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lundi 13 février 2017

Calvados : six personnes sous les verrous pour actes de torture et de barbarie


Cela ne s’est pas produit dans la cave de la Maison de l’Horreur de Puy-l’Evêque, mais c’est tout comme.

Ces actes sordides tout à fait dignes des amusements quotidiens des « déconnologues » de la bande du malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi ont eu lieu dans une maison de Cricqueville-en-Auge, dans le Calvados, à 64 km d’Aunay-sur-Odon, où est née leur instigatrice la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest, et même distance de Culey-le-Patry, commune limitrophe de celle de Saint-Lambert où résident ses amis les cybercriminels Sylvie et Laurent Depierre, distingués « déconnologues ».


Carte depuis Cricqueville-en-Auge pour Aunay-sur-Odon


Carte depuis Aunay-sur-Odon pour Culey-le-Patry


Carte depuis Cricqueville-en-Auge pour Culey-le-Patry


Saint-Lambert



http://www.lamanchelibre.fr/actualite-268827-calvados-6-personnes-soupconnees-esclavagisme-interpellees.html

Calvados : 6 personnes soupçonnées d’esclavagisme interpellées


Calvados : 6 personnes soupçonnées d'esclavagisme interpellées

La femme réduite en esclavage a réussi à s’enfuir du domicile de ses bourreaux.

- DR
Le 11 février 2017 à 12:12
Par : Matthieu Toussaint

Six personnes ont été interpellées près de Dozulé (Calvados) jeudi 9 février pour des faits d’esclavagisme. Ces bourreaux des temps modernes pourraient être traduits devant une cour d’assises.

Quatre membres d’une même famille et deux personnes leur étant proches ont été interpellés par la gendarmerie jeudi 9 février à Cricqueville-en-Auge (Calvados), une petite ville proche de Dozulé à l’est de Caen. Ils sont soupçonnés d’acte de torture et de barbarie envers une personne vulnérable.

Cendrillon des temps modernes


Les forces de l’ordre ont été alertées par une femme de 46 ans, qui venait de s’échapper du domicile familial. Placée sous curatelle, et donc considérée comme vulnérable, elle était devenue la bonne à tout faire de cette famille. Une Cendrillon des temps modernes en quelque sorte, avec les coups et les brimades en plus.

Car, non contents de lui faire exécuter toutes les tâches ménagères, ces membres d’une même famille âgés de 22 à 52 ans, la frappaient régulièrement.

30 ans de prison


Les six personnes interpellées jeudi 9 février ont été présentées dès le vendredi 10 février à un juge d’instruction. Au moins quatre d’entre eux ont été mis en examen et placés en détention. Les faits reprochés pourraient les conduire devant une cour d’Assises. Ils encourent jusqu’à 30 ans de prison.



http://www.lepaysdauge.fr/2017/02/10/six-personnes-interpellees-dans-une-affaire-d-esclavagisme-pres-de-dozule/

Cricqueville-en-Auge MISE À JOUR. Affaire d’esclavagisme près de Dozulé : une seconde victime et six personnes sous les verrous


Vendredi 10 février 2017, les six personnes interpellées à Cricqueville-en-Auge, près de Dozulé (Calvados) ont été incarcérées et une seconde victime a été identifiée.


11/02/2017 à 17:26 par Sophie Quesnel

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C’est dans cette maison proche de Dozulé (Calvados), à l’abri des regards que la famille maltraitait les victimes. (Photo RD)

Vendredi 10 février 2017, six personnes ont été incarcérées dans une sombre affaire d’esclavagisme. Elles sont soupçonnés d’avoir torturé et réduit en esclave, une femme de 47 ans, à Cricqueville-en-Auge (Calvados).

La victime, une personne vulnérable aurait subi des actes qui confinent à l’esclavage.
C’est une histoire à la fois triste et sordide confie une source proche de l’enquête.

 

Présentés au parquet puis incarcérés


Les auteurs présumés qui ont été placés en garde à vue ont été présentés le vendredi 10 février 2017 au parquet de Caen qui les a déférés dans la foulée. Les six mis en cause, quatre personnes dont quatre d’une même famille et deux proches âgée de 23 à 52 ans, sont soupçonnés de traite d’un être humain avec acte de torture et de barbarie. Ils encourent une peine de réclusion à perpétuité.

Selon Carole Étienne, procureur de Caen :
une seconde victime, en voie d’exploitation a pu être sortie de la famille

L’enquête, confiée Pôle criminel du parquet de Caen, devra déterminer, entre autres, si la victime principale faisait l’objet de privation de nourriture et de liberté et d’autres personnes sont mêlées à cette affaire.

14430 Cricqueville-en-Auge
Sophie Quesnel
Journaliste Le Pays d’Auge



http://actu.orange.fr/france/calvados-6-personnes-suspectees-de-torture-et-d-esclavagisme-CNT000000CUKtO.html

Calvados : 6 personnes suspectées de torture et d’esclavagisme


Calvados : 6 personnes suspectées de torture et d'esclavagisme
Les six suspects ont été interpellés près de Dozulé (Calvados) le jeudi 9 février (photo d’illustration).
©MYCHELE DANIAU, AFP
 
Orange avec AFP, publié le dimanche 12 février 2017 à 16h56

Six personnes ont été mises en examen et écrouées vendredi dans le Calvados pour avoir commis des actes de torture et de barbarie sur une femme de 47 ans. La victime, présentée comme « vulnérable », était devenue leur esclave.

Les faits se sont déroulés à Cricqueville-en-Auge, un petit village normand situé à une poignée de kilomètres au sud de Cabourg (Calvados). « Sous couvert de ‘jeux’, tels qu’ils sont décrits par les mis en examen, le parquet, puis le juge d’instruction ont estimé qu’ils devaient être qualifiés comme des actes de torture et de barbarie », a expliqué le procureur de la République de Caen, Carole Étienne.

Une seconde victime ?

Les suspects, âgés de 23 à 52 ans, sont quatre personnes de la même famille et deux personnes de leur entourage. Quant à la victime, c’est une majeure placée sous curatelle qui était hébergée chez eux, sous couvert d’un emploi. Selon France Bleu Normandie, c’est l’organisme de protection chargé de la suivre qui a donné l’alerte.

Quoique majeures, certaines personnes sont dans l’impossibilité d’accomplir les actes de la vie civile, d’exercer leurs droits personnels, de gérer leur patrimoine. C’est pour de tels cas qu’a été créé le statut de majeur protégé, une mesure de protection visant à garantir les majeurs vulnérables d’actes malencontreux. Les circonstances qui rendent nécessaires la protection de certains majeurs sont essentiellement l’altération de leurs facultés mentales ou corporelles.

Une seconde victime aurait subi pour sa part des « actes de violence » et été mise à l’abri, a précisé le parquet. Si les faits sont avérés, les suspects risquent jusqu’à 30 ans de prison.

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