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vendredi 9 mai 2025

Comparé à Joseph Goebbels, Jean-Luc Mélenchon porte plainte

Ouarf !

L'offenseur présumé préfère un débat «en face-à-face, argument contre argument, sous la forme que vous proposerez, puisque vous vous considérez l’offensé».

Mais ce dernier a déjà choisi ses armes, ce seront exactement les mêmes que celles de son alter ego la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest après que j'eus osé publier des droits de réponse pour rétablir a minima la vérité concernant ma propre biographie à la suite de ses campagnes de calomnies publiques à mon encontre, devenues nominatives et massives en juin 2010 : «Sa mise en examen sera une invitation à la mesure dans la légitime polémique politique publique», conclut-il.

Alain Jakubowicz n’a pas pu s’empêcher de «sourire» en lisant cette dernière phrase. «Convenez que c’est assez cocasse de votre part», a raillé l’avocat, qui respecte le «droit» de Jean-Luc Mélenchon de porter plainte. «Ne vous glorifiez cependant pas par avance de ma mise en examen, car elle est mécanique en la matière et ne signifie donc rien», a-t-il ajouté.

Erreur, mon cher Watson !

Pas un seul des débiles mentaux qui suivent ces fascistes n'entend le moindre argument de droit.

La mise en examen pour faits supposés d'injures ou de diffamation publiques est déjà pour eux une telle victoire judiciaire qu'en 2012 la mienne avait provoqué la grande fête islamiste exécutée par Mohammed Merah.

Si c'est le chef qui l'a dit, c'est forcément la vérité, il ne peut pas mentir...

 

 

 

https://www.lefigaro.fr/actualite-france/compare-au-dirigeant-nazi-joseph-goebbels-jean-luc-melenchon-annonce-porter-plainte-contre-alain-jakubowicz-20250509

Comparé au dirigeant nazi Joseph Goebbels, Jean-Luc Mélenchon annonce porter plainte contre Alain Jakubowicz


Après ses propos tenus sur le plateau de BFMTV, le président d’honneur de la LICRA a proposé au leader de LFI de débattre «en face-à-face» plutôt que dans un tribunal.

«Je sais que je vais me faire rentrer dedans, mais c’est pas grave». Alain Jakubowicz s’attendait à ce que ses propos suscitent la polémique. Invité sur BFMTV, le président d’honneur de la LICRA a commenté La Meute, un livre dans lequel deux journalistes mettent en lumière les dérives de La France insoumise (LFI). «Ça raconte l’histoire d’un mouvement fasciste», a estimé l’avocat, avant d’effectuer une comparaison historique osée : «Toutes proportions gardées, je vois un parallèle entre Mélenchon et Goebbels, le ministre de l’Éducation du peuple et de la Propagande [du Reich allemand]. C’est fascinant et en même temps, ça fait froid dans le dos.»

La présentatrice Apolline de Malherbe s’est rapidement désolidarisée des propos tenus par son invité, tandis que la société des journalistes de BFMTV a «fermement» condamné cette sortie. Sur X, Jean-Luc Mélenchon a annoncé porter plainte contre Alain Jakubowicz pour «injure publique». «Compte tenu de ses responsabilités associatives et du jour [le 8 mai, jour férié qui commémore la victoire des forces alliées sur l’Allemagne nazie], monsieur Alain Jakubowicz ne peut ignorer la portée et la signification très gravement injurieuse de ses mots sur un tel sujet», écrit le triple candidat à l’élection présidentielle. «Sa mise en examen sera une invitation à la mesure dans la légitime polémique politique publique», conclut-il.

«Comparaisons outrancières»

Alain Jakubowicz n’a pas pu s’empêcher de «sourire» en lisant cette dernière phrase. «Convenez que c’est assez cocasse de votre part», a raillé l’avocat, qui respecte le «droit» de Jean-Luc Mélenchon de porter plainte. «Ne vous glorifiez cependant pas par avance de ma mise en examen, car elle est mécanique en la matière et ne signifie donc rien», a-t-il ajouté, avant de poursuivre : «Vous vous sentez offensé ? Soit. Je le suis également chaque jour par vos diatribes et celles de vos affidés.» Plutôt que d’en «débattre devant la juridiction», Alain Jakubowicz a suggéré de s’en «dispenser» et d’avoir ce débat «en face-à-face, argument contre argument, sous la forme que vous proposerez, puisque vous vous considérez l’offensé».

De son côté, la LICRA ne s’est pas privée de rappeler que Jean-Luc Mélenchon avait à plusieurs reprises comparé des personnalités à des responsables nazis. Lors de la campagne des élections européennes, le leader de LFI avait associé le président de l’université de Lille à Adolf Eichamnn, artisan de la «solution finale». Tandis qu’à plusieurs reprises, des élus Insoumis ont effectué un parallèle entre Fabien Roussel et le collaborationniste Jacques Doriot, auparavant communiste. «Les comparaisons outrancières nous éloignent de la vérité, valeur cardinale du combat démocratique», relève l’association.

Au passage, la LICRA en a profité pour corriger Jean-Luc Mélenchon qui, dans son post sur X, présente Alain Jakubowicz comme «président de la LICRA». Or, il n’occupe plus cette fonction depuis 2017. Celui qui lui a succédé, Mario Stasi, «s’étonne d’être pris à partie par Monsieur Mélenchon».


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