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samedi 2 février 2019
Attentat de Strasbourg : trois mises en examen, les commanditaires toujours pas inquiétés...
Et pourtant, comme vu dans mon précédent article du jour,
le premier d’entre eux en l’occurrence, à savoir l’auto-proclamé
« ufosceptique » Jean-Marc Donnadieu de Béziers, se montre encore
menaçant…
Attentat de Strasbourg : les trois hommes soupçonnés d’avoir fourni l’arme mis en examen
Trois suspects dans l’enquête sur l’attentat de Strasbourg présentés
à un juge d’instruction vendredi ont été mis en examen et placés en
détention provisoire. Ils avaient été interpellés mardi à
Logelbach-Wintzenheim et à Sélestat.
A Strasbourg, le 11 décembre 2018. Photo DNA – Cédric Joubert
Trois hommes d’une même famille, soupçonnés d’avoir fourni à Chérif
Chekatt l’arme utilisée pour perpétrer l’attentat de Strasbourg le 11
décembre, ont été mis en examen vendredi et placés en détention
provisoire, a-t-on appris de source judiciaire.
Ces trois suspects ont été mis en examen par un juge d’instruction à
Paris pour «détention et cession d’arme de catégorie B en réunion et en
relation avec une entreprise terroriste», ainsi que pour «association de
malfaiteurs terroriste criminelle», selon cette source.
Albert B., 78 ans, et les deux fils de son cousin, Frédéric B. et
Stéphane B. âgés de 32 et 34 ans avaient été interpellés mardi à
Wintzenheim et à Sélestat et placés en garde à vue. Les trois hommes ont
ensuite été transférés jeudi de Strasbourg à Levallois-Perret, près de
Paris. Les enquêteurs cherchaient à éclaircir les rôles de chacun.
Deux autres membres de cette famille arrêtés mardi en Alsace ont été
remis en liberté, sans qu’aucune charge ne soit retenue contre eux.
Les trois hommes sont soupçonnées d’avoir participé à la fourniture
d’un vieux revolver 8 mm à Chérif Chekatt qui avait tué cinq personnes
aux abords du Marché de Noël de Strasbourg, le 11 décembre.
Chérif Chekatt est soupçonné par les policiers de la Sous-direction
anti-terroriste (Sdat) de s’être procuré l’arme à feu quelques jours
avant son passage à l’acte. Il s’agit d’un revolver d’ordonnance de
calibre 8 mm datant de la fin du XIXème siècle.
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