Encore des fous à mettre sous cloche ?
Commencez par le malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi.
Lire ou relire :
https://satanistique.blogspot.com/2020/04/un-ovni-cahors-meme-les-extra.html
https://satanistique.blogspot.com/2024/08/un-ovni-cahors-un-article-bien-relu.html
Ovnis : les zones clés pour les observations selon le rapport du Pentagone 2023-2024
Le bureau AARO du Pentagone indique dans un rapport sur les ovnis avoir résolu 118 cas d'observation. Il présente également une carte du monde détaillant les zones où ont été effectués le plus de signalements d'observations. Si vous voulez voir des petits hommes verts, vous pouvez vous rendre sur un de ces points du globe !
Les observations d'ovnis — pour Objet volant non identifié, ou PAN en français pour Phénomène aérospatial non identifié — sont un véritable sujet lié à la défense nationale avant d'être un thème associé à l'astronomie et la possibilité d'une vie extraterrestre. La raison en est évidente : la Terre est beaucoup plus souvent survolée par des satellites, des engins militaires, des drones, des ballons sondes, que par d'éventuelles soucoupes volantes !
Peut-être ne le saviez-vous pas, il existe en France un organisme tout ce qu'il y a d'officiel chargé d'enquêter sur ce phénomène : le Geipan (Groupe d’étude et d’informations sur les phénomènes aérospatiaux non identifiés). Celui des États-Unis se nomme l'AARO, dont l'acronyme pourrait être traduit par Agence de résolution des anomalies sur tout le territoire. Un nom qui rappellerait presque la série X-Files aux moins jeunes d'entre nous.
Son rapport annuel 2023-2024 est tombé, et malgré certains témoignages venus parfois de législateurs au sujet de “visites potentielles d'aliens” ou de suspicions “d'efforts non divulgués pour recueillir des preuves” (comprendre des suspicions d'enquêtes secrètes), l'AARO conclut “n'avoir aucune preuve d'êtres, d'activités ou de technologies extraterrestres”. Non, les crop circles ne comptent pas !
E.T. pas venu maison
“Le projet AARO a réussi à résoudre des centaines de cas en sa possession, identifiant des objets banals tels que des ballons, des oiseaux, des drones, des satellites et des avions, a déclaré le directeur du bureau, Jon Kosloski, dans un communiqué de presse. Seul un très faible pourcentage de rapports à l’AARO est potentiellement anormal, mais ce sont les cas qui exigent beaucoup de temps, de ressources et une enquête scientifique ciblée de la part de l’AARO et de ses partenaires.”
Rappelons qu'en ces temps de tensions internationales très élevées, notamment entre l'Asie et Occident (Russie/Ukraine, Chine/USA, etc.), ces questions relatives à la surveillance et la défense de l'espace aérien ne sont pas du tout de la rigolade. Certains se souviennent certainement des ballons sondes ayant survolé le territoire US, tous abattus en 2023 par l'armée de l'Oncle Sam.
Voici les conclusions du document officiel de l'AARO :
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757 rapports ont été reçus par l'agence étasunienne. Tous les cas traités ont pu être reliés à des objets “prosaïques” (nous pourrions dire dans ce cas “terrestres” ou liés à notre Terre).
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70 % des cas d'observations ont pu être reliés à des ballons, 16 % à des drones, 8 % à des oiseaux, 4 % à des satellites et encore 2 % à d'autres oiseaux.
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L'AARO reconnaît néanmoins que 21 cas méritent une analyse approfondie, car ils pourraient être en lien avec une activité aérospatiale étrangère… mais terrestre.
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444 cas n'ont pas été traités, car ils étaient insuffisamment documentés.
L'AARO précise que les lumières non identifiées ou les objets en forme d'orbe parfois mentionnés sont traités dans le sous-ensemble des rapports UAP (pour Unidentified Anomalous Phenomena), qui incluent des références aux caractéristiques visuelles. D'autres rapports mentionnent des cylindres, des disques, des triangles, des carrés ou des objets exotiques tels qu'une “boule de feu verte” ou “une méduse avec des feux clignotants”.
Une carte des hotspots d'observation a été produite par l'AARO. Elle montre une surreprésentation des signalements sur quatre grandes zones : le sud-est des États-Unis et le golfe du Mexique, la côte Ouest et le Pacifique Nord-Ouest, le Moyen-Orient et l'Asie du Nord-Est dans les environs du Japon et de la péninsule coréenne. L'agence du Pentagone note que ces zones favorisent un “biais de collecte géographique basé sur des emplacements proches des actifs militaires américains et des capteurs opérant à l'échelle mondiale”. En clair, les signalements sont proches des activités des armées étasuniennes, ce qui indique qu'il est alors plus facile de confondre un engin militaire US avec un vaisseau klingon ou rempli de Predator à tubercules…
Reste que cette carte est intéressante : si vous ne craignez pas de voyager dans certains des endroits les plus risqués de la planète, vous aurez peut-être la chance d'observer un PAN !
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Source : Universe Today
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