Halte à la censure et la désinformation satanistes !
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mardi 23 janvier 2018
Selon le Procureur de Paris, la menace terroriste reste élevée et pour longtemps
A qui la faute ?
Le malade mental au clavier – son « arme » – n’est pas près de
désarmer et les magistrats censés l’arrêter ne semblent eux non plus
toujours pas prêts à le faire.
Dès le 19 juin 2010, lorsque le mythomane révélait mon identité au
public après l’avoir obtenue à l’aide de piratage informatiques et
l’associait à l’attentat de Karachi du 8 mai 2002 ainsi qu’à une
montagne d’inventions calomnieuses à mon encontre, bien des magistrats
savaient ce qui allait en découler s’ils n’intervenaient pas rapidement
pour faire cesser le trouble à l’ordre public.
Admettons qu’ils n’aient alors rien vu ou n’aient pas été prévenus
tout de suite, ce que je ne crois pas une seule seconde. Ce n’est plus
le cas lorsque je commence à porter plainte. Or, que font-ils alors ?
Ils ne trouvent rien de mieux à faire que d’armer toujours plus le
malade mental au clavier…
Ils ont bien voulu et favorisé au maximum sinon commandité ou
organisé eux-mêmes l’intégralité des attentats terroristes qui ont été
commis sur le sol français à compter de mars 2012.
Ces magistrats ne sont pas des inconnus, ils ont des noms.
On sait qui ils sont, où ils logent ou sévissent, et ce qui les motive : ultra CORROMPUS, ASSASSINS
multi-récidivistes, ils ont opté pour la stratégie du chaos afin d’être
en mesure de faire disparaître toutes les traces de leurs précédents
crimes.
Seulement voilà, leur calcul est erroné, ils ne parviendront jamais
qu’à faire assassiner toujours plus d’innocents en pure perte.
Que font leurs collègues ?
Qu’attendent-ils encore pour prendre les mesures adéquates ?
La magistrature française nécessite d’être définitivement purgée de ces criminels.
François Molins : «Je pense (…) qu’on est clairement (…) face à ce qu’on pourrait qualifier de projet d’attentat déjoué»
Les forces de sécurité
françaises ont bien déjoué la semaine dernière le premier projet
d’attentat de l’année, avec l’arrestation d’un homme de 33 ans dans le
Gard, a déclaré mardi le procureur de la République de Paris, François
Molins sur RTL.
VIDÉO – Interrogé par RTL, le procureur de Paris alerte sur la
potentielle dangerosité des femmes et des mineurs. Il estime par
ailleurs que les autorités locales sont «légitimes» pour juger les
prisonniers français arrêtés sur les zones de conflit.
Le procureur de Paris, François Molins, est revenu mardi matin sur RTL sur plusieurs sujets liés à la menace terroriste et au conflit irako-syrien. Lefigaro.fr fait le point sur les principales déclarations de son intervention.
• Le niveau de la menace terroriste
Selon François Molins, l’effondrement militaire du Califat
n’est pas synonyme d’une baisse de la menace terroriste en France. «On
avait une grosse menace exogène venant de l’étranger [au moment de
l'expansion de Daech, mais aujourd'hui] les filières venant d’Irak et de
Syrie se sont taries.» De la même manière, il n’y a presque plus de
candidat au départ vers les zones de combats.
Plus puissants que les Etats, plus riches que les banques, qui peut
arrêter les GAFA ? La Chine ? La régulation ? Ou peut-être les citoyens
eux-mêmes…
Pourtant autant, «Daech continue de vivre dans d’autres zones
géographiques que le Moyen-Orient, en Afrique notamment» et continue à
appeler à commettre des attentats en France. La menace est donc «plus
diffuse, plus difficile à cerner car elle vient de chez nous, de la part
de gens moins connus des services de renseignement. Cette menace risque
de durer plusieurs années.»
• La potentielle dangerosité des femmes et des mineurs
François Molins avertit que les femmes et les mineurs peuvent
représenter une menace dont on ne se doutait pas jusqu’à maintenant. «On
a longtemps cru que les femmes étaient cantonnées par Daech à des
tâches ménagères, explique-t-il. Or, elles ont été impliquées dans des
opérations et ont appris à manipuler les armes. C’est une inflexion qu’a
connu Deach cet été: femmes et enfants ont été appelé au djihad armé.
Il n’est pas exclu qu’il y ait dans l’avenir des femmes et des mineurs
impliqués dans des activités combattantes. Cela traduit un délitement et
la fin de l’histoire sur le plan militaire de cette organisation.»
C’est pour cela que le procureur de Paris appelle à «cesser
l’angélisme» sur la question. En cas de retour d’un mineur, celui-ci est
«judiciarisé» au-dessus de 13 ans. En-dessous, on est essentiellement
dans des prises en charge d’ordre éducative. «Ces petits, qui ont vécu
dans des conditions pas normales, qui ont pu être amenés à voir des
décapitations, qui ont vu des armes tous les jours, qui ont grandi dans
des valeurs antidémocratiques, anti-tout, sont peut-être des bombes à
retardement et doivent être éduqués. C’est un véritable enjeu pour les
années à venir.»
• La question des prisonniers français
Concernant la question des djihadistes prisonniers en Irak et en Syrie,
le procureur de Paris a affiché une position proche de celle du
gouvernement français. Il a tenu à distinguer les deux pays. L’Irak,
tout d’abord, où il existe «un gouvernement légitime pour mettre en
œuvre les peines de sa législation», en jugeant l’individu par lui-même
ou en le remettant à son pays d’origine, quand bien même ce pays
applique la peine de mort.
La Syrie, ensuite. Ici la question est différente puisqu’il n’y a pas
de relation diplomatique entre les deux pays. Il n’y a donc pas de
convention d’extradition. Mais les organisations kurdes qui contrôlent
une partie du nord du pays n’ont pas non-plus la légitimité étatique
pour juger.
Faut-il pour autant les rapatrier? François Molins rappelle que ces
les personnes prisonnières «ont commis des exactions contre des civils,
rejoint une organisation qui a appelé au djihad armé contre la France et
été arrêtés dans le cadre d’un conflit armé […] Il faut retourner la
question. Si l’on avait des terroristes étrangers qui viendrait
commettre des attentats sur notre sol, est-ce qu’on ne souhaiterait pas
les juger? Si elles ont participé à une organisation terroriste, l’État,
là-bas, n’est-il pas légitime pour les juger?» Le procureur a par
ailleurs rappelé à quel point il était difficile d’évaluer le degré de
sincérité des «revenants» qui affirment tous avoir perdu leurs illusions
envers Daech et souhaiter rentrer «chez eux». À ce titre, le témoignage d’un détenu français aux mains des forces kurdes, dans un reportage diffusé dimanche soir par France 2 l’a «laissé très perplexe».
Il faut « éviter » que les djihadistes détenus en Irak rentrent en France, selon Manuel Valls
12h01, le 23 janvier 2018
Concernant le sort des détenus radicalisés en prison, Manuel Valls est favorable à des unités hermétiques@ JOEL SAGET / AFP
L’ancien Premier ministre Manuel Valls estime que le retour en
France des djihadistes détenus en Irak est à « éviter » tout en
demandant aux autorités locales de ne pas appliquer la peine de mort
pour ces Français.
Manuel Valls a appelé mardi à « éviter » que les djihadistes français détenus en Irak
« rentrent en France, hommes ou femmes, quelle que soit l’issue », même
si « on peut intervenir auprès des autorités irakiennes » pour que, le
cas échéant, la peine de mort « ne soit pas appliquée ».
« Une forme de déchéance de nationalité ». Pour l’ancien
Premier ministre, ces djihadistes ne doivent pas être jugés en France,
même s’ils risquent la peine de mort en Irak. « Nous devons éviter
qu’ils rentrent en France, hommes ou femmes, quelle que soit l’issue », a-t-il affirmé sur BFMTV et RMC, ajoutant que « d’une certaine manière nous appliquons, sans le dire, une forme de déchéance de la nationalité ».
« Comme le terrorisme nous fait la guerre, là on est dans un moment
particulier où je pense que nous devons être intransigeants, très
clairs », a-t-il développé. « C’est difficile à assumer, mais il faut le
faire. Il ne faut pas le faire de manière hypocrite, nous savons ce qui
se passe en Irak, nous savons quelle est la justice irakienne ».
Demander de ne pas appliquer la peine de mort. « Je pense
qu’on peut intervenir auprès des autorités irakiennes pour que cette
peine de mort ne soit pas appliquée, mais c’est déjà extrêmement
compliqué, c’est un pays souverain », a estimé le député (ex-PS devenu
apparenté LREM) de l’Essonne. « Je reconnais qu’il y a une confrontation
juridique, voire quasi philosophique, entre ce que représentent comme
danger pour nous ces terroristes et la question de la peine de mort »,
a-t-il ajouté.
Les détenus radicalisés, de véritables « bombes à retardement ». Interrogé sur la situation dans les prisons, au 9ème jour du mouvement de blocage par les surveillants,
déclenché par l’agression de gardiens par un détenu djihadiste, Manuel
Valls a par ailleurs estimé que les détenus radicalisés représentaient
« une véritable bombe à retardement ». On est passé de « 700 détenus
considérés comme radicalisés » en 2015 à 1.500 début 2018, a-t-il
souligné, « et on voit bien que ça va progresser ».
Privilégier « la prévention à l’égard des plus jeunes ».
« Tous les spécialistes vous disent que ceux qui sont dans ce processus
de radicalisation n’en sortiront pas », a-t-il affirmé, plaidant plutôt
pour « la prévention de la radicalisation, notamment en milieu carcéral,
à l’égard des plus jeunes ». « Il faut rendre au maximum hermétique le
lien possible entre radicalisés et ceux qui ne le sont pas », a déclaré
l’ex-Premier ministre qui croit « à des petites unités hermétiques,
décentralisées, déconcentrées, spécialisées, avec des gardiens -ils le
sont- formés ».
Un « besoin de reconnaissance » pour les surveillants. Manuel
Valls a également estimé que les gardiens de prison « ont besoin de
reconnaissance, d’empathie (…) ils ont évidemment aussi une attente en
matière rémunération, de primes, de formation (…) ce travail doit être
évidemment fait ». « Nous avons peut-être perdu, les uns et les autres,
il faut le reconnaître, beaucoup de temps par rapport à une profession
qui souffre (…) peut-être d’abord d’un manque de considération », a-t-il
dit.
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