Halte à la censure et la désinformation satanistes !
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vendredi 6 octobre 2017
Attention, les escrocs tuent aussi leurs complices...
Il est parfois bon de rappeler quelques réalités.
Comme le savent bien mes lecteurs les plus assidus, je suis depuis
longtemps la proie d’une bande de pirates informatiques et escrocs
notoires qui instrumentalisent la justice pour parvenir à leurs fins,
soit : obtention, effective depuis 2010 après corruption de magistrats,
du droit à violer l’intimité de ma vie privée et celles de tous mes
proches par tous moyens « légaux » et surtout illégaux (piratages
informatiques, écoutes téléphoniques illégales, autres) afin de
« documenter » à notre sujet un prétendu « écrivain » dont tous les
écrits publics nous concernant sont calomnieux et nous mettent en danger
de multiples manières, notamment en incitant explicitement à la haine
et au meurtre à notre encontre quand il ne s’agit pas carrément de
menaces de mort ou autres, privation du droit à porter plainte pour les
victimes, privation de tout droit de réponse pour les mêmes à la suite
des publications calomnieuses les concernant, privation de leurs
ressources financières par divers moyens frauduleux, afin notamment de
les empêcher de se défendre, condamnations illégales multiples,
notamment à verser des sommes extraordinaires aux délinquants ou
criminels, et par-dessus tout, repérage à l’aide de tous ces moyens de
l’ensemble des proches, amis et « alliés » des victimes, ainsi que de
divers témoins de leurs vraies vies ou des exactions dont elles sont
victimes, afin d’éliminer tous ces gêneurs, car le prétendu « écrivain »
cherche à faire fortune avec les « biographies » entièrement fausses
qu’il publie à leur sujet.
Comme très souvent, l’actualité du jour vient à point nommé rappeler à
tous ceux qui les soutiennent encore que les criminels de cette trempe
n’hésitent pas non plus à se débarrasser de leurs complices lorsque
ceux-ci deviennent gênants.
Les aveux ont été faits par une femme lors de sa garde à vue ce jeudi
dans les locaux de la gendarmerie de Montbrison. Interrogée dans le
cadre d’une affaire d’extorsion de fonds, elle a déclaré avoir tué un
complice. Le corps d’un homme a été retrouvé dans un champ, à Septème en
Isère.
Par Aude Henry Publié le 06/10/2017 à 08:45 Mis à jour le 06/10/2017 à 10:39
Ce jeudi 5 octobre, dans les locaux de la gendarmerie de Montbrison,
dans la Loire, un couple est en garde à vue dans le cadre d’une affaire
d’extorsion de fonds. En début d’après-midi, lors de son audition, la
femme fait une incroyable déclaration. Elle avoue avoir tué leur
complice, un homme porté disparu depuis le 26 août dernier. Elle indique
par la même occasion aux gendarmes où est enterré le corps : près d’un
village en Isère, à Septème.
Immédiatement, les gendarmes vont entamer les recherches et les
vérifications. L’enquête est confiée à la brigade de recherche de
Montbrison, appuyée par celle de Lyon. Un hélicoptère de la section
aérienne de Lyon effectue un survol et une reconnaissance des lieux afin
de localiser le point précis des recherches. Et sur la base des
déclarations de la femme, les gendarmes vont engager les fouilles en
début de soirée, et trouver un cadavre, enterré dans un champ.
Les techniciens de l’identification criminelle de la Loire et de
l’Isère vont établir que le cadavre retrouvé en état de décomposition
avancé, est celui d’un homme faisant l’objet d’une déclaration de
disparition inquiétante depuis le 26 aout dernier. La même date à
laquelle la femme a avoué l’avoir tué lors de son audition. Le procureur
de Saint-Etienne, accompagné d’un médecin légiste, s’est rendu sur les
lieux dans la soirée.
Jusqu’à hier, le couple était simplement soupçonné d’escroquerie, d’extorsion de fonds auprès de personnes âgées.
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