compteur

dimanche 16 novembre 2014

Déconnologie sans frontières


http://www.metronews.fr/info/grande-bretagne-il-decoupe-son-pere-et-le-transforme-en-meuble-de-television/mnkm!3p9yaEX863Sqc/

Il découpe son père et le transforme en meuble télé


Mis à jour : 13-11-2014 15:44
- Créé : 13-11-2014 14:26

FAIT DIVERS – Le procès d’un parricide particulièrement sordide se tient actuellement en Angleterre. Nathan Robinson, 28 ans, est jugé pour avoir tué son père avant de le démembrer et de cacher les parties de son corps dans des boîtes de rangement faisant office de meuble de télévision.


Photo d'illustration. Nathan Robinson avait soigneusement rangé les parties du corps de son père dans des boîtes de rangement, empilées les unes sur les autres pour former un meuble de télévision.
Photo d’illustration. Nathan Robinson avait soigneusement rangé les parties du corps de son père dans des boîtes de rangement, empilées les unes sur les autres pour former un meuble de télévision. Photo : SIPA

Quand la dépouille de William Spiller avait été retrouvée en juin 2013, une odeur pestilentielle et des mouches envahissaient son appartement. La police avait alors fait une découverte particulièrement sordide : son corps de 158 kilos, démembré, était dispersé dans des boîtes de rangement en plastique empilées les unes sur les autres. Le tout servant de meuble de télévision. Le procès de son fils, qui reconnaît avoir commis un « homicide involontaire », se tient actuellement en Angleterre. Et les détails rapportés par les médias britanniques sur ce parricide font froid dans le dos.

Nathan Robinson et son père, un chauffeur de taxi de 48 ans, venaient de se disputer lorsque le jeune homme a commis ce crime dans l’appartement qu’ils partageaient à Bournemouth (côte sud de l’Angleterre). A l’aide d’un couteau de bricolage et de deux petites scies à métaux, il avait ensuite « soigneusement » découpé son cadavre, avant d’emballer tout aussi précautionneusement les morceaux dans les boîtes de rangement. La tête de la victime avait reçu un traitement spécial : Nathan l’avait placée dans un classeur rangé dans la chambre à coucher.

« Est-ce que c’est une blague ? »

Un voisin du dessous, remarquant qu’un « liquide rose » perlait depuis le plafond de sa salle de bains – du sang mêlé à un produit nettoyant selon le procureur -, était venu toquer à sa porte peu après les faits. Ce témoin a décrit un homme « très calme, tout à fait normal ». Car Nathan, aujourd’hui âgé de 28 ans, a fait preuve de de sang-froid dans les jours suivants, allant jusqu’à envoyer des messages avec le téléphone portable de son père pour faire croire qu’il était encore vivant. Il était même parti faire la fête à Glasgow (Ecosse), où il avait dépensé l’argent de son père.

Un mois après les faits la police, alertée par un collègue du chauffeur de taxi, a arrêté Nathan alors qu’il se trouvait au domicile de sa mère à Birmingham. « Est-ce que c’est une blague ? », leur a-t-il alors lancé. Pour sa défense, le jeune homme assure qu’il « dans son état normal au moment du drame ».


Déconnologie sans frontières dans Crime
Louis Hamet
Mail-envelope dans FolieE-mail


http://www.leparisien.fr/faits-divers/il-avait-decoupe-son-pere-pour-en-faire-un-meuble-tele-13-11-2014-4288565.php

Il avait découpé son père et fait un meuble télé avec son corps


Publié le 13.11.2014, 12h01 | Mise à jour : 14h40

C'est dans l'un de ces petits immeubles de la ville de Bournemouth, au sud de l'Angleterre, que Nathan Robinson a découpé son père en morceaux avant de ranger sa dépouille dans des boîtes en plastique et d'en faire un meuble télé.

C’est dans l’un de ces petits immeubles de la ville de Bournemouth, au sud de l’Angleterre, que Nathan Robinson a découpé son père en morceaux avant de ranger sa dépouille dans des boîtes en plastique et d’en faire un meuble télé. | Capture Google Street view


Un Anglais de 28 ans comparaît actuellement devant la justice anglaise pour avoir tué et découpé son père dans des circonstances effroyables. Nathan Robinson, qui fait face aux juges de la Cour de la Couronne (Ndlr : la juridiction britannique qui traite des affaires criminelles les plus graves), reconnaît avoir commis un homicide involontaire, non le meurtre intentionnel pour lequel il est jugé, selon le Telegraph, qui raconte l’histoire.

Le 16 mai 2013, après une dispute sur de l’argent dans l’appartement familial de Bournemouth (Dorset), Nathan Robinson a tué son père, William Spiller, chauffeur de taxi de 48 ans, avec qui il vivait. Puis avec un couteau de bricolage de la marque Stanley et deux petites scies, dont une à métaux, il a «soigneusement» découpé son cadavre malgré une corpulence hors norme : 1,83 m et 158 kilos. Il a ensuite rangé les morceaux dans de grosses boîtes en plastique d’archivage, qu’il a ensuite empilées pour dessiner un meuble-télé.C’est le voisin du dessous qui, dans l’après-midi, a remarqué qu’un «liquide rose» tombait en gouttes du plafond de sa salle de bains. Selon le procureur, il s’agissait de sang mélangé à un produit nettoyant, que Robinson était allé acheter après son crime. Quelques heures avant de voir le sang goutter, ce même voisin assure avoir entendu William Spiller crier chez lui : «Tu crois vraiment que je vais te subventionner toute ma vie ?» Frappant à la porte de l’appartement pour évoquer cette curieuse fuite, il décrit un Robinson «très calme, tout à fait normal» après son geste fatal. Le jeune homme lui aurait simplement confié s’être disputé avec son père.

Après son effroyable ouvrage, Nathan Robinson a dressé la liste des choses qu’il devait faire, ce qui démontre, sinon la préméditation, du moins une conscience aiguë de son geste : «Payer le loyer, louer du matériel de nettoyage», avait-il noté, de même qu’envoyer des messages avec le téléphone portable de son père pour le faire passer pour vivant. Il avait ensuite quitté les lieux, prenant la direction de Glasgow (Ecosse) où, avec l’argent dérobé à son père, il avait «passé du bon temps» à «manger, boire et rencontrer des gens». Puis, de retour, il avait vécu dans l’appartement avant de retourner en Ecosse puis d’accompagner sa mère lors d’un «weekend végétarien» à Bristol.

La dépouille de Spiller n’a été retrouvée qu’un mois plus tard, le 17 juin 2013, après qu’un collègue s’est inquiété de ne plus le voir et de ne pas recevoir de réponse à ses messages. La police du Dorset, en arrivant dans l’appartement, a été assaillie par l’odeur et par le nombre de mouches qui pullulaient, mortes et vivantes, dans le couloir. Les boîtes qui supportaient la télévision étaient pleines, de même qu’un casier dans la chambre à coucher, dans lequel Nathan Robinson avait rangé la tête de son père.

Lorsque la police s’est présentée au domicile de sa mère, à Birmingham, le jeune homme l’a accueillie avec étonnement, demandant s’il s’agissait «d’une blague». Il ne nie pas avoir tué son père à qui il devait un prêt de 36 000 livres sterling mais, devant la Cour de la Couronne, assure qu’il ne jouissait pas de toutes ses capacités mentales au moment des faits, ce qui réduirait sa responsabilité. Les experts sont partagés.

LeParisien.fr


http://www.planet.fr/societe-angers-il-imite-dexter-pour-tuer-un-homme.726581.29336.html

Angers : il se prend pour « Dexter » et projette de dissoudre le corps de celui qu’il a prévu de tuer


Publié par Stéphanie Thibault le Samedi 08 Novembre 2014 : 10h32

Angers : il se prend pour "Dexter" et projette de dissoudre le corps de celui qu'il a prévu de tuer
Arrêté par la police d’Angers, un homme qui avait prévu de tuer un habitant de la ville avait mis au point un scénario digne de la série télé à succès « Dexter » : après avoir tué sa victime, il comptait dissoudre son corps à l’aide produits chimiques.

Avait-il trop regardé la télé ? Un homme, interpellé par la police d’Angers dans la nuit de jeudi à vendredi, s’est visiblement pris pour Dexter, le héros de la sérié télé à succès, policier le jour et tueur en série la nuit. Cet homme originaire de la région parisienne, avait vraisemblablement prévu de se débarrasser d’un habitant de la ville : il avait ainsi tout le matériel nécessaire pour dissoudre le corps de sa victime après l’avoir tuée. Ce sont des habitants de l’immeuble qui ont alerté le services de police. Vêtu d’une combinaison de protection blanche, de gants, d’une cagoule et d’un bâton, indique Ouest-France, il se dirigeait vers l’appartement de celui qu’il voulait occire.

Une dette de stupéfiant

La brigade anti-criminalité d’Angers est alors rapidement intervenue et a appréhendé l’individu. Selon le ministère de l’Intérieur, « les premières constations laissent présumer dans un premier temps que l’homme (était) venu de région parisienne pour régler une dette de stupéfiant ». Dans sa voiture, dont le coffre avait été tapissé d’une bâche en plastique indique le quotidien, plusieurs bidons de produits chimiques ont été saisis par les enquêteurs. Une perquisition du domicile du suspect en région parisienne a également été diligentée.


 dans Insolent - Insolite
Publié par Stéphanie Thibault le Samedi 08 Novembre 2014 : 10h32


http://www.ouest-france.fr/faits-divers-angers-il-tente-de-tuer-un-homme-en-imitant-dexter-2958457

Angers. Il tente de tuer un homme en imitant « Dexter »


Angers – 07 Novembre
  • La série "Dexter" met en scène un serial killer qui se débarrasse de ses victimes après une mise en scène macabre.
    La série « Dexter » met en scène un serial killer qui se débarrasse de ses victimes après une mise en scène macabre. | DR

Par Arnaud Wajdzik

Vêtu d’une combinaison blanche et de gants, un homme est soupçonné d’avoir voulu tuer et dissoudre un Angevin, dans un quartier sud d’Angers. Il a été arrêté.


Découvert dans la nuit de jeudi à vendredi, à Angers, boulevard Bédier, un break familial, appartenant à un habitant de la région parisienne, contenait tout le matériel nécessaire au crime. Le coffre du véhicule était tapissé d’une bâche plastique, sans doute pour contenir les éclaboussures de sang. Dans un coin, un caisson contenant plusieurs bidons de produits chimiques en cours d’identification.

Dette de stupéfiants

 

« Les premières constatations laissent présumer dans un premier temps que l’homme, venu de région parisienne pour régler une dette de stupéfiant, avait l’intention de tuer un homme et de transporter le corps pour le faire disparaître à l’aide de produits chimiques », indique le ministère de l’Intérieur.

Combinaison blanche

 

La police a été alertée par un témoin. Une personne a prévenu le « 17″ car elle a remarqué la présence d’un homme inconnu dans le hall de son immeuble. Il était vêtu d’une combinaison blanche de protection, à usage unique, porteur de gants en caoutchouc, d’une cagoule et d’un bâton.

Rapidement sur place, un équipage de la brigade anti-criminalité a pu entrer dans le bâtiment et l’a interpellé avant de le placer en garde à vue. Les sapeurs-pompiers sont ensuite entrés dans l’appartement de la victime supposée, vide de tout occupant.

La sûreté départementale est chargée de l’enquête. Les agents techniques ont réalisé des prélèvements et constatations d’usage, sur place, ce matin.

Ce vendredi après-midi, les enquêteurs effectuaient une perquisition au domicile du suspect, en région parisienne.


http://www.parismatch.com/Actu/Faits-divers/Le-suspect-se-prenait-pour-Dexter-648288

Le suspect se prenait pour Dexter


Le suspect se prenait pour Dexter
Le suspect était accoutré à peu près de la sorte lorsqu’il a été interpellé. © T.C.D / VISUAL Press Agency

Le 08 novembre 2014 | Mise à jour le 08 novembre 2014
T.L.

Un homme suspecté d’avoir voulu commettre un crime inspiré de la série «Dexter» a été arrêté à Angers, et placé en garde à vue.

Un homme a été arrêté, dans la nuit de jeudi à vendredi dans le quartier de la Roseraie à Angers, soupçonné d’avoir l’intention de commettre un crime en s’inspirant de la série télévisée «Dexter», dans laquelle Michael C. Hall interprète un tueur en série «justicier». C’est une résidente inquiète d’avoir vu cet individu entrer dans le hall de son immeuble qui a appelé la police, raconte le «Courrier de l’Ouest». Et pour cause : il était vêtu d’une combinaison blanche de protection à usage unique, de gants en caoutchouc, d’une cagoule et d’un bâton…

Sa voiture était aménagée pour l’occasion

Une équipe de la Brigade anti-criminalité (BAC) s’est rendue sur place et a interpellé le suspect. D’après les premiers éléments de l’enquête, l’homme, venu de région parisienne pour une dette liée au trafic de stupéfiants d’après «Ouest-France», projetait de «tuer un homme et de transporter le corps pour le faire disparaître à l’aide de produits chimiques». En effet son véhicule, un break familial, était parfaitement aménagé pour ce genre de crime, et contenait tout le matériel nécessaire.

On ignore tout pour l’heure des intentions exactes du suspect, de ses motivations, et de son identité. Il a été placé en garde à vue et son domicile a été perquisitionné vendredi après-midi. L’enquête a été confiée à la sûreté départementale.


http://www.metronews.fr/info/le-fait-divers-du-jour-le-chauffeur-de-camion-gardait-des-esclaves-sexuels-dans-sa-remorque/mnko!6nQJWez7GhfU2/

Le fait divers du jour : le chauffeur de camion gardait des esclaves sexuels dans sa remorque


Créé : 15-11-2014 10:32

ETATS-UNIS – Sur une période de 20 ans, l’individu avait enlevé et agressé des femmes à de multiples reprises, sur des périodes de quelques mois. Il plaide non coupable.


Six femmes ont été enlevées par le chauffeur de camion, sur une période de vingt ans. Photo : AFP
 
Metronews a fait le tour de l’actualité internationale et vous livre le fait divers du jour.

Un chauffeur de camion américain est poursuivi devant la justice pour avoir gardé, pendant sur une période de près de 20 ans, des esclaves sexuels dans la remorque de son camion. Timothy Jay Vafeades, 54 ans, originaire de l’Utah, en aurait ainsi eu pas moins de six pendant des périodes plus ou moins longues, rapporte le Huffington Post.

Six victimes, enlevées plusieurs mois

Les enlèvements ont commencé dans les années 90, avec une femme qu’il avait rencontrée alors qu’il séjournait dans un hospice. Vafeades l’avait d’abord épousée, avant de la forcer à le suivre en Utah, où il l’avait retenue contre son gré et agressée à de nombreuses reprises jusqu’à ce qu’elle prenne la fuite, six mois plus tard. En 2005, c’est une employée de supermarché qui avait à son tour été enlevée et agressée pendant trois mois. Quatre autres ont également dû subir la loi du chauffeur avant qu’il soit finalement arrêté par la police, alertée par la présence dans son camion d’une jeune fille de 19 ans portant des traces de coup.

Devant le juge, Vafeades plaide désormais non coupable. Mais même si le délai de prescription est écoulé pour les faits les plus anciens, il aura du mal à convaincre les jurés de son innocence. L’audience est prévue le 17 décembre


Thomas Morel
Mail-envelopeE-mail

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire