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mercredi 12 octobre 2016
Des tags "anti-flics" à l'Université de Paris 1 Panthéon-Sorbonne (Tolbiac)
Des tags incitant au meurtre de policiers ont été
découverts hier dans les locaux de l’Université de Paris 1
Panthéon-Sorbonne situés au 90 rue de Tolbiac dans le 13e arrondissement de Paris (Centre Pierre Mendès France).
Si ces inscriptions se réfèrent explicitement à l’attaque de samedi à
Viry-Châtillon contre quatre policiers dont l’un, grièvement brûlé, se
trouve toujours actuellement entre la vie et la mort, elles apparaissent
aussi alors que le cyberharceleur Pascal Edouard Cyprien Luraghi estime
devoir fermer au public la totalité de son blog, ou s’y voit contraint
sous la pression de complices ou de circonstances contraires.
Rappelons donc que plusieurs sites se rapportant à l’Université de
Paris 1 Panthéon-Sorbonne comptent parmi les pages similaires à son blog
pour le moteur de recherche Google, comme nous l’avons montré hier.
Mais, d’une part, sa fille qu’il a toujours fait participer à ses
exactions diverses et variées à mon encontre, tout comme d’ailleurs sa
femme et son fils, en était toujours étudiante en 2015, et d’autre part,
des protagonistes de la rixe ayant conduit à la mort du militant
antifasciste originaire de Brest Clément Méric en juin 2013 en sont
aussi, ou en étaient encore cette année-là.
Etant données leurs relations communes, il est très probable que ces
jeunes gens se soient tous fréquentés en 2013 et soient depuis restés
liés, constituant toujours de fervents supporters du malade mental
extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi.
Des tags «anti flics» découverts à l’université Panthéon-Sorbonne
>Faits divers|Céline Carez|11 octobre 2016, 22h01 | MAJ : 11 octobre 2016, 22h06|40
LP
Céline Carez
« Un bon flic est un flic mort ». « J’ouvre une bouteille à chaque
fois qu’ils ferment un cercueil d’un flic ». Les tags sont violents.
«C’est un appel au meurtre, estime un haut fonctionnaire à la préfecture
de police. Ces inscriptions sont apparues ce mardi sur les murs de
l’université Paris I Panthéon-Sorbonne, dans les locaux du centre Pierre
Mendes-France, rue de Tolbiac (XIIIe). En grand ! Certaines en rouge,
étalées dans les couloirs.
«Il n’y a pas de mot pour qualifier ça!, s’indigne Yvan Assioma,
responsable du syndicat Alliance-Police Paris. Au moment où un collègue
est entre la vie et la mort (le policier attaqué dans sa voiture en Essonne et brûlé, nldr), c’est ignoble de lire des choses comme ça!»
Le président de la Sorbonne a demandé aussitôt le concours de la
police. «Je requiers les services de la préfecture de police de Paris et
en particulier de la commissaire divisionnaire du XIIIe
arrondissements«, écrit le président dans un courrier que nous nous
sommes procuré.
Ce mardi soir, une enquête a été ouverte pour « dégradation de biens
publics ». «Le parquet de Paris pourrait requalifier les faits
d’«incitation à la haine», prévient le haut fonctionnaire. Demain
mercredi, les étudiants seront surpris de croiser dans les couloirs de
leur fac des policiers.
«Les universités sont un peu particulières, explique un commissaire
de police. Ce ne sont pas des ambassades. Mais elles sont protégées par
la vieille loi Edgar Faure. La police ne peut entrer dans l’enceinte de
l’université que sur autorisation du président». La police rentrera bien
à Panthéon-Sorbone et Jérôme Coumet, le maire (PS) du XIIIe espère que
« cette ignominie ne restera pas impunie »
VIOLENCES ANTI-FLICS – De violentes inscriptions « anti-flics » ont
été retrouvées sur les murs de l’université de la Sorbonne, relève « Le
Parisien ». « Un appel au meurtre » estime-t-on à la préfecture de
police. Le ministre de l’Intérieur a annoncé porter plainte.
12 oct 07:25
« Un bon flic est un flic mort ». Des inscriptions anti-police d’une
grande violence ont été découvertes mardi sur les murs de l’université
Paris I Panthéon Sorbonne. « J’ouvre une bouteille à chaque fois qu’ils
ferment le cercueil d’un flic », peut-on également lire, suivi d’un
hashtag #Viry-Châtillon. Contacté par Le Parisien, la préfecture de police a qualifiée ces inscriptions « d’appel au meurtre ».
Le ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve a confirmé qu’il avait
porté plainte comme il le fait « systématiquement » lorsque « des propos
inacceptables » sont tenus ou affichés, à l’encontre des autorités.
« Je l’ai fait car je suis indigné », a-t-il déclaré, revenant sur la
tragédie de l’attaque de Viry-Châtillon.
Ces inscriptions sont « constitutives d’apologie de crimes contre des
policiers », avait affirmé le ministre dans un communiqué. « Les auteurs
de ces inscriptions seront identifiés et interpellés » et « devront en
répondre devant la justice ».
« Au moment où un collègue est entre la vie et la mort, c’est ignoble
de lire des choses comme ça », s’est offusqué le responsable du
syndicat Alliance-Police Paris Yvan Assioma, en référence à l’état
critique dans lequel se trouve l’un des quatre policiers agressés dans
l’Essonne. Une enquête a été ouverte pour « dégradation de biens
publics », qui pourrait être requalifiée en « incitation à la haine ».
Sur accord du président de l’université, des policiers seront présents
dans les locaux de la Sorbonne aujourd’hui pour procéder à l’enquête.
VIDÉO – Agression à Viry-Châtillon : l’un des policiers placé dans le coma artificiel
VIDEO – Le syndicat de police Alliance dénonce une « incitation au crime »
Cazeneuve porte plainte après la découverte de tags antipolice à l’université Paris-I
Le Monde.fr avec AFP | 12.10.2016 à 11h25 • Mis à jour le 12.10.2016 à 14h34
Le ministre de l’intérieur, Bernard Cazeneuve, a annoncé mercredi 13
octobre qu’il portait plainte après la découverte de quatre tags
antipolice sur un site de l’université Paris-I Panthéon-Sorbonne, rue de Tolbiac.
« Frapper vite, frapper fort, un bon flic est un flic mort » ou encore « J’ouvre une bouteille à chaque fois qu’ils ferment le cercueil d’un flic », pouvait-on lire sur les murs des couloirs de l’université, selon le syndicat de policiers Alliance, qui dénonce des « tags insupportables ». Des constatations ont été faites par le commissariat du 13e arrondissement.
Apologie de crimes
Ces inscriptions sont « constitutives d’apologie de crimes contre des policiers », dit le ministre dans un communiqué, « les auteurs de ces inscriptions seront identifiés et interpellés » et « devront en répondre devant la justice ».
L’université a elle aussi annoncé, dans un communiqué, qu’elle portait plainte à la suite de « messages intolérables à l’encontre des fonctionnaires de police laissés sur ses murs », « aux antipodes des valeurs qu’elle défend ».
Les tags ont été découverts alors que le matin même plusieurs
centaines de policiers se rassemblaient en silence devant les
commissariats de France en solidarité avec leurs collègues agressés samedi sans l’Essonne.
Le centre est nommé en l’honneur de l’homme politique français Pierre Mendès France. Il est parfois appelé « centre Tolbiac », bien que ce nom désigne officiellement d’autres locaux de la même université.
Le bâtiment comprend trois tours d’inégales hauteurs, construites autour d’un noyau en béton armé. La tour A comprend 9 étages, la tour B 16 et la tour C, la plus grande, 22. Cette dernière s’élève à 70 m de hauteur1.
Les circulations, escaliers et ascenseurs, sont situées dans le noyau.
Les fondations sont réduites au minimum afin de placer les amphithéâtres
de la faculté dans les sous-sols. Les premiers étages fonctionnels sont
suspendus au-dessus des amphithéâtres, lesquels forment un socle. Le
toit de ces amphithéâtres est accessible.
Les locaux universitaires sont installés dans des modules cubiques
vitrés et identiques. La tour A en comprend un seul, la tour B deux l’un
au-dessus de l’autre, la tour C en empile trois. Dans le cas des tours B
et C, un espace est laissé entre chaque module, ce qui leur donne
l’aspect extérieur d’un empilement de cubes.
Vue du centre Pierre-Mendès-France depuis l’avenue Edison.
Dans le cadre de la rénovation du quartier au début des années 1970,
le rectorat de Paris souhaite y implanter un centre universitaire
important. Les architectes retenus, le studio français ANPAR (constitué
de Michel Andrault et Pierre Parat),
doit faire face à de nombreuses contraintes. Ils doivent ainsi créer un
centre pouvant accueillir près de 13 000 étudiants sur un terrain
étroit et triangulaire de 4 500 m22,1. L’immeuble est érigé entre février 1972 et septembre 19732,3.
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