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dimanche 2 février 2025

Les Bretons ne connaissent rien à la musique...

 

 

 

 

 

 

Intéressant, non ?

Je n'oublie pas que mes anciens employeurs mafieux et harceleurs, auxquels toute l'extrême-gauche est associée, notamment celle de Brest, me faisaient déjà passer mensongèrement pour une mythomane dans les années 1990 sous prétexte qu'à une question très précise de l'un d'eux, j'avais un jour répondu que oui, je pouvais jouer d'un instrument de musique. 

Et pourquoi donc cette réponse de ma part a-t-elle été utilisée durant des années et l'est peut-être encore aujourd'hui pour attester de ma soi-disant "mythomanie" ?

C'est très simple : comme tout le monde le sait, les Bretons sont tous des arriérés totalement incultes qui ne connaissent rien à la musique !

Mon éducation musicale est classique, c'est exactement la même que celle des fondateurs de l'Ensemble Matheus que je croisais autrefois à l'Ecole Nationale de Musique de Brest, et qui se sont notamment illustrés lors des cérémonies des JO de Paris l'été dernier.

Selon la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest et ses complices de l'extrême-gauche brestoise, elle serait "élitiste" et donc condamnable, j'en étais déjà blâmée par ces malades mentaux dans les années 1970.

Et pour eux, tout ce qui est "élitiste" et donc, par excellence, condamnable, n'existe pas ou doit être détruit, totalement anéanti. Ainsi, également, de l'intelligence ou de l'humanité du matheux ou de l'ingénieur : ces gens-là sont des fous et des débiles mentaux, des robots sans la moindre intelligence ni aucune humanité. C'est d'ailleurs pour cette raison qu'ils n'ont strictement aucun droit partout où domine le gauchiste : ce ne sont pas des êtres humains, ils doivent tous être détruits et disparaître, ils n'existent pas.

Soit.

Mais quand même... qui par ici ne connaît pas la musique bretonne ?

Toujours les mêmes : Josette Brenterch et ses complices de la pègre brestoise !

Et pourquoi ? La culture bretonne, c'est encore un truc des nazis ! Ah... Les musiciens bretons sont tous soit "élitistes" soit "nazis", aucun d'entre eux n'existe aux yeux de la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest et de ses complices du crime organisé, donc effectivement, quand un Breton prétend pouvoir jouer d'un instrument ou connaître la musique, c'est forcément un mythomane !

Sérieusement : en 1491, le mariage d'Anne de Bretagne avec le Roi de France Charles VIII a introduit à la Cour de France la culture extrêmement raffinée de la bien-aimée duchesse des Bretons et ouvert la voie à la Renaissance. En effet, les anciens Rois des Bretons et des Romains, toujours très proches de leurs cousins de Grande-Bretagne, l'étaient encore aussi de ceux d'Italie, où se répandait leur culture jusqu'en Sicile en passant par la Savoie.


https://pontchristbrezal.fr/29/gregorien.htm

A propos de la Psallette grégorienne de La Roche-Maurice, en retraçant l'histoire du chant grégorien, nous avons évoqué l'existence d'une école de chant grégorien spécifique à la Bretagne au Moyen-Age. Qu'en est-il exactement ?

A - Ecole bretonne

"Une école bretonne de grégorien à St-Vougay" : C'est pourtant ce que semble indiquer Ulrich Michels dans son livre Guide illustré de la musique d'où est extraite la carte qui suit. Mais certains érudits de chez nous en doutent ? Dans un ouvrage aussi généraliste que celui-ci, l'auteur n'a pas pu approfondir tous les sujets. Peut-être a-t-il tiré une conclusion trop hâtive de la découverte d'un vieux missel à St-Vougay (photo d'une de ses pages plus bas, à droite).

 

La carte est extraite du livre Guide illustré de la musique par Ulrich Michels - Ed. Fayard 1993. Elle semble indiquer Saint-Vougay comme centre de l'école bretonne de grégorien.

La page manuscrite ci-dessus provient du missel de St-Vougay. Avec cet extrait du "Gaudeamus", elle nous montre le style de notation de la musique grégorienne qui a précédé l'écriture en notes carrées et l'utilisation de la portée à 4 lignes.

Le missel se trouve actuellement aux Archives Départementales à Quimper. Il date vraisemblablement du milieu du XIè siècle. Une description très précise en a été faite en 1842 par le comte de Blois, membre de la Société Archéologique du Finistère (ADQ 1 J 768).


Le missel de St-Vougay a été examiné par un certain nombre de spécialistes de la liturgie et du chant grégorien ou des érudits en manuscrits médiévaux.
On peut citer :

  • En 1842, le comte de Blois déjà cité et dont on trouvera le compte-rendu au paragraphe qui suit.
  • En 1877, Dom François Plaine, Le missel de Saint-Vougay en Bretagne. manuscrit du Xe ou XIe siècle. Extr. de : "Revue de l'art chrétien", 2e série, t. VI, p. 257-275 (ADQ Q8M 3)
  • En 1879, Dom Joseph Pothier, Quelques mots sur la notation du chant grégorien, à propos du Missel de Saint-Vougay.
  • En 1963, Michel Huglo, Le domaine de la notation bretonne, Acta musicologia, vol. 35, avril-septembre 1963, pp. 54-84. Cet ouvrage a été publié une seconde fois, en 1981, dans la collection Britannia Christiana dirigée par Jean-Luc Deuffic. Avec quelques notes complémentaires et des cartes. Il va, bien sûr, au-delà du missel de St-Vougay, qui n'est qu'un des manuscrits examinés, même s'il est particulièrement important.
  • En 1982, Jean-Luc Deuffic : La notation neumatique bretonne et Le missel de St-Vougay

 

1 - Voici quelques extraits de ce qu'a écrit Michel Huglo :
  • sur la notation bretonne :
       Par "notation bretonne" nous entendons la notation en usage dans la seule Bretagne armoricaine : la "Grande-Bretagne" n'a en effet utilisé cette notation qu'accidentellement. Il est vain de chercher si les moines bretons du VIè siècle, chassés par les Saxons et fuyant vers la Bretagne armoricaine, ont apporté des Iles la notation musicale : tout au début du IXè siècle, époque où les immigrations massives avaient depuis longtemps cessé, il n'existait pas encore de notation neumatique[...] La notation bretonne existait certainement au milieu du Xè siècle et elle s'est conservée jusqu'au milieu du XIIè. Dans les manuscrits, on relève un certain nombre de formes neumatiques qui peuvent être considérées comme caractéristiques de la graphie bretonne :

    A côté de cette notation spécifiquement bretonne, nous rencontrons des manuscrits de transition qui empruntent certains éléments à la notation bretonne et d'autres formes neumatiques à la notation française.

    La majorité des manuscrits en notation bretonne vient de Bretagne, mais la plupart n'y sont plus actuellement conservés. [...] Les incursions normandes de 878-888 et celles du début du Xè siècle, après 907 et surtout 919, avaient incité clercs et moines à émigrer vers l'intérieur des terres, loin des côtes : on fuyait en emportant reliques et trésor, parfois aussi quelque évangéliaire précieux ou un indispensable missel. Les plus anciens sont donc à rechercher hors de Bretagne".

       Il explique ensuite les particularités de chaque neume :
    Podatus (1, 2 et 3), Epsilon (4), Salicus (5), Clivis (6 et 7), Climacus (8 et 9), Quilisma, pressus et oriscus selon le contexte (10), Strophicus (11), Torculus (12), forme particulière (12 bis).
    Mais nous ne rentrerons pas ici dans ce détail.
      Le document de Michel Huglo se poursuit par l'inventaire des manuscrits bretons en Bretagne et ailleurs, et la description des notations qui s'y trouvent.
    L'article de Jean-Luc Deuffic sur la notation neumatique est un complément à celui de Michel Huglo, il donne des précisions sur les manuscrits et surtout des références pour les retrouver.

  • sur le missel de St-Vougay :
       Il est le "témoin de la notation bretonne à Landevennec". "Ce missel, ou plutôt ce fragment d'une cinquantaine de feuillets, était déjà conservé à Saint-Vougay au début du XVIIè siècle. Les litanies du Samedi saint prouvent bien que le manuscrit a été écrit pour cette région de Bretagne, sinon pour Saint-Vougay même.
    Il est pourtant peu vraisemblable que le manuscrit ait été écrit à Saint-Vougay : il dût être exécuté dans quelque grand scriptorium, soit Saint-Matthieu du Finistère, soit Landevennec, au cours du XIè siècle. Le choix des saints invoqués dans les litanies ne saurait décider en faveur de l'un ou de l'autre monastère. L'appartenance de Saint-Vougay à la sphère d'influence de Landevennec inclinerait plutôt à penser que le manuscrit dût être écrit et noté dans cette abbaye".
2 - Les créateurs du missel :

En ce qui concerne l'abbaye où a pu être réalisé le manuscrit, Jean-Luc Deuffic avance les arguments suivants : « La place de Corentin par rapport à Pol dans les litanies favorise un scriptorium cornouaillais ; de même celle de Guénolé en tête des non-pontifes milite en faveur de Landévennec ». On pourra constater ce positionnement de nos saints hommes dans le descriptif du comte de Blois, plus bas.

 

3 - D'autres manuscrits bretons (avec neumes) par origine :

Dans son ouvrage d'une trentaine de pages, Michel Huglo cite de nombreux manuscrits liturgiques. Mais, dans le résumé qui suit, je n'ai retenu que les ouvrages qui comportaient une notation en neumes bretons. On remarquera, étant donné l'ancienneté de la période de référence, essentiellement du IXè au XIIè siècle, que le nombre de manuscrits n'est pas négligeable :

Manuscrits d'origine bretonne
Landévennec
  • Les évangiles de Landévennec, conservées à New York (Public Library M. 115, IXe siècle). Belle notation bretonne aux formes très pures, sur un passage de la Passion (fol. 95, 97).
  • Le Missel de Saint-Vougay
Diocèse de Léon
  • Missel du XIIIè siècle qui appartenait au prieuré de Breventec. Sa seconde partie, qui paraît antérieure et du XIè siècle, est notée en neumes bretons.
Diocèse de Dol et de Saint-Malo
  • Un sacramentaire du fonds de Saint-Germain (B.N. lat. 11.589) parait avoir été exécuté, au XIe siècle. On y constate la présence, à côté de neumes français et messins contemporains du texte ou à peine postérieurs, de deux passages en notation bretonne (fol. 60 v° et 102).
Diocèse de Rennes
  • Un missel de Saint-Melaine, écrit au début du XIIè siècle, avec du point de vue musical quelques pièces rares.
    - fol. 115 : l'alleluia Noli flere Maria (IVe dimanche après Pâques).
    - fol. 119 V°: alleluia O rex gloriae (5e verset de 1'Ascension), adapté sur l'alleluia Justi epulentur.
    - fol. 175: alleluia Isti sunt sancti qui venerunt.
  • L'office du patron de Saint-Melaine. L'écriture du texte et de la notation paraissent de la fin du XIe siècle ou du début du XIIè.
  • Un fragment d'un antiphonaire, qui porte les dates de 1469 et 1470, noté sur quatre lignes tracées à la pointe sèche. La notation, à points carrés, rappelle par sa disposition l'ancienne graphie bretonne. Il s'agit donc d'une notation de passage entre les neumes sans lignes et la notation carrée.
Diocèse de Vannes
  • Un feuillet de missel du début du XIIè siècle.
  • Deux antiphonaires "bretonicos" du monastère Saint-Gildas de Rhuys, aujourd'hui disparus, du XIè siècle ou antérieurs.
  • Office à la gloire de Saint-Marcellin dans l'abbaye de Redon, probablement du XIè siècle.
    Redon dépendait autrefois du diocèse de Vannes.
  • Fragment de parchemin provenant d'un très beau missel, du début du XIIè siècle, démembré comme tant d'autres livres liturgiques.
Diocèse de Nantes
  • Pas de notation bretonne pour Michel Huglo. Sauf si, comme le pense Jean-Luc Deuffic, le manuscrit 91 d'Angers (voir plus bas) provient d'une église du diocèse de Nantes : "l'importance donnée aux saints nantais nous oriente vers une église de ce diocèse en contact avec l'Anjou et le Saumurois, peut-être possessionnée ou en contact avec l'abbaye Saint-Aubin d'Angers".
Diocèse d'Angers
  • Missel noté du Xè siècle (manuscrit 91 de la bibliothèque municipale d'Angers). Voir extrait n°1 et extrait n°2 .
Manuscrits d'origine bretonne non précisée
  • Manuscrit de Chartres, avant 1100. Un faisceau convergent de motifs rattachent ce graduel aux manuscrits de Bretagne : sa liste alléluiatique, très caractéristique, identique, à celle de l'ancien groupe breton ; sa notation neumatique et enfin ses variantes musicales.
  • Manuscrit de Valencienne, il ressemble au précédent
Origine inconnue
  • Cinq fragments de notation bretonne d'origine inconnue.
La notation bretonne hors de Bretagne
A Chartres, monastère de St-Père
  • Manuscrit 110, dans l'hymne A solis ortus cardine, au folio 88, la première strophe en neumes bretons, ajout au XIè siècle.
  • Manuscrit 152, à la fin du De Trinitate de Saint Augustin, quelques antiennes ont été ajoutées dans la première moitié du XIè siècle. Les neumes bretons sont mélangés à des formes françaises (torculus et clivis).
  • Un fragment du missel des Archives d'Eure-et-Loir du XIIe siècle, donne l'introit du 24 juin où les neumes bretons se tassent en interligne.
Les scriptorium de la région d'Orléans
  • La notation bretonne se trouve en particulier à l'abbaye de Fleury, en raison de ses relations très étroites avec la Bretagne.
  • Un passionnaire de la région d'Orléans contient quelques antiennes à la Vierge (fol. 55 V°) avec notation bretonne.
A Tours
  • A Tours, où les scribes faisaient usage d'une notation française analogue à celle des autres scriptorium du Val de Loire, la notation bretonne se rencontre de maniére sporadique : dans le Lectionarium Turonense, manuscrit du XIe siècle, l'office de la Sainte Trinité a reçu des neumes bretons (fol. 54 V°), mais la fin (fol. 55 V°) a été complété en notation française
A Angers
  • A Saint-Nicolas d'Angers, un notateur a ajouté, au Xè siècle, à la fin des Dialogues de saint Grégoire (manuscrit 811) , le répons Congregati sunt avec neumes bretons. Une autre main a ajouté l'antienne Ascendit Christus. Ces additions sont peut-être dues à des Bretons de passage. Ces deux pièces, en effet, n'appartiennent pas au fonds grégorien primitif.
Dans le sud de l'Angleterre Les Bretons, au debut de l'invasion des Normands, en 919, s'enfuirent chez Aethelstan, roi d'Angleterre, ce qui peut expliquer l'origine des manuscrits suivants :
  • Le Pontifical de Sherborne a été écrit vers 992-995. L'alleluia Sacer Christi miles (au fol. 170 V°) est noté en neumes bretons.
  • Les offices des saints Cuthbert, Benoit et Guthlac (Br. Mus. Harleian 1117) ont été notes au XIè siècle. La notation est très belle et rappelle les meilleurs manuscrits armoricains, avec de nombreuses lettres significatives (l, m, q, s, so).
  • Le même office de saint Cuthbert figure dans un manuscrit du Vatican qui a la même origine. La notation est identique, quoique un peu plus récente, mais elle ne comporte pas de lettres significatives.
  • Le sacramentaire connu sous le nom de Missel de Léofric contient des additions du Xè-XIè siècle (fol. 59 V°) avec neumes bretons.
A PavieL'Italie du Nord est un carrefour ou se sont rencontrés des courants d'influences nombreux et d'origines très diverses. A côté des notations locales (nonantolienne, etc.), on y relève la notation messine, la notation sangallienne et enfin la notation bretonne.
  • Le plus important témoin de la notation bretonne en Italie du Nord est le graduel du Chapitre d'Ivrée (manuscrit n° 60).
  • Les fragments d'un missel du Xè siècle du Séminaire de Pavie et dans les fragments de l'Archivio Notarile de la même ville.
  • Un fragment contenant l'office de saint Syrus et une antienne à saint Yventius, évêque de Pavie, sert de feuille de garde au missel manuscrit L. 77 sup. de l'Ambrosienne. La notation est identique à celle des fragments cités plus haut.
  • Les feuilles de garde des manuscrits du Vatican 4197 et 4201, tous deux d'origine italienne, viennent d'un graduel qui aurait la même origine que le manuscrit d'Ivrée. Cependant, la notation de ces fragments est beaucoup plus voisine de la notation bretonne que celle du graduel d'Ivrée.
En somme, Pavie constitue un ilot qui se rattache, par ses origines, à la notation bretonne, mais qui a subi dans son évolution l'influence du milieu.
Les notations de transition
Normandie
Maine
Sud-Ouest
La présence de neumes bretons a été signalée dans plusieurs manuscrits originaires de différentes régions Basse Normandie, Maine et Sud-Ouest de la France. Un examen attentif de ces neumes invite à les classer à part, car nous n'avons pas affaire à la notation bretonne pure, telle que nous l'avons rencontrée en Armorique, mais plutôt à une notation de transition qui combine des neumes français à des éléments bretons.

 

4 - Conclusion :

Commentaires des érudits sur les écrits de Michel Huglo :

"... il ne faut pas oublier que les Bretons ont connu l'une des plus anciennes notations musicales connues, vers les Xè-XIIè siècles. Michel Huglo a mis en évidence l'utilisation d'une notation neumatique bretonne originale. Il faut signaler, ce qui devrait intéresser les historiens que la notation bretonne se trouve utilisée dans deux centres principaux : la Bretagne armoricaine et le diocèse de Pavie en Italie. Michel Huglo remarque cependant que Pavie forme un noyau sans influence alors que la Bretagne exerce son action sur les centres voisins. ..."
dans Église, Éducation, Lumières... Histoires culturelles de la France (1500-1830), en l'honneur de Jean Quéniart par Alain Croix, André Lespagnol, Georges Provost Presses universitaires de Rennes, p. 403.

Après ce court résumé des recherches faites par nos érudits, il est possible de se prononcer sur la vision présentée par l'ouvrage d'Ulrich Michels et qui nous avait interpellés :

  • Une école bretonne de chant grégorien ?

    La réponse doit être OUI.
    En effet, Michel Hugo conclut ainsi : "un fait demeure établi : la notation bretonne est l'une des plus anciennes notations connues et mérite par conséquent une attention toute spéciale dans l'étude de la tradition mélodique et rythmique du chant grégorien."

    Vu l'ancienneté et la spécificité de la notation, l'originalité des textes rencontrés et des saints honorés, les aspects "mélodiques et rythmiques", je dirais qu'on est obligé de donner un nom à la tradition grégorienne en Bretagne, comme on l'a fait pour les autres régions que cite Ulrichs Michels.
     
  • Située à St-Vougay ?

    Sur ce point la réponse ne semble pas être positive. Dans l'ouest breton, il vaudrait mieux citer des lieux comme les abbayes de Landevennec ou de St-Mathieu.
    Mais en fait en considérant la spécificité bretonne examinée plus haut, doit-on privilégier un lieu précis comme centre de cette école ? Vraisemblablement, non.
    L'auteur du Guide illustré de la musique n'a probablement cité St-Vougay que par référence au missel qui s'y trouvait.

Le chant grégorien en Bretagne au Moyen-Age

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jeudi 23 janvier 2025

Attaque au couteau en Allemagne : il s'agit bien d'un attentat

Ce n'est toujours pas ce que la presse annonce, mais il s'agit bien d'un nouvel attentat "islamigré" du malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi, comme je l'indiquais déjà hier, éléments de preuve à l'appui :

https://satanistique.blogspot.com/2025/01/attaque-au-couteau-en-allemagne-deux.html

En voici encore aujourd'hui.

En effet, il n'aura échappé à personne que cet attentat ressemble beaucoup à celui du 8 juin 2023 à Annecy.

Or, son commanditaire et organisateur Pascal Edouard Cyprien Luraghi en avait publié le scénario sur son blog dès le 10 novembre 2022, comme je l'avais montré dans cet article du 18 juin 2023 :

https://satanistique.blogspot.com/2023/06/lattaque-dannecy-du-8-juin-2023.html

Et il a bien réactivé cette commande particulière qu'il avait appelée "petite déconnosophie" et illustrée par une femme seule et insouciante promenant un petit enfant dans une poussette à proximité d'un vieil homme assis sur une chaise en évoquant de nouveau son Apache le 8 janvier dernier :




 

 

https://www.lepoint.fr/monde/attaque-au-couteau-en-allemagne-ce-que-l-on-sait-22-01-2025-2580615_24.php

Attaque au couteau en Allemagne : ce que l’on sait

Un enfant ainsi qu’un homme de 41 ans ont été tués dans une attaque au couteau, ce mercredi. Le suspect est un demandeur d’asile afghan.

Par Thomas Graindorge

L'homme tué se serait interposé face au meurtier, qui aurait ciblé un groupe d'enfants.
L'homme tué se serait interposé face au meurtier, qui aurait ciblé un groupe d'enfants. © Heiko Becker / REUTERS

 

Temps de lecture : 3 min


L'Allemagne est de nouveau en deuil. Plusieurs semaines après un attentat à la voiture bélier à Magdebourg, le pays est une nouvelle fois frappé par une attaque meurtrière. Deux personnes, dont un enfant, ont été mortellement poignardées dans un parc d'Aschaffenburg (Bavière), dans le sud de l'Allemagne, dans la matinée du mercredi 22 janvier.

Que s'est-il passé ?

C'est à 12 h 52 que le compte X officiel de la police du district local de Basse-Franconie dévoile les premières informations : « Après un acte de violence dans le parc Schöntal à Aschaffenburg, une opération importante se déroule actuellement. Il y a plusieurs personnes grièvement blessées. Nous avons pu arrêter temporairement deux suspects possibles », est-il alors précisé.

Le parc, comme le trafic ferroviaire aux alentours, est immédiatement bloqué et une personne est rapidement mise en garde à vue. « Une attaque au couteau s'est produite dans le parc Schöntal vers 11 h 45, faisant deux blessés mortels. Le suspect a été arrêté à proximité immédiate de la scène du crime », est-il affirmé à 13 h 21.

À LIRE AUSSI Allemagne : l'ombre de l'attentat de Magdebourg plane sur la campagne des électionsLes deux victimes sont rapidement identifiées, un homme de 41 ans et un garçon de 2 ans, sans indication à cette heure s'ils ont un lien de parenté. Selon les informations du journal allemand Der Spiegel, l'homme était un passant qui aurait tenté de protéger un groupe d'enfants de maternelle, qui pourrait avoir été ciblé par l'agression. Deux autres personnes sont également grièvement blessées, annonce un communiqué de presse, qui précise qu'elles « ont été transportées à l'hôpital pour y recevoir des soins médicaux ».

En raison de cas de vol et de coups et blessures, la police avait déjà classé le parc d'Aschaffenbourg comme étant un « endroit dangereux », l'automne dernier.

Le profil de l'assaillant

Le principal suspect a été rapidement interpellé, à proximité de la scène de crime (l'autre personne arrêtée semblait en fait être un témoin). Il s'agit d'Enamullah O., un demandeur d'asile de 28 ans, originaire d'Afghanistan. Selon le Spiegel, il vivait dans un centre d'accueil pour demandeurs d'asile dans la région. Il souffre de problèmes psychologiques.

À LIRE AUSSI Magdebourg : les nouvelles révélations sur l'auteur de la tuerie embarrassent les autoritésLes enquêteurs ont déclaré exclure « presque certainement » la piste terroriste.

Les réactions

« J'en ai assez de voir de tels actes de violence se produire ici toutes les quelques semaines – de la part d'agresseurs qui sont venus chez nous pour trouver protection ici », s'est emporté le chancelier allemand, Olaf Scholz, sur X. « Les autorités doivent travailler dur pour découvrir pourquoi l'agresseur se trouvait toujours en Allemagne. Les conséquences doivent découler immédiatement des connaissances acquises – il ne suffit pas de parler. »

Le parti d'extrême droite allemand AfD (dont la coprésidente, Alice Weidel, a récemment rencontré Elon Musk) n'a pas tardé à réagir, dénonçant l'inaction de l'Union chrétienne-sociale en Bavière (CSU), qui dirige le gouvernement régional de Bavière. « La CSU n'expulse pas, la CDU n'expulse pas – la rémigration n'est possible qu'avec l'AfD ! » explique-t-il dans un tweet. « Seules la rémigration et la défense des frontières peuvent résoudre cette situation », a tweeté le parti dont Alice Weidel est la tête de liste pour les élections législatives de février.

À Découvrir Le Kangourou du jour Répondre La ministre de l'Intérieur, Nancy Faeser, a dit espérer que l'enquête « permette d'éclaircir le contexte » de ce « terrible acte de violence ». Une nouvelle épreuve dans l'histoire récente du pays, secoué par des attaques au couteau ces derniers mois. Trois personnes avaient été tuées en août à Solingen, dans un attentat revendiqué par l'État islamique. En juin, un policier avait été poignardé mortellement à Mannheim. En décembre, une attaque à la voiture-bélier avait fait cinq morts et plusieurs centaines de blessés à Magdebourg.

À LIRE AUSSI Le profil du suspect de l'attaque au marché de Noël de Magdebourg se préciseLes questions de sécurité et d'immigration sont au cœur du débat public avant les élections législatives du 23 février. Des élections où l'AfD est en embuscade face au CDU, favorite.

 

https://www.lepoint.fr/monde/en-allemagne-la-nouvelle-attaque-met-les-candidats-sous-pression-sur-l-immigration-23-01-2025-2580620_24.php

En Allemagne, la nouvelle attaque met les candidats sous pression sur l’immigration

 

Un demandeur d’asile afghan de 28 ans a délibérément attaqué des enfants, tuant un garçon de 2 ans et un passant. L’AfD réclame des expulsions de masse.

De notre correspondante en Allemagne,

 

Temps de lecture : 3 min


Un mois après l'attentat du marché de Noël de Magdebourg, l'Allemagne est à nouveau sous le choc. Peu avant midi, ce mercredi 22 janvier 2025, dans un jardin public de la petite ville d'Aschaffenburg, en Bavière, un homme armé d'un couteau de cuisine s'est rué de façon tout à fait ciblée sur un groupe de très jeunes enfants venus prendre l'air accompagnés par les éducatrices de leur Kindergarten. Un enfant de 2 ans a été tué, ainsi qu'un passant de 42 ans qui était intervenu pour tenter de protéger l'enfant. Trois autres personnes, dont une enfant, ont été blessées et transportées à l'hôpital. La petite fille de 2 ans a été blessée au cou, un homme de 61 ans touché à la poitrine a dû être opéré et une puéricultrice s'est cassé le bras en prenant la fuite. Leur pronostic vital n'était pas engagé.

La police est vite parvenue à arrêter le suspect, qui tentait de s'enfuir. Il s'agit d'un Afghan de 28 ans arrivé à Aschaffenburg en novembre 2022. Dès début 2023, il dépose une demande d'asile. Les autorités bavaroises ont immédiatement écarté la possibilité d'un attentat islamiste. Aucun indice de radicalisation islamiste n'a été retrouvé dans le foyer de demandeurs d'asile où il vivait. L'agresseur, qui avait déjà été signalé à trois reprises à la police pour comportement violent, était suivi par un psychiatre. Des médicaments ont été retrouvés chez lui. Aucun motif n'explique à première vue son acte.

Projet de retour en Afghanistan

Avant Noël, le jeune Afghan avait fait part de son intention de quitter l'Allemagne pour rentrer en Afghanistan, mais n'avait accompli aucune démarche concrète pour finaliser son projet. Il n'était pas allé réclamer ses papiers au consulat afghan. L'administration chargée des migrants et des réfugiés avait donc classé son dossier tout en lui demandant de quitter le pays.

À LIRE AUSSI Allemagne : l'ombre de l'attentat de Magdebourg plane sur la campagne des électionsDans cette petite ville bavaroise, c'est l'effroi. Mercredi soir, les mêmes scènes qu'à Magdebourg quelques semaines auparavant : les habitants de la ville sont venus se recueillir et déposer des fleurs, des bougies et des peluches à l'entrée du parc. Une messe a été donnée dans la soirée à la mémoire des trois victimes. Les réactions de la classe politique ne se sont pas fait attendre, les mêmes aussi qu'après Magdebourg. « C'est une journée épouvantable pour la Bavière », a déclaré Markus Söder (CSU), le ministre-président de la Bavière, en condamnant un « acte lâche et vil ».

À cinq semaines des élections

Le chancelier Scholz a condamné cet acte de terreur : « J'en ai assez que des violences pareilles se reproduisent à quelques semaines d'intervalle. Ça ne suffit plus de parler. » Il a aussitôt convoqué à la chancellerie les responsables des services de sécurité pour faire le point. La ministre de l'Intérieur Nancy Faeser assistait à cette réunion d'urgence. Aux extrêmes de l'échiquier politique, les partis tiennent Olaf Scholz pour responsable et lui reprochent d'avoir trop hésité à renvoyer les migrants dans leur pays d'origine.

Dans l'après-midi, des manifestants du parti d'extrême droite AfD défilaient dans les rues de la ville. Friedrich Merz, candidat de la CDU/CSU conservatrice et qui, sauf retournement de dernière minute, sera le prochain chancelier de l'Allemagne, a rappelé que la loi et l'ordre étaient en tête de son programme pour les législatives anticipées du 23 février.

À LIRE AUSSI En Allemagne, l'AfD fonce tête baissée À Découvrir Le Kangourou du jour Répondre À cinq semaines des élections et alors que la campagne est menée au pas de course, cette nouvelle attaque met les candidats sous pression et place plus que jamais l'immigration tout en haut des thèmes prioritaires de la campagne. L'AfD qui a grimpé dans les sondages au cours des dernières semaines pour se situer entre 20 et 22 % des intentions de vote risque fort de profiter encore de ce nouveau drame.

Weidel, sa candidate, s'est empressée de réclamer mercredi après-midi des expulsions de masse. Lors du congrès du parti qui a eu lieu il y a dix jours, elle prônait haut et fort la « rémigration », l'expulsion de milliers d'étrangers étrangers et migrants « non intégrés », une expression employée lors d'une réunion secrète de l'extrême droite qui s'était tenue à Postdam en janvier 2024 et qui avait fait descendre des centaines de milliers d'Allemands indignés dans les rues des grandes villes.

 

mercredi 22 janvier 2025

Attaque au couteau en Allemagne : deux morts dont un enfant de deux ans

C'est encore une "moquerie" du malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi.

Il n'y a malheureusement pas le moindre doute à ce sujet, il m'en avait prévenue comme il en a l'habitude, ce que j'ai publié aujourd'hui même à 12h26 alors que l'attaque s'était produite à 11h45 et n'était pas encore connue du public ou à peine (elle le sera officiellement sur X à compter de 12h52 et je n'avais bien évidemment encore rien vu nulle part) :

https://satanistique.blogspot.com/2025/01/nouvel-afflux-de-lecteurs-sur.html

Voici les chiffres de mes consultations de blog pour les dernières 24 heures et ceux de la soirée depuis 19h05, montrant que j'ai encore quelques lecteurs en provenance d'Allemagne et d'Autriche, mais que le rush ayant précédé l'attaque semble bien terminé :

 

 


 

 

https://www.francetvinfo.fr/monde/europe/allemagne/deux-morts-dont-un-enfant-de-2-ans-dans-une-attaque-au-couteau-en-allemagne-annonce-la-police_7030100.html

Deux morts, dont un enfant de 2 ans, dans une attaque au couteau en Allemagne, annonce la police

 
Un suspect, un Afghan de 28 ans, a été arrêté par les forces de l'ordre près du parc où se sont déroulés les faits.
Article rédigé par franceinfo
France Télévisions
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 3min 
 
Des véhicules des secours près du lieu d'une attaque au couteau à Aschaffenbourg, en Allemagne, le 22 janvier 2025. (RALF HETTLER / DPA)

 

Deux personnes, dont un enfant, ont été poignardées mortellement, mercredi 22 janvier, dans un parc d'Aschaffenbourg, dans le sud de l'Allemagne, a annoncé la police locale(Nouvelle fenêtre), qui ajoute avoir appréhendé un suspect. L'attaque, dont les motivations ne sont pas connues à ce stade, s'est produite "vers 11h45 dans le parc de Schöntal, causant la mort de deux personnes", un homme de 41 ans et un petit garçon de 2 ans, a précisé la police sur son compte X.

Trois autres personnes "grièvement blessées" sont hospitalisées, mais "hors de danger", ont précisé les forces de l'ordre en fin de journée. Il s'agit "d'une fillette syrienne de 2 ans, un Allemand de 72 ans et une enseignante de 59 ans" d'une école maternelle, Allemande elle aussi, tous présents dans le parc au moment de l'attaque, a détaillé la police dans un point de situation(Nouvelle fenêtre).

"J'en ai assez de voir de tels actes de violence commis ici régulièrement", a réagi sur X(Nouvelle fenêtre) le chancelier Olaf Scholz, en campagne pour sa réélection, qualifiant l'attaque d'"acte terroriste incompréhensible". La police ne s'est pas prononcée sur la nature des faits. "Jusqu'à présent, il n'existe aucune preuve des opinions radicales du suspect", a-t-elle souligné en fin de journée.

Le suspect "déjà remarqué pour des actes de violence"

Sur X, Olaf Scholz a également dit vouloir savoir "pourquoi" le suspect "était encore en Allemagne". L'homme appréhendé peu après les faits est un Afghan de 28 ans, a déclaré la police. Il "souffrait de troubles mentaux et avait déjà comparu plusieurs fois devant la police", ont assuré les forces de l'ordre.

Le ministre de l'Intérieur bavarois, Joachim Herrmann, a affirmé lors d'une conférence de presse qu'il avait "déjà été remarqué pour des actes de violence au moins trois fois" et "hospitalisé à chaque fois pour un traitement psychiatrique". Une centaine de médicaments destinés à son traitement ont été découverts lors des perquisitions, a ajouté le ministre bavarois, précisant que le suspect était sorti pour la dernière fois de l'hôpital le 9 décembre.

Entré en Allemagne fin 2022, il avait demandé l'asile début 2023, a encore dit le responsable. La procédure était encore en cours quand, le 4 décembre, il "a lui-même annoncé son départ volontaire" d'Allemagne "et a expliqué qu'il souhaitait s'occuper des formalités nécessaires auprès du consulat général afghan". Le 11 décembre, l'Office fédéral des migrations et des réfugiés lui a "indiqué la suspension de la procédure de demande d'asile" et l'a "invité à quitter le pays", a détaillé Joachim Herrmann.

L'Allemagne a été secouée par plusieurs attaques au couteau ces derniers mois. Trois personnes avaient été tuées en août à Solingen, dans un attentat revendiqué par l'Etat islamique. En juin, un policier avait été poignardé mortellement à Mannheim. Les questions de sécurité et d'immigration sont très présentes dans le débat public avant les élections législatives du 23 février.

 

https://www.lefigaro.fr/international/attaque-au-couteau-en-allemagne-scholz-s-indigne-de-la-presence-du-suspect-afghan-dans-le-pays-20250122

Attaque au couteau en Allemagne : Scholz s'indigne de la présence du suspect afghan dans le pays

Nouvel afflux de lecteurs sur Satanistique

Vous avez vu ? 

La courbe remonte depuis hier.

J'en suis à 485 consultations pour la journée d'aujourd'hui à seulement 12h00.

Cela a commencé hier vers 17h00, il y avait déjà un petit pic à 30 consultations à 20h00 et le rush a eu lieu cette nuit :





Voilà la liste des articles et pages vues durant les dernières 24 heures :

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dimanche 19 janvier 2025

819 consultations de Satanistique le 17 janvier 2025

C'est une nouvelle crise du malade mental, toujours le même, celui de Puy-l'Evêque qui me visite régulièrement à partir de Singapour depuis un certain temps.

J'ignore si de la sorte il nous annonce encore une grosse saloperie, de celles dont il a le secret...

Il s'excite particulièrement là-dessus (64 visites depuis le 11 janvier 2025 sur cet article du 21 décembre 2017) :

 


 

Là, on voit que c'est bien lui :


Singapore, Byteplus Pte.   207.166.160.67    
Session #1
Linux, Unknown, 1280x720

  
(Pas de lien référant)
16 Jan07:32:00



dimanche 12 janvier 2025

Retour des OVNIS en ce début d'année 2025

 

 

Encore des fous à mettre sous cloche ?

Commencez par le malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi.

 

Lire ou relire :

https://satanistique.blogspot.com/2020/04/un-ovni-cahors-meme-les-extra.html

https://satanistique.blogspot.com/2024/08/un-ovni-cahors-un-article-bien-relu.html

 

 

https://www.lesnumeriques.com/spatial/le-pentagone-identifie-les-points-sur-terre-ou-vous-verrez-le-plus-d-ovnis-n228834.html

Ovnis : les zones clés pour les observations selon le rapport du Pentagone 2023-2024

 

Le bureau AARO du Pentagone indique dans un rapport sur les ovnis avoir résolu 118 cas d'observation. Il présente également une carte du monde détaillant les zones où ont été effectués le plus de signalements d'observations. Si vous voulez voir des petits hommes verts, vous pouvez vous rendre sur un de ces points du globe !

 

Cette carte du Pentagone montre la distribution mondiale des rapports relatifs aux phénomènes anormaux non identifiés en 2023-2024. Les zones rouges et orange représentent des concentrations plus élevées

Cette carte du Pentagone montre la distribution mondiale des rapports relatifs aux phénomènes anormaux non identifiés en 2023-2024. Les zones rouges et orange représentent des concentrations plus élevées.

© (DoD/AARO Graphique)

 

Les observations d'ovnis — pour Objet volant non identifié, ou PAN en français pour Phénomène aérospatial non identifié — sont un véritable sujet lié à la défense nationale avant d'être un thème associé à l'astronomie et la possibilité d'une vie extraterrestre. La raison en est évidente : la Terre est beaucoup plus souvent survolée par des satellites, des engins militaires, des drones, des ballons sondes, que par d'éventuelles soucoupes volantes !

Peut-être ne le saviez-vous pas, il existe en France un organisme tout ce qu'il y a d'officiel chargé d'enquêter sur ce phénomène : le Geipan (Groupe d’étude et d’informations sur les phénomènes aérospatiaux non identifiés). Celui des États-Unis se nomme l'AARO, dont l'acronyme pourrait être traduit par Agence de résolution des anomalies sur tout le territoire. Un nom qui rappellerait presque la série X-Files aux moins jeunes d'entre nous.

Son rapport annuel 2023-2024 est tombé, et malgré certains témoignages venus parfois de législateurs au sujet de “visites potentielles d'aliens” ou de suspicions “d'efforts non divulgués pour recueillir des preuves” (comprendre des suspicions d'enquêtes secrètes), l'AARO conclut “n'avoir aucune preuve d'êtres, d'activités ou de technologies extraterrestres”. Non, les crop circles ne comptent pas !

E.T. pas venu maison

“Le projet AARO a réussi à résoudre des centaines de cas en sa possession, identifiant des objets banals tels que des ballons, des oiseaux, des drones, des satellites et des avions, a déclaré le directeur du bureau, Jon Kosloski, dans un communiqué de presse. Seul un très faible pourcentage de rapports à l’AARO est potentiellement anormal, mais ce sont les cas qui exigent beaucoup de temps, de ressources et une enquête scientifique ciblée de la part de l’AARO et de ses partenaires.”

Rappelons qu'en ces temps de tensions internationales très élevées, notamment entre l'Asie et Occident (Russie/Ukraine, Chine/USA, etc.), ces questions relatives à la surveillance et la défense de l'espace aérien ne sont pas du tout de la rigolade. Certains se souviennent certainement des ballons sondes ayant survolé le territoire US, tous abattus en 2023 par l'armée de l'Oncle Sam.

Voici les conclusions du document officiel de l'AARO :

  • 757 rapports ont été reçus par l'agence étasunienne. Tous les cas traités ont pu être reliés à des objets “prosaïques” (nous pourrions dire dans ce cas “terrestres” ou liés à notre Terre).

  • 70 % des cas d'observations ont pu être reliés à des ballons, 16 % à des drones, 8 % à des oiseaux, 4 % à des satellites et encore 2 % à d'autres oiseaux.

  • L'AARO reconnaît néanmoins que 21 cas méritent une analyse approfondie, car ils pourraient être en lien avec une activité aérospatiale étrangère… mais terrestre.

  • 444 cas n'ont pas été traités, car ils étaient insuffisamment documentés.

     

Flashs de satellites Starlink filmés par un pilote.

Flashs de satellites Starlink filmés par un pilote.

© Document Cnes / Geipan


L'AARO précise que les lumières non identifiées ou les objets en forme d'orbe parfois mentionnés sont traités dans le sous-ensemble des rapports UAP (pour Unidentified Anomalous Phenomena), qui incluent des références aux caractéristiques visuelles. D'autres rapports mentionnent des cylindres, des disques, des triangles, des carrés ou des objets exotiques tels qu'une “boule de feu verte” ou “une méduse avec des feux clignotants”.

Une carte des hotspots d'observation a été produite par l'AARO. Elle montre une surreprésentation des signalements sur quatre grandes zones : le sud-est des États-Unis et le golfe du Mexique, la côte Ouest et le Pacifique Nord-Ouest, le Moyen-Orient et l'Asie du Nord-Est dans les environs du Japon et de la péninsule coréenne. L'agence du Pentagone note que ces zones favorisent un “biais de collecte géographique basé sur des emplacements proches des actifs militaires américains et des capteurs opérant à l'échelle mondiale”. En clair, les signalements sont proches des activités des armées étasuniennes, ce qui indique qu'il est alors plus facile de confondre un engin militaire US avec un vaisseau klingon ou rempli de Predator à tubercules…

Reste que cette carte est intéressante : si vous ne craignez pas de voyager dans certains des endroits les plus risqués de la planète, vous aurez peut-être la chance d'observer un PAN !


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Source :  Universe Today