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mardi 29 octobre 2024

Quels rapports entre Samuel Gonin et Liam Payne ?

Il y a pour commencer l'un des comptes X/Twitter très étranges que j'avais mentionnés dans cet article du 22 octobre dernier :

http://satanistique.blogspot.com/2024/10/samuel-gonin-connaissait-il-tao.html

C'est celui-ci :

https://x.com/DigitalAssetWha

Ouvert le 18 octobre 2024, c'est le seul à être actuellement actif.

Depuis le 22 octobre, son auteur n'a pris aucun nouvel abonnement.

En revanche, il a désormais quelques abonnés : 7 dès dimanche et 11 aujourd'hui.

Tous ces comptes ont été ouverts aux noms de femmes avec des avatars de femmes entre avril 2023 et janvier 2024. Deux d'entre eux sont liés à des sites porno.

L'addiction aux drogues et à l'alcool ainsi que des comportements abusifs à l'endroit des femmes, des jeunes filles, voire de très jeunes filles, font manifestement partie des points communs entre Samuel Gonin et Liam Payne.

Ce dernier avait suivi une cure de désintoxication de 100 jours dans un centre situé en Louisiane en 2023.

Quant à Samuel Gonin, il est probable qu'il soit l'auteur de ces deux comptes, l'un ouvert en 2021 sur un site dédié aux vins, et l'autre à une date inconnue sur le site Drogues info service :

https://www.raisin.digital/fr/profil/samvabien/

https://www.drogues-info-service.fr/layout/set/print/Users/Membres/samvabien

En outre, il est décrit par certaines sources comme un "fêtard invétéré".

Enfin, Lina sortait à l'insu de sa mère. Elle lui disait alors être chez une copine, mais ce n'était pas le cas, elle allait en boîte de nuit.

 

Lire ou relire :

https://satanistique.blogspot.com/2024/10/16-octobre-gregory-en-1984-et-lina-40.html

https://satanistique.blogspot.com/2024/10/affaire-lina-delsarte.html

https://satanistique.blogspot.com/2024/10/des-histoires-dargent-de-samuel-gonin.html

https://satanistique.blogspot.com/2024/10/samuel-gonin-connaissait-il-tao.html

http://satanistique.blogspot.com/2024/10/affaire-lina-delsarte-des-resultats.html

http://satanistique.blogspot.com/2024/10/liam-payne-des-debuts-jusqua-la-fin.html

http://satanistique.blogspot.com/2024/10/liam-payne-les-polemiques-avant-sa-mort.html

http://satanistique.blogspot.com/2024/10/liam-payne-ne-sest-pas-suicide.html



https://www.20minutes.fr/arts-stars/people/4045536-20230713-apres-100-jours-centre-desintoxication-liam-payne-annonce-etre-sobre-depuis-presque-six-mois

Après 100 jours dans un centre de désintoxication, Liam Payne annonce être sobre depuis presque six mois

 
REGENEREPour l’ancien One Direction, « la fête est finie »

20 Minutes avec agences


Après un long silence, Liam Payne s’est expliqué. Non seulement sur son absence médiatique, mais aussi son comportement. L’ancien chanteur de One Direction a publié une vidéo sur YouTube dans laquelle il annonce être sobre depuis presque six mois, mais aussi avoir passé 100 jours dans un centre de désintoxication situé en Louisiane.

« J’avais besoin de prendre un peu de temps pour moi parce que, quelque part, je ne reconnaissais plus la personne que j’étais devenue, explique l’artiste qui, de son propre aveu, sentait qu’il n’avait plus prise sur sa vie. Et je suis sûr que vous ne me reconnaissiez pas non plus, les gars. Je n’étais pas en forme et j’ai été très heureux de faire une pause dans ma vie et mon travail. »

D’autant plus que cette cure de désintoxication ne concernait pas seulement l’alcool, mais aussi son exposition aux réseaux sociaux.

Injoignable

« Je n’ai pas eu accès à mon téléphone pendant presque 100 jours », assure Liam Payne dans son message vidéo. « Je n’avais aucun contact avec le monde extérieur. Et en partant, la chose la plus difficile a été de rallumer le téléphone parce que c’était un peu flippant. » Et de conclure : « Ça fait du bien de se sentir dans cette position. La fête est finie. » Reste à espérer que Liam Payne saura profiter de ce nouveau départ dans sa vie personnelle comme professionnelle !

 

https://www.estrepublicain.fr/faits-divers-justice/2024/08/19/disparition-de-lina-samuel-gonin-avait-harcele-des-femmes-dans-mon-restaurant

Disparition de Lina : « Samuel Gonin avait harcelé des femmes dans mon restaurant »

 
Suite aux révélations publiées dans les colonnes de L’Est Républicain , les témoignages affluent concernant le profil de Samuel Gonin, principal suspect dans la disparition de la jeune Lina. Le gérant d’un établissement à Besançon indique avoir été contraint de le « virer » au cours de l’année 2023.
 
Valentin Collin - 19 août 2024 à 20:04 | mis à jour le 21 août 2024 à 13:41 - Temps de lecture : 3 min

 

« Au cours de la soirée, je l’ai vu s’approcher des tables et proposer des verres à des groupes de femmes. J’ai immédiatement ressenti une gêne chez mes clientes », indique un restaurateur bisontin.  Photo DR
« Au cours de la soirée, je l’ai vu s’approcher des tables et proposer des verres à des groupes de femmes. J’ai immédiatement ressenti une gêne chez mes clientes », indique un restaurateur bisontin.  Photo DR

 

Qui était réellement le suspect numéro 1 dans la disparition de Lina au cours des dernières années de sa vie ? Comment expliquer son changement brutal de comportement ? Ces questions, un expert y a en partie répondu dans un rapport rédigé quelques jours avant sa mort. Un examen demandé par le parquet de Besançon, en vue d’une comparution de Samuel Gonin devant le tribunal pour deux vols aggravés. Ces quelques pages ne permettent pas de répondre à toutes les interrogations et notamment d’éclairer son rapport aux femmes. Le patron d’un établissement bisontin lève le voile sur une part sombre de cet homme, suspecté d’être impliqué dans l’enlèvement de Lina, le 23 septembre 2023, dans le Bas-Rhin.

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« J’ai ressenti une gêne chez mes clientes »

Quand les premières photos de Samuel Gonin sont apparues dans la presse, le gérant n’a pas immédiatement reconnu l’intéressé. « Un collègue a fait le rapprochement et m’a envoyé un message. Nous avions dû tous les deux l’évincer de nos restaurants au cours de l’année 2023 », indique ce témoin clé. Les faits se sont déroulés peu de temps avant la disparition de Lina. « C’était un mercredi soir, je m’en souviens bien. J’avais du monde dans la salle principale. Samuel Gonin se trouvait seul au bar et consommait des verres. Je le connaissais, il était déjà venu par le passé et n’avait jamais posé aucun problème, affirme le restaurateur. Au cours de la soirée, je l’ai vu s’approcher des tables et proposer des verres à des groupes de femmes. J’ai immédiatement ressenti une gêne chez mes clientes ».

« Je l’ai pris par l’épaule et je lui ai demandé de sortir »

Le patron a demandé une première fois à Samuel Gonin de s’arrêter et de ne plus les importuner. « Il m’a dit : “C’est bon, je leur propose juste de boire un verre” ». L’échange aurait pu s’arrêter là. Mais quelques minutes plus tard, Gonin a recommencé. « Il continuait de harceler ces femmes. Je suis venu le voir, je l’ai pris par l’épaule et je lui ai demandé de sortir. » Il a quitté les lieux avant de se rendre dans un second restaurant du centre-ville, à quelques centaines de mètres. « Le lendemain, j’ai croisé un collègue qui m’a fait part de ses problèmes avec un client. En échangeant, nous avons fait le lien : il s’agissait de Samuel Gonin. Quand ses photos sont sorties dans la presse mi-juillet, il l’a reconnu et m’a contacté. »

Une personnalité « borderline »

Un témoignage qui, avec le recul, interpelle. Qu’est-ce qui le poussait à agir ainsi, à se montrer « oppressant » ? Aux enquêteurs qui l’interrogeaient en juin dernier, à propos d’une série de vols violents commis dans le quartier des Chaprais, à Besançon, Samuel Gonin prétendait avoir « dévissé après une rupture douloureuse ». La seule expertise psychiatrique de Samuel Gonin accrédite également l’hypothèse d’une dépression et d’un changement d’attitude brutal. Dans ce document d’une dizaine de pages, le docteur, qui a échangé avec lui, décrit un individu « d’une intelligence normale ». En revanche, il laisse apparaître une personnalité « borderline ».

« Monsieur Gonin était parfaitement inséré jusqu’à la quarantaine »

« En clair, il ne souffrait pas d’une véritable pathologie psychiatrique. Il n’était pas dans la psychose, mais il présentait des signes inquiétants », précise une source proche du dossier. Dans le rapport, le médecin poursuit : « Monsieur Gonin était parfaitement inséré jusqu’à la quarantaine ». La consommation de substances toxiques associées à des troubles dépressifs ont dégradé sa santé mentale. « Il est difficile d’évaluer son état de dangerosité. Cette dangerosité semble plutôt à craindre contre lui-même. » Des conclusions troublantes à la lecture des nouveaux éléments qui accablent le principal suspect.

Le 10 juillet dernier, après une première tentative de suicide, Samuel Gonin s’est donné la mort dans son appartement des Près-de-Vaux, à l’âge de 43 ans. Il a rédigé ces quelques phrases énigmatiques : « J’ai perdu mon honneur, ma dignité et mon humanité. Je dois partir, je ne sais pas me contrôler, ça va trop vite ».
 
 

Mort de Lina : cette question à laquelle les enquêteurs veulent désormais une réponse

Zoé Duarte | à 08h21 - Mis à jour le lun. 21 octobre 2024 à 21h58


Ce mercredi 16 octobre, le corps de Lina a été retrouvé près de Nevers. Une découverte qui accable un peu plus le principal suspect, Samuel Gonin, qui s'est suicidé en juillet dernier sans pouvoir donner la réponse à de nombreuses questions qui subsistent encore.

Bientôt le dénouement de "l’affaire Lina" ? Portée disparue depuis le 23 juillet 2023, la jeune Lina, 15 ans, se trouvait alors dans la région de Strasbourg et tentait de rejoindre son petit-ami, Tao. Pourtant, c’est à 400 kilomètres de là, dans "un cours d’eau" de Nevers, que le corps de la jeune fille a été retrouvé, "dans une zone boisée et isolée". Une localisation qui corrobore la piste principale des enquêteurs, qui suspectent Samuel Gonin, un homme de 43 ans propriétaire de la Ford Puma dans laquelle l’ADN de l’adolescente avait été retrouvé.

Mais le 10 juillet dernier, le père de famille s’est ôté la vie, enlevant au passage toute chance aux enquêteurs de l’interroger. "J’ai perdu mon honneur, ma dignité, mon humanité, je dois partir. Je ne sais pas me contrôler, ça va trop vite", avait-il alors écrit dans une lettre de suicide adressée à ses proches. Une catastrophe pour les détectives qui font aujourd’hui le lien entre la Ford, géolocalisée à Nevers le lendemain de la disparition de la jeune fille, et cette découverte macabre. En effet, ils ne pourront pas poser à Samuel Gonin l’une des dernières questions qui reste aujourd’hui sans réponse : a-t-il agi seul ? "Il faudra reconstituer son parcours, voir s’il avait des attaches dans cette région, s’il a pu bénéficier éventuellement de complicité…", rappelle Matthias Tesson, journaliste police-justice sur BFMTV.

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Retrouvé fin juillet sur des cordes présentes dans le coffre d’une voiture volée près de Narbonne, l’ADN de Lina a rapidement permis aux enquêteurs d’identifier un suspect : Samuel Gonin, propriétaire de cette Ford Puma qui se trouvait à l’origine près du lieu de la disparition de l’adolescente. Un père de famille de 43 ans, séparé de la mère de ses enfants, ancien commercial devenu professeur en menuiserie dans un collège. Un homme tout ce qu’il y a de plus banal donc. Diagnostiqué bipolaire, il laisse le souvenir d’un "bon bosseur (...) très gentil" à son voisin Jean-François, qui le décrit comme "faisant du vélo avec ses enfants tous les dimanches". Pourtant, la nuit, Samuel mène une toute autre vie : fêtard invétéré et consommateur de cocaïne, il avait été condamné à 15 mois de prison avec sursis pour refus d’obtempérer et conduite sous l’emprise de stupéfiants. Exclu d’un restaurant de sa ville pour son rapport dérangeant à la clientèle féminine, Samuel Gonin entame une relation avec une professeure de musique en 2023, chez qui il s’installe. Mais, alors qu’il se met en arrêt maladie, le menuisier arrête son traitement et se met à consommer de plus en plus de drogue. Il s’enfuit de chez son amante, après lui avoir volé 5000 euros et enchaîne les larcins, allant jusqu’à voler une voiture en Allemagne. Une expertise psychiatrique a conclu, non pas à une bipolarité, mais à un trouble de la personnalité borderline.

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Article écrit en collaboration avec 6Médias

Crédits photos : Capture écran TF1

 
 
 




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