Article qui pourrait être intéressant s’il n’était pas réservé aux seuls abonnés de Marianne.
Extrait :
Selon lui (François Burgat), les « rapprochements entre islamistes et forces de gauche » sont « les meilleurs remèdes à la spirale de la montée aux extrêmes ».
Se positionnant à l’extrême-gauche, il préconise son rapprochement avec les islamistes (effectif depuis déjà de très nombreuses années, commission d’attentats terroristes y compris), comme « meilleur remède à la spirale de la montée aux extrêmes », à commencer, donc, par l’extrême-gauche elle-même.
Vous comprenez ce qu’il raconte, vous ?
Moi oui, je connais tous leurs galimatias par coeur depuis des lustres.
Explications et traduction, donc :
1°/ Tout comme sa copine Josette Brenterch du NPA de Brest, et tous les autres chefs de l’ancienne LCR (qui soit dit en passant était déjà financée par des fonds occultes en provenance de l’Arabie Saoudite et du Qatar quand je m’y suis heurtée au sein d’AC ! en 2004 et 2005), François Burgat a tellement peur des « forces de gauche » qu’il va les infiltrer pour les « contrôler » ou « neutraliser », les manipuler, les pervertir. Il est à l’extrême-gauche pour y mener une contre-insurrection permanente qui s’est toujours traduite par un pourrissement systématique par la LCR ou le NPA de toutes les bonnes actions qui pouvaient être tentées par les uns ou les autres, notamment par des forces dites « de gauche », mais pas seulement, pour améliorer le sort des plus pauvres, des plus faibles ou des plus démunis ou pallier à des tas d’insuffisances ou de dysfonctionnements étatiques. Ainsi par exemple les associations de victimes sont-elles toutes dans le collimateur de la LCR ou du NPA qui s’attache à les détruire au prétexte que l’Etat et ses fonctionnaires seraient parfaits et ne pourraient donc tolérer la moindre critique, outre que les initiatives privées régies par la loi de 1901 sur les associations sont de toute façon idéologiquement proscrites à l’extrême-gauche – le tout Etat à la mode soviétique reste le dogme officiel pour les « révolutionnaires communistes », qui sont eux-mêmes fonctionnaires dans l’immense majorité des cas et défendent en fait avant tout leurs privilèges, matériels et autres, abus de pouvoir y compris (ils ont tous les droits et le revendiquent haut et fort).
2°/ Lorsqu’il parle de « spirale de la montée » à l’extrême-gauche, il vise en fait, non pas ses camarades de la LCR ou du NPA, qui n’ont jamais menacé aucun pouvoir en place, même le plus dégueulasse, et surtout le plus dégueulasse (en fait, en interne, les militants de la LCR ou du NPA assument parfaitement de tout faire pour pourrir au maximum le régime capitaliste qu’ils décrient, de le rendre totalement invivable afin de provoquer la révolution communiste de leurs voeux, tout en sachant pertinemment que personne n’en veut et qu’ils ne l’obtiendront jamais, et surtout pas avec des citoyens transformés en zombies ou tous au cimetière en conséquence de toutes leurs dégueulasseries (dont c’est le but, de toute façon : la contre-insurrection « casse » ou assassine tous ceux qui menacent de se rebeller, c’est sa mission et elle la remplit fort bien), raison pour laquelle ils ont depuis longtemps laissé tomber leurs chers « ouvriers » d’antan (devenus dans l’ensemble un peu trop instruits, réfléchis et critiques, donc à casser, à détruire), d’abord au profit de « jeunes » plus excités, puis des islamistes), mais tous ceux qui participent très honnêtement et sincèrement à des mouvements ou associations dits « de gauche » et se font donc repérer, étiqueter et dénoncer aux agents de la police politique comme « ultra-gauchistes » par ses gentils camarades militants de la LCR ou du NPA dont en 2008 la ministre de l’Intérieur Michèle Alliot-Marie louait ce travail et toute la sagesse (et pour cause, moi qui suis un peu leur étalon à tous, ils m’avaient bien mise dedans…). Or, ce sont bien toujours ces militants de la LCR ou du NPA les casseurs et terroristes en tous genres – rappelons donc que l’ancien membre d’Action Directe Jean-Marc Rouillan est quand même bien chez eux et pas dans le sac fourre-tout « ultra-gauchiste », tout comme d’ailleurs le quasi terroriste islamiste François Burgat.
3°/ Le troisième terme de sa proposition aberrante concerne l’extrême-droite. Mais laquelle ? Certainement pas celle qui participe objectivement et activement à la commission d’attentats islamistes depuis 2012, et qui se répartit aujourd’hui derrière les deux candidats déclarés à l’élection présidentielle Marine Le Pen et Eric Zemmour, puisqu’il s’agit de ses complices autant que ceux du duo de terroristes Josette Brenterch / Pascal Edouard Cyprien Luraghi. Ceux qu’ils visent ici comme « extrémistes » doivent être tous ceux qui aujourd’hui dénoncent des pédophiles et leurs réseaux, un thème que je n’avais jamais abordé nulle part avant de me faire moi-même attaquer par la mafia pédophile à compter de l’année 2008.
Chic, alors ! J’ai encore tous les défauts !
En attendant, ce monsieur François Burgat qui doit être encore de la Chiraquie option Villepin vient de confirmer ce que j’ai toujours dit et encore très récemment de manière explicite : le « faire taire » habituel du NPA s’accompagne très bien d’attentats terroristes islamistes, « meilleurs remèdes » contre toute menace de dénonciation publique.
https://www.marianne.net/societe/laicite-et-religions/francois-burgat-lislamogauchiste-assume
François Burgat, l’islamogauchiste assumé
Le portrait du lundi
Publié le 03/01/2022 à 12:45
Parfait arabophone et fin connaisseur du Proche-Orient, ce directeur de recherche émérite au CNRS assume ses liens avec le Qatar. Il en est convaincu : un rapprochement entre l’extrême gauche et les islamistes est le plus court chemin vers des jours meilleurs. Enquête.
Son estime pour Tariq Ramadan ? Il assume. Ses liens avec le Qatar ? Également. François Burgat, directeur de recherche émérite au CNRS, n’en fait pas mystère, il est président du Centre arabe de recherches et d’études politiques de Paris (Carep), lobby francophone de l’Arab Center for Research and Policy Studies de Doha. Des fonctions bénévoles, précise-t-il. Elles sont le résultat d’une longue et intense proximité avec les autorités politiques et religieuses de l’émirat, frères musulmans compris.
Le Lillois Mohammed Louizi, lui-même ancien militant frériste, a détaillé sur son blog les liens multiples qui unissent François Burgat à cette mouvance islamiste. Inlassablement, depuis deux décennies, François Burgat s’est attaché à « disculper les Frères de tout sectarisme salafiste totalitaire et liberticide », écrit Mohammed Louizi. Son but est de les rendre fréquentables aux yeux des Français, en usant de l’autorité que lui confère son expérience. Elle est considérable.
Né en 1948 à Chambéry, François Burgat a passé plus du quart de son existence dans le monde arabe, pour le CNRS ou le ministère des affaires étrangères. De 2008 à 2012, il a été directeur du prestigieux Institut français du Proche-Orient, à Damas. Il est membre du comité de rédaction de la revue Orient XXI. Même ses nombreux ennemis en conviennent, il est comme un poisson dans l’eau sur le terrain et il connaît très bien son objet d’étude, à savoir les mouvements politiques du monde arabe. Le suivre les yeux fermés quand il en parle n’est pas pour autant recommandé, car François Burgat affectionne les raccourcis vertigineux.
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