L’actualité de la Thaïlande au lendemain d’un attentat plus
dévastateur que prévu dans la province de Yala, ce n’est pas seulement
un publi-reportage sur ses résidences de villégiature en bord de mer, ce
sont aussi ses échanges avec les Etats-Unis et le Cambodge :
Les États-Unis et la Thaïlande s’échangent une victoire
Agence QMI
Publié le: samedi 26 juillet 2014, 19H29 | Mise à jour: samedi 26 juillet 2014, 19H33
Photo Rob Carr / AFP
OWINGS MILLS, Maryland – La formation américaine a divisé les
honneurs de sa confrontation contre la Thaïlande lors de la troisième
journée de l’International Crown de la LPGA, un tournoi se déroulant
sous la formule «matchplay», samedi.
Cristie Kerr et Lexi Thompson, des États-Unis, ont d’abord défait
Ariya et Moriya Jutanugarn 3 et 2. Paula Creamer et la première golfeuse
mondiale Stacy Lewis ont toutefois baissé pavillon par un trou contre
Pornanung Phatlum et Onnarin Sattayabanphot.
De leur côté, les Espagnoles ont gagné leurs deux affrontements
contre la Taïwan. Carlota Giganda et Azahara Munoz ont facilement battu
Yani Tseng et Phoebe Yao 6 et 5. Puis, Belen Mozo et Beatriz Recari sont
venues à bout de Candie Kung et Teresa Lu par un trou.
L’Espagne et le Thaïlande se partagent donc la tête du groupe A avec
sept points. Les Américaines suivent avec six points, devançant la
Taïwan par deux points.
Les Suédoises ont également connu une bonne journée face aux
Australiennes. Caroline Hedwall et Anna Nordqvist ont vaincu par cinq
trous Minjee Lee et Karrie Webb, avant de voir Pernilla Lindberg et
Mikaela Parmlid prendre la mesure de Katherine Kirk et Lindsey Wright
par sept trous.
Les Japonaises et les Sud-Coréennes ont remporté une partie chacune,
ce qui a permis au Japon de conserver la tête du Groupe B, un point
devant les Suédoises. La Corée du Sud occupe le troisième échelon avec
six points, soit trois de plus que les Australiennes.
TRANSPORT – La Thaïlande et le Cambodge réactivent leur liaison ferroviaire à Poipet
Les autorités thaïlandaises et cambodgiennes ont posé
vendredi la première pierre du chantier de réhabilitation d’un pont
ferroviaire de 43 mètres qui avait cessé de relier il y a près de 40 ans
le Cambodge à la Thaïlande, lors d’une cérémonie officielle organisée
dans la ville frontière cambodgienne de Poipet.
Ouverte en 1926, la ligne Khlong Luek-Poipet (Khlong Luek est un
quartier de la ville thaïlandaise d’Aranyaprathet connu pour le marché
de Rong Klua) avait été fermée en 1975 en raison de la guerre civile qui
faisait rage au Cambodge. Puis elle avait été laissée à l’abandon.
Dans le même temps, la société des Chemins de fer thaïlandais a engagé
la rénovation de 176 kilomètres de ligne ferroviaire entre Chachoengsao,
près de Bangkok, et Aranyaprathet. Ces travaux comprennent la
reconstruction des 6 kilomètres de ligne abandonnés entre la gare
d’Aranyaprathet et le fameux pont frontalier.
Les responsables espèrent que la réouverture de cette liaison
transfrontalière dynamisera le tourisme et le commerce dans les deux
royaumes et qu’elle permettra aux deux provinces limitrophes de Sa Keo
(Thaïlande) et Banteay Meanchey (Cambodge) de devenir des pôles
logistiques lorsque la Communauté économique de l’ASEAN (AEC) sera
lancée en fin d’année prochaine.
Les travaux ont été confiés à la société Italian-ThaI Development et la
mise en service de la ligne est prévue pour février 2016.
M.C. (http://www.lepetitjournal.com/bangkok) lundi 28 juillet 2014
De nouvelles mesures vont entrer en vigueur concernant les
« overstays » pour les personnes qui restent sur le territoire au delà
de la durée de validité de leur visa. Ces mesures sont divulguées avant
d’être appliquées à une date prévue, suivant les dernières informations
des officiers de l’immigration, au 29 août prochain, afin notamment que
toute personne en « overstay » puisse régulariser sa situation avant de
se voir interdire du Royaume
Le ministre de la Défense cambodgien s’envole pour la Thaïlande pour une visite officielle
2014-07-28 17:03:47 xinhua
Le vice-Premier ministre cambodgien et ministre de la Défense, Tea
Banh, s’est envolé lundi pour la Thaïlande pour une visite de deux jours
qui a pour objectif de renforcer les relations et la coopération
bilatérales.
Tea Banh est accompagné par le général Meas Sophea, commandant
adjoint des Forces armées royales cambodgiennes, l’amiral Tea Vinh,
commandant de la Marine royale, et le général Soeung Samnang, commandant
des Forces aériennes cambodgiennes.
Lors de la visite, il rencontra le commandant en chef de l’armée
thaïlandaise, le général Prayuth Chan-ocha, qui est également chef du
Conseil national pour la paix et l’ordre, le commandant suprême Tanasak
Patimapragorn et le secrétaire permanent du ministère de la Défense, le
général Surasak Karnchanarat.
« La visite vise à renforcer davantage les relations et la
coopération bilatérales, en particulier pour renforcer la sécurité et
réduire la criminalité transfrontalière », a déclaré le ministre aux
journalistes à l’aéroport international de Phnom Penh avant de s’envoler
pour Bangkok.
Trois personnes ont été tuées et plus de trente autres blessées dans
l’explosion d’une voiture piégée vendredi devant un hôtel dans l’extrême
sud de la Thaïlande secoué depuis dix ans par une insurrection, a
annoncé la police.
« Une voiture piégée a explosé devant l’hôtel Holiday Hill » de
Betong, dans la province de Yala, vers 16H00 (09H00 GMT), a précisé à
l’AFP le lieutenant-colonel Sophon Saisuree, chef adjoint de la police
de cette ville à la frontière malaisienne.
Trois personnes sont mortes et 36 ont été blessées, dont trois sont dans un état critique, a-t-il ajouté.
Les images du lieu de l’explosion montraient une épaisse fumée noire
au-dessus d’une rue jonchée de débris où des pompiers tentaient
d’éteindre un incendie. Des policiers inspectaient les restes de ce qui
semblait être le véhicule piégé, presque entièrement détruit.
Plus de 6.100 personnes ont été tuées depuis le début en 2004 de la
rébellion séparatiste dans cette région majoritairement musulmane
rattachée à la Malaisie jusqu’au début du XXe siècle.
Les insurgés musulmans se rebellent contre ce qu’ils vivent comme une
discrimination à l’encontre de la population d’ethnie malaise et de
religion musulmane dans un pays essentiellement bouddhiste.
La majorité des victimes de ce conflit complexe, brutal et localisé
sont des civils, pris entre l’armée thaïlandaise et une nébuleuse de
groupes rebelles mal connue.
Des négociations de paix avaient été entamées en 2013 entre des
rebelles, qui réclament un certain degré d’autonomie, et les autorités
thaïlandaises, sans pour autant faire diminuer les violences.
Ces discussions ont été largement entravées par la crise politique
qui a secoué le royaume pendant des mois, avant le coup d’Etat du
général Prayut Chan-O-Cha le 22 mai.
La police a indiqué avoir été placée en état d’alerte en prévision de
possibles violences à la fin du mois sacré du ramadan. Mais malgré
cette vigilance, les autorités ont reconnu avoir été surprises par
l’ampleur de cet attentat.
« Nous ne nous attendions pas à des violences pouvant causer des
dommages pareils à Betang », a commenté le colonel Banphot Phunphian,
porte-parole du Commandement interne des opérations de sécurité (ISOC),
unité de l’armée chargée de la sécurité intérieure.
« Ce sont les trois derniers jours du ramadan, alors le général
Prayut nous avait ordonné de surveiller de près la situation » dans le
sud, a-t-il indiqué à la presse.
Le Royaume de Thaïlande est une destination aux facettes multiples.
Sa culture, la diversité des paysages, le sens de l’hospitalité, ses
infrastructures, attirent chaque année un nombre croissant de touristes,
26,5 millions en 2013.
Plus de 60% des touristes se rendent en Thaïlande de manière régulière. De plus en plus songent à y investir pour les vacances,
voire pour leur retraite. Ils profiteront de leur bien immobilier
pendant leur séjour en Thaïlande et pourront générer des revenus
intéressants en le louant en leur absence, de quoi amortir les charges
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Note : cet article a été publié par notre partenaire Company
Vauban et ne reflète pas nécessairement la position ou les opinions de
thailandefr.
Visiblement, le pseudonymé Homere de la bande de Cyprien Luraghi
tenait absolument à se rappeler à mon bon souvenir en cliquant comme un
fou sur un article de mon blog depuis vendredi soir. Il s’est calmé
depuis que j’ai commencé à en parler.
L’actualité de vendredi pour ce qui le concerne, c’est comme toujours
l’évolution des procédures qui nous opposent, mais aussi, dans la
foulée de l’approbation par le roi de Thaïlande d’une Constitution
intérimaire proposée par le chef de la junte au pouvoir depuis le coup
d’Etat du 22 mai dernier, un attentat qui a fait au moins trois morts et
une quarantaine de blessés dans le sud du pays :
Thaïlande : une bombe fait trois morts dans le sud du pays
Le Monde.fr avec AFP | 25.07.2014 à 14h50
Trois personnes ont été tuées et plus de 30 autres blessées dans
l’explosion d’une voiture piégée, vendredi 25 juillet, devant un hôtel
dans l’extrême sud de la Thaïlande secoué depuis dix ans par une insurrection.
« Une voiture piégée a explosé devant l’hôtel Holiday » de Betong, dans la province de Yala, vers 16 heures (10 heures à Paris), a précisé à l’AFP le lieutenant-colonel Sophon Saisuree, chef adjoint de la police
de cette ville à la frontière malaisienne. Trois personnes sont mortes
et 36 ont été blessées, dont trois sont dans un état critique, a-t-il
ajouté.
« Nous avons été informés qu’il y aurait des violences dans l’extrême sud vers la fin du ramadan. »
RÉBELLION SÉPARATISTE
Plus de 6 100 personnes, en majorité des civils, ont été tuées depuis
le début en 2004 de la rébellion séparatiste dans cette région
majoritairement musulmane, rattachée à la Malaisie jusqu’au début du XXe siècle.
Les insurgés musulmans, qui s’en prennent aussi bien aux bouddhistes
qu’aux musulmans, se rebellent contre ce qu’ils vivent comme une
discrimination à l’encontre de la population d’ethnie malaise et de religion musulmane dans un pays essentiellement bouddhiste.
Des négociations de paix avaient été entamées en 2013 entre des rebelles et les autorités thaïlandaises, sans pour autant fairediminuer les violences. Ces discussions avaient d’autre part été largement entravées par la crise politique qui a secoué le royaume pendant des mois, avant le coup d’Etat du 22 mai.
Thaïlande : explosion d’une voiture piégée, au moins trois morts
Publié le 2014-07-26 à 08:25 | french.xinhuanet.com
BANGKOK, 25 juillet (Xinhua) — Au moins trois personnes ont été tuées
et une quarantaine d’autres blessées dans l’explosion d’une voiture
piégée vendredi dans la province de Yala, au sud de la Thaïlande.
La province de Yala est ravagée depuis longtemps par des violences séparatistes.
L’explosion s’est produite dans le district de Betong aux environs de
16h40 heure locale, a rapporté le journal The Nation citant la police
locale.
La police a précisé que la bombe, qui pesait environ 30 kg, était placée dans une voiture garée devant l’hôtel Holiday Hill.
La zone était bondée de touristes et de résidents au moment de l’explosion. Une enquête a été ouverte.
Depuis janvier 2004, des violences séparatistes éclatent dans le sud
profond de la Thaïlande composé de trois provinces musulmanes et
d’ethnie Malay – Yala, Pattani et Narathiwat – et de quatre districts de
Songkhla.
Les chiffres publiés par l’armée thaïlandaise montrent que ces
violences ont fait plus de 5.900 morts et 10.600 blessés au cours des
dix dernières années.
Avec les provinces de Narathiwat et de Pattani, Yala faisait autrefois partie du royaume malais de Patani. Le territoire a été annexé par le Siam dans le cadre d’un traité avec les Anglais en 1909.
La majorité des habitants est musulmane, d’origine malaise. Depuis 2004
des mouvements séparatistes sont à l’origine de vagues d’attentats. Le
gouvernement thaïlandais a engagé en février 2013 des pourparlers avec
les rebelles en proposant à ces provinces un statut de région
administrative spéciale1.
Le conflit dans le Sud de la Thaïlande est un conflit séparatiste dans la région de Pattani, dans le Sud majoritairement malais et musulman de la Thaïlande, et a commencé en 2004. La pauvreté a été nommée comme une raison du conflit.
Ces régions rurales et pauvres, passées sous l’autorité du royaume du Siam après la signature du traité anglo-siamois le 10 mars 1909, ont subi une politique d’assimilation forcée de la part du gouvernement de Bangkok dans les années 1960. Depuis ces provinces sont agitées par des mouvements rebelles indépendantistes prônant la reconstitution de l’ancien Royaume de Patani3.
Entre 1976 et 1981, deux mouvements indépendantistes : le Pattani United Liberation Organization (PULO) et le Barisan Revolusi Nasional
(BRN) prirent une première fois les armes pour faire connaitre leurs
revendications, puis ces mouvements se cantonnèrent par suite au simple
activisme politique et à l’extorsion de fonds3.
En 2002, le Premier ministreThaksin Shinawatra
déclare qu’il n’y a pas de « séparatisme, de terroristes mais seulement
de vulgaires bandits ». En 2004, il revoit sa position et inscrit la
lutte contre les insurgés dans le cadre de la guerre contre le terrorisme. La loi martiale
est instaurée dans les régions touchées par l’insurrection (Pattani,
Yala et Narathiwat). En réponse aux mesures musclées du chef du
gouvernement, la minorité musulmane revendiqua de nouveaux droits et
réclama notamment le port du Hijab pour les femmes dans les lieux publics, l’ouverture de mosquées et l’expansion des études islamiques dans les écoles publiques3.
Depuis 2004, les quatre provinces les plus au sud de la Thaïlande,
proches de la Malaisie, sont victimes d’une guérilla violente menée
entre autres par des groupes terroristes islamistes comme le Pattani Islamic Mujahadeen Movement (ou Gerakan Mujahideen Islam Pattani), qui a déclaré la djihad contre les populations bouddhistes qu’elle souhaite chasser du secteur, et la junte militaire thaïlandaise3. Selon des experts, les insurgés seraient liés au Front Moro islamique de libération (Philippines) et au Mouvement pour un Aceh libre (Indonésie).
Le 3 juin 2006, le chef de l’armée Prayuth Chan-ocha déclare que l’insurrection est financée de l’étranger par les narcotrafiquants et les contrebandiers de pétrole.
En juillet 2010, le bilan humain est estimé à 4 100 tués4. Par ailleurs, un rapport d’un centre de l’OTAN sur le terrorisme relève en 2011, selon les sources publiques, un total de 332 actes terroristes en Thaïlande (8e rang mondial) faisant 292 tués, 660 blessés et 16 personnes enlevées5. Le bilan de 2012 du même organisme s’établit à 185 attaques (9e rang mondial), 171 tués et 674 blessés, pas d’enlèvement signalé6.
En septembre 2013, le bilan est estimé à 5 400 tués. Des attaques
continuent alors que des négociations sont en cours en Malaisie7.
En mars 2013, les négociations n’ont pas aboutit et le bilan annoncé
est alors d’environ 6 000 morts (dont 171 membre du corps enseignant)8.