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samedi 3 mars 2018
La France visée par l'attaque à Ouagadougou : pas de surprise...
La corrélation habituelle avec les revendications du
malade mental au clavier – son « arme » – en matière de droit est
toujours là.
Il l’a annoncé lui-même sur son blog au mois d’avril 2017, il a fait
appel de la décision par laquelle le juge des référés de Paris l’a
débouté de toutes ses demandes au mois de janvier de l’année dernière.
C’est désormais de la Cour d’Appel de Paris qu’il attend une décision
qui lui accorde le droit de publier ce qui lui chante sur la vie privée
des victimes de ses harcèlements, piratages informatiques et autres
atteintes à l’intimité de la vie privée depuis maintenant dix ans, sans
que celles-ci ne se voient plus reconnaître aucun droit, ni celui de
porter plainte, ni celui de publier des démentis.
En effet, ses projets « littéraires » les concernant sont bien connus
depuis longtemps, il en a donné le programme et nombre d’aperçus à
compter de l’été 2010, il s’agit, comme il l’écrit très souvent, de se
« foutre de la poire » des ingénieurs en délirant sur leur vie sexuelle.
Et comme il l’a toujours soutenu, au contraire de tous ces anonymes
dont il trouble violemment la tranquillité depuis dix ans, il dispose
d’un « droit d’auteur » illimité et inviolable que malheureusement la
justice française ne lui reconnaît pas encore tout à fait, car elle est
toujours contrainte par l’une ou l’autre des lois qu’elle est censée
faire respecter.
Il exige donc que son droit d’auteur cesse enfin d’être limité par
les plaintes à répétition de ses victimes et ne veut plus non plus être
dérangé par leurs publications de démentis et droits de réponse,
lesquels nuisent au succès de tous ses romans publics.
Voilà la revendication qui accompagne régulièrement les attentats
terroristes commis sur le sol français ou contre la France ou des
Français depuis mars 2012.
Burkina Faso : « L’attaque ciblait la France », affirme un spécialiste
INVITÉ RTL – Le journaliste Antoine Glaser, spécialiste de
l’Afrique, estime que l’attaque qui a frappé le Burkina Faso était un
acte de représailles vis-à-vis de la France et de son action contre le
terrorisme sur le continent.
Ouagadougou, le 2 mars 2018 Crédit : AHMED OUOBA / AFP
Vendredi 2 mars, aux alentours de 11 heures du matin, des hommes
armés ont surgi à l’ambassade de France et l’état-major burkinabé, à
Ouagadougou. Il s’agit de la quatrième attaque en trois ans dans la
capitale du Burkina Faso. Les faits n’ont pas été revendiqués pour l’heure. Une trentaine de personnes sont mortes, et plus de 80 ont été blessées.
Invité de RTL ce samedi 3 février, le journaliste Antoine Glaser,
spécialiste de l’Afrique, a estimé que cette attaque ciblait très
clairement la France. « Les autres attaques, en janvier 2016 et août
2017, ciblaient des cafés, des restaurants, les expatriés. Le fait d’attaquer une ambassade de France en Afrique, le message est clair« , estime l’auteur de l’ouvrage Arrogant comme un Français en Afrique, publié aux éditions Fayard en 2016.
« C’est un acte de représailles », vis-à-vis de la France,
dont des troupes armées sont présentes au Mali et au Niger voisins du
Burkina Faso pour lutter contre le terrorisme au Sahel. Pour Antoine
Glaser, le fait que Ouagadougou a été frappée s’explique par le fait
qu’il est plus facile pour les soldats français d’agir dans les zones
désertiques que dans les grandes villes.
« Très honnêtement, je pense qu’Emmanuel Macron sait très bien qu’il n’y a qu’une seule chose à faire à court terme et à moyen terme : c’est dégager l’armée française », conclut le spécialiste.
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