La chute mortelle qui s’est produite la semaine dernière au lycée Marcelin-Berthelot de Saint-Maur-des-Fossés me rend malade, comme tous les autres crimes et malheurs dont les malfrats de la bande du cybercriminel Pascal Edouard Cyprien Luraghi sont responsables ou directement les auteurs.
N’étant pour l’instant pas apte à en dire tout ce que je voudrais, j’y reviendrai quand mon mal de crâne aura diminué et me contente pour ce soir de compléter l’information des éléments qui suivent.
Selon Le Parisien, les professeurs de l’établissement où les faits se sont produits disent leur incompréhension, et plusieurs des sources interrogées ont naturellement fait le lien avec le téléfilm diffusé la veille au soir.
Plusieurs communiqués ont été publiés sur le site de ce lycée, dont deux de son proviseur appelant dès le 28 septembre à « la dignité, la retenue et la solidarité », et le 30 à « refuser les rumeurs immondes qui attenteraient plus encore à la mémoire de Line, qui a choisi de nous quitter. »
Cela n’aura pas empêché son professeur de français des classes de 4ème et de 3ème au collège Edmond Nocard de Saint-Maurice de faire publier son torchon la concernant sur le site du malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi dès le 2 octobre 2016.
Rappelons que cet individu dont des écrits publics ont déjà été sanctionnés pour apologie de la pédophilie s’est fait connaître sur Internet pour des textes pornographiques et violant éhontément l’intimité de la vie privée de femmes qu’il s’acharne à calomnier et détruire par tous les moyens.
J’en fais partie. Sachant que je suis ingénieur, ce qui le dérange énormément, comme tous ses amis « déconnologues », dont l’ancienne professeure de français de Line, qui se cache sous le pseudonyme de « Malatrie » sur le site de ce hors-la-loi, il me vend publiquement comme prostituée et appelle régulièrement au viol ou au meurtre à mon encontre depuis juin 2010.
Il m’a aussi maintes fois menacée de mort depuis le début de ses harcèlements publics, en 2008, comme le savent bien les enseignants qui participent à toutes ses exactions à mon encontre, notamment Malatrie, dont la responsabilité dans la mort de Line est tellement évidente qu’elle aurait bien pris la fuite quand ses amis sont allés la trouver et la solliciter pour un discours, apparemment le lendemain des faits.
Notons pour finir que le collège où en définitive s’est bien noué le drame n’a fait paraître aucun communiqué sur son site, où la liste des professeurs principaux n’est pas non plus disponible.
Ces gens qui sans l’ombre d’un scrupule disent bien sur le site d’un malade mental extrêmement dangereux se défausser de leurs responsabilités sur des adolescents auxquels il n’appartient pas de prendre en charge des camarades de classe en difficulté n’oublient pas de se protéger eux-mêmes contre d’éventuelles atteintes similaires à celles auxquelles ils se livrent quotidiennement contre un certain nombre de personnes, y compris, donc, de leurs élèves les plus fragiles.
http://www.leparisien.fr/espace-premium/val-de-marne-94/chute-mortelle-au-lycee-29-09-2016-6159577.php
Chute mortelle au lycée
Clawdia Prolongeau et Fanny Delporte
Une jeune fille de 14 ans a chuté de trois étages à Marcelin-Berthelot, hier en fin de matinée. La thèse du suicide est largement privilégiée.
Il était 12 h 23, hier, lorsque le décès d’une jeune fille de 14 ans a
été prononcé, en contrebas de l’imposant lycée Marcelin-Berthelot, à
Saint-Maur-des-Fossés. L’élève de seconde a chuté du troisième étage en
fin de matinée. Selon toute vraisemblance, et même si l’enquête doit
encore le confirmer définitivement, elle se serait jetée volontairement
dans le vide. Les secours ne sont pas parvenus à la réanimer.
D’après nos informations, elle aurait sauté par une fenêtre alors qu’un cours venait de se terminer, et que ses camarades avaient quitté la salle. Vite, très vite, la nouvelle a fait le tour du lycée. « J’ai reçu un texto d’un ami alors que j’étais en cours pour me demander si j’allais bien, racontait cette élève de prépa. Sur le coup je n’ai pas compris. » Vers 14 heures, une file de voitures de police et de secours longeait encore l’établissement. L’intervention des secours a pu se dérouler « hors de la vue des élèves et des personnels », a précisé le maire (LR) Sylvain Berrios, grâce à l’intervention de la police municipale en renfort de la police nationale. Deux cellules médico-psychologiques ont été mises en place, l’une par le Samu, l’autre par le rectorat. Les familles qui le souhaitaient ont pu « être prises en charge directement au lycée ».
Incompréhension
Le geste de cette jeune fille susciterait l’incompréhension de l’encadrement de l’établissement. « Elle venait d’arriver au lycée, elle ne posait aucun problème », a expliqué une source proche du dossier, précisant, hier soir, qu’aucune « piste », personnelle ou en rapport avec le lycée, n’était privilégiée. Et cette même source de s’interroger sur un éventuel lien avec un téléfilm diffusé mardi soir, basé sur des faits réels, au sujet du harcèlement scolaire subi par une collégienne, qui l’a poussé à se suicider. Un lien que n’ont pu s’empêcher de faire certains élèves.
« Dans ma classe on parle du téléfilm de France 3 », glisse une élève de terminale qui raconte avoir entendu les sirènes pendant son cours de philosophie. « En sortant de cours, j’ai vu des hommes armés et des pompiers. Un de mes amis qui a vu arriver des policiers armés a cru à une attaque terroriste. Puis nous avons appris le décès d’une élève. Ça nous a glacé le sang. Certains pleuraient même si on ne savait pas qui c’était. Après l’affaire de Louis Pasquier et le journal la Mouette bâillonnée(NDLR : le responsable de ce journal lycéen avait reçu des menaces de mort après un numéro spécial consacré à Charlie hebdo), c’est encore un événement qui va choquer Berthelot et tous ses élèves. » Sur les réseaux sociaux, dans les groupes de conversation interclasses, la proposition que tout les élèves viennent habiller en noir jeudi était évoquée. « Je le ferai. Et je ne pense pas être la seule », conclut cette élève de terminale.
Lors d’une conférence de presse improvisée sur les coups de 17 h 30, la rectrice, entourée de la directrice académique et du proviseur du lycée, a fait part de son « immense émotion » et a appelé chacun à « faire preuve de retenue ». Sans donner plus de détails, elle a garanti que la cellule médico-psychologique resterait en place aussi longtemps que nécessaire. Un hommage à l’élève sera rendu demain dans l’établissement.Aujourd’hui, les cours auront lieu « normalement ».
Le ParisienD’après nos informations, elle aurait sauté par une fenêtre alors qu’un cours venait de se terminer, et que ses camarades avaient quitté la salle. Vite, très vite, la nouvelle a fait le tour du lycée. « J’ai reçu un texto d’un ami alors que j’étais en cours pour me demander si j’allais bien, racontait cette élève de prépa. Sur le coup je n’ai pas compris. » Vers 14 heures, une file de voitures de police et de secours longeait encore l’établissement. L’intervention des secours a pu se dérouler « hors de la vue des élèves et des personnels », a précisé le maire (LR) Sylvain Berrios, grâce à l’intervention de la police municipale en renfort de la police nationale. Deux cellules médico-psychologiques ont été mises en place, l’une par le Samu, l’autre par le rectorat. Les familles qui le souhaitaient ont pu « être prises en charge directement au lycée ».
Incompréhension
Le geste de cette jeune fille susciterait l’incompréhension de l’encadrement de l’établissement. « Elle venait d’arriver au lycée, elle ne posait aucun problème », a expliqué une source proche du dossier, précisant, hier soir, qu’aucune « piste », personnelle ou en rapport avec le lycée, n’était privilégiée. Et cette même source de s’interroger sur un éventuel lien avec un téléfilm diffusé mardi soir, basé sur des faits réels, au sujet du harcèlement scolaire subi par une collégienne, qui l’a poussé à se suicider. Un lien que n’ont pu s’empêcher de faire certains élèves.
« Dans ma classe on parle du téléfilm de France 3 », glisse une élève de terminale qui raconte avoir entendu les sirènes pendant son cours de philosophie. « En sortant de cours, j’ai vu des hommes armés et des pompiers. Un de mes amis qui a vu arriver des policiers armés a cru à une attaque terroriste. Puis nous avons appris le décès d’une élève. Ça nous a glacé le sang. Certains pleuraient même si on ne savait pas qui c’était. Après l’affaire de Louis Pasquier et le journal la Mouette bâillonnée(NDLR : le responsable de ce journal lycéen avait reçu des menaces de mort après un numéro spécial consacré à Charlie hebdo), c’est encore un événement qui va choquer Berthelot et tous ses élèves. » Sur les réseaux sociaux, dans les groupes de conversation interclasses, la proposition que tout les élèves viennent habiller en noir jeudi était évoquée. « Je le ferai. Et je ne pense pas être la seule », conclut cette élève de terminale.
Lors d’une conférence de presse improvisée sur les coups de 17 h 30, la rectrice, entourée de la directrice académique et du proviseur du lycée, a fait part de son « immense émotion » et a appelé chacun à « faire preuve de retenue ». Sans donner plus de détails, elle a garanti que la cellule médico-psychologique resterait en place aussi longtemps que nécessaire. Un hommage à l’élève sera rendu demain dans l’établissement.Aujourd’hui, les cours auront lieu « normalement ».
http://lycee-berthelot.fr/?p=2366
A la mémoire de Line…
A la mémoire de Line….
- 30 septembre 9h50
discours-à-la-mémoire-de-Line
- 28 septembre 20h.
communique-aux-parents-d’élèves-et-aux-élèves
- 28 septembre
https://twitter.com/Beatrice_Gille/status/781184139047436288
- 28 septembre 13h
http://www.education.gouv.fr/cid107020/deces-d-une-eleve-de-seconde-apres-une-chute-dans-son-lycee-marcelin-berthelot-de-saint-maur-des-fosses.html
Actualités
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Réouverure du collège mardi 7 juin par Administrateur le 2016-06-07
Le collège est ouvert aux horaires habituels.
Le collège est ouvert aux horaires habituels.
Urgent sécurité aux abords de l’établissement par Administrateur le 2015-11-27
Le 16 novembre, par l’intermédiaire du carnet de correspondance et sur pronotes, nous avons demandé aux parents d’inciter leurs enfants à ne pas stationner sur la place à la sortie de leurs cours pour des raisons de sécurité.
A ce jour, nous continuons à « chasser » des élèves pour qu’ils évacuent rapidement les abords de l’établissement.
Des militaires assurent désormais une surveillance aléatoire afin de protéger l’établissement.
Nous comptons sur votre collaboration afin de tenir un discours identique à vos enfants. Nous vous en remercions.
L’équipe de direction et la CPE
Le 16 novembre, par l’intermédiaire du carnet de correspondance et sur pronotes, nous avons demandé aux parents d’inciter leurs enfants à ne pas stationner sur la place à la sortie de leurs cours pour des raisons de sécurité.
A ce jour, nous continuons à « chasser » des élèves pour qu’ils évacuent rapidement les abords de l’établissement.
Des militaires assurent désormais une surveillance aléatoire afin de protéger l’établissement.
Nous comptons sur votre collaboration afin de tenir un discours identique à vos enfants. Nous vous en remercions.
L’équipe de direction et la CPE
PROJET SOLIDAIRE par Carole Schellinger le 2016-04-08
PROJET SOLIDAIRE
En partenariat avec l’association des PEP 94, le collège Edmond Nocard s’engage dans un projet solidaire : la création d’une bibliothèque pour les élèves de Mayotte.
Ainsi, les élèves peuvent dès lundi 11 et cela jusqu’au vendredi 13 avril 2106 déposer dans le bureau de la CPE :
- des livres
- des livres audio
- des DVD
- des Jeux éducatifs.
Un grand merci par avance pour votre collaboration.
Cordialement,
CPE — Mme SCHELLINGER
PROJET SOLIDAIRE
En partenariat avec l’association des PEP 94, le collège Edmond Nocard s’engage dans un projet solidaire : la création d’une bibliothèque pour les élèves de Mayotte.
Ainsi, les élèves peuvent dès lundi 11 et cela jusqu’au vendredi 13 avril 2106 déposer dans le bureau de la CPE :
- des livres
- des livres audio
- des DVD
- des Jeux éducatifs.
Un grand merci par avance pour votre collaboration.
Cordialement,
CPE — Mme SCHELLINGER
http://college-edmondnocard.fr/index.php?id_menu=38
A l'attention de la personne qui a commenté cet article hier soir :
RépondreSupprimerComme vous m'avez donné votre adresse e-mail dans votre commentaire en vue d'une discussion privée, je ne le publie pas.
Par ailleurs, je ne pense pas avoir grand-chose à vous apprendre. Je ne connaissais pas la victime ni ses relations, hormis le professeur de français évoqué, une femme perverse et manipulatrice qui à mon avis a fait beaucoup plus de mal que de bien pour ses jeunes élèves.
Si à l'inverse vous souhaitez m'en apprendre plus, vous pouvez me le dire dans un nouveau commentaire que je ne publierai pas.
Vous pouvez aussi me laisser un nouveau commentaire destiné au public si vous le souhaitez, il vous suffit de me préciser si je dois le publier ou non.
Bien cordialement.