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jeudi 24 octobre 2024

Des persécutions de l'Etat islamique sur les femmes yézidies

Les amis toulousains du terroriste "islamigré" Pascal Edouard Cyprien Luraghi n'étaient obsédés que par l'idée de violer ces femmes, dès le plus jeune âge.

Comme leur maître, qui défend systématiquement tous les pédocriminels et écrivait en 2009 à propos de l'affaire Polanski (plus amples extraits rapportés ci-dessous après l'article de France TV Info) :

 

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cyp répond à 23692
Le 9 octobre 2009 à 15:01 | Permalien
J’aime pas Finkelkraut. Annie l’a entendu ce matin sur Inter et elle m’a raconté. Je suis d’accord avec lui pourtant, sur ce point précis : des bombasses chaudes du cul de treize ans, j’en ai connu un bon paquet. Assez d’angélisme ! Côté putes, j’ai tout ce qu’il faut en stock dans ma famille… et pas que ma tata Rolande…
C’est à se demander dans quel monde vivent tous ces blancs-becs et ces pieds-tendres, prompts à dégainer leur clavier pourri. Z’ont vraiment aucun notion de la réalité.
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cyp répond à 23715
Le 9 octobre 2009 à 18:39 | Permalien
Je sais : c’est tout à fait inconvenant de dire ça, mais pourtant ça existe, des bombasses de 13 balais. J’insiste lourdement sur ce point… alors évidemment, les mecs devraient se cramponner les couilles, mais dans les faits, ce n’est pas ce qui se passe.
Je dis ça alors que moins libidineux que moi, c’est dur à trouver : même tout jeune, je n’ai jamais marché avec la bite en avant.
Je dis : il y a des milieux – quart-monde, business, culture – par lesquels des lolitas frivoles sont attirées, pour tout un tas de raisons. L’ambition, le strass et les paillettes… et le cul. Nier ça, c’est être aveugle. Je sais de quoi je parle, vraiment. Je l’ai touché du doigt dans ma propre famille ; je ne peux pas décemment en parler plus en public, mais ceux qui me connaissent vraiment savent que je ne mens pas, ni ne frime. Je m’en serais bien passé, pour tout dire.
Nier ça, c’est faire comme cette éditrice qui, en 99, m’avait souligné au rouge une scène – vécue – dans laquelle je décrivais une famille de trapanelles craignos, et où la Maria de service déclarait haut et fort faire un mioche par ans pour les allocs. Elle en était à son huitième. Mais ça ne se dit pas, ces choses-là… sauf chez les fachos. Je me suis battu pour conserver cette scène, et elle y est toujours.
Alors oui : j’en ai jusque là de l’angélisme. Désolé.

 

Son amie "déconnologue" répondant au pseudonyme de "dodu", une femme médecin, lui répondait alors :

 

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dodu répond à 61788
Le 3 mai 2010 à 15:52 | Permalien
Je n’ai pas envie de continuer à discuter de ce sujet avec toi , bientôt tu vas nous expliquer que c’est la fille qui a violé ce pauvre adulte traumatisé..;tu sais comme moi que Polanski a payé , très cher , les parents de la fille pour que soit abandonné l’accusation de viol. Et c’est légal .


En février 2011, après qu'ils eurent assassiné Patricia Bouchon à Bouloc, elle lui expliquait publiquement que son corps ne porterait plus aucune trace exploitable après avoir séjourné un an à l'endroit où ils l'avaient laissé, à 12 km du lieu du crime, dans une buse, sous un petit pont de briques, avec bon espoir qu'il ne serait pas découvert de sitôt.

Manque de bol, il fut retrouvé assez rapidement pour qu'une autopsie concluante puisse être pratiquée et plusieurs ADN relevés.

Cependant, dès lors que l'identité de ses assassins fut connue, il ne fut plus question d'exploiter ces ADN ni même d'en reparler.

Pour autant, il n'est toujours pas exclu qu'un jour une vidéo du crime ressurgisse.



https://www.francetvinfo.fr/replay-radio/le-choix-franceinfo/leur-unique-objectif-etait-de-violer-les-femmes-au-proces-du-jihadiste-sabri-essid-des-documents-montrent-l-horreur-des-persecutions-sur-les-yezidies-commises-par-l-etat-islamique_6824228.html

"Leur unique objectif était de violer les femmes" : des documents judiciaires montrent l'horreur des persécutions sur les Yézidies commises par l'État islamique 
 

Pour la première fois, un Français de l'État islamique est mis en cause pour "génocide" et "crimes contre l'humanité". Le jihadiste Sabri Essid, demi-frère de Mohamed Merah et présumé mort en Syrie, est poursuivi pour avoir violé, torturé et réduit en esclavage des femmes yézidies en Syrie entre 2014 et 2016.
 
Article rédigé par Gaële Joly
Radio France
Publié
Temps de lecture : 5min 
 
Des femmes yézidies irakiennes brandissent des pancartes avec des photos de victimes de l'invasion de leur région en 2014 par le groupe État islamique (EI), le 2 août 2019. Photo d'illustration. (Safin HAMID / AFP)

 

Le dossier judiciaire révèle l'ampleur de ce trafic d'esclaves orchestré par l'État islamique. Parmi les nombreux documents internes au commandement de Daesh, et archivés dans le dossier judiciaire incriminant Sabri Essid, il y a cette note intitulée "Prix et mode d'emploi des esclaves islamiques". Ce document fixait des tarifs, par tranche d'âge, de ces esclaves yézidies, une minorité kurde polythéiste persécutée pendant des siècles et considérée comme "des adorateurs de Satan", par l'État islamique.

"Les prix pouvaient flamber au marché noir", se souvient Bahzad Farhan, qui nous parle depuis Dohuk en Irak, où il réside. Depuis dix ans, ce Yézidi répertorie les horreurs déversées sur la toile par les jihadistes. Le trentenaire a lui-même exfiltré directement sur le terrain 55 femmes et enfants yézidis : "Au milieu de la vente d'armes, d'explosifs, de ceintures d'explosifs, il y avait des filles, vierges de préférence ou des petits garçons. Les garçons âgés de 5 à 13 ans coûtaient entre 1 500 dollars à 6 000 dollars. Les filles âgées de 7 à 16 ans coûtaient très cher, de 7 000 dollars à 14 000 dollars." 

Bahzad Farhan a accumulé plus de 6 000 pages de captures d'écrans en infiltrant plusieurs groupes de vente sur la messagerie Telegram, des preuves, "les plus insoutenables", qu'il a soumises à la justice française : "On voyait par exemple une gamine de 10 ans poser de manière suggestive, maquillées, très dénudée et dans la conversation avec le jihadiste, on l'entendait pleurer. C'est bouleversant. Leur unique objectif, c'était de violer et de maltraiter ces femmes et ces enfants." Les garçons, eux, étaient enrôlés dès 7 ans, avec trois à sept semaines d'entraînement militaire pour se préparer à des missions suicides, sur le champ de bataille.

Des viols sur les fillettes autorisés à partir de 9 ans

Les membres de l'EI prenaient des photos des femmes et des filles pour se les échanger. "Les responsables de l'État islamique indiquaient clairement que les esclaves sexuelles devaient être données aux responsables et aux militants de l'État islamique en particulier aux combattants de première ligne", notent les juges dans le dossier de Sabri Essid. Près de 80% des Yézidies capturées étaient mises à disposition personnelle des combattants. Les 20% restant, "propriété collective" de l'État islamique, étaient réparties dans des camps militaires en Irak ou en Syrie.

Les tribunaux de Daesh délivraient des "contrats de ventes de bien", qui autorisaient leur propriétaire à disposer de l'esclave comme il le souhaitait, avec, soi-disant, des règles à suivre, d'après les préceptes d'une brochure de l'État islamique, intitulée "Quinze commandements pour forniquer avec les captives", document retrouvé par les forces spéciales américaines sur zone en 2015. Les juges islamiques autorisaient le viol sur les fillettes à partir de 9 ans, mais interdiction de toucher les femmes enceintes, interdiction de les faire avorter. Sauf que ces règles n'étaient jamais respectées, selon les spécialistes.

"Tout a commencé par l'attaque de leur village au Mont Sinjar, leur mari, leur père, leur frère, sont assassinés devant leurs yeux", rappelle Clémence Bectarte, l'avocate des deux femmes yézidies qui ont témoigné contre le jihadiste Français Sabri Essid et qui se sont portées partie civile dans le dossier. "Ensuite, elles sont enlevées avec leurs enfants et vendues à des combattants de l'État islamique. Elles subissent des viols et des crimes sexuels dont on a du mal à imaginer l'ampleur, avec du chantage fait sur leurs enfants, ça va beaucoup contribuer à les terroriser."

"Elles vont être pendant des années achetées puis revendues, jusqu'à être libérées et notamment grâce à Bahzad Farhan."

Clémence Bectarte, avocate

à franceinfo

Ces femmes sont aujourd'hui réfugiées pour la plupart en Australie, au Canada ou en Allemagne, pays d'accueil des exilés Yézidis. 

Cinq procédures judiciaires en cours en France

Au moment où la communauté internationale judiciarise ce trafic, dix ans après, des esclaves yézidies sont toujours séquestrées. La jeune Fawzia Sido, 21 ans, kidnappée il y a dix ans par un militant palestinien de Daech en Irak et emmenée par la suite à Gaza où elle était retenue, a pu retrouver la liberté il y a une dizaine de jours. 

Selon les derniers chiffres de l'Organisation internationale des migrations (OIM) qui date d'août 2023, 1 277 Yézidies sont toujours retenues captives à travers le monde. "La crainte d'un retour de Daesh en Irak ou en Syrie est réelle. Si Daesh reprend la main, ça va recommencer, d'où la nécessité de lutter aussi au niveau judiciaire, car ce qui est arrivé aux Yézidis est méconnu, estime Patrick Baudoin de la Ligue des droits de l'homme (LDH). L'utilité d'un procès de cette nature, c'est de faire connaître. Rien n'est pire que le silence pour ces crimes, car il permet aux bourreaux de poursuivre sans crainte."

En France, cinq procédures judiciaires sont en cours pour génocide du peuple yézidi. Deux concernent des "revenantes", des femmes françaises de jihadistes, aujourd'hui incarcérées après leur retour de Syrie et d'Irak.

 

 
 
 
A la une 28/09/2009 à 18h04

Affaire Roman Polanski : la polémique traverse l'Atlantique

Chloé Leprince | Rue89
 
 
  • Numerosix
    Numerosix
    Prisonnier dans le village (...)
    Quelle ambiance , sur ce fil ..
    • Yvon le Zébulon
      Yvon le Zébulon répond à Numerosix
      L'homme d'esprit n'est pas seul (...)
      Ouille Ouille ! ...
      Chlorophylle devrait bientôt s’appeler « Vaseline » !
  • muji
    muji
    français
    Oeuvre artistique et moeurs ne font pas toujours bon ménage. Encore une polémique qui va sans aucun doute diviser l’opinion : ceux qui appellent à la morale et la justice contre ceux qui excusent et appellent au pardon.
    Polanski n’a-t-il pas déjà purgé sa peine (32 ans d’exil) ?
    • Tout ça n’a strictement rien à voir avec la « morale ». Le viol est un crime, le viol d’une mineure de 13 ans est un crime pédophile. Il a échappé à la justice par la fuite, la procédure court donc toujours et il est totalement légitime et légal qu’il ait été arrêté pour être extradé.
      Ce qui fait polémique, ce qui est un scandale et une honte pure, c’est la levée de boucliers et la pétition de soutien dont bénéficie un membre de l’« élite » de la « caste » qui s’affirme ainsi intouchable. Que des ministres de la république s’indignent publiquement d’une arrestation parfaitement légale et légitime.
      Cet appel à une justice à deux vitesses choque, et c’est heureux, car on est censé avoir aboli les privilèges, en France.
  • dulconte
    dulconte répond à Compte supprimé le 4 janvier 3
    Mordu par un fachogarou
    La justice à deux vitesses c’est le juge qui voulait se faire de la pub en accrochant la peau de Polanski sur son grand totem qui en est responsable.
    Polanski a plaidé coupable, un accord avait été trouvé le juge a décidé de revenir en arrière...
     
    • Tokani
      Tokani répond à dulconte
      Oldmole
      Parfaite intox cher Dulconte ... Le génial Polanski a pris la fuite craignant que cet accord soit dénoncé ulterieurement , puis a bénéficié dans sa cavale dorée d’un Laxisme incroyable que lui confére l’appartenance à une « caste d’intouchables “
 Compte supprimé le 4 janvier 3
 Compte supprimé le 4 janvier 3 répond à dulconte
    • « Polanski a plaidé coupable, un accord avait été trouvé le juge a décidé de revenir en arrière… »
      Non, ce n’est pas comme ça que ça s’est passé. Polansky avait passé un accord de « plaider coupable » avec le procureur (c’est comme ça que ça se passe, pas avec le juge) sous réserve comme toujours que le juge l’entérine. Cet accord ne lui évitait pas du tout d’aller en prison, il pouvait seulement alléger la peine. Le juge a accepté l’accord à certaines conditions que Polansky n’a pas respectées. L’accord est donc tombé et Polansky s’est enfui avant d’être jugé. Car entre temps, il avait été relâché en attendant la décision, parce que la justice US n’applique pas systématiquement la détention préventive comme la justice française.
      En outre, ce n’est pas le juge qui décide de la culpabilité ni de la peine lorsqu’il y a procès, c’est le jury populaire. La justice à deux vitesses, c’est bien d’exiger que les riches et célèbres ne soient pas soumis à la même procédure que le commun des mortels.
      Citation de polansky à un journaliste en 1979 : « I like fucking young girls ».
      • Vos potes beaufs font du zèle à ce que je vois ? Ils se précipitent pour nazer ? Vous n’avez pas honte de ce genre de procédé ?
        Eh, les beaufs - les cyp, les numéro machin, les tilou, et autres navrants : je vous emmerde. Je n’ai pas fini d’écrire une intervention que vous m’avez déjà nasée, vous me suivez à la trace, vous êtes OBSEDES par ma petite personne - faut-il que vous soyez de pauvres lamentables obsédés pervers et minables. C’est pathologique : vous devriez consulter.
 
 
23694
cyp répond à 23692
Le 9 octobre 2009 à 15:01 | Permalien
J’aime pas Finkelkraut. Annie l’a entendu ce matin sur Inter et elle m’a raconté. Je suis d’accord avec lui pourtant, sur ce point précis : des bombasses chaudes du cul de treize ans, j’en ai connu un bon paquet. Assez d’angélisme ! Côté putes, j’ai tout ce qu’il faut en stock dans ma famille… et pas que ma tata Rolande…
C’est à se demander dans quel monde vivent tous ces blancs-becs et ces pieds-tendres, prompts à dégainer leur clavier pourri. Z’ont vraiment aucun notion de la réalité.

 

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