On le sait depuis longtemps, il le dit assez régulièrement dans ses écrits publics sur les divers sites et blogs où il s'exprime.
Pour mémoire (cliquer sur les images pour les agrandir et lire les textes; je rappelle aussi au passage que lors de ces publications sur OverBlog, fin septembre 2010, le cybercriminel Pascal Edouard Cyprien Luraghi et sa bande de dingues dits "déconnologues" me harcelaient déjà plus de deux ans, avaient aussi visé bien d'autres personnes, principalement des commentateurs anonymes du site Rue89, et s'étaient même mis depuis trois mois à "révéler" au public en long et en large et de manière intelligible nombre des éléments de ma vie privée avec lesquels ils me harcelaient depuis le début, ces éléments provenant autant de viols multiples de l'intimité de ma vie privée que de l'affabulatrice notoire Josette Brenterch du NPA de Brest, qui ne cesse d'inventer absolument n'importe quoi pour me calomnier ainsi que toute ma famille, mes proches, depuis plusieurs décennies) :
Mais quel intérêt de le faire savoir au public, et surtout de le marteler toujours avec violence ?
Je n'ai aucun souvenir d'une précédente vie en Marilyn Monroe.
Simplement, une fois, il y a très longtemps, au sortir d'un cauchemar, je me suis retrouvée avec l'image de la blonde en robe rouge au-dessus de moi, superbe, très grande et extrêmement pesante. Je ne sais pas pour les autres, mais pour moi c'est toujours ainsi : les images des décédés qui viennent me hanter ou me rendre visite sont toujours plus grandes que nature. Jusque-là, donc, rien de surprenant, c'est habituel. Par contre, celle-ci est écrasante, elle m'écrase et j'ai déjà la notion d'être obligée de payer pour elle.
Si je ne retrouve dans mes souvenirs rien d'autre qui ait pu me venir directement de cette vie-là, en revanche, j'ai eu des réminiscences de choses très précises en provenance d'autres vies. Non pas des rêves ou des cauchemars qui auraient été de purs produits de mes neurones en roue libre mais bien des images ou des scènes venues d'ailleurs, d'autres vies que la mienne (quand cela se produit, on sait tout de suite de quoi il s'agit). En particulier, il y en a une où je me trouve avec d'autres personnes autour d'une table, dans une sorte d'appartement privé à l'intérieur d'un grand théâtre, probablement le foyer des artistes ou celui de la direction, et tout le monde parle allemand. Je ne suis pas étrangère aux autres personnes assises autour de cette table, je suis des leurs, donc également allemande. Puis des hommes en uniforme entrent dans la pièce et avec eux l'effroi. Il me semble qu'ils cherchent quelqu'un ou viennent nous arrêter. Je ne me souviens plus de la suite. Le tout n'est pas très vieux, il n'a que quelques décennies et pourrait donc avoir été vécu peu de temps avant l'arrivée de Norma Jeane Mortenson le 1er juin 1926 à Los Angeles.
Sur cette base, je reprends ma règle à calcul... tac tac tac... pof : il me faut trouver une inhumation le 25 mars 1925.
Je cherche un peu et tombe sur Marie Brema, morte le 22 mars 1925, et qui me semble assez bien correspondre.
J'ai une autre option qui sans nul doute plaira beaucoup à la criminelle Josette Brenetrch du NPA de Brest, puisqu'il s'agit de Julian Marchlewski, un compagnon de Rosa Luxemburg lui aussi décédé le 22 mars 1925 :
Je pense que cette date de décès est la bonne, car j'ai été victime d'un empoisonnement criminel un 22 mars, en 2002, année où il y eut une série, dont l'assassinat à Karachi le 1er février du journaliste américain Daniel Pearl, qui était lui du 10 octobre 1963 (jour de la mort d'Edith Piaf, je ne m'en souvenais plus, mais on a aussi eu ça juste avant mon arrivée : à peine Edith enterrée, le 14 octobre, la blonde revient...wouah... super cadeau d'anniversaire pour Yves Montand... s'il avait su ça, le pauvre homme, il en serait tombé à le renverse), puis l'attentat ayant tué et blessé plusieurs Français, encore à Karachi, le 8 mai, alors que je venais de sortir de l'hôpital miraculeusement toujours vivante quelques jours plus tôt, ce que mes empoisonneurs n'avaient absolument pas prévu.
Mais je ne crois pas avoir été un homme dans ce grand théâtre où l'on parlait allemand. Je m'y sens même plutôt petite fille ou jeune fille et pourrais bien m'appeler Minnie Fehrmann. Minnie petite souris, c'est bien moi. Noter au passage que ce personnage de Walt Disney semble avoir été inspiré de l'actrice et productrice Mary Pickford et aurait eu pour véritable prénom diminué en Minnie Minerva, c'est-à-dire Athéna, déesse de l'intelligence... pour finalement ne jouer comme rôle principal que celui de l'idiote permettant à son partenaire de s'épanouir en héros...
Comment dire... je n'ai pas séduit des comédiens professionnels en leur faisant cheese, mais avec une scène de colère - pour moi, c'est hyper facile à jouer, il me suffit de canaliser ou moduler ma propre colère avec les mots que l'on veut bien m'offrir à cet effet.
Bon. Revenons à Marie Brema.
Les critiques la concernant sont élogieuses. Aucun scandale ne semble avoir entaché sa réputation. Mais on connaît très peu sa vie privée et ses éventuels tourments. Or, elle excelle dans l'interprétation dramatique et a milité pour le droit des femmes, notamment à travers la Society of Women Musicians, qu'elle a présidée en 1917-1918. En outre, elle n'a commencé sa carrière de chanteuse, artiste lyrique et actrice qu'à l'âge de 35 ans, ce qui est très tardif et correspond même à l'âge de Marilyn Monroe alors que celle-ci arrive en fin de carrière. Tout comme cette dernière, elle est dite fine et intelligente et son mari prénommé Arthur aurait été à l'origine de son intérêt professionnel pour la musique tandis qu'Arthur Miller est le seul mari de Marilyn Monroe à avoir participé à sa vie d'actrice.
Elle en a eu deux enfants, sa fille Tita Brand, également actrice et militante féministe, et un fils prénommé Arthur comme son père.
Il n'y a aucun Arthur dans ma vie. Mais : j'ai eu très tôt des réminiscences d'évènements précis pouvant se rapporter à la vie et surtout la fin d'Arthur Ier de Bretagne, assassiné à 16 ans par son oncle Jean sans Terre. Et je suis bien de la même filiation que cet Arthur.
Le fil conducteur de l'une de nos trois incarnations à l'autre est assez limpide : il y a la musique, le chant, le théâtre, modes d'expression habituels des opprimés, et toujours des traces d'un combat éminemment féministe ou pour l'égalité des droits entre tous les humains.
La première avait sa voix pour se faire entendre.
La seconde a travaillé son image.
Quant à moi, je n'ai que mes écrits, régulièrement consolidés par ceux d'autres personnes, comme des diplômes, des contrats de travail, des attestations, des jugements et même des publications et des dénonciations calomnieuses, mais ce ne sont toujours que des mots sur des feuilles de papier totalement vides de sens pour des juges, des magistrats ou magistrates qui tous et toutes savent pertinemment dans leurs cervelles de tarés que les femmes n'ont pas l'intelligence pour être ingénieurs...
Egalement intéressants comme candidats pour une précédente vie de Marilyn Monroe :
Je suis ouverte à toutes les suggestions, mais pour l'heure, ma préférence va très nettement à Marie Brema : premier rôle sur scène, Adriana Lecouvreur, une empoisonnée...travail avec un Greene, Harry Plunket Greene, etc...
Et la rigolade continue : après Brünnhilde, j'ai fait la blonde et suis encore revenue en brune (braun en allemand) pour ma vie d'aujourd'hui (il y a quand même un gros raté avec la blonde : c'est une prison dont on ne sort pas et tout s'arrête à 36 ans).
N.B. : Marie Brema a perdu sa mère à 3 ans et une soeur de 7 ans son aînée à 17 ans. Elle a une autre soeur et deux frères. Elle a aussi des descendants qui doivent assez bien connaître sa vie, son histoire, sa personnalité.
Son grand-père maternel John Wesley Jarvis (1781? - ) est un peintre américain reconnu, d'origine britannique, neveu du leader méthodisteJohn Wesley. Et son petit-fils Francis Cammaerts (né le 16 juin 1916 à Londres et mort le 3 juillet 2006 au Pouget) s'est distingué dans la Résistance comme agent du SOE.
En outre, elle a été baptisée comme son frère Albert Schumacher de 3 ans plus âgé qu'elle le 22 mai 1860 :
Baptism: 22 May 1860 The Blessed Virgin Mary Church for the Blind, Liverpool, Lancs.
Albert Schumacher Fehrman - [Child] of Diederich Fehrman, Gentleman & Cora Wooster
Born: 21? Jul 1853
Abode: Grove Park
Notes: [water damage to entry]
Baptised by: Edwd. Hull
Register: Baptisms 1829 - 1926, Page 18, Entry 142
Source: LDS Film 1546288
Baptism: 22 May 1860 The Blessed Virgin Mary Church for the Blind, Liverpool, Lancs.
Mary Agnes Fehrman - [Child] of Diederich Fehrman, Gentleman & Cora Wooster
Born: 28 Feb 1856
Abode: Grove Park
Baptised by: Edwd. Hull
Register: Baptisms 1829 - 1926, Page 19, Entry 143
Source: LDS Film 1546288
Probablement les deux plus jeunes de la fratrie, ils ont dû changer de foyer ensemble après le décès de leur mère en 1859.
A noter : Marilyn Monroe a été élevée jusqu'à l'âge de 7 ans par Albert et Ida Bolender, un couple de pentecôtistes (issus du mouvement méthodiste de John Wesley, qui se rapproche du modèle chrétien breton des premiers siècles au moins sur un point qui est celui des responsabilités confiées aux femmes), et sa grand-mère Della l'avait fait baptiser le 6 décembre 1926 par soeur Aimee Semple Mc
Pherson à la Hawthorn
Foursquare Church (cette dernière, née Kennedy d'un père méthodiste le 9 octobre 1890 dans l'Ontario et créatrice de cette église, était toujours accompagnée par sa mère Minnie, une orpheline élevée par l'Armée du Salut, et est décédée en 1944 d'une overdose de barbituriques; ses prêches, dont les Monroe et Bolender étaient adeptes, s'apparentent à des pièces de théâtre). Par ailleurs, le quasi jumeau Lester Carl Bolender de Marilyn Monroe ressemble assez à mon père qui lui aussi a eu sa quasi jumelle quand il était petit.
Egalement à noter : le malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi, qui a fait assassiner Patricia Bouchon le 14 février 2011 à Bouloc parce qu'il la considérait comme menaçante pour ses entreprises criminelles à mon encontre, l'a prodigieusement haïe pour son appartenance passée à une communauté d'évangélistes.
Marie Brema, née Mary Agnes Fehrmann, connue aussi comme Minnie Fehrmann ( – ) est une mezzo-soprano dramatique, chanteuse de concert, d'opéra et d'oratorios, de la dernière décennie du 19e et de la première décennie du 20e siècle. Elle a créé plusieurs rôles importants, et a été la première chanteuse britannique à apparaître au Festival de Bayreuth.
Biographie
Origines et formation
Marie Brema est née à Liverpool d'un père allemand John Fehrmann, originaire de Brême,
et d'une mère américaine, Cora Wooster Jarvis. Elle est élevée parmi
des personnes qui apprécient la musique et le théâtre, mais n'a pas
d'intérêt professionnel dans la musique jusqu'à son mariage en 1874,
avec Arthur Frederick Braun.
Elle est encouragée à suivre une formation vocale, ce qu'elle fait quelques années plus tard. Après trois mois d'étude avec George Henschel, elle fait sa première apparition publique, en chantant Ganymed de Schubert
dans un concert populaire. Elle est tellement admirée qu'elle continue
sa formation avec d'autres professeurs et fait encore des concerts. Ses
débuts sur scène ont lieu en 1891 à Oxford dans le rôle d'Adriana Lecouvreur.
Shaw voit ses premières apparitions à Londres, par exemple, en mai 1892 dans une représentation bissée du poème Love's Philosophy(en) sur une musique de Hermann Steudner-Welsing3 et en juillet dans un concert, avec Ellen Terry, Joseph Hollman, etc.
Elle gagne l'admiration de Shaw dans une représentation de Erlkonig de Schubert,
mais une fois qu'il l'a découverte, il la trouve insuffisamment souple,
sur-spécialisée, avec une couleur vocale fixe en raison de la
sur-accentuation du registre inférieur dramatique et lui recommande de
permettre plutôt la beauté simple du son dans la partie supérieure de sa
voix pour être entendue, quand elle doit prendre une note élevée4.
En février 1893, au Royal Albert Hall lors de la représentation de La Rédemption de Gounod, avec Miss Palliser et Watkin, il dit : « Elle a chanté While my watch I am keeping
avec une touche vocale plus douce et une approche plus proche du style
purement lyrique que j'avais déjà entendu d'elle auparavant », et qu'elle pourrait maintenant devenir le successeur de Belle Cole5. En avril 1893, au concert de la Royal Philharmonic Society, avec également Sapellnikoff dans le concerto en mi majeur de Chopin, il dit « En se produisant, en étant énormément dans la veine dramatique, elle se déchaîne positivement à travers la scène de Joachim de Schiller et à travers l'Hymne de la Création de Beethoven, scandalisant l'Orchestre Philharmonique, mais en emportant la multitude. »6.
Shaw, qui n'admirait pas Brahms, fait l'éloge de l'ouverture de Marie Brema, de la Harzreise im Winter en février 1894, pour dire le bien qu'il pensait de Goethe, il dit : les paroles ont été « déshumanisées » par Brahms et elle chante sans « twopenn'orth »N 1 de sentiment, elle a « mille livres »
d'intelligence et de résolution dramatique. Elle a récemment fait une
remarquable conquête de l'art du chant. Il avait pensé que sa voix
n'allait pas durer cinq ans, mais admet que, maintenant, elle peut durer
cinquante. Les signes d'usure et la déchirure ont disparu, et « La note soutenue à la fin est un modèle de gestion vocale. Dans tout pays raisonnablement artistique », a-t-il ajouté, « Miss Brema serait à la poursuite d'une carrière remarquable sur scène au lieu de perdre ses qualités en concert »7. Sa recommandation n'est pas perdue, mais les concerts ne l'ont pas perdue.
Elle est ensuite présentée à Cosima Wagner par Hermann Levi, et est invitée à participer au Festival de Bayreuth, où elle chante les rôles d'Ortrud de Lohengrin et Kundry de Parsifal10. Elle est la première chanteuse anglaise à y apparaître11. Reconnue comme wagnérienne, elle fait sa première tournée aux États-Unis en 1894 avec la compagnie Damrosch et, en plus de ces deux rôles, elle apparaît également dans les rôles de Brangäne dans Tristan und Isolde et Brünnhilde dans La Walkyrie.
Sa Brünnhilde est considérée comme particulièrement belle, non
seulement pour sa splendide vocalisation, mais aussi pour sa stature et
son bel aspect. De retour en Europe, elle interprète ces rôles à Bayreuth et leur ajoute la deuxième Brünnhilde dans Le Crépuscule des dieux et Fricka dans L'Or du Rhin.
À Paris, Berlin et Bruxelles, elle apparaît avec beaucoup de succès dans le rôle de Dalila dans Samson et Dalila de Saint-Saëns, un rôle qui lui va particulièrement bien, comme celui d'Amneris dans Aïda de Verdi12.
Lors de la saison 1897 à Covent Garden, dans La Walkyrie, David Bispham(en), Wotan, la surnomme « superb » aux côtés d'Ernest Van Dyck (Siegmund), de Susan Strong et d'Ernestine Schumann-Heink (Fricka)13. Lors de la saison 1898 toujours à Covent Garden, selon Le Ménestrel, « dans sa grande scène, avec Wotan, au 2e
acte, Mme Brema a trouvé des accents de tendresse et de compassion qui
n'ont peut être jamais été égalés par aucune autre cantatrice
wagnérienne »14. Klein l'a classée parmi les plus grands dans la distribution des reprises du Ring conduites par Felix Mottl à Covent Garden de 1898 à 190015.
En 1897, Brema interprète le Wesendonck-Lieder de Wagner, arrangement de Felix Mottl, au Queen's Hall dirigée par Henry Wood lors d'un concert anniversaire de Wagner, le et, plus tard, dans le même programme, la scène du suicide de Brünnhilde. Wood aime travailler avec elle et l’appelle « une très grande chanteuse wagnérienne ». Il remarque qu'elle pouvait dramatiser les pièces qu'elle représente sans faire de gestes, et « qu'elle est certainement de style allemand »17.
Orfeo /Orphée est resté aussi un rôle important tout au long de sa carrière. En 1898, elle chante Orphée à l'Opéra-Comique, spectacle qui inaugure la direction d'Albert Carré18.
En 1898, elle présente La fiancée du timbalier de Saint-Saëns.
En septembre 1900, elle se produit au Three Choirs Festival qui se tient à Hereford, cette année-là. En novembre et décembre, elle apparaît dirigée par Wood dans trois concerts wagnériens spéciaux au Royal Albert Hall, avec des orchestres de 200 membres19.
Dans les années suivantes, le rôle de l'Ange est plus souvent joué par la principale contralto anglaise Louise Kirkby Lunn, également célèbre chanteuse wagnérienne, Ortrud, Kundry, Brangäne, Fricka, Erda et Waltraute22,
Amneris et Dalila, et à bien des égards une successeuse de Marie Brema,
mais sans sa gamme pour une Brünnhilde convaincante. En 1903, en écrivant à Brema de sa représentation originale, Elgar écrit : « J'ai,
bien sûr, en mémoire votre création fine et intellectuelle du rôle ; et
bien que je n'aie jamais pensé que la tessiture vous convenait bien, en
tant qu'artiste magnifique, vous l'avez fait très finement. »23.
Fin de carrière
Herman Klein(en), décrivant la scène musicale londonienne vers 1900, note l'absence de grands contraltos nés en Angleterre, à part les trois notables exceptions : Clara Butt, Marie Brema et Louise Kirkby Lunn. Il écrit, de Marie Brema, qu'elle est plus une mezzo-soprano, se distinguant par « son
admirable maîtrise de la couleur du son, sa diction sans défaut, et ses
nuances infiniment variées d'expression poétique passionnée »24.
En janvier 1908, elle organise trois concerts donnés à Bruxelles, dans lesquels Gervase Elwes la rejoint dans le quatuor des solistes du Liebeslieder de Brahms29.
En 1910-11, elle organise sa propre saison d'opéra au Savoy Theatre à Londres, dirigée par Frank Bridge30, chantant Orphée et Eurydice en anglais31. Selon Henry Wood, « son entraînement au chant avec chœur pour projeter la diction dans l'auditorium était merveilleuse et impénétrable »32. En 1912, elle tourne dans les provinces avec la Denhof Opera Company basée à Édimbourg. En 1913, Geoffrey Toye dirige la musique des principaux théâtres de Londres et la saison opératique de Marie Brema au Savoy Theatre. Après cela, elle se retire de la scène.
Activités à la retraite
Marie Brema se retire du théâtre et du concert pour fonder à Londres, en 1911, une école de chant scénique qu'elle a placée sous le vocable d'Orphée9. Après sa retraite, elle devient directrice de la classe d'opéra au Royal Manchester College of Music. Luella Paikin et Heddle Nash(en) ont été parmi ses élèves. Elle a été présidente de la Society of Women Musicians en 1917-191833
Elle meurt à Manchester, le , à 69 ans, de causes non connues.
Famille
Tita Brand, la fille de Marie Brema et d'Arthur Frederick Braun, a épousé le savant, poète et écrivain belge Emile Cammaerts. Après le déclenchement de la guerre en 1914, Sir Edward Elgar a composé un accompagnement symphonique Carillon pour un poème patriotique Chantons, Belges, Chantons
de Cammaerts qui a d'abord été interprété avec récitation par Tita
Brand qui a eu une carrière d'actrice, était une grande femme avec une
voix profonde, capable de réciter Bergliot de Grieg de manière audible par-dessus un orchestre insoumis dirigé par Henry Wood34.
Références et notes
Notes
Un montant de quelque chose qui vaut ou qui coûte deux pence
Je termine ma petite série entamée le 4 septembre dernier sur le pervers narcissique Pascal Edouard Cyprien Luraghi et qui fut brutalement interrompue après la publication le 12 septembre de ma découverte de la règle Shanti Devi par un crash assez dévastateur de mon système informatique survenu le 15 septembre.
Et encore ceux-ci, constitutifs d'une petite digression sur Marilyn Monroe, dont je pourrais en définitive être la réincarnation (mais peu importe que cela puisse paraître crédible ou non, l'étude comparative de nos deux vies reste de toute façon intéressante), car cette nouvelle série m'a aussi permis d'approfondir le cas du pervers narcissique Pascal Edouard Cyprien Luraghi, toujours par la comparaison, cette fois de ce malade mental avec des personnes saines, en l'occurrence, de ses victimes, mes proches et moi-même :
Avant de terminer sur le mariage du malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi, je rappelle encore que ce dernier a fait connaître à tous ses lecteurs le décès du journaliste Francis Christophe le lundi 3 octobre à 22h30 et quelles furent leurs relations, jusqu'à cet été :
Il s'agissait donc là encore d'un pervers et d'un violeur notoire, qui curieusement aura posté son dernier tweet le 13 septembre, au lendemain de mon article du 12 septembre précité, également jour de ma dernière publication avant le crash de mon système le 15 septembre :
Et c'est très probablement l'asticot que le malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi observait cet été dans sa pêche, c'est-à-dire sa femme Annie qui n'a toujours été pour lui qu'un Q.
Notons à ce sujet qu'il en a encore posté une photographie en femme sans tête le 14 octobre sur Twitter :
Mais auparavant, à la suite de mes articles de début septembre, il nous avait renseigné sur leur mariage, confirmant au passage avoir bien vécu dans le "péché" :
Il se serait donc marié en 2002, c'est-à-dire lorsqu'il s'apprêtait à devenir propriétaire de la maison que son bon ami Alain Pougetoux a achetée pour lui à Puy-l'Evêque, et dont il est toujours aujourd'hui propriétaire occupant, avec son épouse Annie.
Compte tenu des conditions très particulières de cette acquisition, le sieur Luraghi n'ayant officiellement rien d'autre qu'un RMI quoique gagnant très bien sa vie grâce, notamment, au trafic de drogue, outre qu'il se faisait quand même offrir une maison par un "ami", ce qui est pour le moins très peu banal, l'apparence de normalité de son ménage était devenue indispensable.
Concernant ses choix de prénoms pour ses enfants, le 4 septembre dernier j'avais déjà indiqué que l'aîné, Gaspard ou Gaz-part, est ce que son père appelle aussi un "pet foireux de cloaque", émis en l'occurrence par sa compagne Annie Belléculée non encore Luraghi.
Quant à sa fille, prénommée Shanti Devi, lorsqu'elle vient au monde, son pédophile et proxénète de père voit tout de suite en elle le "gentil devis" qu'il va pouvoir présenter à ses clients, ce qui naturellement le met en joie au lieu de le mécontenter comme l'arrivée du Prout qui aura scellé son destin à celui de cette Annie Belléculée qu'il n'a jamais aimée.