J'en ai marre de me taire à propos d'une quantité phénoménale de salopards.
Allez, hop ! Denis Robert !
Voilà un mail que j'en ai reçu en 2006 :
Le 04/08/2006 à 17:37, denis robert a écrit :
Chère [Petitcoucou],
Je viens de recevoir votre Chronopost.
Je suis désolé mais votre envoi ne correspond absolument pas à ce que vous
m'aviez laissé entendre. J'y lis un conflit du travail, je comprends que ce
soit douloureux
Je croule moi-même sous les assignations en ce moment
Mais comprenez que je n'ai pas le temps, ni l'envie de m'occuper de votre
d'histoire, même si je me doute que ... Etc
Je crois qu'il vaut mieux arrêter là nos échanges
Amicalement
DR
Ah ben si, si, si, je lui avais bien envoyé un gros dossier correspondant à ce que je lui avais dit : un banal conflit du travail, dans une très banale société du groupe Matra devenu par la suite EADS, à propos d'un tout aussi banal projet classé de la Défense nationale, avec, à la clé, toute une série d'excessivement banales tentatives d'assassinat...
Je lui avais même parlé par téléphone de l'empoisonnement criminel dont j'avais été victime au printemps 2002, un empoisonnement certain, médicalement attesté et aux effets très proches des causes du décès de Jean-Luc Lagardère l'année suivante.
Il se disait très intéressé.
J'ai fait une erreur monumentale en lui envoyant ce dossier que bien entendu il ne m'a jamais retourné...
En fin d'année 2006, il avait déjà acquis le soutien de la LCR qui jusque-là faisait bloc contre lui derrière Edwy Plenel.
Et à partir de 2008, ses amis de la bande du pédocriminel Pascal Edouard Cyprien Luraghi n'ont cessé de me défoncer, et tous mes proches avec moi...
J'ai fait preuve d'une naïveté confondante, je l'avoue, mea maxima culpa.
Les journalistes sont des gens de pouvoir, pas des gens de confiance, surtout pas pour les honnêtes gens.
P.S. : Ne croyez surtout pas qu'entre 2006 et 2008 il ait pu oublier quoi que ce soit. En 2011, j'ai eu confirmation que ce n'était pas le cas par un de ses amis dont je n'ai toujours été connue que comme une victime du cybercriminel Pascal Edouard Cyprien Luraghi qui depuis juin 2010 révélait au public mon identité et toutes mes coordonnées en me faisant notamment passer mensongèrement pour une malade mentale, un "cas lourd psychiatrique" qui sous couvert d'anonymat se serait inventé une vie qu'elle n'aurait jamais eue et n'aurait notamment jamais été ni ingénieure ni informaticienne ni harcelée dans le travail :
Le 26/06/2011 à 19:47, Tombeur Jef a écrit :
Hello,
Denis ne réfute absolument pas que tu l'aies contacté et que tu
avais des bases initiales sans doute fondées.
Mais il est resté laconique.
Il faudrait que je le rencontre en tête-à-tête.
Cordialement,
Jef
Denis Robert sait parfaitement bien depuis le début, ou au moins depuis août 2006, que je suis bien ingénieur d'études en informatique comme je l'ai toujours dit, que j'ai bien été gravement harcelée dans le travail, notamment en 1993 et 1994 alors que j'occupais l'un des postes sinon LE poste de concepteur le plus sensible sur un très gros projet de l'Armée de l'Air, où j'avais d'ailleurs remplacé un ingénieur retrouvé suicidé par arme à feu environ un an avant mon arrivée - son poste était resté vacant durant tout ce temps tout à la fois parce que les moutons à cinq pattes ne courent pas les rues (c'est à mon domicile qu'on était venu me chercher pour me proposer ce poste en sachant que j'étais disponible et venais de rentrer de vacances) et qu'en interne personne ne voulait de la place du mort - un petit détail dont je n'avais été prévenue qu'une fois sur place, en récupérant ses dossiers...
Et avec ça, ses amis de la bande du cybercriminel Pascal Edouard Cyprien Luraghi, qui s'en réclament, me font aussi passer mensongèrement pour un "corbeau" à partir de début 2009, alors que ce sont bien eux les vrais corbeaux qui ne cessent de me calomnier partout où ils peuvent en se gardant bien pour la plupart de révéler leurs propres identités...
Dès les années 1970, mes parents recevaient des lettres anonymes de menaces de mort accompagnées de photographies de leurs enfants prises sur nos lieux de vacances.
J'ai aussi le souvenir, à la même époque, d'un marquage spécial sur le trottoir juste sous nos fenêtres, dont on nous expliquait qu'il signifiait que nous étions des cibles d'Action Directe - blague, connerie ou vérité, je n'en sais rien, mais il est bien certain que nous étions déjà visés par la LCR.
Et les campagnes de calomnies ou de dénigrements, menaces de mort et complots divers et variés ont toujours continué...
Concernant Denis Robert, dont j'ai parlé un peu dans plusieurs de mes articles de blog, on ne peut pas dire que je me sois montrée très méchante, compte tenu de tout ce que je subissais avec ses bons amis... un lynchage non stop depuis début 2009, doublé dès l'origine par des dénonciations calomnieuses et prolongé par des harcèlements judiciaires sans fin à compter de juin 2010, de la part de ceux-là même qui depuis 2008 au moins multipliaient les infractions pénales à mon encontre, avec production systématique de faux divers et variés, et qu'un seul mot de la part de leur idole Denis Robert aurait suffi à faire cesser...
Pourquoi fallait-il absolument rechercher pour assassinat tous mes proches, mes contacts, mes anciennes connaissances, tous les témoins de ma vraie vie ?
Est-il déjà impliqué dans la tentative d'assassinat de mes parents de 2007 ?
Il n'est pas difficile de retrouver Dominique Le Brun alias Charles Mouloud parmi ses amis Facebook, il y figure en tête de liste sur son mur :
Je rappelle que ce Rennais anciennement brestois, décédé le 24 septembre 2023, fut des tout premiers "déconnologues" de la bande du malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi, également des premiers "loleurs" de la Ligue du LOL des journalistes Vincent Glad et Alexandre Hervaud, et est aussi le premier des "riverains" de Rue89 à m'avoir attaquée directement, à compter du 12 juillet 2008, son complice le pédocriminel et cybercriminel Pascal Edouard Cyprien Luraghi, déjà mobilisé contre moi, boudant temporairement le site Rue89 - il ne viendra m'y attaquer directement qu'à son retour, fin novembre 2008.
Philippe Astruc, nouveau procureur général de Dijon, s'est exprimé à ce sujet hier, 15 octobre 2024.
Dans cet article de vendredi dernier, 11 octobre 2024, j'indiquais que toute cette affaire est à mon avis un complot gauchiste contre les Villemin, dont les réussites (travail, couple, enfant, foyer) étaient à l'évidence devenues insupportables pour des jaloux de leur entourage tous syndiqués à la CGT :
Dans une interview donnée à RTL, il a évoqué les 40 ans d’«errements collectifs»
dans ce dossier, précisant que le complot familial reste «l’hypothèse
dominante».
Il s'agit donc bien d'un "complot", tout le monde est d'accord à ce sujet.
Et dans ce cas précis, les deux composantes familiale et gauchiste du complot sont intimement liées, mais il est toujours plus facile de taper sur une famille que sur une organisation comme la CGT ou le PC.
C'est pourtant bien l'appartenance à ces vraies forces de frappe de la gauche d'opposition anticapitaliste ou communiste qui procure aux criminels y adhérant un sentiment de toute puissance et d'invincibilité facilitant à l'évidence tous les passages à l'acte, et non seulement ceux qui sont revendiqués par leurs organisations d'appartenance, toujours d'essence plus ou moins terroriste puisqu'elles se proposent de renverser ou modifier sensiblement l'ordre établi contre la volonté de tous ceux qui le maintiennent, outre que l'idéal d'égalité qu'elles prônent conforte toutes les jalousies en les justifiant, quoiqu'il soit évident et fort heureux que tous les individus ne puissent être absolument égaux ou identiques à tous points de vue, tout le temps - même deux jumeaux monozygotes ou deux clones ne le sont pas.
Et cela vaut pour des jaloux de l'entourage familial comme pour d'autres qui n'en sont pas, comme je le rappelais vendredi en évoquant mon cas personnel ou celui de ma famille, en butte au même type de complot, sans qu'aucune information judiciaire ni aucune médiatisation n'ait jamais permis d'y mettre un terme.
Attaquer le chef ou assassiner des ingénieurs, quand on est militant communiste ou révolutionnaire communiste syndiqué à la CGT, c'est normal, tous les jours dans les cellules du parti ou du syndicat on se monte le bourrichon contre eux, sans même avoir conscience qu'ils sont aussi nécessaires à l'entreprise que les ouvriers qu'elle fait vivre.
A titre de rappel, je republie ici ce mail totalement délirant qu'en date du 30 juin 2007 j'avais reçu du dénommé Joël Roma, de tous temps syndiqué à la CGT lorsqu'il travaillait et de surcroît militant à la section brestoise de la LCR de 1999 à 2005, un courrier électronique dans lequel il me rapportait l'enseignement qu'il avait reçu de Josette Brenterch à la LCR à propos des ingénieurs, elle-même ne les détestant que parce qu'ils sont généralement mieux payés que les professeurs de l'Education nationale, dont elle a fait partie durant presque toute sa carrière, tout en étant toujours bien plus intelligents qu'elle ne l'a jamais été :
Le 30/06/2007 à 23:25, Joel ROMA a écrit :
Ils ne t'ont pas encore viré de leur site les bobos?
S'il avait fallut compter sur ces couillons pour faire avancer d'une part la
société dans le but de la rendre enfin plus humaine, cela se saurait, et
nous aurions de ce fait des comptes de résultats d'une part écologique, puis
d'autre part sociétal, ce à l'échelle mondial! Toutes avancées soit disant
positives pour l'homme fini par être récupéré par leurs chefs supérieurs en
grades de mes deux et se concrétise par la mise en place de politiques à but
capitaliste!!! Matériels militaire, satellites espions, missiles, armes
nucléaires en tous genre... Il est vrais que les ouvriers que tu n'aimes pas
n'oseraient pas imaginer ce genre de technologie de pointe dont une certaine
partie ne sert qu'à les tuer militairement d'une part, puis d'autre part
empoisonnés en temps de paix par les labos producteurs de produits
pesticides avec en objectif le système productiviste soit disant dans le
but nourrir la planète; et après tout ce cirque médiatiquo-intello de mes
deux, il n'est pas rare de voir ces idiots d'ingé et consorts rouler en
quatre quatre avec leurs sacoches bardé de travail pour la maison "hum...
quelle gourmandise"! Quelle bande de dégénérés qui non content de vivre une
vie de con martyrisent leurs gosses pour faire des études comme eux, et
finir sur la paille endetté jusqu'aux yeux, pathétique!!! A fond les études
au point d'en oublier de vivre leurs adolescence, et après à fond comme tu
l'as sans doute toi aussi fait pour vivre ta vie "intellectuelle" et finir
en milieux carcéral sous tranxène! C'est donc si bon que cela le bagage? ou
est-ce le regard de l'autre qui justifie toute cette souffrance
(reconnaissance sociale de "l'élite" boiteuse et boosté aux amphétamines
lorsque certains d'entre eux soit disant réussissent à quel prix)! Demain
mes seigneurs vous serez cuit dans votre jus, et le capital pour lequel vous
êtes pour une grande part toujours soumis puisque dans l'attente d'une
partie du gâteau "Dime" prélevé sur le compte de l'ouvrier vous sautera à
la gueule!
Tu peux faire toujours allusion à Josette, elle t'avais bien mieux ciblé que
moi à l'époque, et avait avec d'autres bien d'autres personnes reconnu ta
souffrance.
Quant aux ouvriers, tu ne les connais pas! Ils représentent ce que tu
exècres le plus au monde, l'humilité toi qui reste imbue de ta petite
personne... vaniteuse. Tu en es devenue neuneu!
Va faire du sport et aérer tes neurones bien mal en point!
Joël
Un an et demi plus tôt, nous avions reçu ce mail de Christian Hamon à propos de la même Josette Brenterch de la LCR de Brest :
Le 01/01/2006 à 08:31, Chris a écrit :
Tous mes meilleurs vœux pour cette année qui vient
de débuter.
Dernières nouvelles apprises de
la bouche de plusieurs anciennes collègues de Josette:
" C'était une psychorigide qui
n'a pas arrêté de nous faire chier tant qu'elle a été avec nous, et cela nous a
fait un plaisir énorme qu'elle quitte l'enseignement privé pour rejoindre
le public dès qu'elle a eu son CAPES. Dommage qu'elle ne l'ai pas eu de
suite."
Je n'ai pas poursuivi les
questions, j'étais avec de charmantes professeures, nous avions d'autres sujets
de conversation, mais j'en saurais plus, c'est sur. En tout cas elles souriaient
entre elles d'un air entendu.
La reine Josette n'a pas l'air
d'être appréciée du tout par les collègues qu' elle a fréquentée jeune, quoique
qu'elles m'ont dit aussi qu'elle n'avait pas vraiment changée
physiquement.
Je me permet d'être cynique,
c'est vrai que c'est dur de ne pas en vouloir à la terre entière quand on a
toujours été laide, peut-être que sa haine des militaires vient de là. Son père
était gendarme et haïr son géniteur pour la mauvaise farce qu'il lui a faite,
c'est sans doute naturel.
Pauvre Josette, peut-être
devrions-nous être respectueux de son immense détresse, elle souffre, j'en suis
sûr.
Non, je rigole, j'ai toujours
une énorme envie de lui rentrer dans le chou et de lui faire payer toutes ses
saloperies.
Affaire Grégory : le complot familial est « l’hypothèse dominante », selon le procureur de Dijon
40 ans après la mort de
Grégory Villemin, Philippe Astruc, récemment nommé procureur général de
Dijon, a évoqué les dernières pistes explorées par les enquêteurs, ce
15 octobre au micro de RTL.
Philippe Astruc, ancien procureur de Rennes désormais en poste à la Cour d’appel de Dijon (Côte-d’Or), était invité par nos confrères de RTL ce mardi 15 octobre 2024, pour évoquer l’affaire Grégory Villemin, tué il y a 40 ans à l’âge de 4 ans.
L’affaire est l’une de ses priorités, a expliqué le magistrat nommé en septembre : « C’est
un dossier emblématique, que tout le monde connaît. Il est de mon
devoir de me plonger rapidement pour le connaître de manière extrêmement
précise. » Il doit prendre connaissance des 17 765 pièces de
procédure que compte le dossier. Croit-il à la résolution de cette
affaire emblématique, au bout de 40 ans ? « Je crois que la justice, s’agissant de faits très graves, se doit d’être opiniâtre », citant l’attentat de la rue des Rosiers survenu en 82. En février dernier, Abou Zayed, un suspect, a été mis en examen.
Quant aux avancées technologiques – comparaisons ADN, comparaisons vocales – elles pourraient aider à une résolution, mais « ce n’est pas une analyse qui va trancher le nœud gordien de cette affaire », a pondéré Philippe Astruc. « Nous avons 9 ADN et quelques mélanges d’ADN qui restent encore à identifier et 410 personnes ont été confrontées à ces ADN », a-t-il indiqué, sans toutefois détailler, secret de l’instruction oblige. Aucun n’a matché pour l’heure.
Concernant les moyens encore dédiés à l’affaire, il n’y a
plus de cellule dédiée mais les enquêteurs travaillent au cas par cas et
un service d’enquête est toujours saisi, indique le procureur. Il y a
des auditions régulièrement, confirme-t-il. À la question d’Amandine
Bégot – « Pensez-vous que quelqu’un sait [ce qui est arrivé à Grégory] et n’a pas dit ? » –, Philippe Astruc répond par l’affirmative. « On
est tous à peu près conscients qu’il n’y a pas un auteur unique, je
rappelle qu’il y a eu à peu près mille appels qui ont précédés les
faits, plusieurs courriers du corbeau, la matérialité le jour des faits
laisse à penser qu’il y a une pluralité d’auteurs. » Le complot familial est « l’hypothèse dominante », confirme-t-il.
L’affaire Gregory a été marquée par de nombreux manquements,
tant de la part de la justice que des médias. Des dérives notamment
racontées dans Le bûcher des innocents, livre de Laurence Lacour, qui avait couvert l’affaire pour Europe 1. « Tous
ceux qui ont suivi aujourd’hui de près ou de loin ces affaires
criminelles ont sans doute tiré enseignement de ce qu’il s’est passé,
c’est l’un des rares points positifs dans cet errement collectif […] On a
atteint un sommet dans le fiasco », a conclu Philippe Astruc.
Affaire Grégory : le nouveau procureur général de Dijon fustige 40 ans d’«errements collectifs»
Le petit Grégory, 4 ans, est mort le 16 octobre 1984. [AFP]
Par
Khalil Rajehi
Publié le
-
Mis à jour le
À la veille des 40 ans de l’affaire
Grégory, le procureur général à la Cour d’appel de Dijon, Philippe
Astruc, a fustigé ce mardi 15 octobre 40 ans d’«errements collectifs»
dans ce dossier, précisant que le complot familial reste «l’hypothèse
dominante».
Ce mercredi 16 octobre marque les 40 ans de la mort du petit Grégory, à l’âge de 4 ans, dont le corps a été retrouvé en 1984 dans la Vologne, une rivière des Vosges,
quelques heures après la disparition du garçonnet signalée par sa mère
Christine Villemin. À cette occasion, le procureur général à la Cour
d’appel de Dijon, Philippe Astruc, est revenu ce mardi 15 octobre sur
cette affaire.
Dans une interview accordée à RTL,
le magistrat a fustigé 40 ans d’«errements collectifs», qui ont été
autant d’obstacles à la manifestation de la vérité. «Il faut rappeler
que neuf mois après les faits, il y a deux parents qui avaient une
vingtaine d'années dont l'enfant était mort : l'un, on n'a pas su
prévenir sa vengeance, et l'autre, elle s'est retrouvée neuf mois après
en prison en étant enceinte (…) On a atteint un sommet, je dirais, dans
le fiasco», a-t-il insisté.
«Il ne faut pas se décourager, il faut travailler avec abnégation,
avec sérénité et faire tout ce qu'on peut, tout ce qu'on doit faire pour
essayer de cheminer sur la manifestation de la vérité», a-t-il ajouté.
«Il faut continuer ce travail»
Au cours de cet entretien, Philippe Astruc a déclaré qu’«on est tous à
peu près conscients qu’il n’y a pas un auteur unique», indiquant que le
complot familial restait «l’hypothèse dominante».
À l’heure actuelle, le meurtrier de l’enfant n’a jamais été identifié. Toutefois, l’enquête se poursuit toujours.
Mais, comme l’avait rappelé le procureur général à la Cour d’appel de Dijon, le 7 octobre dernier, sur France Bleu Bourgogne,
«il y a eu 410 éléments de comparaison. Il y avait 240 personnes qui
étaient proches de l'enquête, mais il y avait aussi tout un tas de
personnes qui pouvaient potentiellement être impliquées».
«Il faut continuer ce travail. Chaque fois, on questionne les experts
pour savoir si l'on peut utiliser telle ou telle nouvelle méthode et si
c'est le cas, pour savoir si c'est suffisamment scientifiquement
abouti. On avance comme ça», avait-il dit.
Dans cette affaire, Bernard Laroche, principal suspect de l’époque, a
été tué d’un coup de fusil par son cousin et père de Grégory,
Jean-Marie Villemin, ce dernier étant persuadé de sa culpabilité dans le
meurtre de son fils.
Christine Villemin, mère de Grégory, a été, elle aussi, un temps
soupçonnée et mise en examen dans le meurtre de l’enfant, avant d’être
innocentée.
Il vient d'apparaître ce soir avec 54 consultations de mon blog entre 19h20 et 19h23 et utilise les mêmes équipements que le malade mental Pascal Edouard Cyprien Lurahi...
Les statistiques du blog sur les 30 derniers jours et les 6 derniers mois ne laissent toujours apparaître que 54 visites en provenance de Chypre, montrant qu'il s'agit bien de ses premiers clics sur le blog avec cette localisation depuis au moins six mois.
P.S. : Aujourd'hui, 16 octobre 2024, mes statistiques de blog m'indiquent toujours 54 consultations en provenance de Chypre ces derniers jours, pas plus. Comme je m'en doutais il y a deux jours lorsque j'ai vu ce "lecteur" apparaître subitement dans lesdites statistiques, il s'agit en fait d'une vantardise en relation avec les propos remarqués d'Emmanuel Macron lors de sa participation au sommet MED9 vendredi, 11 octobre 2024 (voir article ci-dessous), après la parution de mon article précédent, celui-ci :
Concernant la participation évidente de l'extrême-gauche française aux attaques du Hamas, je rappelle que son but n'a jamais été de libérer des populations (dont elle se fout royalement, absolument partout), mais de fomenter des guerres, civiles ou régionales, éventuellement mondiales, avec pour leitmotiv à l'égard des militants ou des adeptes de la secte, l'idée du Grand Soir et de la révolution communiste, dont les chefs, eux, savent pertinemment qu'elle n'est pas réaliste et ne peut conduire qu'à des bains de sang n'amenant pas d'autre perspective, mais ça aussi, ils s'en foutent, ils ont en fait toujours eu autre chose en tête. A Brest, c'est notamment et de manière évidente l'industrie de l'armement, sa prospérité étant toujours le but de tout syndicaliste de la CGT.
Emmanuel Macron réitère son appel à stopper les livraisons d'armes à Israël
Tous droits réservés Petros Karadjias/Copyright 2024 The AP. All rights reserved
Par euronews
Publié le •Mis à jour
Le président français s’est exprimé à Chypre lors du sommet
MED9, aux côtés de dirigeants des pays du sud de l’Europe, de la
présidente de la Commission européenne et du roi de Jordanie.
Chypre
a accueilli cette semaine les dirigeants des pays du sud de l’Union
européenne. Le roi de Jordanie, et la présidente de la Commission
européenne étaient également présents au sommet. Les responsables
politiques se sont entretenus au sujet de la guerre à Gaza et de
l’extension du conflit au Liban pour tenter de formuler une position
commune contribuant à la fin des hostilité.
Paris réitère son appel à cesser les exportations d'armes à Israël
Emmanuel Macron a réitéré son appel à "cesser les exportations d'armes" utilisées par Israël au Liban et à Gaza.
"La
France a appelé de ses vœux à cesser les exportations d’armes qui sont
utilisées sur ces théâtres de guerre. D’autres dirigeants ici ont fait
de même. Nous le savons tous, c’est l’unique levier qui pourra
aujourd’hui y mettre un terme", a déclaré le chef de l’Etat lors du sommet.
Le président chypriote a lui évoqué la "situation compliquée" au Moyen-Orient et a formulé son inquiétude quant à l’éventualité d’une nouvelle vague d'immigration engendrée par le conflit.
Nicosie
a déclaré à plusieurs reprises qu'elle n'avait pas la capacité
d'accueillir davantage de réfugiés et de migrants et demande le soutien
continu de l'Union européenne.
Lire ou relire en complément de l'article ci-dessous toutes mes publications à ce sujet, contenant toujours des informations inédites, notamment à propos de la participation de mes harceleurs à l'organisation de cet attentat, voire de leur position de commanditaires, qu'ils ne cachaient même pas au cours de l'été 2023, en annonçant déjà sur Twitter comme dans leurs commentaires sur mon blog cet attentat islamiste, comme tous les précédents corrélé à leurs saloperies judiciaires à mon encontre :
N.B.: La décision de justice me concernant qui est tombée à l'automne 2023, en corrélation évidente avec l'attentat du 7 octobre, aurait dû elle aussi intervenir normalement environ un an plus tôt, à l'automne 2022. Sont-ce les retards extraordinaires de la "justice" française pour cette affaire qui auront retardé d'autant l'attentat, ou bien les magistrats bretons saisis de l'affaire en question et qui de nouveau ont fait preuve d'un degré de corruption très élevé, ont-ils attendu que le Hamas soit prêt à lancer son attaque pour programmer eux-mêmes un audiencement de mon affaire avec une bonne année de retard sur ce qu'ils font habituellement ?
Une autre fois, des magistrats brestois (toujours corrompus) avaient déjà attendu trois mois pour transmettre à la cour d'appel de Rennes un dossier qu'ils auraient dû lui communiquer sans aucun délai. Manifestement ils attendaient que les attentats de janvier 2015 à Paris aient bien eu lieu et produit l'effet qu'escomptait leur maître à penser le pédocriminel Pascal Edouard Cyprien Luraghi.
7 octobre : des documents secrets révèlent que le Hamas voulait que l'Iran et le Hezbollah participent
Par Barbara Azaïs
Publié , mis à jour
Les procès-verbaux de réunions secrètes du Hamas, consultés par le New York Times, révèlent que le mouvement avait essayé d'obtenir le soutien de l'Iran et du Hezbollah pour lancer ce qu'il espérait être «l'effondrement» d'Israël.
Un an après les attaques sanglantes du 7 octobre 2023 qui ont fait 1200 morts en Israël, des documents saisis par l'armée israélienne et consultés par le New York Times permettent de mieux comprendre la longue et méticuleuse planification de cette opération.
Pendant plus de deux ans, Yahya Sinwar,
le chef du Hamas, s'est réuni avec ses principaux commandants pour
orchestrer ce qu'il espérait être l'attaque la plus dévastatrice jamais
perpétrée contre Israël et «l'effondrement» de l'État hébreu.
Les procès-verbaux de ces dix réunions secrètes révèlent que pour y parvenir, il aurait tenté de convaincre ses alliés, l'Iran et le Hezbollah libanais,
de se joindre à l’assaut, ou au moins de s'engager dans une lutte plus
intense contre Israël à la suite de l’attaque qu’il prévoyait.
«Le grand projet»
Baptisées «le grand projet», les
attaques du 7 octobre étaient à l'origine prévues à l'automne 2022, mais
le Hamas les aurait reportées dans l’espoir de créer cette alliance.
Selon le New York Times toujours, le Hamas aurait alors rencontré «un commandant iranien de haut rang»
en juillet 2023 qui lui aurait dit que l'Iran et le Hezbollah étaient
favorables au projet, mais qu'ils avaient besoin de temps pour se
préparer.
Le Hamas prévoyait également de discuter plus en détail de son projet avec Hassan Nasrallah, le chef du Hezbollah à l'époque, récemment assassiné par l'armée israélienne. Mais aucune information ne permet de savoir si cet échange a finalement eu lieu.
Les motivations du Hamas
«Le Hamas s'est senti assuré du soutien
général de ses alliés, mais a conclu qu'il lui faudrait peut-être aller
de l'avant sans leur pleine participation», constatent nos
confrères à la lecture de ces documents, notamment pour anticiper
l’imminente mise en place d'un nouveau système de défense aérienne
israélien.
Afin de tromper l'État hébreu et le prendre par
surprise, le Hamas se serait fait discret pendant deux ans, évitant
toute confrontation majeure avec lui dès 2021. Les têtes pensantes des
attaques entendaient ainsi «maintenir l'ennemi convaincu que le Hamas à Gaza (voulait) le calme».
Les 30 pages de procès-verbaux permettent aussi
de savoir que les motivations du Hamas visaient à perturber les
relations d’Israël et l'Arabie saoudite, à l'époque proches d'un accord de paix historique,
ainsi que de s'opposer à l'occupation israélienne en Cisjordanie et au
contrôle de la mosquée Aqsa, à Jérusalem, considérée comme sacrée dans
l'islam et le judaïsme.
OBJET : Archives sur l’affaire Barbie et la Gestapo de Lyon détenues par la D.G.S.E. (provenant du B.C.R.A.: Bureau Central de Renseignement et d’Action: Services spéciaux rattachés à l’Etat-Major particulier du Général De Gaulle).
Je suis retourné à la D.G.S.E. hier et ai pu examiner une bonne
partie des archives (après élimination de ce qui ne concernait pas
directement le sujet, il reste 4 cartons, d’un poids total de 3 ou 4
kgs).Parmi les agents Français ayant travaillé pour les
services de renseignements allemands, je n’ai relevé que trois nouveaux
noms particulièrement marquants :
Mme Vaillant-Couturier, avec les précisions suivantes : « Veuve d’un Député communiste – a travaillé pour la S.D en France, maîtresse d’un Allemand qu’elle avait suivi en Allemagne – avait la réputation d’un agent de très grande classe – 40 à 50 ans –bien conservée ».
Pierre (Abbé) : « 28-30 ans – 1m70 –agent de la S.D. Lyon au
service de KAMPF (adjoint de BARBIE) – cheveux noirs – corpulence
moyenne – portait un béret basque ».(Ce n’est peut-être pas le
célèbre Abbé PIERRE, mais celui-ci était de Lyon, et l’âge concorde… il
y a là, à tout le moins, une équivoque que Me Vergès ne manquerait pas d’exploiter).
Les noms de Mme Vaillant-Couturier et de l’Abbé Pierre sont cités
dans la procédure suivie à la Libération contre LECUSSAN, officier de
marine français, qui a participé à l’exécution de Victor BASCH.Il y a, par ailleurs, beaucoup d’autres noms d’agents connus (poursuivis, condamnés, exécutés après la Libération).Enfin,
l’aviateur COSTES est mentionné sur une liste comme un agent de
renseignement des Allemands en matière militaire, particulièrement
vénal.Diverses pièces font état de la culpabilité d’Hardy et d’une tentative d’empoisonnement effectuée à son encontre par Mme AUBRAC.Il est également indiqué que le lieutenant (XXX) (arrêté lors de la réunion chez le Dr DUGOUGEON) a dit aux Allemands tout ce qu’il savait pour éviter la torture.Enfin,
à propos de l’interrogatoire de BARBIE en 1948 par la sûreté française,
il est précisé que « l’entrevue avec BARBIE a été facilitée au maximum
par les services américains » et qu’il faut leur faire connaître que leur agent* ne sera plus contacté.Le
Colonel SINGLANT m’a indiqué qu’en dehors de la D.G.S.E., il pouvait
exister des archives sur BARBIE à la D.S.T., aux R.G. ; et à la D.G.G.N.
ou dans des dépôts privés constitués par les chefs de réseau (en ce qui
concerne ces derniers, il pense qu’ils ne livreront pas spontanément
les pièces qu’ils détiennent, sauf comme moyen de défense s’ils sont mis
en cause).Les cartons pourront être acheminés sans problème
soit à la Défense, soit à l’Elysée, si ce transfert est ordonné. J’ai
redit au Colonel SINGLANT que rien ne devait sortir sans instructions
formelles.Ma conclusion est que l’on devrait pouvoir
sélectionner (avec précaution) un certain nombre de pièces susceptibles
d’être communiquées, si l’on estime politiquement nécessaire de ne pas
opposer au juge d’instruction un refus total.
On le sait depuis longtemps, on ne le dit toujours pas, il faut le dire.
C'est devenu d'autant plus important que les mêmes comploteurs d'habitude s'amusent depuis maintenant un bon nombre d'années à traiter leurs victimes de "complotistes" - j'étais moi-même déjà traitée de "complotiste" par le criminel Pascal Edouard Cyprien Luraghi sur le site Rue89 au mois d'août 2009, alors qu'il venait d'obtenir mon exclusion définitive des commentateurs de ce site dit d'"information", dont le propos réel était en fait une propagande gauchiste avec ouverture des colonnes aux lecteurs/commentateurs, afin de pouvoir repérer parmi eux tous les "déviants" et leurs "déviances", pour les corriger, et très sévèrement concernant les victimes de harcèlement moral en entreprise explicitement appelées par les journalistes à venir débattre de ce problème sur leur site pour se voir ensuite traiter de folles ad vitam aeternam sur toute le toile... car selon les journalistes de Rue89, ou au moins ceux de cette époque, qui tous se revendiquaient de gauche, le harcèlement moral en entreprise ou au travail se réduirait à de simples "moqueries" vis-à-vis des handicapés mentaux employés par les entreprises ou les administrations, des "moqueries" parfaitement normales lorsque les victimes en sont des fous ou des folles, lesquels n'auraient de toute façon pas leur place dans le monde du travail.
Ce grand travail de rééducation des masses dans lequel s'étaient lancés les créateurs de Rue89, d'anciens journalistes de Libération, à partir de mai 2007, avait été jugé nécessaire après la victoire du non au TCE en 2005, qui fut une grosse surprise très dérangeante pour tous les promoteurs de ce vote de l'extrême-gauche, de Besancenot à Mélenchon : comme d'habitude, ils avaient fait campagne dans l'opposition de manière purement démagogique, ne voulaient pas de la victoire du non, ne s'y attendaient pas, et furent pris au dépourvu lorsqu'elle survint, ne sachant dès lors quoi faire de ce vote des Français qui ne correspondait pas à leurs aspirations.
Les journalistes de Rue89 avaient donc trouvé comme solution de créer un site pour inciter à s'exprimer tous ces gens qui jusque-là avaient toujours été muselés par les violences de l'extrême-gauche et avaient massivement voté non au TCE.
C'était notamment le cas de tous les chômeurs, précaires et exclus, dès la création du mouvement AC ! de lutte contre le chômage, la précarité et les exclusions, tous "ensemble", au cours des années 1993 et 1994.
Ainsi, par exemple, à Brest, les militants de la LCR s'étaient-ils incrustés dans l'association AC ! Brest dès sa création en 1994 pour en virer son fondateur le plus rapidement possible et instaurer des règles de fonctionnement destinées à en virer aussi tous les chômeurs qui affluaient par centaines dans ses assemblées : aucun droit de vote pour les chômeurs, précaires et exclus dans toutes ces réunions où se décidaient les actions de l'association censée les représenter et porter leurs revendications, aucun droit de parole pour les mêmes qui n'étaient pas non plus autorisés à faire partie du bureau ou du conseil d'administration de l'association - des décisions énergiques prises par le militant de la LCR et syndicaliste de la CGT Michel Le Doaré, le même qui au mois d'octobre 2005 ira encore faire le coup de poing contre tous les chômeurs, précaires et exclus d'AC ! lors des assises nationales du mouvement, toujours sur ordre de sa coreligionnaire la Mère Sup' Josette Brenterch.
Ce même Michel Le Doaré et ses amis de l'extrême-gauche avaient décrété dès le début des années 1970 qu'il n'était pas normal que mon père ait le droit de travailler (les lois de la République l'autorisant à travailler, il a bien travaillé sans interruption jusqu'à sa retraite), qu'il n'était pas non plus normal qu'il puisse être propriétaire, et par la suite, qu'il n'était pas normal que ses enfants soient tous d'excellents élèves, qu'ils fassent tous des études d'ingénieurs et deviennent tous ingénieurs.
L'affaire Grégory n'est pas l'affaire criminelle la plus extraordinaire résultant d'un complot de syndicalistes de la CGT tous mus par la jalousie du cousin ou du voisin qui semble un peu mieux loti ou a plus de succès parce qu'il a un peu plus de capacités ou d'aptitudes.
C'est tout simplement la seule à être connue du public, parce que le nombre de ses victimes reste assez limité.
Dans mon affaire, ou toutes celles qui me concernent et qui sont toutes liées, les extrême-gauchistes n'ont pas décidé d'assassiner un seul des enfants de leur cible, mais tous ses enfants, et lui aussi, et plus largement tous leurs proches, et tous les témoins des crimes. Cela fait beaucoup de monde. Mais pour la CGT, la LCR ou le NPA, il n'y a toujours aucun problème, les militants de ces organisations font ce qu'ils veulent en toute impunité.
Bizarrement, on retrouve toujours Denis Robert dans ces affaires extraordinaires, et dans celle des deux vidéos rapportées ci-dessus où il apparaît, la première, il est bien le seul des intervenants à nier l'aspect politique de l'affaire, pourtant très clair pour tous les autres à partir du moment où elle éclate avec l'assassinat de Grégory et l'enquête subséquente.
Et curieusement, ses amis ou supporters qui sévissaient sur le site Rue89 lorsque j'ai fait partie des commentateurs de ce site en 2008 et 2009, vont commencer à me traiter de "corbeau" en début d'année 2009 alors que ce sont bien eux qui se comportaient déjà de la sorte avec moi dans cette sphère de journalistes et commentateurs de Rue89 depuis juillet 2008 au moins, et ailleurs depuis des lustres, et jamais l'inverse. Et ils vont continuer...
N.B.: Le journaliste, l'avocat et le flic qui ont décidé d'accuser la mère sont tous trois de la loge du Grand Orient de Nancy :
Mieux encore : un de mes harceleurs de l'année 1994 me parlait de cette affaire Grégory en m'affirmant que la coupable était bien la mère, que tout le monde le savait dans les milieux autorisés, et il me citait même à cet égard des éléments de preuve qu'aucun média n'avait jamais sorti à l'époque, et toujours pas jusqu'à ce jour, d'ailleurs, les indications qu'ils donnent concernant ces détails précis étant en fait contraires... et... le même individu, qui était un de mes collègues de chez Matra devenu plus tard EADS, n'est-ce pas... était très lié aux flics de Nanterre qui ont aussi décidé d'accuser la mère dans l'affaire du petit Lubin survenue en décembre 1994, alors que le père avait déjà quasiment avoué les faits, et ce sur des considérations du même ordre : Magali Guillemot était soi-disant trop froide - elle était surtout ingénieure, et une autre femme ingénieure les emmerdait avec ses plaintes - moi. Là aussi, il y a bien eu complot, il fallait faire passer dans l'opinion publique l'idée que les femmes ingénieures sont toutes des monstres qui tuent leurs enfants mâles et se transmettent leur monstruosité de mère en fille, toutes élucubrations censées justifier toutes les tentatives d'assassinat et autres monstruosités dont j'avais été victime...
Donc, en gros : quand t'as de la tenue, un minimum de dignité ou de maîtrise de soi, t'es forcément coupable...
Et le comédien qui se roule par terre en poussant des cris d'orfraie mérite l'apitoiement et le soutien de tous contre celui ou celle qu'il accuse mensongèrement de tous ses maux, imaginaires ou pas, ou de l'avoir accusé à tort de faits répréhensibles qu'il a bien commis...
Ainsi, par exemple : le zététicien Jean-Marc Donnadieu de Béziers, qui était au RMI/RSA depuis son départ de
l'hôpital de Béziers en juin 2004 m'accusait de cette situation alors
que je n'avais jamais entendu parler de cet individu avant qu'il ne commence à me
harceler en avril 2010, et son complice Pascal Edouard Cyprien Luraghi,
qui n'a jamais cessé de jouir de tout ce qu'il me faisait subir avec sa
bande de "déconnologues" à partir du moment où ils ont commencé à me
harceler, en 2008, avait acheté en 2016 un médecin de son voisinage à Puy-l'Evêque pour qu'il lui délivre en 2016 et 2017 de
faux certificats médicaux attestant notamment qu'il était insomniaque à
cause de mes soi-disant harcèlements, dans le but
d'obtenir contre moi les condamnations qu'il demandait à Paris, alors
que depuis le début tout le monde avait pu le voir poursuivre toutes ses
discussions délirantes et haineuses sur la toile avec ses amis
"déconnologues" tous les jours jusqu'à au moins 4h ou 5h du mat; il
allait alors se coucher pour recommencer son cirque délétère dès 11h au
plus tard.
Né en Corse le 7 octobre 1943, ce commissaire, qui fit toute sa carrière
en police judiciaire, commence à l’antenne PJ de Meaux en
Seine-et-Marne en 1976, puis devient chef de la section criminelle au
SRPJ de Nancy en 1979. Avec ses méthodes à l’ancienne et ses tournées
des bars, le commissaire principal aborde le meurtre de Grégory en 1985
en second rideau après les gendarmes – qu’il méprise – avec une idée
fixe en tête : c’est la mère qui a commis l’infanticide. Bien aidé par
son copain de virée le journaliste Jean Michel Bezzina, « Coco », comme
il s’appelle lui-même, avait passé un pacte avec l’avocat de l’inculpé
du moment, Gérard Welzer, et le reporter pour obtenir le dossier. Ses
investigations pour le compte du juge Lambert avec l’incrimination de
Christine Villemin ont tourné au fiasco. Sa hiérarchie l’a néanmoins
dépêché comme sous-chef de la PJ de Rennes en 1988, mais la mise hors de
cause de Christine Villemin en 1993 l’a fait dégringoler aux
renseignements généraux (RG) de Nancy. À la retraite en 2003, Corazzi en
a profité pour dégainer un livre, Les Secrets de la Vologne (Éditions Gérard Louis) afin de « contrer la désinformation ». Jacques Corazzi, qui été candidat aux municipales de Nancy en 2014, ne veut plus parler de cette affaire.
Appels malveillants chez Jean-Marie et Christine Villemin
En ,
les parents de Grégory emménagent dans le pavillon qu'ils viennent de
faire construire sur les hauteurs de Lépanges. Cela intervient après la
promotion au mérite en de Jean-Marie au poste de contremaître à l’usine20, où il avait refusé de reprendre une carte de la Confédération générale du travail (CGT) malgré la présence de Roger Jacquelnote 3, délégué au sein de l'entreprise, militant communiste
et beau-père de son frère Jacky. Très vite, Jean-Marie et Christine
Villemin voient s'abattre sur eux une forte jalousie familiale et sont
victimes de harcèlements. En effet, à partir d',
alors que leur ligne téléphonique n'a été installée que le mois
précédent, le couple reçoit, comme du reste d'autres membres de la
famille, des appels téléphoniques malveillants réitérés émanant d'un individu mystérieux que les intéressés appellent entre eux « le gars » (voire « le gars à la voix rauque »22) et que les commentateurs vont vite surnommer le « corbeau », par allusion au célèbre film de Clouzot20.
D'abord muets, ces appels ne tardent pas à se transformer en menaces
verbales auxquelles Jean-Marie Villemin fait face avec sang-froid, afin
de déstabiliser le(s) harceleur(s). D'ailleurs lui-même et sa femme
reconnaîtront plus tard avoir, eux aussi, cédé à la tentation de jouer
les corbeaux pour tenter de démasquer celui ou celle qui les
persécutait.
Eh bien voilà, c'est clair, entre autres choses, mon père aussi a toujours refusé de prendre sa carte à la CGT malgré l'insistance du dénommé Michel Le Doaré... Il n'est jamais rentré dans le rang tandis que Jean-Marie Villemin, lui, en est sorti. Le résultat est à peu près le même.
Dans certains secteurs, certaines entreprises ou administrations, il est impératif d'être encarté à la CGT pour pouvoir travailler, c'est le syndicat qui assure les recrutements et la gestion des ressources humaines. A Brest, c'est notamment le cas pour toutes les activités de la zone portuaire. Même les bistrotiers doivent donner leur obole à la CGT pour exercer au port de commerce et certains se plaignent d'ailleurs ouvertement d'y subir un double racket, celui de la police et celui de la CGT.
Concernant l'affaire du meurtre de Grégory Villemin, il faut voir quiorganise et finance la défense de Bernard Laroche, sur lequel pèsent quand même de lourdes charges :
Benoît Bartherotte est un styliste et homme d'affaires français dont la fortune a démarré dans le textile et la confection.
Il a été le bras droit du « milliardaire rouge » Jean-Baptiste Doumeng dans les années 1970.
Il possède depuis 1985 un domaine au Cap Ferret (commune de Lège-Cap-Ferret), où il a fait faire d'importants travaux sans permis pour lutter contre l'érosion marine qui ont défrayé la chronique.
Biographie
Enfance
Benoît-Stanislas-Jésus-Marie-Ludovic Bartherotte, né en 1946, est le fils d'un officier de cavaleriegascon éduqué dans les principes chrétiens1. Il a été élevé chez les jésuites2.
Décrit comme un aventurier proche du Parti communiste et de la CGT1, il devient le bras droit de Jean-Baptiste Doumeng4, le « milliardaire rouge », qui lui cède, en 1977, 50 % des parts qu'il possède dans l'entreprise Jacques Esterel, pour 1 franc symbolique, soit 45 % du total des parts1,5. Il crée les collections et dirige la société ; il se fait connaître en 1980 en portant plainte contre Yves Saint Laurent pour contrefaçon.
Après l'arrivée de la gauche au pouvoir, en 1981, et l'intervention du député PS Christian Pierret, fraîchement élu dans la circonscription de Saint-Dié-des-Vosges, il reprend dans des conditions avantageuse la Société de Filature et Tissage Ancel-Seitz et ses usines de Granges-sur-Vologne et Aumontzey. L'opération est réalisée grâce à d'importants fonds publics1.
Il dirige la société, qui a pris le nom d'Ancel-Esterel, de juin 1982 à
juin 1984. Christian Pierret et Benoît Bartherotte s'accusent ensuite
mutuellement d'avoir détourné les fonds publics destinés à la société et
le Trésor public bloque la subvention, ce qui entraîne la même année le dépôt de bilan de la société1.
Soutien puis adversaire de Bernard Tapie
Son implication dans les milieux d'affaires et politiques le conduit à se rapprocher de Bernard Tapie, qu'il soutient dans plusieurs opérations4. Les deux hommes sont proches par leur méthodes et objectifs.
« Avant même de penser à Bernard Tapie, la
mitterrandie m'a rapidement contacté en 1981 pour que je devienne l'un
de leurs hommes de paille. Il s'agissait de prendre la tête
d'entreprises, grâce aux banques que les socialistes avaient
nationalisées. Ensuite, les bénéfices devaient se perdre dans des
filiales installées dans des paradis fiscaux. Quant aux pertes, elles
étaient épongées par les Français » affirme-t-il4.
À la tête de Lexmar France, il affirme vouloir relancer le chantier naval de La Ciotat notamment avec une zone franche, mais l'opération ne fonctionne pas8. Il est condamné pour cette affaire à dix ans d'interdiction de diriger, gérer, administrer ou contrôler une entreprise9.
Il se brouille à plusieurs reprises avec Bernard Tapie, allant jusqu'à devenir un opposant féroce. Il dénonce son soutien à Nicolas Sarkozy en 2007
et son attitude après la victoire de ce dernier. « Il est évident qu'il
avait fait élire Sarkozy et qu'il estimait qu'on lui devait un renvoi
d'ascenseur » estime-t-il2.
Il accuse aussi Bernard Tapie d'avoir participé à un vaste
système de détournements de fonds et témoigne devant la police dans l'affaire Adidas10.
Fondateur de l'Association des Petits Porteurs pour l'Annulation
de la Vente Litigieuse d'Adidas (Appavla), il affirme être à l'origine
de la condamnation du Crédit lyonnais10.
Depuis l'âge de deux ans, le jeune Benoît passe ses vacances sur le bassin d'Arcachon, précisément à la pointe du Cap Ferret. Il acquiert en 1985 un terrain de 5 hectares, dans la continuité des « 44 hectares »11.
Il fait construire sa demeure sur un terrain classé inconstructible2 et une seconde dans une zone de risque naturel12. Il interdit le passage des habitants et des touristes sur la bande littorale le long de son terrain2, avant que l'État ne valide éventuellement une occupation privative du domaine public13.
Il investit beaucoup d'argent pour construire et entretenir une digue de 487 mètres12. Cet ouvrage, dans une zone en forte érosion, suscite une controverse14 et entraîne plusieurs procès et plaintes dont la plus fameuse est celle débutée en 2001 pour « faux et usage de faux », impliquant le préfet de Gironde Christian Frémont15.
La digue a pour but de protéger sa propriété et les habitations qui s'y
trouvent. Il les loue ou y invite des personnalités telles que le prince de Monaco, Leonardo DiCaprio, Isabelle Adjani, etc.2. Les locations permettent de financer l'entretien de la digue16. Ces « cabanes », des villas de luxe, servent également de décors de cinéma12 et sont apparues dans de nombreux magazines de décoration17.
Il participe à la médiatisation de son action via de nombreux médias, ouvrages, journaux et magazines télévisés17, jouant de sa « grande gueule »2.
Si le maire de Lège-Cap-Ferret Michel Sammarcelli (1995-2020)
gardait ses distances, son successeur Philippe Le Harivel de Gonneville
(depuis 2020) prend le contre-pied : « Je veux faire table rase des querelles du passé. Ces défenses ont permis de protéger les propriétés vers le Mimbeau.
C’est une évidence absolue. [...] Bartherotte est un interlocuteur
indispensable pour sauver le trait de côte et notre territoire »16.
Benoît Bartherotte a été impliqué dans plusieurs affaires judiciaires.
Affaires et scandales
Il remporte un procès pour contrefaçon contre Yves-Saint-Laurent en 1985 après plusieurs années de procédure18. Pierre Bergé avait déclaré à propos de cette accusation : « C'est exactement comme si un cul-de-jatte prétendait imiter Noureev »19.
En représailles, Pierre Bergé avait fait exclure les représentants de
la maison Esterel de la Chambre syndicale du prêt-à-porter des
couturiers et des créateurs de mode19.
Il est condamné en 1994 à quinze ans d'interdiction de diriger,
de gérer, d'administrer ou de contrôler une entreprise, peine réduite à
dix ans par la cour d'appel d'Aix-en-Provence.
Il est condamné pour diffamation en 2014 après une plainte de Gilles Sammarcelli, fils du maire de Lège-Cap-Ferret23. Cette affaire a pour origine un incendie suspecté de criminel dont ont été victimes Benoît Bartherotte et son fils Antonin24.
En décembre 2015, il tire en l'air face à deux pêcheurs qui auraient pénétré sur sa propriété13.
Lors de la première instance d'avril 2017, Benoît Bartherotte est
relaxé alors que les pêcheurs sont condamnés à une amende et des
dommages et intérêts pour violation de domicile25.
Mais en mars 2019 il est condamné en appel pour violences volontaires
avec arme à une amende de 5 000 euro dont 4 000 avec sursis, à la
confiscation de l’arme saisie et l’interdiction de détenir une arme pour
une durée de cinq ans. Les pêcheurs quant à eux sont relaxés. En effet,
Benoît Bartherotte n’est pas propriétaire de la digue, ouvrage de
défense contre l’érosion marine qu'il a construit sur le domaine public maritime
(DPM). Cet ouvrage est sous le régime d’une autorisation d’occupation
temporaire (AOT), à usage privatif, concédée à Benoît Bartherotte et
strictement limité à son entretien et sa mise en sécurité. Malgré le
fait qu'il entretient la confusion entre l’AOT, la zone de péril définie
par arrêté et sa propriété, il ne peut prétendre à priver les
promeneurs d’accéder à la pointe du Cap Ferret. En juillet 2021, la Cour de cassation confirme la condamnation de la cour d’appel26.
Organisateur de la défense de Bernard Laroche dans l'affaire Grégory
Bernard Laroche, arrêté pour l'enlèvement de Grégory Villemin, fait
partie de la section CGT d'une des usines dont Bartherotte est
propriétaire depuis peu dans la vallée de la Vologne. L'homme d'affaires
soupçonne son ancien allié Christian Pierret d'avoir fait intervenir le
ministre de la Défense Charles Hernu pour déstabiliser l'entreprise en faisant arrêter Laroche1.
Bien qu'il ne connaisse rien du dossier, il missionne rapidement,
aux frais de la société Esterel, un avocat en sus de ceux de la CGT
dont Paul Prompt, du barreau de Paris, et de Gérard Welzer,
du barreau d'Épinal, pour défendre Bernard Laroche. « Un avocat
d'ouvrier qui n'aura pas peur d'affronter les gendarmes et le
gouvernement »1,27, Mario Stasi, frère de l'ancien ministre Bernard Stasi1. Très impliqué, il prend en charge les frais judiciaires de l'affaire28. Il est aussi à l'origine d'une pétition signée par les employés de l'usine.
Lors de la relance de l'affaire en 2017, il maintient son soutien
à Bernard Laroche, et renouvelle ses accusations contre Christian
Pierret, coupable selon lui de graves irrégularités28.
Il est l'un des personnages du roman de Frédéric BeigbederUn barrage contre l’Atlantique (2022)29,30.
Vie privée
Benoît et Élisabeth (dite « Zaza ») Bartherotte sont parents de sept enfants2 : Marguerite et Philippe, stylistes fondateurs de la marque de vêtements G. Kero31, Antonin, chanteur de l'ex-groupe Hangar32 et bassiste de Papooz33, Martin et Hadrien qui ont créé une petite entreprise réalisant des maisons en bois sur mesure34, Marie qui travaille avec les chevaux et Marion qui est dans le dessin35.
« Les maisons Saint-Laurent et Jacques Esterel s'accusent mutuellement de contrefaçon », Le Monde.fr, (ISSN1950-6244, lire en ligne [archive], consulté le )
« Affaire Grégory : «Je défendrai l’honneur de Bernard Laroche» », leparisien.fr, 2017-08-23cest22:15:58+02:00 (lire en ligne [archive], consulté le )