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jeudi 16 juillet 2015
Alertes à la bombe et tentatives d'assassinat dans l'Hérault en début d'année 2012
En début d’année 2012, j’avais évoqué sur mon blog « Un petit
coucou » chez OverBlog plusieurs affaires successives d’alertes à la
bombe et de tentatives d’assassinat dans l’Hérault, à Montpellier et à
proximité de Béziers.
Cliquez sur les images suivantes pour les agrandir et retrouver les articles en question :
Où en sont aujourd’hui toutes ces affaires ?
1/ la bombe au sauna libertin de Montpellier le 31 décembre 2011
Un suspect incarcéré fin 2012 a été libéré au mois de juillet 2013,
après sept mois de détention. Il a toujours nié les faits, se disant
victime d’un coup monté. Ce sont les dernières nouvelles qui aient été
publiées sur cette affaire.
Un homme mis en examen pour avoir placé une bombe près d’un club échangiste de Montpellier
Le propriétaire d’un club libertin, a été mis en examen à
Montpellier pour avoir déposé une bombe devant l’établissement d’un
concurrent. L’engin a été découvert par hasard avant qu’il n’explose.
Par Fabrice Dubault
Publié le 22/11/2012 | 19:38, mis à jour le 22/11/2012 | 20:05
Dans cette affaire ouverte, pour tentative d’assassinats et
tentative de destruction volontaire d’un établissement recevant du
public, le parquet a requis le mandat de dépôt contre l’auteur présumé,
un homme né en 1958, a-t-on précisé de source judiciaire.
Jean-Jacques Amouroux, 54 ans, déjà connu pour braquage, association de
malfaiteurs, proxénétisme et trafic de stupéfiants, nie toute
participation, sans donner d’explication à la présence de son ADN près
de la bombe.
Retour sur les faits du 31 décembre 2011
La bombe avait été découverte par un vigile qui faisait une ronde le
soir 31 décembre 2011 vers 19H, alors qu’elle devait exploser vers
21H30. Elle avait été placée dans un colis près d’un mur de
l’établissement, le Kalyptus, et aurait pu, selon les experts, faire de
nombreuses victimes si elle avait explosé.L’enquête menée par la police a
pu aboutir grâce à une trace ADN retrouvée sur l’engin explosif, a-t-on
encore précisé de même source, qui précise que l’homme interpellé
mercredi nie les faits.
L’engin explosif avait été placé dans le mur du Kalyptus.
RICHARD DE HULLESSEN
La chambre de l’instruction de la cour d’appel de Montpellier
a demandé ce jeudi matin l’incarcération du propriétaire d’un club
libertin de Saint-Jean de Védas, soupçonné d’avoir déposé un engin
explosif près d’un établissement concurrent à Montpellier fin 2011.
La chambre de l’instruction de la cour d’appel de Montpellier vient
de trancher dans l’affaire de la bombe au sauna échangiste. Le patron de
boîte de nuit et de club libertin suspecté d’avoir posé ou fait poser
l’explosif va être placé en détention provisoire.
Mis en examen pour tentative d’assassinat
Ce quinquagénaire a été mis en examen fin novembre pour « tentative
d’assassinat » et « tentative de destruction par explosif » . Ses
empreintes ADN ont été retrouvées sur la bombe placée contre le mur du sauna échangiste le Kalyptus,
le 31decembre 2011. La bombe avait été découverte par un vigile qui
faisait une ronde, le soir du 31 décembre 2011 vers 19 h, alors qu’elle
devait exploser vers 21 h 30, selon les enquêteurs du SRPJ
de Montpellier chargés de l’enquête. L’engin aurait pu, selon les
experts, faire de nombreuses victimes s’il avait explosé.
Déjà connu des services de police
Né en 1958 et très connu de la justice, notamment pour braquage et
association de malfaiteurs, cet homme nie être l’auteur de cette
tentative d’attentat et affirme qu’on a voulu le piéger.
Montpellier : écroué pour avoir tenté de faire sauter un club libertin concurrent
La chambre de l’instruction de la cour d’appel de Montpellier a
demandé l’incarcération d’un patron de club libertin de St Jean de Védas
accusé d’avoir poser un engin explosif devant le Kayptus à Montpellier
le soir du réveillon.
Par Laurence Creusot
Publié le 06/12/2012 | 14:44, mis à jour le 06/12/2012 | 14:58
La chambre de l’instruction de la cour d’appel de Montpellier a
demandé jeudi l’incarcération du propriétaire d’un club libertin de
Saint-Jean de Védas, soupçonné d’avoir déposé un engin explosif près
d’un établissement concurrent à Montpellier fin 2011, a-t-on appris
auprès de son avocat.
L’engin avait été découvert par hasard dans la soirée du 31 décembre 2011.
Cet homme avait été mis été en examen jeudi dernier pour « tentative
d’assassinats » et « tentative de destruction volontaire d’un
établissement recevant du public ».Le parquet avait requis un mandat de
dépôt mais il n’avait pas été suivi par le juge de la liberté et de la
détention.
Né en 1958 et très connu de la justice, notamment pour braquage et
association de malfaiteurs, cet homme nie être l’auteur de cette
tentative d’attentat et affirme qu’on a voulu le piéger.
La bombe avait été découverte par un vigile qui faisait une ronde, le soir du 31 décembre 2011 vers 19H00, alors qu’elle devait exploser vers 21H30, selon les enquêteurs du SRPJ de Montpellier chargés de l’enquête.
L’engin de fabrication artisanale avait été placé dans un sac près
d’un mur de l’établissement, le Kalyptus, et aurait pu, selon les
experts, faire de nombreuses victimes s’il avait explosé.
L’enquête a pu aboutir grâce à une empreinte ADN retrouvée sur le sac
dans lequel l’engin explosif avait été placé. Elle a permis de remonter
au mis en examen, qui faisait d’ailleurs partie des suspects de la
première heure.
Le 31 décembre 2011 des employés du Kalyptus découvrent par hasard un pain d’explosif incrusté dans le mur du sauna.
R. de H.
Son ADN retrouvé sur lengin.
Retenant le grave trouble à lordre public, la cour dappel de
Montpellier a décidé, hier, de placer Jean-Jacques Amouroux en détention
provisoire dans laffaire de la bombe au Kalyptus, un sauna échangiste.
Il devrait être incarcéré ces jours-ci à la maison darrêt de
Villeneuve-lès-Maguelone.
Le quinquagénaire, patron de boîte de nuit (le Bellano à La
Grande-Motte), de restaurant ou dun club libertin à Saint-Jean-de-Védas
(le Bouddah) est soupçonné davoir voulu se venger dun concurrent avec
lequel il avait aussi eu un litige commercial de 4 000 .
Mis en examen pour tentative dassassinat et tentative de
destruction par explosif, il avait initialement été laissé libre, sous
contrôle judiciaire. Interpellé par le SRPJ le 20 novembre, il conteste
toute implication dans cette affaire. Mais les enquêteurs possèdent un
élément à charge de poids : son ADN.
Le 31 décembre, par hasard, des employés du Kalyptus avaient
découvert un pain dexplosif de 750 g incrusté dans le mur de
létablissement et relié par des fils à un réveil Droopy réglé pour
exploser dans la soirée ou quelque 150 libertins étaient attendus pour
fêter la nouvelle année. Onze mois après, les empreintes retrouvées sur
la bombe et un sac à dos sur lequel était posé le réveil ont parlé : ce
sont celles de Jean-Jacques Amouroux.
Lengin devait-il exploser ?
« Mon client était devant la télévision ce soir-là » conteste Me
Gilles Gauer. Pour lavocat, il a été piégé : « Cest un sac à dos quon
lui avait confié fin octobre 2011, il la manipulé pour vérifier quil
ny avait pas darme. » Et ce coup monté serait luvre des mêmes
individus qui ont voulu tuer Amouroux, victime dune tentative
dassassinat à coups de 9 mm sur le parking de la Dune (lactuel
Bellano), fin novembre 2010. « Ceux qui nont pas réussi à léliminer
essayent de limpliquer judiciairement » affirme Me Gauer.
Lenquête de la PJ dans lentourage de cet homme de la nuit, qui se
dit rangé du grand banditisme (un casier judiciaire très ancien témoigne
de son activisme lorsquil était à Paris : proxénétisme, association de
malfaiteurs ou détention darme) va donc se poursuivre. Pour tenter de
retrouver ses complices ou les vrais auteurs, sachant que huit profils
ADN auraient été retrouvés sur la bombe…
Surtout, le juge en charge du dossier devra déterminer si lengin
devait bel et bien exploser, causant des dégâts certains (matériels et
humains). Ou si, comme le soutien la défense du mis en cause, il a été
posé pour être vu et nétait pas en état de fonctionner.
Sans l’intervention des démineurs de la préfecture, la
bombe aurait explosé au moment où potentiellement des clients faisaient
la queue à l’entrée.
Photo R. D. H.
La chambre de linstruction de la cour dappel de Montpellier a
refusé ce jeudi la remise en liberté de Jean-Jacques Amouroux, patron de
discothèques et dun sauna libertin dans lHérault.
Jean-Jacques Amouroux est incarcéré pour tentatives dassassinats,
après la découverte de son ADN sur un engin explosif déposé le 31
décembre 2011 devant un sauna libertin de Montpellier, le Kalyptus. Il nie toutefois être impliqué dans ces faits.
Mais la cour dappel estime quil doit rester en détention, pour
éviter tout concertation frauduleuse, pour garantir sa représentation en
justice, et à cause du trouble à lordre public créé par les faits.
En décembre 2012, un sac contenant un puissant explosif et
un dispositif de mise à feu, avait été déposé le soir du 31 décembre
2011 contre les murs du Kalyptus.
ARCHIVE – R. de H.
Soupçonné d’avoir voulu faire exploser un sauna libertin de
Montpellier en décembre 2011, Jean-Jacques Amouroux a passé sept mois
derrière les barreaux.
Jean-Jacques Amouroux, un patron de discothèque soupçonné d’avoir
voulu faire exploser un sauna libertin de Montpellier, a été remis en
liberté vendredi dernier, après avoir passé sept mois derrière les
barreaux.
Il a été placé sous contrôle judiciaire par le juge des libertés, avec obligation de résider dans la région parisienne.
Ce quinquagénaire, qui a été propriétaire de la Dune à la Grande-Motte, où il avait échappé à une tentative d’assassinat par arme à feu, et d’un sauna libertin à Saint-Jean-de-Védas,
avait été incarcéré en décembre 2012, lorsque son ADN avait été
découvert sur un sac contenant un puissant explosif et un dispositif de
mise à feu, déposé le soir du 31 décembre 2011 contre les murs du
Kalyptus.
Ce sauna échangiste, avec qui Jean-Jacques Amouroux avait un litige,
devait accueillir plusieurs dizaines de personnes pour la
Saint-Sylvestre.
Jean-Jacques Amouroux, qui nie catégoriquement les faits, reste mis en examen pour tentatives d’assassinats.
2/ la tentative d’assassinat contre Patrick Serra le 19 janvier 2012
Tout aussi extraordinaire que l’affaire de la bombe posée contre un
mur du sauna libertin de Lattes, au sud de Montpellier, cette tentative
d’assassinat semblait pouvoir lui être liée. Elle n’est à ce jour pas
davantage résolue.
La police judiciaire poursuit ses investigations….La santé de Patrick Serra, le caïd marseillais âgé de 52 ans et proche de Raymond Mihière, dit le Chinois,
s’est améliorée hier. Il est toutefois toujours inconscient, et n’a pas
pu être entendu par la PJ montpelliéraine, chargée de l’enquête par le
procureur Brice Robin. La victime, qui a fait l’objet jeudi d’une tentative d’assassinat près de la gare de Montpellier, alors qu’elle se déplaçait à vélo, a reçu trois balles :
une dans la tête et deux à l’abdomen…. Un briquet, un téléphone
portable, un vélo sans cadenas et quatre balles de 38 mm. Voici
quasiment les seuls indices dont disposaient hier matin les enquêteurs
de la PJ de Montpellier chargés d’enquêter sur la tentative d’assassinat dont a été victime le repris de justice marseillais. « Serra, c’est un mec qui est dans le banditisme depuis trente ans, et qui a été proche de beaucoup de monde. Incontestablement quelqu’un d’un certain niveau dans le milieu » précise une source policière. Braqueur dès 1980, il avait été grièvement blessé en 1995 d’un coup de fusil,
dans une villa de Marseille. Il s’était remis de ses blessures, mais ne
s’était pas éloigné du milieu des armes : en 2001, il était incarcéré plusieurs mois avec plusieurs comparses pour association de malfaiteurs, après la découverte dans un box, toujours à Marseille,
de plusieurs gros calibres et de gilets pare-balles. Libéré, il avait
disparu, et avait écopé en son absence de sept ans de prison en 2006 à
Aix-en-Provence. En cavale, il avait été repris en 2007 en Espagne. (source la provence.com et le midi libre)
Le 19 janvier 2012, Serra sort de chez Crucia lorsqu’il se fait tirer dessus.
J.-M. MART
Alain Crucia et Patrick Serra, des « voyous d’autrefois », ont été
pris avec 33 kg de haschich le 12 juin 2012. Le premier est condamné à
quatre ans de prison, le second, qui a survécu à deux tentatives
d’assassinat, à trois ans ferme.
« Faut pas se moquer du monde ! », tonne Claudine Laporte, la
présidente du tribunal correctionnel. Dans le box, Alain Crucia et
Patrick Serra, « des voyous dautrefois », tentent de la convaincre de
ce scénario improbable : si lun, Crucia, a bien convoyé une trentaine
de kilos de haschich depuis lEspagne, lautre, Serra, fiché au grand
banditisme, ny est absolument pour rien. Et sil a fait laller-retour
jusquà la frontière, il na pas du tout servi de voiture ouvreuse…
Tentative d’assassinat
Laffaire sest déroulée le 12 juin 2012 et prend dautant plus de
relief que, cinq mois auparavant, Patrick Serra a réchappé à une
tentative dassassinat. Ce matin du 19 janvier, à côté de la gare de
Montpellier, il sortait de chez Crucia, sur son vélo, lorsque des
individus à moto lui ont tiré dessus.
« Pourquoi on vous a tiré dessus ? », interroge la présidente.
« Je sais pas, ils ont dû se tromper », ironise le Marseillais de 53
ans, dont la carte de visite indique des condamnations pour braquage,
proxénétisme et association de malfaiteurs.
« Sûrement, on doit vous confondre avec le quidam ! », rétorque la magistrate.
Un premier « contrat » en 1995
« Jai pris une balle dans la tête et une dans le dos et je me suis
enfui », poursuit le miraculé, boule à zéro et bouc blanc, qui avait
déjà survécu après un premier contrat en 1995, époque où on le disait
proche du Chinois, Raymond Mihière, parrain des machines à sous.
À peine remis sur pied, et faisant fi des surveillances de la BRB
(brigade de répression du banditisme) de la PJ chargée de lenquête sur
sa tentative dassassinat, Serra accompagne donc son vieil ami Crucia
pour lEspagne, depuis Montpellier.
Jouer la mule pour 3 000 euros
« Cest la première fois que je faisais un transport de
stupéfiants », promet Alain Crucia, pourtant condamné à sept ans de
prison, en 2007, pour trafic de drogue. Il venait de finir sa libération
conditionnelle et ce cuisinier émérite – plébiscité par ses codétenus –
se serait retrouvé sans argent, accumulant les loyers impayés,
contraint daccepter de jouer la mule et daller chercher 33 kg de
hasch pour 3 000 de salaire.
« Jétais dans la misère totale mais cétait une quantité minime de
haschich, vous voyez ça tous les jours », tente-t-il de minimiser,
sattirant les gros yeux du parquet. Pour tirer son vieux pote
daffaire, Crucia affirme quils se sont croisés par hasard, ce 12 juin,
sur un parking. « Javais personne avec qui faire la route, je lui ai
proposé mais il était pas du tout au courant », jure-t-il. En garde à
vue, il avait pourtant expliqué que « Patrick devait se douter de
quelque chose ». La présidente lui fait remarquer quau prix de
lessence, ils nauraient dû prendre quune voiture…
Serra clame son innocence
Serra, lui, clame son innocence, même si son téléphone a mis au jour
des contacts répétés avec le fournisseur, un certain Vi. « Cest un
agent immobilier, je cherchais un appartement ! » Il pleurniche – même
contre les policiers qui ont été obligés de larrêter avec force alors
quil tentait de senfuir – avec un sens de lexagération très
marseillais : « Ils étaient vingt, avec vingt calibres et des cagoules.
Ils mont dit : Si tes pas mort la première fois, on va te tuer
nous. » Bien en vie, il na pas convaincu le tribunal.
3/ les alertes à la bombe à la gare de Montpellier
L’alerte du 2 décembre 2011 avait été précédée d’une alerte semblable
à la suite d’un autre appel téléphonique anonyme le 4 mars 2011, alors
que NEMROD34 venait d’assigner la Société JFG NETWORKS (OVERBLOG) en
référé devant le Tribunal de Grande Instance de Béziers deux jours plus
tôt.
Une nouvelle alerte, sérieuse, a nécessité l’appel aux démineurs le 9 janvier 2015.
Mise en ligne le 4 mars 2011
Vous voulez conserver ce reportage ? Téléchargez sur http://myreplay.tv/v/bRaoOiey .
La gare de Montpellier a été évacuée. Un coup de fil anonyme a déclenché
une alerte à la bombe. (DROITS RESERVES . Pour toute exploitation sur
TV, web, mobile, aller sur http://wizdeo.com/s/banqueimages )
Un paquet suspect a été découvert sur la voie F, vers 16h15, à la
gare SNCF de Montpellier. L’alerte a été donnée rapidement et la gare a
été partiellement évacuée. Les démineurs sont sur place depuis 17h. Le
trafic ferroviaire n’était que peu impacté.
Par Fabrice Dubault
Publié le 09/01/2015 | 17:22, mis à jour le 09/01/2015 | 17:49
Vraie ou fausse alerte à la bombe, un colis suspect a été trouvé sur
le quai F de la gare de Montpellier.Les démineurs sont sur place depuis
17h et la gare SNCF a été partiellement évacuée par mesure de sécurité.
Prise d’otages dans une bijouterie de Montpellier : le braqueur s’est rendu
Le 09 janvier à 17h49 | Mis à jour le 10 janvier PHOTO/Capture d’écran twitter
Un homme armé s’est finalement rendu aux négociateurs du GIPN dans la
nuit de vendredi à samedi. Jusqu’à 2 heures du matin environ, il avait
retenu deux femmes d’une quarantaine d’années en otage depuis le tout
début de soirée.
Des négociations ont duré plusieurs heures entre le preneur d’otage
et le GIPN. Un braquage qui a mal tourné serait la cause de cette prise
d’otage qui se déroule en plein centre ancien rue de l’Argenterie.
Selon le procureur de la République de Montpellier, cette affaire
n’aurait aucun lien avec les suites de l’attentat contre Charlie Hebdo.
Selon les informations de notre correspondante sur place Rosanne
Mathot (@rosannemathot), les hommes du GIPN sont arrivés sur les lieux
vers 19h. Trois voitures ont pris place à proximité de la place de la
Loge. Le centre-ville est resté bouclé de longues heures et l’alerte à
la bombe levée à la gare.
Photo R. M.
« Impossible de s’approcher de la rue de l’Argenterie qui est
perpendiculaire de la rue de la loge, à une cinquantaine de mètres.
Effectifs de police nombreux. Les gens sont confines à l’intérieur. Le
GIPN est arrivé sur place. On ne sait pas si les négociations ont
commencé.« , nous écrivait-elle.
Notre reporter Rosanne Mathot (photo) poursuivait : « Un silence
de mort sur la place Jean Jaurès à Montpellier, qui donne sur la rue de
l’argenterie. On ne sait pas si Les hommes du GIPN ont démarré les
négociations. Une source de la police espère « qu’il ne s’agit de rien
d’autre qu’un « braquage ».
La police avait pris position tout autour de la bijouterie et cerné
les braqueurs alors que l’électricité a était coupée dans tout le centre
et que la place de la comédie était bouclée.
4/ l’alerte à la bombe à l’école de Montady le 3 février 2012
Aucun média n’a semble-t-il jamais rien publié sur cette affaire par la suite.
En revanche, de nouvelles alertes ont été enregistrées, à Montpellier
le 21 janvier 2013 puis les 2 et 9 octobre 2014, et à Florensac, tout
comme Montady près de Béziers, le 21 janvier 2015.
Alerte à la bombe dans cinq écoles d’infirmières de l’Hérault
L’alerte a été donnée en début d’après-midi par téléphone aux
pompiers de l’Hérault. Cinq établissements ont été évacués par
précaution et en raison du renforcement du plan vigipirate. L’alerte a
été levée vers 16 h 30.
Par Laurence Creusot
Publié le 21/01/2013 | 16:34, mis à jour le 21/01/2013 | 19:17
C’est une voix féminine qui a appelé les pompiers de l’Hérault vers
13h 20 indiquant qu’une bombe allait éclater dans une école
d’infirmière de l’ Hérault.
Aussitôt les deux écoles de Castelnau-le-Lez, le centre de formation du
CHU de Montpellier et les écoles d’infirmières de Béziers et Sète ont
été évacuées par précaution.
13:10 – MONTPELLIER, ALERTES À LA BOMBE
Après une alerte à la bombe à Richter, nouvelle alerte à la CPAM -Caisse
primaire d’assurance maladie- de Gambetta à Montpellier (sur notre
photo), la police, les démineurs de la Sécurité civile et les pompiers
sur place (JMA)J’aime · Commenter · Partager · 2 octobre 2014 · Modifié
12:00 – MONTPELLIER, ALERTE À LA BOMBE
Une alerte à la bombe mobilise les sapeurs-pompiers et les services
de police à la maison et à l’école des avocats dans le quartier des
Arceaux à Montpellier. Les démineurs de la Sécurité civile sont
intervenus, il s’agissait une nouvelle fois d’une fausse alerte.
(JMA)
Le collège Voltaire a été évacué ce mercredi matin.
PIERRE SALIBA
Un appel anonyme a alerté la direction de l’établissement scolaire de la présence d’une bombe.
Ce mercredi, vers 11 h 15, le collège Voltaire de Florensac a été
évacué en urgence. Un appel anonyme venait d’alerter la direction : « Il
y a une bombe, ça va sauter évacuez le collège. » Bien entendu en
pareil cas, l’ensemble des élèves ont été mis en sécurité alors qu’ils
étaient en pleine épreuve de brevet blanc.
« C’était un canular, a confirmé le maire de Florensac, Vincent
Gaudy. Fort heureusement. En attendant les services de la ville ont été
mobilisés pour accueillir tous les élèves et les professeurs. Mais il y a
eu aussi les secours et les gendarmes qui sont intervenus sur place.
C’est proprement scandaleux parce que pendant que les pompiers étaient
ici, quelqu’un pouvait avoir besoin d’eux pour être vraiment secouru. Je
suis très en colère. »
Trois mineurs, de 17 à 13 ans, ont été interpellés.
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