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samedi 28 mars 2020

Comment Jean-Marc Donnadieu va devenir célèbre






 
Grâce à sa chasse aux dénonciateurs de présumés pédophiles sur Internet, qui a bien repris de manière ostentatoire au mois de février dernier, comme spécifié dans cet article du 7 mars 2020 montrant comment il colle sur son tableau d’affichage public ceux ou celles qu’il réussit à prendre dans ses filets :


http://petitcoucou.unblog.fr/2020/03/07/comment-jean-marc-donnadieu-sest-encore-fait-remarquer-chez-des-anti-pedophiles/


En effet, pas plus tard qu’hier, il a encore mis les deux doigts dans la prise, ce qui lui a bien rechargé ses batteries, parce qu’il s’est encore fait traiter de pédophile par sa cible, comme il est aussitôt venu s’en vanter auprès de son public sur Facebook (voir ci-dessous) en postant sur son mur la vidéo illustrant cet article, que je vous recommande à tous de visionner et écouter très attentivement : ça doit le faire jouir à chaque fois.

Et là, je commence à comprendre qu’il m’a vraiment haïe de ne l’avoir pour ma part jamais traité de pédophile à partir du moment où il s’est mis à me harceler tout en tentant d’obtenir la suppression de tous mes écrits publics à la demande de deux pédophiles notoires : l’ancien psychiatre brestois Serge Rodallec et son soutien le trafiquant de drogue, cybercriminel et mythomane Pascal Edouard Cyprien Luraghi.

C’est sans aucun doute parce que je ne l’avais pas fait qu’à compter du printemps 2010 il s’est mis à hurler partout que je l’aurais traité de pédophile.

Il en avait tellement envie, il était terriblement frustré que je ne lui aie pas fait cette réponse tant attendue et s’est donc mis à l’asséner lui-même autant qu’il le pouvait en de nombreux endroits sur la toile et ailleurs, toujours avec une grande violence, de telle manière que tout le monde ou presque l’entende et n’entende même que cela, et que plus personne ne puisse douter que je l’aurais bien traité de pédophile, ce qu’en réalité je n’ai jamais fait.

Hier, il a donc encore remis ça avec une nouvelle cible, à ma connaissance la seconde en à peine plus d’un mois.

Et cette fois-ci, cerise sur le gâteau, il est tombé sur un ancien prof de français qui dans la vidéo qu’il lui a consacrée en guise de réponse à ses attaques, les mêmes dont il est coutumier avec toutes ses cibles, lui explique qu’il ne sait ni lire ni écrire… comme je le lui ai déjà dit maintes fois moi-même avec d’excellentes bases pour le faire, mais il ne l’avait jamais cru avant que je ne publie ceci en date du 23 mars 2020 :

http://petitcoucou.unblog.fr/2020/03/23/je-ne-sais-pas-ecrire-parait-il/

Eh oui, aussi étrange que cela puisse paraître, l’auteur de cette vidéo, qui dit lui-même se nommer Guillaume Couvelard, a bien exercé comme professeur de français, très précisément au Collège Privé Sainte Austreberthe, à Montreuil-sur-Mer, avant de se mettre à réaliser et diffuser ses vidéos très très spéciales qui ont toutes tendance à disparaître assez rapidement et lui ont déjà valu plusieurs condamnations.

Aussi, aller titiller ce monsieur dans de telles conditions, comme s’est amusé à le faire le harceleur d’habitude Jean-Marc Donnadieu, c’est extrêmement facile : le chasseur se place d’emblée du bon côté de la barrière et ne peut absolument rien craindre de sa cible, hormis la réplique habituelle qu’à chaque fois il attend avec la même excitation…

Quelle proie ! Quel effet sur son tableau de chasse ! Quelle gloire !

Ce fut à peu près pareil avec moi en 2010, pour des raisons différentes : très bien informé par la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest, il était d’emblée tout à fait sûr que mes magistrats brestois ultra CORROMPUS ne suivraient que lui et ses complices, quoi qu’ils fassent, prétendent et exigent, et feraient même le nécessaire pour qu’aucun avocat du barreau de Brest ne me défende jamais contre eux.

Même chose encore pour la dame de Dieulefit qu’il est allé attaquer au mois de février dernier, avait injuriée, et comme d’habitude menacée du tribunal.

A ce propos, on notera avec intérêt que cette fois-ci, sa cible étant un homme, le déchaînement d’insultes et calomnies habituel est tout aussi inexistant que les menaces de procès, d’internement en psychiatrie, de mort et de viol auxquelles, pour ma part, j’ai toujours eu droit à compter du printemps 2010, tout comme dans une moindre mesure les autres femmes qu’il harcèle aussi.

Le harceleur est lâche. C’est d’ailleurs pour cette raison qu’il n’est jamais seul, il opère toujours en meute. Et même dans ces conditions, sa cible est toujours, préférentiellement, une femme seule et sans défense, quand il ne s’agit pas d’enfants…










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