Elisabeth Borne serait donc remplacée, et très probablement aussi l'actuel ministre de la Justice, qui traîne de plus en plus de casseroles derrière lui...
Cela tombe plutôt bien pour eux.
On les dit fatigués, ils vont pouvoir se reposer un peu ou au moins changer de rythme.
Mais surtout, ce sont deux Béliers, pour lesquels le printemps est toujours un renouvellement ou un nouveau départ.
Qui plus est, ils sont de la même année et n'ont que deux jours d'écart : Élisabeth Borne est née le 18 avril 1961 à Paris et Éric Dupond-Moretti le 20 avril 1961 à Maubeuge.
Ils sont donc globalement concernés par les mêmes cycles.
P.S. : A votre avis, entre les mages ou astronomes chaldéens dont le système plurimillénaire est toujours vivace et fonctionnel, et les zététiciens de la bande Thomas Durand / Gérald Bronner, qui est-ce qui va gagner ?
Élisabeth Borne étouffée ? Cette petite phrase étonnante lâchée en coulisses
@Stephane Lemouton / Bestimage
Alors que la France traverse une crise sociale violente, Emmanuel Macron et Élisabeth Borne semblent déterminés à prouver qu'ils n'habitent pas une tour d'ivoire. Le président sera pour cela en déplacement dans les Hautes-Alpes ce jeudi 30 mars, tandis que la Première ministre partira dans la Nièvre vendredi. Une sortie attendue avec beaucoup d'impatience par la cheffe du gouvernement.
Réunions, débats, chahut. Ces trois mots semblent résumer le quotidien d'Élisabeth Borne depuis plusieurs semaines. En première ligne de la réforme des retraites, officiellement adoptée le 20 mars dernier à l'Assemblée nationale grâce à l'utilisation d'un énième 49.3, la Première ministre a enchaîné les concertations sans jamais aller à la rencontre des Français. Alors que la 10e journée de mobilisation contre la loi s'est déroulée ce mardi, non sans heurt, Emmanuel Macron et sa cheffe du gouvernement sont impatients de retrouver le terrain et de prouver au passage qu'ils ne sont pas hermétiques aux préoccupations du peuple.
Pour cela, le président a annoncé à la dernière minute son déplacement sous hautes tensions à Savines-le-Lac (Hautes-Alpes), ce jeudi 30 mars, pour présenter son “Plan eau”. Élisabeth Borne, elle, se rendra dans la Nièvre ce vendredi. Un déplacement synonyme de respiration pour l'ex-préfète de Poitou-Charentes. “Je veux sortir, je veux voir des gens !” aurait-elle déclaré à son entourage, selon les informations du Parisien. Même si ces déplacements sont surveillés de près par la sûreté intérieure, ils semblent vitaux au tandem à la tête du pouvoir. On connaît la passion du chef de l'État pour l'échange et la confrontation, même si ceux-ci peuvent en ce moment s'avérer violents.
>> PHOTOS – Élisabeth Borne : retour sur l’évolution physique de la Première ministre
Élisabeth Borne consciente de la fragilité de sa position
À en croire ses proches de Matignon, Élisabeth Borne n'est toutefois pas plus inquiète que cela à l'idée de croiser des Français en colère. “Ça ne l’inquiète pas plus que cela. Elle a connu ce genre de situation par le passé, notamment pendant de la loi Travail où elle était prise à partie par des syndicats”, rapporte l'un de ses conseillers au Parisien. Si la Première ministre est consciente que ces déplacements conditionneront son maintien à la direction du gouvernement, Emmanuel Macron, lui, sait pertinemment que la suite de son quinquennat repose sur ces futures interactions et prises de parole.
Ce jeudi, seul un discours d'une quarantaine de minutes est prévu dans les Hautes-Alpes. Aucun bain de foule n'est donc inscrit à l'agenda du président. Mais ses ministres savent bien qu'Emmanuel Macron est imprévisible. “Avec lui, ça peut toujours bouger au dernier moment. Il peut très bien s’arrêter au bord de la route, au milieu d’un village, et improviser une déambulation de quelques minutes pour serrer des mains”, souligne ainsi l'un d'entre eux dans le quotidien.
Crédits photos : Stephane Lemouton / Bestimage
Élisabeth Borne remplacée ? Ce nouveau nom surprenant qui circule pour Matignon
@Raphael Lafargue / Pool / Bestimage
La Première ministre est dans la tourmente depuis le 49.3. Plusieurs rumeurs soufflent le nom d'un homme politique bien connu des Français pour la remplacer.
C'est la tempête à Matignon. Depuis l’activation de l’article 49.3 de la Constitution pour faire passer en force la réforme des retraites voulue par Emmanuel Macron, la crise sociale gronde. Élisabeth Borne avait déjà réussi à conserver, de peu, son poste à Matignon après la motion de censure transpartisane. Désormais, les parlementaires sont divisés et la colère des Français se poursuit. D’après une information de nos confrères de L’Express, publiée ce jeudi 30 mars, l’entourage élyséen aurait une petite idée pour apaiser les tensions : remplacer Elisabeth Borne par… Gérard Larcher, le président du Sénat. "C’est le seul qui saurait apaiser, c’est un centriste de droite, le seul qui ne filerait pas des boutons à Olivier Dussopt", remarque un observateur politique issu des Républicains.
Ce n’est pas la première fois que le président du Sénat est cité pour Matignon. Après le Covid, déjà, et avant l’élection présidentielle de 2022, Gérard Larcher est considéré comme apte à remplir les missions de Premier ministre. En juin dernier, certains opposants au président de la République réclamaient déjà la démission d’Elisabeth Borne. "C’est peut-être au Sénat que se trouve la solution", avait glissé Brigitte Macron dans les colonnes du Canard Enchaîné.
>>> PHOTOS - Élisabeth Borne : son évolution physique
La petite phrase de Bruno Retailleau
Gérard Larcher est une figure de la droite. Élu depuis 2014 à la tête de la chambre haute du Parlement, il est considéré comme étant le seul à pouvoir garantir une vraie coalition des droites. Selon le quotidien, la rumeur d’une telle décision serait arrivée jusque dans les couloirs du Palais du Luxembourg. Le président des Républicains au Sénat aurait même taquiné le patron des sénateurs avec cette petite phrase : "Faut que tu te prépares !" rapporte L’Express. Ce à quoi l’intéressé a répondu par un petit rire.
Article écrit en collaboration avec 6Médias.
Crédits photos : Raphael Lafargue / Pool / Bestimage
Éric Dupond-Moretti “usé” et “un peu las” ? Le ministre de la Justice rétablit la vérité
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Éric Dupond-Moretti est très en forme et compte bien le faire savoir. Si certains le disent fatigué par son ministère, le Garde des Sceaux a tenu à rétablir la vérité auprès de nos confrères du "Parisien" ce 30 mars 2023.
Il est d'humeur combative. Éric Dupond-Moretti est au cœur de la crise sociale et politique qui secoue le pays depuis le passage de la loi sur la réforme des retraites. Le ministre de la Justice a accordé une interview au Parisien ce 30 mars 2023 : il défend l'ordre républicain mais évite sciemment d'utiliser le mot "crise" pour qualifier la situation actuelle. Des rumeurs le disent fatigué mais le garde des Sceaux dément : "Moi, je suis fatigué quand je vais me coucher à 23 h 45, surtout que je me lève à 5 heures. Mais c’est tout. Je suis déterminé comme jamais".
Son changement de vie après sa carrière d'avocat pénaliste semble toujours lui convenir parfaitement. il avoue même au Parisien avoir découvert beaucoup de choses en arrivant place Vendôme et que l'on ne pouvait pas tout faire, surtout pas ce que l'on voulait. L'ex ténor du Barreau a tout de même dû descendre d'un ton du haut de ses nouvelles fonctions, mais c'est un sacrifice qu'il semble heureux de devoir faire pour servir la démocratie.
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Éric Dupond-Moretti et Isabelle Boulay, une relation longue distance
Les voyages au Canada doivent aussi participer à la fatigue ressentie par le ministre de la Justice lorsqu'il se couche. Dans le numéro de Gala paru ce jeudi 30 mars, sa compagne, Isabelle Boulay s'est confié auprès de nos journalistes sur leur couple à distance : "Je me divise entre deux continents, deux pays" a expliqué la chanteuse. Un mode de vie que son compagnon, à qui il arrive aussi de pousser parfois la chansonnette, a bien voulu accepter par la force des choses : "Je suis une très grande amoureuse, très fidèle mais, en même temps, j’ai besoin de solitude. Éric comprend ma nature… Je suis une femme qu’on attend. Il le sait" a-t-elle ainsi dévoilé. Précisant qu'ils ont "trouvé leur équilibre ainsi", le nouveau poste de son partenaire amoureux n'empêche pas l'artiste-interprète de continuer à mener "une vie calme, simple" : "Je fais mon marché, je prends le métro. Depuis qu’il est place Vendôme, on s’intéresse un peu plus à notre couple mais j’ai toujours été quelqu’un de discret, de pudique" a-t-elle reconnu.
Crédits photos : Anne-Christine Poujoulat/Pool/Bestimage
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