29-mairie-au-bord-de-la-crise-de-nerfs-13-11-2009-651866.php
Mairie au bord de la crise de nerfs
13 novembre 2009 / Karine Joncqueur /
Le 8 septembre, une partie du personnel communal avait manifesté pour dénoncer… Le 8 septembre, une partie du personnel communal avait manifesté pour dénoncer les conditions de travail. Photo archives Le Télégramme
A Plougastel- Daoulas, mi-septembre, 25 des 40 personnels administratifs ont manifesté leur mal-être. Depuis, en soutien, l’opposition unie a claqué la porte du dernier conseil municipal.
Plougastel-Daoulas: ses 13.000habitants, ses fraises, son calvaire, sa mairie… Ces temps derniers, c’est bien le climat qui règne à l’hôtel de ville qui tient le haut du pavé de l’actualité. Jusque dans les pages chaudes du Canard enchaîné(édition du 28octobre) ou en avant-dernière de couverture, de la «Garigette», le journal municipal, démocratiquement ouvert à l’opposition. Qu’y dénonce-t-on? Un harcèlement au travail récurrent. Qui sont les mis en cause? Le Directeur général des services (DGS), en poste depuis trois ans et demi, et le premier adjoint au maire, qui lui vouerait un soutien sans réserve, malgré des méthodes jugées autoritaristes. La porte du conseil claque La manifestation publique n’est pas l’apanage des personnels des collectivités locales et territoriales. À Plougastel, face à l’inertie estimée du maire, largement sollicité par les plaignants sur le sujet, elle y a cours: après un premier sitting durant l’été, le personnel administratif, en bonne proportion, a débrayé pendant une heure le 8septembre, manifestant, banderoles au vent, sur les marches de la mairie. Dans la foulée, une grève a suivi, assortie d’une distribution sur le marché de tracts dénonçant «les accusations à tort par la hiérarchie, les attaques verbales, les pressions et le non-respect du devoir de confidentialité». À tour de rôle, enfin, le 1eroctobre, les élus de l’opposition(Gauche unie, PS et les Verts) ont, en conseil municipal, dénoncé ces tensions avant de quitter la séance comme un seul homme. «Les questions de réorganisation des services sont parfois nécessaires», témoigne AndréLeGac, conseiller général, élu de l’opposition, et maire avant Dominique Cap, pendant deuxmandats. «Mais quand les gens de qualité, dévoués, que je connais bien pour avoir travaillé avec eux, viennent au travail à reculons, sous anxiolytique, dans une ambiance délétère, je demande de trancher dans le vif. Nous voulons la démission du premier adjoint et le départ du DGS». Insuffisances et menaces Radical. Thierry Laurent, le principal incriminé, justifie ses décisions, sa méthode, en s’appuyant sur un rapport de la Chambre régionale des comptes de Bretagne, qui concerne les exercices 2000 et suivants de la mairie. Il y est effectivement pointé – entre autres -, un déficit de contrôle interne, une définition insuffisante des procédures, une insuffisance du suivi des régies, des marchés publics, des conventions… «De toute ma carrière, je n’ai jamais vu un tel rapport. J’ai été obligé de prendre des mesures de formation, d’explications sur des méthodes méconnues de certains agents. Nous avons été amenés à recadrer ceux qui avaient l’habitude de faire comme la quasi-totalité des agents de la commune(…)». Un discours musclé, pour le moins. D’emblée aussi, il a, hier, fait planer la menace d’une saisie de la justice pour régler le contentieux avec ses détracteurs. Le maire, Dominique Cap, assure, lui, s’être saisi du problème. «J’ai mis en place des mesures humaines. Avec une plus grande implication des chefs de Pôle. Je suis plus présent aussi. J’ai dit que nous ferions un point dans trois à quatre mois». Pas de vague avant les régionales de mars sur lesquelles lorgne monsieur le maire?
http://www.letelegramme.fr/local/finistere-nord/brest/ville/centre-de-formation-des-elus-de-l-opposition-s-expriment-30-09-2012-1855652.php
Des élus de l’opposition s’expriment
30 septembre 2012 / Karine Joncqueur /
Louis Rolland, Claire Malléjac, Gisèle Le Guennec, Stéphane Le Gall et Roger… Louis Rolland, Claire Malléjac, Gisèle Le Guennec, Stéphane Le Gall et Roger Potin, cinq des sept élus du groupe de l’opposition municipale à Plougastel-Daoulas, ont donné leur position sur le dossier du centre de formation.
Suite à «l’affaire du centre de formation» suspendu à un recours de Bretagne vivante, le groupe de l’opposition municipale a tenu réunion, jeudi. Cinq de ses sept membres se sont, hier, exprimés.
«Il fallait que nous ayons une expression car on ne peut laisser dire les choses que nous pouvons entendre ou lire. Qu’on soit clairs: sans ambiguïté, pour nous, ce centre de formation est une bonne chose pour la commune, pour les 600footballeurs. Il offrirait à Plougastel-Daoulas un rayonnement àBrest, et bien au-delà. Ça n’est pas le problème». Pour Roger Potin, coordinateur du groupe «La gauche solidaire» (*), et ses collègues, le dossier du centre de formation du Stade brestois a été mené de façon confidentielle par le maire, Dominique Cap.
«S’il y avait eu un début de concertation…»
«Nous n’avons jamais été informés de ce dossier, sauf par voie de presse. S’il y avait eu un début de concertation, en conseil municipal, nous n’en serions peut-être pas là aujourd’hui. L’un d’entre nous aurait sûrement pensé à demander si une étude d’impact environnementale avait été menée. C’est le b.a.-ba, même s’il n’est pas trop tard pour obtenir une dérogation. Il n’y a pas eu de vote sur le permis de construire, en conseil municipal du 23mai, car le Plu n’avait pas été modifié. Ce n’était qu’une présentation architecturale. À Plougastel-Daoulas, on vote pour la couleur du ravalement des façades, pour l’installation de fenêtres de toit, mais pas pour un projet de 13,2MEUR. C’est un manquement grave dans un rôle d’élu. Un projet de 13,2MEUR, on le bétonne au niveau des procédures. Là, le maire continue: il dit qu’il faut lancer les travaux. Mais non, il ne faut pas. Àpartir du moment où il y a un permis de construire déposé, chacun a le droit de faire un recours. C’est en amont du projet qu’il aurait dû yavoir une concertation ». (*) La gauche solidaire est composée du Parti socialiste, du forum civique et d’Europe écologie les Verts, dont les deux représentants ne se sont, hier, pas associés à la démarche de leurs collègues.
30 septembre 2012 / Karine Joncqueur /
Louis Rolland, Claire Malléjac, Gisèle Le Guennec, Stéphane Le Gall et Roger… Louis Rolland, Claire Malléjac, Gisèle Le Guennec, Stéphane Le Gall et Roger Potin, cinq des sept élus du groupe de l’opposition municipale à Plougastel-Daoulas, ont donné leur position sur le dossier du centre de formation.
Suite à «l’affaire du centre de formation» suspendu à un recours de Bretagne vivante, le groupe de l’opposition municipale a tenu réunion, jeudi. Cinq de ses sept membres se sont, hier, exprimés.
«Il fallait que nous ayons une expression car on ne peut laisser dire les choses que nous pouvons entendre ou lire. Qu’on soit clairs: sans ambiguïté, pour nous, ce centre de formation est une bonne chose pour la commune, pour les 600footballeurs. Il offrirait à Plougastel-Daoulas un rayonnement àBrest, et bien au-delà. Ça n’est pas le problème». Pour Roger Potin, coordinateur du groupe «La gauche solidaire» (*), et ses collègues, le dossier du centre de formation du Stade brestois a été mené de façon confidentielle par le maire, Dominique Cap.
«S’il y avait eu un début de concertation…»
«Nous n’avons jamais été informés de ce dossier, sauf par voie de presse. S’il y avait eu un début de concertation, en conseil municipal, nous n’en serions peut-être pas là aujourd’hui. L’un d’entre nous aurait sûrement pensé à demander si une étude d’impact environnementale avait été menée. C’est le b.a.-ba, même s’il n’est pas trop tard pour obtenir une dérogation. Il n’y a pas eu de vote sur le permis de construire, en conseil municipal du 23mai, car le Plu n’avait pas été modifié. Ce n’était qu’une présentation architecturale. À Plougastel-Daoulas, on vote pour la couleur du ravalement des façades, pour l’installation de fenêtres de toit, mais pas pour un projet de 13,2MEUR. C’est un manquement grave dans un rôle d’élu. Un projet de 13,2MEUR, on le bétonne au niveau des procédures. Là, le maire continue: il dit qu’il faut lancer les travaux. Mais non, il ne faut pas. Àpartir du moment où il y a un permis de construire déposé, chacun a le droit de faire un recours. C’est en amont du projet qu’il aurait dû yavoir une concertation ». (*) La gauche solidaire est composée du Parti socialiste, du forum civique et d’Europe écologie les Verts, dont les deux représentants ne se sont, hier, pas associés à la démarche de leurs collègues.
http://www.ouest-france.fr/centre-de-formation-du-stade-une-affaire-personnelle-du-maire-1086242
Centre de formation du stade : une affaire personnelle du maire ?
Plougastel-Daoulas – 30 Septembre 2012
C’est en tout cas ce que pensent cinq élus de l’opposition (le groupe EELV ne s’est pas exprimé) et ils l’ont fait savoir samedi, devant la mairie.
Pourtant, comme le déclare Roger Potin : « Ce centre nous allait bien. On ne s’était pas opposé au projet. » Mais, pour ces cinq élus « le maire en a fait une affaire personnelle. » Ils regrettent que le débat au conseil municipal n’ait uniquement porté sur l’aspect architectural. « Ce dossier n’a pas été travaillé au préalable pour voir s’il n’y avait pas de recours administratif. Toutes les précautions n’ont pas été prises. La première chose à faire était de mener une étude d’impact sur le site. »
Aussi avouent-ils ne pas comprendre la façon de procéder de M. Cap. « C’est l’illustration de sa politique. Il se met dans l’illégalité et il doit maintenant répondre à la demande des associations qui demandent un recours. C’est un projet qui a été mené à la va-vite, d’une manière solitaire et confidentielle. »
Les candidats pour l’élection de 2014 et leurs résultats ont été les suivants :
http://elections.ouest-france.fr/elections-municipales-2014/finistere/29470-plougastel-daoulas.html
Plougastel-Daoulas (29470) – Municipales 2014
Le conseil Municipal à Plougastel-Daoulas*
Maire
Maire sortant
Dominique Cap
46 ansMaire sortant
-
Adjoints
-
Patricia Hénaff 1er adjoint
Mère au foyer, 46 ans
vie scolaire, nouvelles technologies et communication -
Jean-Jacques André 2e adjoint
Agriculteur serriste, 59 ans
travaux, ports, développement durable -
Françoise Louëdec 3e adjoint
Mère au foyer, 43 ans
culture et vie associative -
Bernard De Cadenet 4e adjoint
Commerçant en retraite, 69 ans
vie économique, ressources humaines et animation -
Françoise Morvan 5e adjoint
Employée MSA, 54 ans
vie sociale -
Jean-Paul Toullec 6e adjoint
Inspecteur des impôts, 56 ans
urbanisme et associations patriotiques -
Bernard Nicolas 7e adjoint
Officier DGA en retraite, 59 ans
finances et admnistration générale -
Michel Corre 8e adjoint
Agent immobilier, 50 ans
tourisme et patrimoine -
Gwenaëlle Gouennou 9e adjoint
Cadre administratif, 37 ans
enfance et jeunesse
-
Conseillers Municipaux
-
Yvette Moal
Conjointe collaboratrice, 51 ans -
Catherine Bothuan
Mère au foyer, 50 ans -
Raymond-Jean Lauret
Avocat, 60 ans -
Michel Paugam
Officier marinier en retraite, 64 ans -
Patricia Jolly
Directrice générale d’associations d’aide à domicile, 45 ans -
Nathalie Bathany
Restauratrice, 54 ans -
Pascal Jeuland
Responsable administratif et financier, 42 ans -
Nathalie Uguen
Enseignante, 48 ans -
Rémy Bugnet
Chargé de clientèle, 42 ans -
Aude Séac’h
Agent d’aéroport, 35 ans -
Stéphane Michel
Officier de l’armée de l’air en retraite, 39 ans -
Emilie Le Maitre
Conducteur de travaux, 37 ans -
François Thouroude
Salarié de la grande distribution en retraite, 62 ans -
Haoua Le Gall
Agent de service logistique, 38 ans -
Jean-Baptiste Lhotte
Technicien bureau de contrôle, 27 ans -
Gisèle Le Guennec
directrice d’école en retraite, 60 ans -
Joël Labat
ingénieur en retraite, 62 ans -
Marie-Annick Guivarch
commerciale en retraite, 61 ans -
Gilles Grall
encadrement ressources humaines, 44 ans -
Aude Burger-Cuzon
opérateur foncier, 37 ans -
Claire Malléjac
rédacteur territorial, 46 ans -
Serge Borvon
retraité, 66 ans -
Laëtitia Dolliou
cadre hospitalier, 33 ans
Maire Sortant : Dominique Cap
Nombre de sièges : 33
Résultats au premier tour à Plougastel-Daoulas
Nombre | % | |
---|---|---|
Inscrits | 10612 | |
Abstentions | 3669 | 34.57% |
Votants | 6943 | 65.43% |
Blancs ou nuls | 178 | 2.56% |
Exprimés | 6765 | 97.44% |
Dominique Cap
Liste « Plougastel en action »
Divers droite46 ans
Maire
Maire sortant
voix | % | sièges |
---|---|---|
3408 | 50.38 | 25 |
-
ELU(S)
-
Dominique Cap
Divers droite, Maire, Maire sortant, 46 ans -
Patricia Hénaff
Adjoint, Mère au foyer, 46 ans -
Jean-Jacques André
Conseiller, Agriculteur serriste, 59 ans -
Françoise Louëdec
Conseiller, Mère au foyer, 43 ans -
Bernard De Cadenet
Adjoint, Commerçant en retraite, 69 ans -
Françoise Morvan
Conseiller, Employée MSA, 54 ans -
Jean-Paul Toullec
Adjoint, Inspecteur des impôts, 56 ans -
Yvette Moal
Adjoint, Conjointe collaboratrice, 51 ans -
Bernard Nicolas
Officier DGA en retraite, 59 ans -
Catherine Bothuan
Conseiller, Mère au foyer, 50 ans -
Raymond-Jean Lauret
Conseiller, Avocat, 60 ans -
Gwenaëlle Gouennou
Cadre administratif, 37 ans -
Michel Paugam
Conseiller, Officier marinier en retraite, 64 ans -
Patricia Jolly
Directrice générale d’associations d’aide à domicile, 45 ans -
Michel Corre
Adjoint, Agent immobilier, 50 ans -
Nathalie Bathany
Conseiller, Restauratrice, 54 ans -
Pascal Jeuland
Conseiller, Responsable administratif et financier, 42 ans -
Nathalie Uguen
Conseiller, Enseignante, 48 ans -
Rémy Bugnet
Chargé de clientèle, 42 ans -
Aude Séac’h
Agent d’aéroport, 35 ans -
Stéphane Michel
Officier de l’armée de l’air en retraite, 39 ans -
Emilie Le Maitre
Conducteur de travaux, 37 ans -
François Thouroude
Salarié de la grande distribution en retraite, 62 ans -
Haoua Le Gall
Agent de service logistique, 38 ans -
Jean-Baptiste Lhotte
Technicien bureau de contrôle, 27 ans -
NON ELU(S)
-
Claire Le Vot
Technicienne de laboratoire, 50 ans -
Yvan Lachuer
Cadre SNCF, 53 ans -
Lucile Phelippeau
Vendeuse à domicile indépendante, 37 ans -
François Corre
-
Claudine Orvoën
Infirmière en retraite, 62 ans -
Mathieu Belec
Lycéen, 18 ans -
Lucie Le Doaré
Etudiante, 19 ans -
Daniel Gourvès
Militaire en retraite, 61 ans
Gisèle Le Guennec
Liste « Plougastel à venir »
liste ouverte60 ans
Conseiller
directrice d’école en retraite
voix | % | sièges |
---|---|---|
2014 | 29.77 | 5 |
-
ELU(S)
-
Gisèle Le Guennec
Sans étiquette, Conseiller, directrice d’école en retraite, 60 ans -
Joël Labat
ingénieur en retraite, 62 ans -
Marie-Annick Guivarch
commerciale en retraite, 61 ans -
Gilles Grall
encadrement ressources humaines, 44 ans -
Aude Burger-Cuzon
opérateur foncier, 37 ans -
NON ELU(S)
-
Louis Rolland
agriculteur, 65 ans -
Malou Menez
directrice d’école en retraite, 58 ans -
Pierre Le Bars
directeur des services techniques, 60 ans -
Hélène Roudaut
aide soignante, 49 ans -
Jean-Pierre Jézéquel
secrétaire administratif, 54 ans -
Françoise Le Berre-Daniélou
professeur du secondaire, 42 ans -
David Rajjou
avocat, 42 ans -
Mireille Héronneau
assistante maternelle, 44 ans -
Ronan Bibens
fonctionnaire territorial, 33 ans -
Armelle Tilly
médecin gériatre, 55 ans -
Rémy Jézéquel
chargé d’étude, 49 ans -
Nicole Corrigou-Gourves
Directrice d’agence, 54 ans -
Gérard Hergouarch
policier municipal en retraite, 60 ans -
Kervi-Enora Rivier
infirmière DE, 28 ans -
Antonio Lopes de Barros
fonctionnaire de police, 43 ans -
Gaëlle Vandenbroucke
enseignante, 44 ans -
Alexandre Gogendeau
professeur des écoles, 45 ans -
Karine Vahé
intervenante sociale, 37 ans -
Christian Le Guen
agent de maîtrise, 51 ans -
Isabelle Doutreleau
chargée d’étude, 44 ans -
Bruno Broudin
pré-retraité amiante, 55 ans -
Yveline Laigle
assistante maternelle, 60 ans -
Pierre Laurent
cadre technique, 63 ans -
Denise Inial
Atsem en retraite, 66 ans -
Olivier Vigouroux
technicien, 49 ans -
Marion Riouat
aide-soignante, 27 ans -
Michel Dorsaix
retraité, 65 ans -
Jeannine Ulvoas
animatrice petite enfance, 55 ans
Claire Malléjac
Liste « Vivons Plougastel intensément »
Divers gauche46 ans
Conseiller
rédacteur territorial
voix | % | sièges |
---|---|---|
1343 | 19.85 | 3 |
-
ELU(S)
-
Claire Malléjac
Divers gauche, Conseiller, rédacteur territorial, 46 ans -
Serge Borvon
EELV, retraité, 66 ans -
Laëtitia Dolliou
cadre hospitalier, 33 ans -
NON ELU(S)
-
Stéphane Le Gall
technicien mesures physiques, 41 ans -
Léa Le Gall
architecte, 28 ans -
Jean-Pierre Kervella
enseignant en retraite, 63 ans -
Isabelle Degrave
conseillère insertion, 47 ans -
Jean-Paul Lunven
Dessinateur industriel, 46 ans -
Régine Daniel
assistante en communication, 52 ans -
Jean-Luc Dubois
proviseur de lycée, 58 ans -
Laurence Demians
enseignante, 53 ans -
Gilles Kerampran
informaticien, 44 ans -
Marie-Hélène Pérès
Aide-soignante, 47 ans -
Laurent Coadour
agent CCAS, 41 ans -
Chantal Degardin
ethno-artiste, 53 ans -
Paul Paimbéni
Etudiant en droit, 22 ans -
Fanny Mathieu
Sans profession, 28 ans -
Luc Le Glévic
Père au foyer, 52 ans -
Yveline Defour
éducatrice spécialiséeen retraite, 66 ans -
Laurent Boucharé
agent de maîtrise GRDF, 41 ans -
Catherine Daniel
saisonnière, 44 ans -
François Coutant
électricien, 39 ans -
Marie Tual
Infirmière retraitée, 60 ans -
Patrick Pustoc’h
Retraité de la métallurgie, 62 ans -
Michèle Pernes
Protection de l’enfance, 53 ans -
Laurent Quiguer
Moniteur éducateur, 42 ans -
Suzanne Siou
retraitée, 63 ans -
Patrick Rémond
Ouvrier métallurgique, 38 ans -
Justine Toreau
Etudiante stagiaire, 23 ans -
Gilles Caret
48 ans -
Marie Zuckmeyer
Directrice d’école, 59 ans -
Jean-Dominique Dewitte
professeur en médecine, 59 ans -
Marie-Claude Herry
retraitée, 74 ans
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