J'indique la date du 3 avril 2025, car les deux dates des 2 et 3 avril 2025 ressortent dans mes statistiques de blog :
Comme très souvent je suis prévenue de l'imminence d'un attentat la veille de sa commission, je suppose qu'il aurait dû intervenir le 3 avril 2025 et que l'information de l'interpellation du kamikaze mardi 1er avril 2025 n'avait pas fuité en direction de ses commanditaires qui ne voyant rien venir le 3 avril m'ont alors remis la gomme sur le blog en pensant qu'il surviendrait avec un peu de retard le 4 avril 2025.
Il est déjà arrivé que des attentats soient commis avec du retard sur ce qui avait été prévu.
Ce fut notamment le cas pour celui du 26 juillet 2016 dans l'église Saint-Étienne de Saint-Étienne-du-Rouvray, l'assassinat du père Jacques Hamel, qui très certainement aurait dû être commis le dimanche 24 juillet 2016, pour l'anniversaire du premier site du malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi, ouvert le 24 juillet 2001.
Rappelez-vous, certain(e)s s'en impatientaient tellement qu'ils ou elles n'avaient pu contenir leur joie dès qu'il fut commis :
https://satanistique.blogspot.com/2016/07/fausse-rousse-et-vraie-connasse-julie.html
https://satanistique.blogspot.com/2016/08/en-juin-2015-julie-le-goic-rendait-au.html
https://satanistique.blogspot.com/2016/08/julie-le-goic-tout-dun-coup-celebre.html
https://satanistique.blogspot.com/2016/08/julie-le-goic-est-elle-aussi-folle-que.html
https://satanistique.blogspot.com/2019/05/alexandre-hervaud-fait-des-blagues-sur.html
Passons maintenant au lieu où cet attentat aurait dû être commis, dans le Nord.
Voilà la source d'inspiration des commanditaires :
https://satanistique.blogspot.com/2025/03/genealogies-connaissez-vous-la-meilleure.html
Ce n'est pas la première fois que l'origine de certains de mes ancêtres les excite, mais c'est bien la première fois qu'ils aient trouvé l'info parmi mes publications - les autres fois, ils y avaient eu accès grâce à tous leurs piratages à mon encontre.
Comme cette fois-ci je l'avais publiée, je ne suis pas gênée pour la montrer ou la reproduire, il s'agissait donc d'une information du 18 mars 2025.
Dès le lendemain, Jean-Luc Mélenchon venait à Brest noyer le poisson, et le député d'aujourd'hui tout juste neuf mois Pierre-Yves Cadalen de LFI ressortait de la naphtaline la fille à papa Le Goïc (ancien de la LCR de Brest) :
https://satanistique.blogspot.com/2025/03/jean-luc-melenchon-brest-ce-mercredi-19.html
Ligue du LOL, attentats islamistes, ce sont les meilleurs....
P.S.: L'interpellation a eu lieu mercredi 2 avril et non mardi 1er avril. L'article de Paris Match recopié ci-dessous était erroné sur ce point.
Par ailleurs, Le Parisien indique que le Dunkerquois avait posté des messages sur Snapchat appelant à « noyer dans le sang les mécréants » et qu’il aurait relayé des vidéos glorifiant les auteurs d’attentats en France, dont Khamzat Azimov, qui avait fait un mort dans un attentat au couteau dans le quartier de l’Opéra, à Paris, en mai 2018.
Voilà, j'ai des ancêtres de Noyelles dans le Nord, et maintenant on appelle à « noyer dans le sang les mécréants »...
Et j'ai reparlé récemment dans des courriers électroniques privés (toujours piratés) de la tentative d'assassinat dont j'avais été victime en mai 1994 dans le quartier Opéra... Lors de l'attentat de mai 2018, le malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi venait de perdre un mois plus tôt pour la seconde fois, en appel, le procès qu'il me faisait à Paris depuis le printemps 2016 (attentats associés : tous ceux de cette période, du printemps 2016 au printemps 2018, celui de Nice pour fêter l'assignation à comparaître qui m'avait été délivrée par acte d'huissier le 12 juillet 2016; au cours de cet été 2016, la fête battait son plein, la bande de malades mentaux était sûre de gagner; quelque peu déstabilisée de me voir venir me défendre seule aux audiences de septembre et novembre 2016, elle s'était pris une première douche froide début janvier 2017...).
INFO PARIS MATCH : L’instigateur présumé qui projetait un attentat kamikaze à Dunkerque dénoncé par son principal complice

Le principal suspect, âgé de 19 ans, a été dénoncé par son complice, pris de panique par la tournure sérieuse que prenait le projet terroriste. Les deux hommes ont été placés en détention provisoire.
Il a été pris de panique quand il s’est rendu compte du sérieux de l’acte. D’après les informations de Paris Match, obtenues auprès de sources concordantes, Mourad M., âgé de 19 ans, suspecté de vouloir mener un attentat interpellé à Dunkerque mardi dernier et inculpé pour participation à une association de malfaiteurs terroriste dimanche, a été dénoncé par son principal complice.
Hier, les deux hommes ont été mis en examen et placés en détention provisoire pour ces faits, a appris Paris Match du parquet national antiterroriste.
Il avait glissé des pétards dans un gilet
Quelques heures avant l’interpellation, lorsque les enquêteurs ont été prévenus d’une attaque potentiellement imminente par l’autre suspect né en 2005, ils se sont directement rendus à son domicile pour l’interpeller. Sur place, ils ont découvert un gilet fabriqué par ce dernier, dans lequel il y avait glissé « des pétards » pour voir ce que ça pouvait donner. Selon une source concordante, il avait ensuite prévu d’y mettre des explosifs.
L’objectif de ce suspect, connu pour des affaires de stupéfiants, était de commettre une attaque dans un lieu public pour « punir des mécréants », sans préciser les cibles. Cette attaque aurait été revendiquée au nom de l’État Islamique, sans qu’il n’y ait vraiment prêté allégeance.
Une troisième personne interpellée pour « non-empêchement de crime »
Un troisième homme, né en 2003, a été inculpé pour non-dénonciation d’un crime terroriste et placé sous contrôle judiciaire, selon le parquet national antiterroriste. Désormais, les enquêteurs de la Sous-direction anti-terroriste (SDAT), qui mènent les investigations, vont creuser pour savoir s’il allait vraiment passer à l’acte et pour connaître les cibles.
Mi-mars, un adolescent de 17 ans, interpellé en Haute-Saône (centre-est), avait été inculpé et placé en détention provisoire, soupçonné d’avoir projeté une action violente « pendant le ramadan ».
Le 26 février, un homme algérien - qui présentait un profil « schizophrène », selon le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau - a lui aussi été inculpé pour assassinat terroriste et placé en détention provisoire, après avoir tué un passant à Mulhouse (est) et blessé six autres personnes.
Projet d'attaque déjoué : un jeune radicalisé préparait une ceinture d'explosifs
Publié le lundi 7 avril 2025
Un projet d'attaque à la ceinture d'explosifs a été déjoué dans le nord de la France. Un jeune homme de 19 ans, radicalisé récemment, a été interpellé avec deux autres suspects. Des perquisitions ont révélé un dispositif de mise à feu et une recette pour fabriquer un explosif.
Un projet d'attaque à la ceinture d'explosifs a été déjoué ces derniers jours par les services antiterroristes. Trois hommes ont été interpellés dans le nord de la France, mais c'est surtout l'un de ces trois suspects qui préoccupe les enquêteurs et la justice. Il a 19 ans et était, jusque-là, inconnu des services de renseignement. Mais ces derniers temps, ce garçon qui vivait dans un foyer dans la région de Dunkerque, s'est radicalisé tout seul, selon un connaisseur du dossier.
Les enquêteurs ont découvert qu'il consultait des vidéos de décapitation et qu'il avait fait allégeance à l'État islamique dans un courrier retrouvé en perquisition. Selon cette même source, il ne se cachait pas non plus sur les réseaux sociaux, avec notamment des logorrhées à la gloire des attentats du 13 novembre 2015. Il se mettait aussi en scène dans des vidéos avec une arme qui s'est révélée factice.
Projet d'action violente plutôt qu'attentat déjoué
Cette fois, ce ne sont pas les algorithmes des géants d'Internet ou la veille des services de renseignement qui ont permis de l'identifier, mais le signalement d'un proche, parvenu aux oreilles de la police il y a une dizaine de jours, qui redoutait un passage à l'acte. Mardi 1er avril, les policiers locaux sont allés interpeller ce suspect avec le Raid. Ce qui a été découvert en perquisition a conforté les craintes : une ceinture artisanale équipée d'un dispositif de mise à feu composé de deux simples pétards. Mais le jeune homme s'était procuré une recette pour confectionner du TATP, un explosif bien plus puissant.
La communauté juive se trouvait parmi les cibles du suspect, mais pour ce qui est de l'échéance, impossible de le savoir. Au moment de l'interpellation, le suspect n'était pas en position d'aller se faire sauter avec sa ceinture puisqu'il n'avait pas encore fabriqué d'explosifs. C'est la raison pour laquelle certains préfèrent parler de projet d'action violente plutôt que d'attentat déjoué, même si un connaisseur de l'affaire disait que le profil visiblement instable du suspect pouvait l'amener à passer à l'acte avec une arme blanche sans prévenir.
Il a été mis en examen et écroué, tout comme un autre suspect interpellé par la sous-direction antiterroriste de la police judiciaire. Un troisième homme, lui, est poursuivi pour non-dénonciation.
Un éclairage de Pierre de Cossette, édité par Lucie Grandhay-Lavigne.
Ils sont soupçonnés d'avoir voulu organiser une action violente à l'explosif : 3 hommes, âgés de 19 à 24 ans, originaires de Dunkerque et Lille, ont été interpellés. Le parquet national antiterroriste mène l'enquête.
C'est un proche de l'un des hommes qui a alerté la police, de peur que son ami ne passe à l'acte. Chez ce Dunkerquois de 19 ans, inconnu des services de police, les enquêteurs retrouvent en effet une ceinture artisanale. Pas d'explosif à l'intérieur, mais selon les premières investigations, le jeune homme est soupçonné de préparer un attentat, à l'encontre, notamment de la communauté juive. Selon RTL, d'autres cibles sont évoquées comme un foyer pour jeunes du Nord, un restaurant ou encore une boîte de nuit.
Un profil très inquiétant
Plusieurs publications sur les réseaux sociaux interpellent son entourage et confirment ses intentions : le Nordiste, auteur d'un courrier d'allégeance à l'Etat islamique, met en avant plusieurs vidéos de Khamzat Azimov, l'auteur de l'attentat au couteau du quartier de l'Opéra à Paris, en 2018. Il publie également des notes glorifiant l'attentat du Bataclan.
Chez lui, des documents permettant la fabrication de TATP sont saisis, d'après les informations du Parisien, un explosif bien connu dans le milieu des djihadistes. L'homme est interpellé mardi 1er avril 2025.
Deux de ses proches interpellés
Les investigations conduisent les enquêteurs à deux amis du suspect. La même journée, un autre homme, toujours dans le Dunkerquois, est également interpellé. Il aurait fourni au principal suspect une arme à feu. Arme qui s'est finalement révélée factice.
Enfin, les services antiterroristes arrêtent un troisième homme soupçonné de ne pas avoir dénoncé le projet d'attentat alors qu'il en avait connaissance.
Produit incendiaire et explosif
Ce dimanche 6 avril 2025, les deux premiers hommes ont été mis en examen et placés en détention provisoire pour "association de malfaiteurs terroriste criminelle" et détention de "substance ou produit incendiaire ou explosif". Le troisième suspect a été mis en examen pour non-dénonciation de crime terroriste et placé sous contrôle judiciaire.
L'enquête est menée par la sous-direction antiterroriste, la police du Nord et la DGSI.
Projet d’attentat déjoué dans le Nord : ceinture explosive, lieu visé, trois jeunes suspects… ce que l’on sait

> Un projet d’attentat terroriste
Ils voulaient s’inspirer de l’attentat du Bataclan : trois jeunes Nordistes, âgés d’entre 19 et 24 ans ont été placés en garde à vue, mercredi dernier, dans le cadre d’une enquête ouverte par le parquet national antiterroriste (PNAT) pour « association de malfaiteurs terroriste criminelle », « détention de substance ou produit incendiaire ou explosif en relation avec une entreprise terroriste » et « non-dénonciation de crime », rapportent nos confrères du Parisien.
Ils avaient, d’après le journal, l’intention de commettre un attentat terroriste au nom de l’organisation État islamique, certainement à l’aide d’une ceinture explosive.
Contacté par La Voix du Nord, le PNAT confirme l’ouverture d’une information judiciaire, ce dimanche 6 avril. Deux hommes majeurs ont été mis en examen et placés en détention provisoire des chefs de « participation à une association de malfaiteurs terroriste en vue de la préparation d’un crime d’atteinte aux personnes et détention de substance ou produit incendiaire ou explosif ou d’éléments destinés à composer un engin incendiaire ou explosif pour préparer une destruction, dégradation ou atteinte aux personnes en relation avec une entreprise terroriste ». Le dernier a été mis en examen pour ces faits, requalifiés en « non-dénonciation d’un crime terroriste », précise le PNAT. Il a été placé sous contrôle judiciaire.
> Des suspects nordistes âgés de 19 à 24 ans
Les trois suspects sont des Nordistes, originaires de Lille et Dunkerque, selon Le Parisien. Ils ont pu être arrêtés grâce à la dénonciation d’un de leur proche, qui craignait un passage à l’acte imminent.
D’après BFM TV, le suspect principal, Morad M. âgé de 19 ans, a été interpellé mercredi 2 avril à 6 heures par le Raid, dans son foyer pour jeunes adultes de Dunkerque. Selon nos informations, il résidait au Centre d’Hébergement et de Réinsertion Sociale (C.H.R.S.) Thérèse Caulier Soliha Flandres.

Vers 8 heures, mercredi 2 avril, un voisin du Centre d’Hébergement et de Réinsertion Sociale (C.H.R.S.) Thérèse Caulier Soliha Flandres s’apprêtait à partir lorsque la police l’en a empêché. « Ils avaient bloqué les accès de chaque extrémité tout autour, et nous interdisaient de sortir avec les véhicules », témoigne-t-il. Le dispositif était « assez discret. Ça rentrait, ça sortait ». Selon lui, les accès ont été bloqués « toute la matinée ». Il a pris connaissance du fond de l’affaire ce lundi. « Ça fait un peu peur mais sur le coup ça ne m’a pas trop fait peur ».
BFM TV précise que Morad M. était, jusqu’à présent, inconnu des fichiers de signalements pour la prévention de la radicalisation à caractère terroriste (FSPRT), mais connu du renseignement territorial. Il avait notamment proféré des menaces à l’encontre de Mila, jeune femme qui avait tenu des propos très critiques contre l’Islam, ce qui lui avait valu une vague de cyberharcèlement et des menaces de mort. Selon nos confrères, la mère de Morad M. avait quitté le foyer familial, et son père était absent.
Les deux autres jeunes interpellés sont des proches du principal suspect. L’un d’eux, âgé de 21 ans, est soupçonné de lui avoir fourni une arme factice que Morad M. exhibait sur les réseaux sociaux, selon RTL. Il a été mis en examen pour association de malfaiteurs terroriste. Sollicité par la radio, son avocat Maître Reda Ghilaci a réagi : « Mon client n’est pas radicalisé et n’épouse aucune thèse djihadiste. L’infraction d’association malfaiteur terroriste manque de rigueur juridique. La défense va activement s’atteler à démontrer que les infractions pour lesquelles il a été mis en examen ne sont pas caractérisées en tous leurs éléments constitutifs ».
Le troisième, vraisemblablement âgé de 24 ans, a été mis en cause pour « non-dénonciation d’un crime terroriste » et a été placé sous contrôle judiciaire.
> Des jeunes radicalisés
Morad M. était très actif sur les réseaux sociaux, notamment sur Snapchat ou Telegram, où il incitait les utilisateurs à faire le djihad, selon BFM TV. D’après le média, il lançait également des appels sur ses réseaux sociaux pour recruter des jeunes.
Le Parisien indique que le Dunkerquois avait posté des messages sur Snapchat appelant à « noyer dans le sang les mécréants » et qu’il aurait relayé des vidéos glorifiant les auteurs d’attentats en France, dont Khamzat Azimov, qui avait fait un mort dans un attentat au couteau dans le quartier de l’Opéra, à Paris, en mai 2018.
En garde à vue, Morad M. a reconnu avoir eu un projet d’action violente dans une période où il allait mal, mais a dit que ce dernier était « abandonné », relate BFM TV. Il était pourtant encore très actif sur les réseaux sociaux à la veille de son interpellation.
BFM TV indique que lors de la perquisition au domicile de Morad M., les policiers ont retrouvé plusieurs éléments qui laissent penser à la préparation d’un attentat-suicide, ainsi qu’une lettre d’allégeance à l’État islamique. Le Parisien précise qu’un gilet modifié, qui contenait des pétards devant faire office de tests avant d’y introduire de véritables explosifs a notamment été retrouvé, tout comme un dispositif de mise à feu « potentiellement fonctionnel ». Les trois suspects s’étaient également renseignés sur la fabrication du TATP, un explosif souvent utilisé par les terroristes.
> Plusieurs idées de lieux à viser
Si le lieu de la future attaque n’a pas été établi avec précision, les suspects avaient déjà dressé une liste de cibles potentielles, rapporte RTL. Parmi elles, un foyer pour jeunes du Nord, un restaurant, une boîte de nuit ou encore un site appartenant à la communauté juive. Les enquêteurs ne savent pas si l’une d’elles était réellement arrêtée. D’après Le Parisien, les enquêteurs doivent déterminer si une date de passage à l’acte avait déjà été fixée, ce qui ne semble pas être le cas à ce stade.
Le dernier attentat commis dans le Nord – Pas-de-Calais remonte à octobre 2023, lorsque Dominique Bernard, professeur de français, avait été mortellement poignardé à Arras par Mohammed Mogouchkov, qui avait revendiqué son acte au nom de l’État islamique.