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dimanche 7 juillet 2024

Denys Puech et Louis-Ernest Barrias, maîtres de François Cogné

Le premier est aveyronnais et a été directeur de la Villa Médicis à Rome, de 1921 à 1933, et le second a notamment eu pour maître un Cogniet, Léon, peintre.


Lire ou relire :

http://satanistique.blogspot.com/2024/06/pedocriminels-de-la-rue-du-bac-de.html

http://satanistique.blogspot.com/2024/07/le-lycee-carnot-lorigine-de-la-bande-de.html

http://satanistique.blogspot.com/2024/07/claude-imbert-journaliste-pedocriminel.html

http://satanistique.blogspot.com/2024/07/pedocriminalite-mathilde-brasilier.html

 

 

https://gw.geneanet.org/adekorsak?n=cogne&oc=&p=francois+victor

F  François Victor COGNÉ Tonton

(François Victor COGNÉ)


  • Née le 10 août 1876 - Aubin, 12110, Aveyron, Midi-Pyrénées, FRANCE
  • Décédée le 9 avril 1952 - 7ème arrondissement - Paris, 75000, Paris, Île-de-France, FRANCE, à l'âge de 75 ans
  • Inhumée le 11 avril 1961 - Paris 14ème, 75014
  • Sculpteur

 Parents

  • .....
  • .....

 Union(s) et enfant(s)

(masquer)

 Événements

10 août 1876 : Naissance - Aubin, 12110, Aveyron, Midi-Pyrénées, FRANCE
--- : Résidence

1898 22 rue Pasteur à Pantin
1900 4 rue Magenta à Pantin puis 26 rue Francoeur Paris 18
1902 164 rue de la Convention Paris 15
1903 4 rue Nobel Paris
1910 3 avenue Frochot Paris 9
1912 St Germain les Couilly (St Germain sur Morin, Seine et Marne)
1919 9 rue de Villersexel Paris 7
1929 Maisons-Laffitte

A vécu 38 boulevard Raspail jusqu'à son décès.
Atelier 9 rue de Villersexel à Paris 7ème

a vécu au Moulin Vieux, rue des Prés à Saint Germain sur Morin de 1911 à 1929
campagne à Thomery puis Episy en Seine et Marne au moins à partir de 1936 (cité dans le Figaro en juillet 1936)

--- : Etudes

Élève de Barrias et de D. Puech, il débuta au Salon des Artistes Français : mention honorable en 1909, troisième médaille en 1921. Il exposa ensuite au Salon de la Nationale. Sculpteur officiel de l'État français durant la période de Vichy et l'Occupation, Cogné est connu pour ses bustes officiels : Alphonse XIII, Mussolini, Loti, Caillaux, Pierre Laval, Barthoud, Maréchal Joffre… Il est également l'auteur de plusieurs statues en pied en bronze : Georges Clemenceau (rond-point des Champs-Elysées), Lyautey (Nancy), Maréchal Pétain, Prince Albert 1er (Monaco), de la statue équestre du maréchal Lyautey (Jardin du consulat de France à Casablanca), du monument à la mémoire de Georges Mandel (RN 7 entre Fontainebleau et Nemours). On lui doit les bornes de la Voie de la Liberté. OEuvre en fonte de fer reproduite par le Val d'Osne : Le Retour.

Ecole Boulle,élève de Barrias et de D.Puech
Débute au Salon des Artistes Français,mention honorable en 1909
Le buste de Nivelle au salon de 1918.
3ème médaille (bronze) en 1921au salon des Artistes Français pour le poilu dit "Le Retour" (celui du monument de Champagne sur Seine)
expose au salon de 1930 "Le Printemps"

--- : Décoration

Aurait été blessé en 1914, affecté en 1915 au service géographique de l'armée puis réformé
Chevalier Légion d'Honneur (9/11/1920)
Officier (29/01/1927)
Commandeur (21/01/1936)

--- : Faits notables

Participe à la 1ère guerre mondiale; blessé en 1914, réformé et volontaire en 1915 au service géographique de l'armée.
Reçoit la médaille du salon des Artistes Français en 1921 pour le monument de Champagne sur Seine
Il fut le sculpteur officiel de l'Etat Français pendant l'occupation et participa au voyage de Berlin comme membre du Comité Arno Breker.
Pierre-Barthélémy Gheusi (1865-1943) raconte dans ses mémoires (50 ans de Paris,Plon 1942) que l'on demanda à F.Cogné de faire un buste d'Hitler.Il accepta mais demanda comme seul salaire la libération de 10 prisonniers français.Hitler apprenant la chose aurait ordonné la libération de 100 prisonniers.
± "Le statuaire officiel du Maréchal et de l'amiral Darlan, François Cogné, qui a sculpté les bustes ou les médaillons de nombre de notabilités actuelles du pape à Alphonse XIII et de Mussolini à Lyautey, en passant par Loti, Caillaux, Pierre Laval, Clemenceau, Barthoud, Rabaud et cent autres encore, doit tailler dans le marbre une image du chancelier Hitler et se rendre en Allemagne pour y travailler. Quand on a demandé son prix, Cogné a répondu qu'il ne voulait point être payé en argent et qu'il proposait seulement la libération de dix prisonniers français. - Ce n'est pas dix prisonniers qui seront libérés sur vos indications, lui a-t-on fait répondre aussitôt : vous serez autorisé à en demander cent dans nos stalags". »
— Pierre-Barthélémy Gheusi, Revivre, l'increvable politique, p. 209.

Le peintre russe Serge Ivanoff(1893-1983) fît son portrait où il est représenté à côté de la statue de Liautey.
La vente du contenu de son atelier eut lieu à Drouot le 16/06/1961
Membre du Grand Orient de France en 1942 "Les Rénovateurs de Paris"

--- : Oeuvres

La statue de Georges Clémenceau à Paris près du Petit Palais,inaugurée le 23 mai 1932 par le Président Edouard Herriot.Fondeur: Leblanc-Barbedienne et architecte Pierre Sardou
En 1930 : certains citoyens ont la volonté d'ériger un monument à Clemenceau. Des suggestions sont faites aux députés. Des sculpteurs se proposent spontanément : Cogné, Pétrovié. En novembre, le comité qui s'est constitué propose, à l'initiative de Pierre Godin, ancien président du conseil municipal, d'implanter la statue au jardin des Tuileries. Mais l'architecte du Louvre s'y oppose. Le jardin est en plein réaménagement et certaines statues nécessitent déjà un déplacement. Le 1er décembre, le conseil municipal accepte l'érection du monument à Clemenceau au carrefour de l'avenue des Champs Elysées et Winston-Churchill sous réserve de l'acceptation de l'administration. Le sculpteur Cogné, ami de Darras, directeur des Beaux-Arts, est alors choisi. 1931 : Cogné établit un devis de 50 000 F. pour la réalisation de sa statue, le cou^t global étant de 130 000 F. Le bronze est réalisé pour 100 000 F. L'administration accepte le principe du projet, mais se réserve le droit de statuer sur la matière à utiliser après avoir vu le modèle en plâtre. En mars, Cogné cède le modèle en plâtre à la ville de Paris. Le décret d'hommage public est prononcé. Toutefois, certaines voix s'élèvent contre l'érection du monument sous prétexte que cela va à l'encontre des idées de Clemenceau. En juin, le sculpteur peut choisir le fondeur. 1932 : inauguré le 23 mai.

Le monument aux morts du lycée Carnot (et de l'école Monge) en 1921
Le monument à Georges Mandel sur la RN7 entre Fontainebleau et Nemours,près du carrefour de l'obélisque, sur le lieu de son assassinat par la milice le 7/07/1944 ,inauguré en juillet 1946
La statue équestre du Maréchal lyautey dans les jardins du Consulat de France à Casablanca (réplique en bronze à Nancy),inaugurée en 1938 sur l'actuelle place Mohammed V
La statue du Prince Albert 1er de Monaco en marin à Monte Carlo dans les jardins St Martin
Le modèle des bornes de la Voie de la liberté d'Avranches à Metz, réalisé en 1944 (parcours du général Patton)
Buste de Mussolini 1929
Monument aux morts de Saint Germain sur Morin inauguré aussi 1921.
Le Poilu,intitulé "Le Retour" pour les monuments aux morts en 1921: Exemplaires à Fresnay-sur-Sarthe (1924),Champagne-sur-Seine (1921) et Lamarche (Vosges); modèle en bronze édité par la Fonderie du Val d'Osne (n´872 du catalogue) sans grand succès avec moins d'une dizaine d'exemplaires.
Bustes du général Nivelle et du maréchal Joffre en 1918, exposés au salon des Artistes Français.
Buste en céramique du Maréchal Joffre au musée de Sèvres
Buste du Maréchal Foch en céramique
Buste de Pie XI en 1922
Bustes du Maréchal Juin et du Général Koenig au salon des Artistes Français en 1947 (N´1538)
Buste d'Aristide Briand
La statue du baron Haussman, boulevard Haussman à Paris (carrefour rue Laborde)
La statue du maréchal Lyautey, place Denys Cochin, Paris 7ème
Monument Gallieni au Prytanée militaire de La Flèche
Fresque au 37 rue André Antoine à Paris 18ème
Décoration sculptée du Pavillon du Brésil à l'exposition universelle de Bruxelles en 1910
Monument Joseph Gallieni au lycée Prytanée de La Flèche (Sarthe)
Buste de Paul Léon (1874-1962), directeur général des Beaux-Arts à la bibliothèque municipale d'Epinal

15 avril 1899 : Mariage (avec Clémence Victoire TILLEUX) - Pantin, 93500, Seine-Saint-Denis, Île-de-France, FRANCE
divorcé à une date inconnue
4 décembre 1929 : Mariage (avec Madeleine Alice WIETOR) - Paris 6ème
9 avril 1952 : Décès - 7ème arrondissement - Paris, 75000, Paris, Île-de-France, FRANCE
11 avril 1961 : Inhumation - Paris 14ème, 75014

Cimetière du Montparnasse division 6

"COGNÉ François (1876-1952)
Montparnasse - 6ème division
vendredi 25 octobre 2013
par Philippe Landru
Sculpteur, il se fit connaître par ses bustes et statues de personnalités officielles, au point de devenir durant le régime de Vichy le sculpteur officiel de l'État français.
Ses oeuvres les plus connues sont la statue de Georges Clemenceau en pied, située au rond-point des Champs-Élysées, et le modèle des bornes qui jalonnent la voie de la Liberté empruntée par l'armée Patton d'Avranches à Metz en 1944.
Dans le domaine funéraire, on lui doit quelques oeuvres :
- Le médaillon du profil de Georges Mandel au cimetière de Passy, qui est une reproduction de celui qui orne le monument à sa mémoire, érigé en bordure de la route nationale 7 entre Fontainebleau et Nemours.
- La tombe de Joseph Caillaux au Père Lachaise."


  Aperçu de l'arbre

     




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François Victor Tonton COGNÉ 1876-1952

 

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Auteur de cet arbre : Alain de KORSAK (adekorsak
 
 
 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Denys_Puech

Denys Puech


Denys Puech
Denys Puech en 1921,
photographie de l'agence de presse Meurisse, Paris, BnF.
Fonction
Directeur de l'Académie de France à Rome (d)
-
Biographie
Naissance

Bozouls (Aveyron, France)
Décès
(à 88 ans)
Rodez (Aveyron, France)
Sépulture
Cimetière de Rodez (d)
Nom de naissance
Pierre Denis Puech
Nationalité
Formation
Activité
Autres informations
A travaillé pour
Membre de
Maîtres
Distinctions
Œuvres principales
Monument à Leconte de Lisle (d), Monument à Paul Gavarni, monument à Francis Garnier, La Naïade de Vors, Sirène (d)
Denys Puech, Ange de la résurrection,
monument funéraire Puech, cimetière de Rodez.

Denys PuechPierre Denis Puech le à Gavernac (commune de Bozouls, Aveyron)1 et mort le à Rodez (Aveyron) est un sculpteur français.

Biographie

Denys Puech est issu d'une famille d'agriculteurs très modestes. Orpheline du tisserand de Gavernac, sa mère, qui sait écrire, inculquera à ses quatre fils le goût d'apprendre. Travaillant le bois en gardant ses moutons sur le causse, il débute comme apprenti à Rodez chez l’artisan marbrier et sculpteur ruthénois François Mahoux (Rodez, - Rodez, ) qui a formé également Marc Robert (1875-1962). En 1872, après deux ans de formation, il poursuit son apprentissage à l'École des beaux-arts de Paris dans les ateliers de François Jouffroy, puis d'Alexandre Falguière et d'Henri Chapu.

En 1881, il obtient le 2e grand prix de Rome pour Tyrtée chantant les Messéniennes2 et en 1883, le 2e grand prix de Rome pour Diagoras mourant de joie en apprenant le triomphe de ses deux enfants vainqueurs aux Jeux Olympiques. Il est enfin lauréat du grand prix de Rome pour Mézence blessé en 1884. En 1900, il obtient Le grand prix à l'Exposition universelle3. Il réalise de nombreuses commandes d'État durant la Troisième République, sculptant entre autres les bustes de Jules Ferry (1882)4, Gaston Doumergue (1930)5, Émile Loubet (1901)6, et pendant son séjour romain comme directeur de la villa Médicis, celui de Benito Mussolini (1925)7. À Rome, il fait la connaissance de Jérôme Carcopino8.

Il est le plus jeune membre de l'Académie des beaux-arts en 1905.

Il occupa le poste de directeur de la villa Médicis à Rome de 1921 à 19339, et avait épousé le la princesse Anina Gagarine Sturdza (1865-1918), artiste peintre10, descendante de la famille Gagarine, arrière-grand-tante de Macha Méril. Il adopte sa fille, Helen Minitzky (1893-1977), future épouse de Raoul Philippe Legras (1879-1953)11.

En 1903, il fonde à Rodez un musée des Beaux-Arts. Le bâtiment, inauguré en 1910, est conçu en concertation avec l'architecte Boyer pour y conserver la donation de son œuvre. Il est l'auteur de la statue de La Musique sur la nouvelle façade de l'Opéra-Comique à Paris. En tout, 573 œuvres sont recensées12. Plusieurs dessins et maquettes de ses œuvres ont figuré dans la vente aux enchères publiques de son atelier compris dans la succession Lestel-Puech à Rodez en 1991.

De ses trois frères, Louis Puech sera avocat, député de la Seine (1898-1932), ministre des Travaux publicsNote 1, Germain sera médecin et Henri reprendra l'exploitation agricole familiale.

Récompenses

Distinctions

Denys Puech est nommé chevalier de l'ordre national de la Légion d'honneur par décret du , promu officier, du même ordre, par décret du et promu commandeur, toujours du même ordre, le 13.

Œuvres dans les collections publiques

France
Italie

Élèves notables

Notes et références

Notes


  1. En exercice du au .

Références


  • « Acte de naissance de Pierre Denis Puech (n° 132) [archive] », sur archives.aveyron.fr (consulté le )

  • « Tyrtée chantant ses Messéniennes (Devant les Lacédémoniens) [archive] », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )

  • Acad-Atlas, Puech [archive].

  • Joconde, notice 119 [archive].

  • Joconde, notice 160 [archive].

  • Joconde, notice 144 [archive].

  • Joconde, notice 112 [archive].

  • Louis-Napoléon Panel, « « L’année des quatre empereurs ». L’École française de Rome en 1922-1923 », Mélanges de l'École française de Rome,‎ (lire en ligne [archive], consulté le ).

  • « Denys Puech [archive] », sur Villa Medici (consulté le ).

  • (en + fr) Rik Van Beveren et Robert Kuhmann, « Denys Pierre Puech », Find A Grave,‎ (lire en ligne [archive], consulté le ).

  • (en + fr) Robert Kuhmann, « Anina Gregorievna Gagarin-Sturdza Puech », Find A Grave,‎ (lire en ligne [archive], consulté le ).

  • Puech Académie Julian [archive].

  • « Le dossier de Légion d'honneur de Denys Puech [archive] », sur La base de données Léonore des archives nationales (consulté le ).

  • Monument à Edouard VII – Cannes (détruit) [archive] Consulté le 20/10/2022

  • Jardins de la Croisette, Monument Edouard VII et le Casino Municipal [archive] Consulté le 21/10/2022

  • « À nos Grands Hommes : Monument à Jules-Clément Chaplain [1839] [archive] », sur anosgrandshommes.musee-orsay.fr (consulté le )

  • N° inv. 1904.27.1 (photo.rmn.fr [archive]).

  • photo.rmn.fr [archive].

  • « La Muse d'André Chénier - Denys Puech | Musée d'Orsay [archive] », sur www.musee-orsay.fr (consulté le )

  • « Sirène - Denys Puech | Musée d'Orsay [archive] », sur www.musee-orsay.fr (consulté le )

  • « L'Aurore - Denys Puech | Musée d'Orsay [archive] », sur www.musee-orsay.fr (consulté le )

  • « Monument à Francis Garnier – Paris, 6e arr. [archive] », sur www.e-monumen.net (consulté le ).

  • « Monument à Jules Simon - Lorient (fondu) [archive] », sur www.e-monumen.net (consulté le ).

  • « Monument à Victor Hugo » [archive], notice sur anosgrandshommes.musee-orsay.fr.

  • « Monument aux morts de 1914-1918, Rodez [archive] », sur anosgrandshommes.musee-orsay.fr (consulté le )

  • J.M.Cosson, « Monument de la Victoire : l'œuvre polémique de Denys Puech », Centre Presse (Aveyron),‎ (lire en ligne [archive], consulté le ).

  • « buste : Le Poète Charles de Pomairols (1843-1916) [archive] », sur patrimoines.midipyrenees.fr (consulté le ).

  • Voir aussi

    Sur les autres projets Wikimedia :

    Bibliographie

    • Guillaume Peigné, Dictionnaire des sculpteurs néo-baroques français (1870-1914), Paris, CTHS, coll. « Format no 71 », , 559 p. (ISBN 978-2-7355-0780-1, OCLC 828238758, BNF 43504839), p. 404-410.
    • Henri Jaudon, Denys Puech et son Œuvre, Fb&c Limited, 1908, réédité en 2018, 312 p. (ISBN 9780428005634).
    • Pascal Cazottes, Deux grandes figures du Rouergue : Emma Calvé & Denys Puech, Anneville-Ambourville, Faërie's Craft, , 173 p. (ISBN 9782957440306, BNF 46676373)

    Articles connexes

    Liens externes

    • Ressources relatives aux beaux-arts
  •  :
  • Ressource relative à la recherche
  •  :
  • Ressource relative à la vie publique
  •  :
  • Notice dans un dictionnaire ou une encyclopédie généraliste
  • .

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Louis_Puech

    Louis Puech


    Louis Puech
    Illustration.
    Fonctions
    Député

    34 ans
    Élection 8 mai 1898
    Réélection 11 mai 1902
    20 mai 1906
    8 mai 1910
    10 mai 1914
    16 novembre 1919
    11 mai 1924
    29 avril 1928
    Législature VIIe, VIIIe, IXe, Xe, XIe, XIIe, XIIIe, XIVe et XVe (Troisième République)
    Groupe politique RS (1898-1902)
    GR (1902-1906)
    GRS (1906-1910)
    PRRS (1910-1924)
    RRS (1924-1928)
    RRRS (1928-1932)
    Ministre des Travaux publics, des Postes et Télégraphes

    4 mois et 24 jours
    Président Armand Fallières
    Premier ministre Aristide Briand
    Gouvernement Briand II
    Prédécesseur Alexandre Millerand
    Successeur Charles Dumont
    Biographie
    Date de naissance
    Lieu de naissance Bozouls
    Date de décès (à 96 ans)
    Lieu de décès Bozouls
    Fratrie Denys Puech
    Résidence Paris 3e

    Louis Puech, né le à Gavernac (commune de Bozouls, Aveyron) dans la maison natale de son grand-père tisserand, mort à quatre vingt-seize ans le dans sa propriété d'Aubignac (près de Bozouls), est un avocat et un homme politique de Gauche de la Troisième République.

    Biographie

    Son père, Jean Puech, cultivateur illettré né à Saint-Julien-de-Rodelle en 1810, épouse la jeune Rose Guibert en 1849, fille orpheline du tisserand Georges Guibert née à Gavernac en 1829, qui lit et écrit et a hérité la maison familiale avec ses sœurs.

    Quatre fils sont issus de cette union : Louis Puech en 1851 (avocat, député et ministre de la gauche radicale), Denys Puech en 1854 (sculpteur de nombreux monuments, fondateur du Musée Denys Puech de Rodez en 1910, directeur de la Villa Médicis à Rome), Germain Puech en 1857 (médecin), et Henri Puech en 1859 resté cultivateur à Gavernac.

    Élevé dans la pauvreté de la terre et le respect du devoir, c'est grâce aux instances de sa mère, de famille artisanale modeste mais instruite, que Louis fait de bonnes études classiques au petit séminaire de Rodez. Devenu bachelier, il part faire son droit à Paris tout en étant journaliste d'opinion pour gagner sa vie d'étudiant. Il va voir Victor Hugo, dont il est un admirateur fervent, qui le pousse vers la carrière des Lettres, mais l'action politique est une vocation pour Louis Puech. Avocat au barreau de Paris en 1880, il s'y marie en 1884 avec Juliette Meissonnier née en 1867, élevée au couvent des Oiseaux. Ils auront cinq fils et une fille.

    Louis Puech entre en politique en 1886 en défendant les mineurs grévistes de Decazeville (qui, à bout d'arguments, avaient défenestré le directeur des houillères, M. Watrin) ; puis en plaidant la cause des anarchistes Monod et Lucas.

    Conseiller municipal de Paris de 1893 à 1898, élu député de la Seine en 1898 pour le 3e arrondissement de Paris et réélu jusqu'en 1932, ayant voté la séparation de l'Église et de l'État en 1905 avec succès, et sans succès l'abolition de la peine de mort en 1908, Louis Puech est très actif pendant plus de trente ans à l'Assemblée nationale (vice-président de la Chambre, rapporteur du Budget), avec la réputation inentamée d'homme probe et attentif1.

    Resté très attaché à son pays et aux siens, comme à son ami l'Abbé Bessou avec qui il parle occitan, il œuvre au versement de pensions aux vieux travailleurs et aux veuves, aux améliorations des chambres d'artisans du Marais ainsi qu'à la culture, en soutenant activement dans sa circonscription la sauvegarde de l'hôtel de Rohan qu'un scandale financier voue à la démolition. Il dénonce la mauvaise conservation et la pitoyable surveillance des archives des administrations coloniales en Afrique, dévoilant être en possession d'originaux qui n'auraient jamais dû traverser la mer. Son action pousse le ministère des Colonies à revoir l'organisation des archives en Afrique-Occidentale française. Il est ministre des Travaux publics, Postes et Télégraphes dans le deuxième gouvernement Aristide Briand, du au .

    Au cours de ses trente-quatre années de mandat, il fut inscrit aux groupes Radical-socialiste, Gauche radicale, Gauche radicale-socialiste, Républicain radical-socialiste, Radicaux de gauche.

    Décoration

    Références


  • Fiche de député sur la site officiel de l'Assemblée nationale. [archive]

    1. Décret du 12 août 1939 ATTRIBUTIONS DES MEDAILLES D'HONNEUR DES CHEMINS DE FER ; article 7 (lire en ligne [archive])

    Voir aussi

    Bibliographie

    • « Louis Puech », dans le Dictionnaire des parlementaires français (1889-1940), sous la direction de Jean Jolly, PUF, 1960 [détail de l’édition]

    Articles connexes

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    Liens externes

    • Ressources relatives à la vie publique
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    https://fr.wikipedia.org/wiki/Louis-Ernest_Barrias

    Louis-Ernest Barrias


    Louis-Ernest Barrias
    Louis-Ernest Barrias photographié par Pierre Petit.
    Biographie
    Naissance

    Paris
    Décès
    (à 63 ans)
    17e arrondissement de Paris
    Sépulture
    Nationalité
    Formation
    Activité
    Fratrie
    Enfant
    Paul Barrias (d)
    Autres informations
    A travaillé pour
    Membre de
    Mouvement
    Maître
    Élève
    Distinctions
    Œuvres principales
    Le Serment de Spartacus (d), Jeune fille de Mégare, La Défense de Paris
    Tombe de L.-E. Barrias au cimetière de Passy (Paris).

    Louis-Ernest Barrias né le à Paris et mort le dans la même ville, est un sculpteur français.

    Biographie

    Villa Médicis (Académie de France à Rome).
    Louis-Ernest Barrias dans son atelier, photographie anonyme.
    Louis-Ernest Barrias au soir de sa vie.
    L'Électricité, porte de la galerie des machines, Exposition universelle de 1889.
    Jeanne d'Arc, basilique Notre-Dame de Bonsecours.
    Portrait dessiné de Jean-Désiré Ringel d'Illzach (1868), musée d'Art moderne et contemporain de Strasbourg.
    L'Agriculture et La Science (1873), hôtel de ville de Poitiers.
    La Nature se dévoilant à la Science (1884-1899), plâtre peint, Paris, musée Carnavalet (à gauche) ; (1903), statue chryséléphantine, Paris, musée des arts décoratifs (au centre) ; (1899), bronze doré, Paris, musée d'Orsay (à droite).
    Buste d'Amédée Dechambre (1885), Paris, Académie nationale de médecine.
    Tombe de Joseph Garnier, cimetière de Montmartre.
    Tombe d'Alexis-Joseph Mazerolle, cimetière du Montparnasse.
    Monument Anatole de La Forge, cimetière du Père-Lachaise.
    Mozart enfant (1887), Montpellier, musée Fabre.
    Détail du Gisant de Sophie-Charlotte en Bavière (1904), musée d'Art et d'Histoire de Dreux.

    Louis-Ernest Barrias est issu d'une famille d'artistes. Son père est peintre sur porcelaine et son frère aîné, Félix-Joseph Barrias (1822-1907), est un peintre reconnu. Louis-Ernest Barrias s'oriente vers des études artistiques. Entré à l'École des beaux-arts de Paris en 1858, d'abord chez le sculpteur Jules Cavelier et le peintre Léon Cogniet1, il délaisse la peinture pour s'orienter vers la sculpture sous la direction de François Jouffroy. Second Prix de Rome en 1861 pour Chryséis rendue à son père par Ulysse, il obtient le Prix de Rome en 1865 avec La fondation de Marseille2 et est engagé sur le chantier de l'Opéra de Paris.

    Barrias séjourne à l'Académie de France à Rome et « devient à son retour en France l'un des plus brillants espoirs de l'École française de sculpture »1 : si, constate Françoise Cachin, « Paul Dubois, Henri Chapu et Alexandre Falguière constitue le noyau de ce que l'on appelle les néo-florentins », Louis-Ernest Barrias figure bien parmi ceux qui, à leur suite, « se convainquirent que le XVe siècle n'est pas aussi gothique qu'on a voulu le dire et que les Donatello, les Andrea del Verrocchio, les Mino da Fiesole, les Bernardo Rossellino et autres barbares ont vu assez clair dans l'âme humaine : à la suite de cette découverte inattendue, une évolution s'est faite dans l'idéal. La sculpture redevint vivante »3.

    C'est dans ce contexte que l'on observe que Le serment de Spartacus de Barrias « offre, dans le corps du supplicié, un écho de la Mise au tombeau de Michel-Ange au Duomo de Florence »3. Il produit par la suite de nombreuses œuvres sculptées, la plupart en marbre. En 1881, il est récompensé par une médaille d'honneur des beaux-arts et nommé chevalier de la Légion d'honneur en 1878, puis promu officier en 1881 et commandeur en 1900. L'artiste remplace Auguste Dumont à l'Institut en 1884, puis succède à Jules Cavelier comme professeur aux Beaux-Arts de Paris, où, parmi ses élèves les plus notables, on compte Victor Ségoffin, Charles Despiau et Paul Landowski.

    Il a eu trois enfants : Paul (1875-1973), qui deviendra un architecte réputé, lauréat du 2e second grand prix de Rome en 19014; Daniel (1883-1969), qui embrassera la carrière militaire5, et Madeleine (1877-1925).

    Louis-Ernest Barrias meurt des suites d'un refroidissement le à son domicile au 9, avenue des Chasseurs dans le 17e arrondissement de Paris6. Il est inhumé à Paris au cimetière de Passy (8e division)7.

    Une partie de son œuvre est visible dans les lieux publics à Paris, au musée d'Orsay ou au cimetière du Père-Lachaise.

    Expositions

    Expositions collectives

    Exposition personnelle

    Œuvres dans les collections publiques

    Drapeau de l'Argentine Argentine

    Drapeau du Canada Canada

    Drapeau du Danemark Danemark

    États-Unis

    Drapeau de la Finlande Finlande

    France

    Royaume-Uni

    Réception critique et contextualisation

    Louis-Ernest Barrias dans son atelier.
    L'Électricité.
    • « Pour la ville d'Épernay désireuse d'honorer la mémoire du fondateur de ses hospices (Victor Auban, 1832-1896, n.d.l.r.), Barrias a sculpté Le Refuge : c'est une pauvre fille lasse et défaillante, affaissée plus encore qu'assise sur un banc hospitalier au-dessus duquel se dresse le buste du philanthrope, donateur de l'asile qui va la recevoir. Cette figure est fort touchante en sa grâce douloureuse. J'aurais préféré, pour ma part, que le bienfaiteur, modeste jusqu'au sacrifice, s'effaçât complètement et allégeât le monument du buste qui le couronne. À la section des "arts décoratifs", on peut se donner le plaisir de revoir dans une jolie réduction le chef-d'œuvre de Barrias, cette Fille de Bou Saâda, accroupie et jetant d'un geste triste et affectueux des fleurs sur le tombeau du peintre Gustave Guillaumet. » - André Michel86
    • « Au lendemain de la proclamation de la IIIe République, un nouveau style républicain, laïque et patriotique, surgit du macadam. Essentiellement bourgeois et toujours rétrograde, chargé de lourds symboles, il se veut le héraut du progrès. Ce style, où l'emphase le dispute à la naïveté, n'est pas dépourvu d'intérêt et il n'est pas exclu que, dans un avenir assez proche, on rende justice au talent de Barrias ou de Chapu. Certaines de leurs sculptures telles L'Électricité ou La Vapeur sont remarquables par le génie qu'ils eurent - mêlant les symboles aux appareils techniques - de réaliser des œuvres d'une originalité aussi belle sur le plan plastique que singulière par la composition. » - Maurice Rheims8.
    • « If Barrias intended to elevate the new energy force (L'Électricité) - to endow it with a "rightness" in the cosmos - the allegory he presents is not completely intelligible. As in many sculptures of the period, a seriously intended subject was treated with such a high degree of sensualism that the result was wonderfully ludicrous. He demonstrates the dilemn of academic artists ettempting to cope with modern technology in a traditional, outmoded vocabulary of visual expression. » - Marie Busco et Peter Fusco87
    • « La Défense de Paris et La Défense de Saint-Quentin, tous deux signées Barrias, sont des émanations d'un même fond idéologique ; mais, en réalité, leur ressemblance est bien plus le résultat d'une rivalité personnelle. Edmond Turquet, sous-secrétaire aux Beaux-Arts, a voulu s'approprier l'idée d'un grand monument à la mémoire de la Défense nationale tel que celui envisagé par le nouveau préfet de la Seine Ferdinand Hérold. Tous deux étaient de jeunes avocats ambitieux, gravitant dans l'orbite de Jules Ferry, et tous deux avaient pouvoir de décision sur les fonds attribués aux arts par le gouvernement. Bien que sincèrement attachés à la République, ils n'avaient aucun plaisir à voir leur propre mérite diminué par l'action d'éclat d'un rival. Turquet profita de son amitié avec Barrias, ainsi que de ressources financières plus conséquentes de l'État, pour s'assurer pour s'assurer que lorsque La Défense de Saint-Quentin serait inaugurée en 1881, elle précéderait de deux ans celle de La Défense de Paris. » - June Hargrove88
    • « Durant son séjour en Italie, le jeune Barrias, désireux de sortir des lisières de l'école, renouvelle la tradition classique par une étude plus attentive de la réalité puis, à la suite de Carpeaux et Dubois, trouve dans l'art de la Renaissance le moyen de son émancipation de la seule influence antique. L'art de Michel-Ange participe bientôt dans son œuvre à la constitution d'une sculpture expressive où s'entremêlent les références à l'art ancien et une volonté nouvelle de réalisme, et dont Les premières funérailles sont un parfait exemple. » - Camille Osersanz1

    Hommages

    André-Joseph Allar a sculpté le Buste de Louis-Ernest Barrias, dont un exemplaire en bronze doré est conservé à l'École nationale supérieure des beaux-arts de Paris89.

    Élèves

    Notes et références


  • Camille Osersanz, Louis-Ernest Barrias (1841-1905) - Un sculpteur sous la IIIe République, thès de doctorat, Université Paris-Sorbonne, 2 juillet 2014.

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  • Sous la direction de Françoise Cachin, « Les néo-florentins : Michel-Ange et la Renaissance », L'art du XIXe siècle - Seconde moitié, Éditions Citadelles – Edito, 1990, pp. 205-206.

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  • Musée des Beaux-Arts de Bordeaux, Louis-Ernest Barrias dans les collections [archive]

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  • Musée des Beaux-Arts de Chambéry, Louis-Ernest Barrias dans les collections [archive]

  • Musée de la Loire, "buste de jeune fille" dans les collections [archive]

  • Musée de la Loire, "La Nature se dévoilant à la Science" dans les collections [archive]

  • Musée de la Loire, "Femme acéphale nue, debout" dans les collections [archive]

  • Musée de la Loire, "Homme acéphale nu s'asseyant sur une stèle" dans les collections [archive]

  • Claire Béguin, « À Dreux, il existe deux gisants pour la duchesse d'Alençon, héroïne du bazar de la Charité », L'Écho républicain,  [archive].

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  • Palais des Beaux-Arts de Lille, médaillon "Louis-Jules André" dans les collections [archive]

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  • Musée des Beaux-Arts de Reims, "Le Refuge" dans les collections [archive]

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  • Annexes

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    Bibliographie

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    Liens externes

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