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mercredi 19 janvier 2022

Enquête sur les brocanteurs d'Affaire conclue

 

Curieusement, tout comme Xavier Sliman, le brocanteur de Charleville-Mézières qui serait très impliqué dans les tueries du Brabant, les acheteurs de l’émission télévisée française Affaire conclue affectionnent eux aussi tout particulièrement la Belgique pour leurs activités (voir ci-dessous).

L’on notera par ailleurs que celui de mes harceleurs complices du cybercriminel Jean-Marc Donnadieu de Béziers qui répond au nom de Patrice Seray et dit pour sa part résider avec son épouse Francine Cordier à Harsault, près d’Epinal, ville natale de Thierry Sliman, frère du précédent, qui serait également très impliqué dans les tueries du Brabant, une ville où il a d’ailleurs lui-même été domicilié au moins en 2010 (voir ci-dessous), cet « ufosceptique » du nom de Patrice Seray, donc, affiche sur Facebook son amitié avec l’ex star de cette émission Pierre-Jean Chalençon, vieil ami du vieil ami du pédophile notoire Pascal Edouard Cyprien Luraghi Alain Pougetoux :

 

https://www.facebook.com/patrice.seray/about

Patrice Seray

N’oubliez jamais qu’un ressenti n’est pas une réalité !
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https://ufo-scepticisme.forumactif.com/t1052-ex-repas-ufologique-grenoblois-modif-titre-231014

Ex- Repas Ufologique Grenoblois (modif titre 231014) Empty Re: Ex- Repas Ufologique Grenoblois (modif titre 231014) 28/02/10, 05:42 pm

François Hays

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COMPTE RENDU DU 13e RUG

Le jeudi 4 février dernier s’est tenu le 13e repas ufologique grenoblois qui clôturait pour l’occasion un deuxième exercice. Vingt-neuf personnes se sont donc retrouvées au restaurant « Fleurs de sel » à Grenoble pour profiter de l’opportunité de s’exprimer à loisir, aucun intervenant n’ayant été programmé. J’eus le plaisir de constater que l’ufologue nord isérois Bruno Mazzocchi avait fait le déplacement, ce qui n’est pas fréquent. Je remarquai aussi que plusieurs nouveaux avaient pris place dans l’assemblée, signe du dynamisme de notre repas.
J’installai sur un petit espace à part une vingtaine d’ouvrages et revues d’occasion ouverts à la consultation mais aussi à la vente.

La traditionnelle revue de presse me permit de présenter quelques magazines disponibles en kiosque (Top secret n° 47, Nexus n° 66, Monde inconnu n° 342) mais aussi les revues ufologiques Ufomania n° 61, LDLN n° 396 et Ufo Log n° 22, fraîchement sorti des presses, et dont le rédacteur en chef avait apporté quelques exemplaires. Il fut aussi question de l’ouvrage de Laurent Glauzy Extraterrestres : les messagers du new age et du film District 9, récemment sorti en DVD. En revanche je n’eus pas le temps de présenter le travail de l’ufologue Patrice Seray qui propose trois cd-rom comprenant les scans de tous les articles ufologiques contenus dans la revue Nostradamus des années 1974, 1975 et 1976. Ce type de travail est à encourager parce qu’il met à notre disposition des archives difficiles à réunir. A commander chez l’auteur (33 rue d’Olima 88000 Epinal) pour 5 € l’un, port compris.

 

https://www.programme-tv.net/news/tv/291971-exclu-enquete-les-acheteurs-daffaire-conclue-gagnent-ils-vraiment-de-largent/

Exclu. Enquête : les acheteurs d’Affaire conclue gagnent-ils vraiment de l’argent ?

 

Le 19/01/2022 à 12:04 par Eric Le Bourhis Modifié le 19/01/2022 à 14:33

 

S’il arrive parfois aux professionnels de l’émission d’enchères de France 2 de surpayer les objets à la télé, ils se rattrapent par ailleurs. Notre enquête.

Cités dans cet article

 

Faut-il prendre pour argent comptant ses déclarations ? Selon Julien Cohen, figure truculente d’Affaire conclue, ses quatre années de présence quasi-quotidienne à la table des enchères sur France 2, d’un strict point de vue comptable, ne lui ont pas permis de faire sauter la banque. À l’entendre, il y aurait même laissé du cash. « Sur les quelque 1850 objets acquis, je suis proche du seuil de rentabilité, mais je perds tout de même un petit peu d’argent », assène l’homme aux lunettes bleues, affirmant garder sur les bras 600 objets acquis dans l’émission. « Invendables pour la plupart, car achetés trop cher dans Affaire conclue, parfois pour faire plaisir aux participants qui ont traversé la France », précise celui qui est connu pour dégainer facilement son carnet de chèque. En attendant, ces derniers objets qui lui restent sur les bras continuent à orner ses boutiques. « J’espère les vendre au moins à prix coûtant « , affirme celui qui quittera définitivement l’émission dans quelques semaines.

Pas si rentable que ça, Affaire conclue ? Une affirmation en forme de trompe-l’œil pour le président des Puces de Saint-Ouen, François Casal : « Hormis quelques ‘coups de flambe’, il y a aussi de très bons achats à réaliser. Mais surtout, pour ces marchands passés de l’ombre à la lumière, l’émission s’est révélée être un vrai ascenseur promotionnel, certains s’imposant même aujourd’hui en caïds de la profession ! ». Un petit tacle à Julien Cohen, l’entrepreneur aux affaires par ailleurs florissantes ? Assurément.

« Comment revendre beaucoup plus cher un objet dont tout le monde connaît le prix d’achat initial pour l’avoir vu sur le petit écran ?« 

Autre figure emblématique de l’émission de France 2, l’antiquaire Caroline Margeridon, a aussi un avis affuté sur la question. Elle relativise d’abord l’effet « vu à la télé » : « Comment revendre beaucoup plus cher un objet dont tout le monde connaît le prix d’achat initial pour l’avoir vu sur le petit écran ? », ironise l’acheteuse qui, en général, « marge » par deux ou trois, selon les cas… et s’empresse justement d’exposer ses acquisitions en vitrine avant leur passage sur France 2. « Il m’arrive aussi souvent de casser les prix, pour faire plaisir ou tout simplement pour renouveler les objets de ma boutique « , précise-t-elle. Mais davantage que la plus-value sur la revente, la médiatique acheteuse, aujourd’hui suivie par plus de 100 000 followers sur Instagram – dix fois plus qu’il y a quatre ans –, affirme que sa nouvelle notoriété a surtout boosté comme jamais son accès aux marchandises, la matière première, le nerf de la guerre. « J’achète 50% d’objets en plus par rapport à 2017″, évalue-t-elle.

Même son de cloche du côté de ses collègues d’Affaire conclue, Caroline Pons et Diane Chatelet. « J’étais antiquaire depuis longtemps et bien avant la télé, mais c’est vrai que l’émission a été un vrai booster d’activité. Le message qu’elle renvoie à tous les téléspectateurs, c’est que si on a des choses à vendre, on peut les vendre et on peut aussi venir les acheter dans nos galeries. L’émission m’a donc value une énorme ouverture de clientèle, qui m’a vue dans l’émission et qui me fait confiance. A la base, je suis spécialiste d’art asiatique, un marché assez étroit. Aujourd’hui, on m’appelle tous les jours pour me proposer une porcelaine chinoise ou une laque du Vietnam. Affaire conclue a tout transformé de ce point de vue, vraiment ! « , développe Caroline Pons, qui, aujourd’hui, travaille moins en salon, mais davantage dans sa galerie du marché Serpette, aux puces de Saint-Ouen, récemment ouverte, et qui lui donne accès à une clientèle plus internationale.

Des ouvertures de boutiques en cascade

Sur cette ouverture phénoménale en visibilité et crédibilité, Diane Chatelet abonde. Antiquaire en chambre et courtier en oeuvres d’art avant l’émission, cette diplômée de l’Ecole du Louvre a profité de ce tremplin pour réorienter son activité en ouvrant une boutique au marché Serpette également, pour accéder à une clientèle internationale. « Grâce à l’émission, j’ai pu acheter et donc revendre beaucoup plus de mobilier ». La professionnelle s’est associée avec Gérald Watelet, le décorateur belge qu’on voit également dans Affaire conclue, et un autre marchand. Une organisation en trio qui lui donne de la souplesse pour continuer à chiner un peu partout.

Elle comme Caroline Pons sillonnent d’ailleurs régulièrement la France ou la Belgique, chacune de leur côté, allant même jusqu’à organiser des séances publiques d’expertise, avec option d’achat à la clé, indépendamment d’Affaire conclue. « On se signale quelques jours avant sur nos réseaux sociaux, on a une multitude de particuliers qui viennent nous voir avec leur objet« , détaille Diane Chatelet. Une activité avec les particuliers qui l’incite à ne pas acheter n’importe comment dans l’émission : « Quelque chose que j’achète 2000 euros à la télé, je ne peux pas me permettre de dire que ça en vaut 500 quand un particulier m’appelle pour un inventaire. C’est une question de crédibilité « .

Payés autour de 1000 euros par jour de tournage, à raison de six émissions par jour, les acheteurs de France 2 font donc une part importante de leur business dans la vraie vie avant tout. Et pour nombre d’entre eux, l’effet Affaire conclue a suscité l’ouvertures de boutiques. Julien Cohen, possède deux grands magasins à Saint-Ouen et Bruxelles, d’autres dans la Nièvre et en Angleterre, et projette de s’implanter aux USA, en parallèle de ses « maisons des brocanteurs » qu’il souhaite développer dans l’Hexagone. Caroline Margeridon, déjà implantée à Saint-Ouen, comme Diane Chatelet et Caroline Pons, projette d’ouvrir un ou deux autres lieux, à Bruxelles et au Luxembourg. Alexandra Morel, de son côté, vient d’ouvrir une surface de vente de 3000 m2, dans le quartier bruxellois des Marolles.

 

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