Sophie Soria-Glo en avait témoigné dans son attestation du 15 avril 2011, que j'ai publiée dans mon précédent article, ici :
http://satanistique.blogspot.com/2024/07/attestations-de-sophie-soria-glo-contre.html
En fait, le zététicien Jean-Marc Donnadieu de Béziers, qui par ailleurs appelait son chat Lilith (un chat apparemment plusieurs fois remplacé, le maître finissant toujours par le tuer en le frappant ou d'une autre manière), se réclamait ouvertement, à la fois de l'Eglise de Satan, et de Dexter, d'où, concernant cette seconde "religion", qui est quand même ni plus ni moins que celle d'un tueur, toute une série d'articles de blog l'explicitant ou s'y référant :
http://satanistique.blogspot.com/2014/11/deconnologie-sans-frontieres.html
http://satanistique.blogspot.com/2014/12/le-deconnologue-nemrod34-est-fascine.html
http://satanistique.blogspot.com/2014/12/nemrod34-travaille-lhopital-de-beziers.html
http://satanistique.blogspot.com/2015/11/dou-sortent-les-magistrats-du-tgi-de.html
http://satanistique.blogspot.com/2019/02/de-la-folie-du-cybercriminel-et.html
http://satanistique.blogspot.com/2020/04/jean-marc-donnadieu-veut-faire-virer-le.html
http://satanistique.blogspot.com/2020/04/messages-publics-de-jean-marc-donnadieu.html
http://satanistique.blogspot.com/2020/04/pleine-lune-du-8-avril-2020-qui-se.html
http://satanistique.blogspot.com/2023/01/le-tueur-se-vante-de-son-crime-rit-se.html
http://satanistique.blogspot.com/2024/01/168-visites-de-satanistique-le-10.html
Quant à son complice Pascal Edouard Cyprien Luraghi, ses pratiques satanistes sont beaucoup plus diverses et exotiques, comprenant par exemple le vaudou, toutes les dérives sectaires des pays où il a vécu dans l'Himalaya, et son "Léonardo" ou "Léopardo" (je ne sais plus) personnel, qu'il brandit régulièrement sur la toile dans les photographies de lui-même qu'il se plaît à publier.
Enfin, comme en atteste l'extrait de discussion rapporté ci-dessous, issu des commentaires de son blog lorsqu'ils étaient toujours publics, leur complice Sylvie Zabel épouse Depierre et soeur du journaliste Roger Zabel, qui utilisait toujours en 2011 son pseudonyme de riveraine de Rue89 "Félicité-Mafoi", est une adepte de la Wicca, dont elle aurait usé pour forcer une des deux harcelées dans le travail sur lesquelles ils s'acharnaient toujours tous ensemble (pas moi, cette fois, mais l'autre) à modifier ses publications de blog, trop moches à leur goût :
Wouachhh, c’est vraiment à c….
Ça donne le tournis et en plus on ne peut même pas bien lire sur les côtés et même ses titres sont illisibles.
Et voilà avec ces opinions, je vous le donne dans le mille.
Demain elle aura changé. :-)))
Les Wiccans se disent adorateurs de Lucifer et non de Satan.
Une distinction de peu d'importance quand le résultat est toujours le même (voir ci-dessous).
On note au passage que ces trois-là sont mes trois principaux pirates informatiques depuis le début de leurs attaques à mon encontre, en 2008.
Ils sont d'ailleurs parfaitement capables d'évoquer la Wicca quand en réalité ce sont eux qui ont supprimé le fond d'écran dérangeant par piratage informatique pour se moquer de l'auteur du blog comme ils le font dans cet extrait (rappelons ici que le "Konducator" Pascal Edouard Cyprien Luraghi a toujours été jaloux de tous nos succès, tous nos talents, et que la jalousie poussait déjà ce psychopathe notoire à casser les vélos des autres lorsqu'il était enfant).
Jean-Marc Donnadieu ayant finalement disparu lui aussi au début de l'année, il en reste actuellement deux qui sont toujours hyperactifs : Pascal Edouard Cyprien Luraghi et Sylvie Depierre.
En février 2011, la seconde avait participé avec plusieurs autres "déconnologues" à l'assassinat de Patricia Bouchon ordonné par le premier, que l'on avait vu l'année suivante prendre la défense du couple Dutroux sur le site Rue89 à l'occasion de la libération conditionnelle de Michelle Martin, laquelle choquait bien du monde.
N.B. : les magistrats bretons corrompus auxquels j'ai affaire sont bien au courant de la véritable identité des assassins de Patricia Bouchon à Bouloc le 14 février 2011, comme des raisons de cet assassinat (elle était soupçonnée de vouloir dénoncer Luraghi et sa clique de cybercriminels pour toutes leurs exactions à mon encontre); aussi, à l'automne 2014, ces magistrats avaient fait en sorte qu'ils ne soient pas poursuivis, puis les enquêteurs de Toulouse avaient annoncé tenir un unique coupable en la personne de Laurent Dejean, alors que son ADN n'a jamais été retrouvé nulle part tandis que plusieurs autres, restés non identifiés, avaient bien été relevés sur le corps de la victime.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Institut_Abrasax
Institut Abrasax
L'Institut Abrasax, paravent d'une poignée de sectes liées à la Wicca, était un centre de recherches et d'études des phénomènes inexpliqués, mais aussi des parasciences et de tout ce qui concernait les diverses formes de magie. On y donnait des cours sur les sciences occultes1. En décembre 1996, l'institut est soupçonné de se faire livrer des enfants par Marc Dutroux pour des meurtres rituels dans le cadre de rituels satanistes2. Cette piste a finalement tourné court.
Historique
Fondé en 1990 à Forchies-la-Marche près de Charleroi par Francis Desmedt dit Grand Maître Anubis (né à Ixelles en 1946 et mort d'un cancer en 2006), par ailleurs employé d'une grande administration publique (Musée d'histoire naturelle de Bruxelles), et Dominique Kindermans dite la Grande-Prêtresse Suprême Nahema-Nephthys (fonctionnaire née à Uccle en 1950), l'Institut Abrasax proposait un enseignement reconnu par Yul Rugga Grand Maître Suprême Wicca Occidentale.
On pouvait ainsi s'informer de thèmes variés : magie cérémonielle, nécromancie, gnose, etc. Globalement, l'Institut Abrasax se revendiquait de la « Wicca Occidentale » (filiation CIL par distinction de celle des Coutela). Ses membres se disaient « luciférien», « sorciers » ou parfois tout simplement « mages »3.
L'Institut Abrasax, né sur les cendres de l'association belge Coven Cernunnos, fondé en mai 1987 à Bruxelles et officiellement dissous en juin 1990 est le paravent de sectes qui disposaient de plusieurs temples, de sensibilités différentes, au 223 rue Émile Vandervelde à Forchies-la-Marche, dans la région de Charleroi. Outre Francis Desmedt et Dominique Kindermans, Irène Grobler était la troisième présidente de l'institut.
Le nom d'Abrasax peut être rapproché d'Abraxas.
Dominique Kindermans (alias Grande Prêtresse 10e degré de la Wicca Belgique ou Grande Prêtresse suprême de l'église belge de Satan), qui fréquentait Le Lotus, librairie ésotérique de la chaussée d’Ixelles (à Ixelles), a créé en septembre 1988 à Saint-Gilles l' Ordre luciférien initiatique (OLI) ou Église universelle de Lucifer. En 1994, Kindermans est médiatisée par l'émission de la RTBF L' Écran Témoin qui fait grand bruit et donne un rayonnement inattendu à l'Église de Satan.
Bouc-émissaire dans l'affaire Dutroux
En raison de soupçons d'abus sexuel ritualisé sataniste, une perquisition est effectuée par les policiers et les gendarmes belges le 21 décembre 1996 dans les locaux de l’ordre d’Abrasax. Elle est commanditée par la cellule d’enquête de Neufchâteau chargée de l’enquête Dutroux sur mandat de perquisition du juge Langlois de Neufchâteau.
Ils découvrent un réfrigérateur rempli de sang animal et des crânes humains4. L'enquête sur cette piste a tourné court5. L'Institut Abrasax aurait servi de bouc-émissaire dans l'affaire Dutroux6. Néanmoins, Samir Aouchiche, qui a passé dix ans comme victime des sectes satanistes, affirme avoir vu plusieurs enfants se faire violer lors de rituels pratiqués dans l'enceinte de cet Institut7.
Bibliographie
- Les sectes en Belgique et au Luxembourg, deuxième édition revue et augmentée, éditions EPO, 1996
- L’Enfant sacrifié à Satan, Samir Aouchiche, éditions Filipacchi, 1997
Émission de télévision
- Dossier Noir : L'affaire Abrasax : Faut-il brûler la sorcière ? Journaliste : Emmanuel Allaer ; Réalisation : Adrien Lasserre ; RTBF ; 2008
Notes et références
, consulté le ).
- Aouchiche, Samir., L'enfant sacrifié à Satan, Filipacchi, (ISBN 2-85018-688-0 et 978-2-85018-688-2, OCLC 466861430, lire en ligne [archive])
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