Nulle "ultra-gauche" là-dedans, c'est l'extrême-gauche, un point c'est tout.
Pour avoir été étiquetée "ultra-gauchiste", je peux vous dire ce que sont réellement les "vrais" "ultra-gauchistes" : ce sont tous les individus ou groupes sans grand rapport ni relations les uns avec les autres qui dérangent l'extrême-gauche sur les divers terrains de luttes qu'elle considère comme étant sa chasse gardée. Puisque cette dernière réussit à s'imposer partout au détriment de tous les autres, qu'elle fait disparaître dans le silence les uns après les autres, cela prouve au moins une chose : l'extrême-gauche est bien plus violente que tous les groupes dits d'"ultra-gauche"; elle les chasse d'ailleurs de ses prés carrés toujours dans la violence, leur impose le silence de même, et les détruit dans l'hyper-violence.
Les "antifas" n'ont rien à voir avec l'ultra-gauche, sinon qu'ils ont pour habitude de lui tomber dessus à bras raccourcis pour l'extrême-gauche, dont ils font partie.
Quant aux "ultra-gauchistes", ils ont pour points communs d'être sincères dans leurs engagements, ce que ne sont pas du tout les politiciens de l'extrême-gauche, et de réfléchir, d'être en général des intellectuels, que ne sont pas non plus ou très peu les extrême-gauchistes.
Prenons l'exemple de la préposée aux étiquettes Josette Brenterch de la LCR ou du NPA de Brest. Son truc depuis toujours, c'est de jouer à la marchande. Elle aurait pu être commerçante, mais ce n'est pas du tout une intellectuelle. Qui plus est, elle n'est même pas issue des rangs de la gauche, elle vient de la droite extrême.
Elle aurait pu militer au CIDUNATI ou même au Front national, elle y aurait été comme un poisson dans l'eau, l'extrême-gauche française aurait été moins malsaine et son ultra-gauche considérablement réduite ou totalement inexistante.
Jean-Luc Mélenchon apporte son soutien à La Jeune Garde, groupuscule d'ultragauche menacé de dissolution
Le ministre de l'Intérieur a indiqué mardi avoir lancé la dissolution de La Jeune garde. Ce groupe antifasciste a été cofondé en 2018 par le Lyonnais et actuel député LFI Raphaël Arnault.
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Le leader de La France insoumise Jean-Luc Mélenchon a apporté mercredi 30 avril son soutien au groupuscule d'ultragauche La Jeune Garde, menacé de dissolution. "J'appelle tous mes camarades insoumis à aller se grouper derrière la bannière de la Jeune Garde, pour dire 'nous n'avons pas peur !'", lors du défilé du 1er-Mai jeudi à Lyon, a déclaré Jean-Luc Mélenchon lors d'un meeting à Auxerre.
"Bruno Retailleau annonce la dissolution de l'organisation antifasciste La Jeune Garde. Sur quels motifs ? Personne ne saura. Ces jeunes gens détestent le fascisme. Je leur donne raison. Bravo, continuez ! Le ministre de l'Intérieur essaie de nous faire peur ? Vous n'y arriverez jamais !", a au même moment posté sur X l'ancien candidat à la présidentielle.
Une procédure "contradictoire" va être engagée à l'encontre du groupuscule d'ultragauche La Jeune Garde, a annoncé ce mardi Bruno Retailleau devant les députés. Le ministre de l'Intérieur souhaite sa "dissolution". La Jeune garde a été cofondée en 2018 par le Lyonnais et actuel député LFI Raphaël Arnault. Le groupuscule est présenté comme un groupe d'auto-défense antifasciste pour répondre à une extrême droite de rue particulièrement violente à Lyon.
"La politique, ce n'est que de la dynamique"
Pendant son meeting à Auxerre, mercredi, Jean-Luc Mélenchon a, plus largement, appelé à la mobilisation pour la journée du 1er-Mai : "Mes amis, faites ce que vous pouvez (...), nous devons être nombreux. Chaque fois que vous emmenez une personne, une, je ne dis pas cinquante, vous faites un pas de géant ! Parce que la politique, ce n'est que de la dynamique."
Le leader insoumis garde le même cap : faire chuter le gouvernement Bayrou. "Il a été sauvé par des conciliabules, la nuit, entre des dirigeants du PS et eux. Cinq fois de suite, ils décident qu'ils ne votent pas la censure. Puisque cet assault institutionnel n'est pas possible, le combat nous appelle. Il faut y aller, par la mobilisation sociale."
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