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dimanche 31 décembre 2023

La zététique, science de l'inversion de la charge de la preuve, parfaitement perverse

 

 

J'ai déjà exposé preuves à l'appui et à maintes reprises les tout débuts des attaques que j'ai subies de la bande du malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi sur le site Rue89 à compter de septembre 2008, par exemple ici :

http://satanistique.blogspot.com/2023/04/debunker-le-mythomane-cyprien-luraghi.html

N'étant qu'une commentatrice anonyme du site Rue89, je venais de m'y révéler comme victime de harcèlement moral en entreprise dans un débat consacré à ce sujet, où j'intervenais pour expliquer ou montrer un peu ce qu'est cette infraction pénale et jusqu'où elle peut aller, n'excluant aucune autre infraction pénale, par exemple des agressions physiques parmi les plus graves.

Bien évidemment, je n'avais cité personne et il n'était pas possible dans mes évocations de reconnaître qui que ce soit ou quelle qu'affaire que ce fût, même pas la mienne que je me gardais bien d'exposer complètement, n'en tirant à titre d'exemples que quelques éléments parmi les plus communs dans les affaires de harcèlement moral en entreprise.

Or, à partir de ce début septembre 2008, j'ai continuellement été harcelée par les malades mentaux et cybercriminels dits "déconnologues" de la bande du psychopathe Pascal Edouard Cyprien Luraghi affirmant que le harcèlement moral en entreprise n'existait pas, que je n'étais qu'une folle paranoïaque comme tous les prétendus harcelés dans le travail ou ailleurs, que je n'avais jamais subi nulle part aucun harcèlement et même, que j'avais aussi menti sur ma profession, n'ayant jamais été, selon eux, ni ingénieure ni informaticienne. 

Egalement, ils ont toujours exigé que je leur fournisse des preuves de mon passé professionnel, faits de harcèlement moral y compris, et comme je m'y suis toujours refusée, ne leur devant absolument rien, ils n'ont pas tardé à les demander aux magistrats ultra CORROMPUS de mes TJ de province qui leur ont toujours fourni illégalement tout ce qu'ils pouvaient, jusqu'à me faire subir eux-mêmes ou par délégation les interrogatoires qui leur avaient été soumis par mes harceleurs afin de pouvoir leur en communiquer les résultats. 

Voilà. Je refuse de répondre aux questions illégitimes du malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi ou de son complice le "zététicien" Jean-Marc Donnadieu de Béziers, qu'à cela ne tienne, les magistrats qu'ils ont achetés vont me reposer les mêmes questions ou m'imposer de fournir moi-même à quelque auxiliaire de justice également aux ordres de ces cinglés tous les éléments de ma biographie qui leur manquent encore pour leur saleté de bouquin sensationnel sur mon compte.

Je rappelle ici que ces magistrats connaissent tous parfaitement bien tout mon passé professionnel, les faits de harcèlement moral dont j'ai été victime dans le travail ayant bien donné lieu à enquêtes, procès et décisions diverses : ces faits sont bien connus, ils sont partiellement reconnus, j'ai bien obtenu des condamnations contre certains de mes harceleurs, et disposais aussi et dispose toujours de bien des preuves pour tout le reste, comme le savent bien tous les magistrats qui ont été saisis de ces faits.

Mes magistrats bretons ultra CORROMPUS jouent depuis le début, en 2008, 2009 ou 2010, une comédie absolument immonde.

Mes harceleurs "déconnologues" et "zététiciens" ayant décidé de révéler à leurs publics respectifs à compter du 19 juin 2010 mon identité et toutes mes coordonnées, qu'ils avaient obtenues frauduleusement au moins deux ans plus tôt, avec, de plus, toutes leurs inventions calomnieuses et accusations mensongères à mon encontre, c'est à eux qu'il appartenait de s'en justifier, et non l'inverse.

J'aurais menti à propos de ma propre biographie, de mon passé professionnel ? 

Où ? Quand ? Comment ? 

Prouvez-le !

Je n'aurais été en réalité qu'une "petite secrétaire" "hypernarcissique et atrocement méchante" (sic) ?

Où ? Quand ? Comment ?

Prouvez-le ! 

Je n'aurais été en réalité qu'une prostituée ?

Où ? Quand ? Comment ?

Prouvez-le !

Je n'aurais été qu'un "cas lourd psychiatrique", une "paranoïaque" ?

Où ? Quand ? Comment ?

Prouvez-le ! 

Toutes vos affirmations publiques me concernant ont toujours été gratuites, mensongères, contredites par tous les éléments de preuve que je me suis trouvée contrainte de produire pour ma défense dans les différents procès, plus qu'abusifs, que vous m'avez faits depuis 2010, qu'il s'agisse de mon passé professionnel ou de ma vie privée.


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