Et pas n'importe où... dans 20minutes.fr, le média de putes qui avait publié le faux témoignage du cybercriminel et vrai pédophile Pascal Edouard Cyprien Luraghi m'accusant mensongèrement de n'importe quoi le 28 janvier 2019...
Cette fois-ci, il s'agit du témoignage du second des jeunes Africains à avoir fait les frais de l'impulsivité de Mustapha El Jemli dans le métro lyonnais dimanche dernier.
C'est celui qui porte un tee-shirt rouge dans la vidéo qui a circulé sur les réseaux sociaux et que j'ai décrite avant qu'elle ne disparaisse, ici :
Koffi (prénom d'emprunt), 19 ans, a été blessé à une main, un bras et une jambe.
Il évoque bien les échanges de regards que l'on voit dans la vidéo, ainsi que des paroles de son agresseur qu'il n'aurait pas bien entendues.
Il précise :
« On dit que c’est un fou
mais pour moi, il savait très bien ce qu’il faisait. Il a même regardé
le premier homme qu’il a attaqué et les endroits où le poignarder. Puis,
il s’en est pris à moi. Pourquoi ? Quand on monte dans un métro, on ne
s’attend pas à se faire agresser. »
Et son avocat :
« La tentative de meurtre
sanglante dont a été victime mon client est une attaque gratuite et
odieuse qui pourrait, au vu de la vidéosurveillance, avoir un mobile
raciste, puisque les images montrent clairement que l’agresseur s’en est
pris volontairement et très calmement à deux hommes parce qu’ils
avaient la peau noire », souligne Maître Jean-Christophe Basson-Larbi.
Le mobile raciste n'est vraiment pas certain. La vidéo montre très nettement un type qui se sent cerné réagir au quart de tour. Il a bien calculé son attaque, mais pas plus d'une seconde. Soit il est paranoïaque, soit il était bien "poursuivi" par une "mafia", comme il le prétend.
Et, coïncidence ou pas, il s'est bien retrouvé comme encadré par deux jeunes Africains aux profils semblables, le premier étant un mineur de 16 ans non accompagné originaire de Guinée :
Originaire
de Côte d’Ivoire, Koffi est parti de son pays à 15 ans avant d’arriver à
Lyon où il a vécu plusieurs mois dans un squat. Il a ensuite été pris
en charge et reconnu comme mineur isolé. Il allait finir son CFA à la
fin du mois de juin. « C’est bête mais Koffi est tout seul en France. Il
a des éducateurs pour l’accompagner jusqu’à ses 21 ans, mais personne
pour prendre soin de lui », souligne son avocat.
Cela dit, compte tenu de la gravité des blessures au couteau de Koffi, il reste assez étonnant qu'aucune trace de sang n'ait été visible ni sur lui ni à sa suite ni sur les lieux de son agression durant tout le temps de la vidéo.
Moi, quand je me coupe un doigt, ça saigne tout de suite.
Dimanche,
vers 14h30, un homme âgé de 27 ans a attaqué plusieurs personnes dans
la rame du métro B de Lyon, au niveau de la station Jean Jaurès. Une
enquête a été ouverte pour tentative d’homicide volontaire par le
parquet de Lyon.
L’auteur
de l’agression a été interpellé, placé en garde à vue puis transféré
dans un établissement spécialisé en psychiatrie. Il s’agit d’un
ressortissant marocain de 27 ans, sous le coup d’une obligation de
quitter le territoire depuis 2022.
Quatre jours après les faits, Koffi*, âgé de 19 ans, témoigne auprès de 20 Minutes. Un de ses avocats, Jean-Christophe Basson-Larbi, assure que l’agresseur avait « un mobile raciste ».
Il
était 14h30, j’allais simplement faire mes courses, [c'était] mon jour
de repos. Et aujourd’hui, je ne sais pas si je vais pouvoir récupérer
l’usage entier de mon bras et de ma main. » Sur un ton calme, mais
toujours sous le choc, Koffi*, 19 ans, déroule sa journée de dimanchedernier. Il y a quatre jours, il a été agressé au couteau, comme deux autres personnes, par un homme âgé de 27 ans, entre deux stations du métro B de Lyon.
Après
plusieurs jours d’hospitalisation, le jeune homme n’en « revient
toujours pas ». « Comme toujours pour aller au marché de Saxe-Gambetta,
j’ai pris le tram depuis le 8e arrondissement de Lyon, où j’habite, puis
j’ai récupéré le métro. Quand je suis rentré dans la rame, j’ai sorti
mon portable et là, j’ai eu comme l’impression qu’on me regardait. Au
moment où je me suis retourné, j’ai vu un homme qui détournait le
regard. Les portes se sont fermées, le métro a démarré. Et c’est là que
tout a basculé. »
« Le couteau a transpercé entièrement mon bras »
Koffi
est encore sous l’émotion. Il peine à trouver les mots exacts pour
décrire son état. Il soupire, et reprend : « D’un coup, j’ai entendu des
gens crier, je me suis retourné et un homme a foncé vers moi. Il m’a
mis un premier un coup de couteau dans la main, puis le bras. J’ai
essayé de le repousser mais il ne s’arrêtait pas. On est tombé au sol
ensemble et il a remis un coup dans ma cuisse. A ce moment-là, je ne
sais pas ce qu’il a dit, j’étais encore à terre, lui debout, je lui ai
fait signe d’arrêter en essayant de m’éloigner. Et je me suis réfugié à
l’autre bout du métro. »
Quand le métro arrive en station, d’autres usagers lui ont fait des garrots avant l’arrivée des pompiers.
« Je ne m’étais pas rendu compte de mes blessures avant de voir du sang
couler partout sur mon corps », décrit-il. Sur sa jambe, la plaie fait
six centimètres, un peu plus sur son bras. « Le couteau l’a transpercé
entièrement », dit-il.
Au total, il a eu plusieurs nerfs touchés
ce qui l’empêche de savoir s’il pourra ou non récupérer l’usage total de
sa main. En attendant, il ne pourra pas reprendre son activité de
façadier, qu’il effectuait en apprentissage. Il est arrêté pour « au
moins trois mois », la durée de son ITT.
« J’ai eu peur de mourir »
Au-delà
du choc, Koffi est aussi en colère. Si certains souvenirs ne lui
reviennent pas instantanément, il a « examiné tous les détails » de la
vidéo de l’agression qui a été partagée sur les réseaux sociaux. « On dit que c’est un fou
mais pour moi, il savait très bien ce qu’il faisait. Il a même regardé
le premier homme qu’il a attaqué et les endroits où le poignarder. Puis,
il s’en est pris à moi. Pourquoi ? Quand on monte dans un métro, on ne
s’attend pas à se faire agresser. »
Une nouvelle fois, le jeune
homme s’arrête. Il regarde son plâtre, remet en place son bandage. Puis,
ajoute : « C’est trop facile. Moi, ma vie ne sera plus jamais la même.
Elle est gâchée. J’ai souffert toute ma vie pour en arriver là. Je suis
allé à l’école, j’ai travaillé dur, tout allait bien et maintenant, tout
est incertain. Je ne suis même plus capable de prendre le métro comme
avant. Je ne veux plus que personne ne m’approche. J’ai eu peur de
mourir. Pour moi, c’était fini. Et lui, il est en liberté ! »
Une agression raciste ?
Face
à ce sentiment d’injustice, Koffi s’est rapproché des avocats
Jean-Christophe Basson-Larbi et Joshua Kafil. « La tentative de meurtre
sanglante dont a été victime mon client est une attaque gratuite et
odieuse qui pourrait, au vu de la vidéosurveillance, avoir un mobile
raciste, puisque les images montrent clairement que l’agresseur s’en est
pris volontairement et très calmement à deux hommes parce qu’ils
avaient la peau noire », souligne Maître Jean-Christophe Basson-Larbi.
Il
dénonce cependant « la récupération politique simpliste nauséabonde
assimilant insécurité et immigration » parce que l’agresseur est de
nationalité marocaine et sous OQTF.
« Cet acte barbare laisse en lambeaux le corps mais aussi la vie de
Koffi, lui aussi un immigré », complète maître Basson-Larbi.
Originaire
de Côte d’Ivoire, Koffi est parti de son pays à 15 ans avant d’arriver à
Lyon où il a vécu plusieurs mois dans un squat. Il a ensuite été pris
en charge et reconnu comme mineur isolé. Il allait finir son CFA à la
fin du mois de juin. « C’est bête mais Koffi est tout seul en France. Il
a des éducateurs pour l’accompagner jusqu’à ses 21 ans, mais personne
pour prendre soin de lui », souligne son avocat.
Avant de
conclure : « Il se trouve désormais dans la douleur et l’incertitude car
il a bien compris que toutes les fondations de la vie qu’il s’était
bâtie à force d’efforts ont été balayées en quelques secondes par
l’intention meurtrière d’un homme qui a agi volontairement et qui devra
en répondre devant la justice. »
*Le prénom de la personne interrogée a été modifié.
Parmi les survivantes, Hélène Pelosse est l'une des plus chanceuses, elle peut parler.
Elle explique bien qu'elle le doit au fait que contrairement à de très nombreux autres, victimes ou témoins, elle n'a jamais été internée en psychiatrie.
Mais pas seulement.
Avant que les horreurs de son enfance ne commencent à lui revenir à la mémoire, elle a eu le temps de faire carrière dans la haute administration et était déjà connue du public pour ses diverses fonctions, notamment comme proche de Jean-Louis Borloo.
D'où l'impossibilité totale pour le pédocriminel Pascal Edouard Cyprien Luraghi de remettre en cause ou de nier tout son parcours professionnel d'un trait de plume comme il l'a toujours fait pour moi depuis juin 2010, alors qu'il est le tout premier et reste le seul à m'avoir fait connaître du public avec ses complices, notamment feu le malade mental de Béziers Jean-Marc Donnadieu, ancien agent des services hospitaliers de Béziers dont la psychiatrie durant sept ans et illustre zététicien à l'origine de la Tronche en biais avec ses complices tout comme lui pour le moins violeurs Patrice Seray, Francine Cordier, Thomas Durand et autres.
Tout en me piratant et m'écoutant illégalement 24 h sur 24 tous les jours de l'année depuis 2008 au moins, ces cybercriminels me présentent donc partout mensongèrement comme une menteuse, une mythomane, une affabulatrice, et patati et patata, qui s'inventerait une vie qu'elle n'aurait jamais eue sous couvert d'anonymat sur Internet...
Je peux dire ce que je veux (mais je me contente toujours de la vérité), je ne suis entendue nulle part, seul le pédocriminel est écouté avec toutes ses inventions calomnieuses à mon encontre... par le public, tous ses copains journalistes, flics, gendarmes et autres, les magistrats, presque toujours corrompus et de manière systématique dans le Finistère où mes proches et moi-même sommes constamment victimes d'une multiplicité de crimes et délits dont des tentatives d'assassinat à répétition depuis maintenant une trentaine d'années - ces magistrats ont quand même très facilement accès à la vérité quand ils la veulent, surtout concernant mon parcours professionnel, qu'en fait ils connaissaient déjà très bien et dans ses moindres détails bien avant que le pédocriminel ne se lançât dans ses campagnes de calomnies publiques à mon encontre, à compter des années 2008 à 2010, étant données les informations judiciaires ouvertes dès les années 1990 en raison des crimes et délits dont j'étais victime dans le cadre professionnel - et tous les autres...
A noter : la bande des cybercriminels dits "déconnologues" du pédocriminel, trafiquant de drogue, cyberharceleur et terroriste "islamigré" Pascal Edouard Cyprien Luraghi qui me harcèle et bien plus depuis 2008 compte dès le départ un bon nombre de Lyonnais tous à l'extrême-gauche, mais le grand chef lyonnais du NPA et anciennement de la LCR vient de Brest, c'est un ami de très longue date de la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest qui est bien à l'origine de toutes leurs saloperies à mon encontre. Thomas C. Durand a lui-même travaillé à Lyon pour l'Université Claude Bernard, le CNRS et l'ENS de Lyon de septembre 2011 à décembre 2012. Quant au fils du pédocriminel Pascal Edouard Cyprien Luraghi, Gaspard Luraghi, qui dès le printemps 2009 participait aux harcèlements de son père à mon encontre sur le site Rue89 et divers blogs alors qu'il n'était encore que lycéen, il a lui aussi élu domicile à Lyon où il sévit depuis quelques années dans l'Education nationale.
Enfin, leur super avocat lyonnais Patrick Baudy, que j'ai eu le plaisir de claquer à domicile en 2020 en première instance sans l'aide d'aucun avocat, puis en 2021 en appel avec l'aide d'une avocate honnête, alors qu'il s'était lui aussi lancé à mon encontre dans une procédure abusive à base de dénonciations calomnieuses et d'autres inventions particulièrement audacieuses qui n'auront pas trompé ses juges, est encore en train de remuer à mon sujet, comme en témoigne cette lecture récente d'un article de mon blog le concernant, par une personne du Nord :
P.S. : Ah j'oubliais... je serais un "cas lourd psychiatrique", aussi, de ceux qui vont facilement se défendre eux-mêmes avec succès devant les tribunaux, comme j'ai dû le faire à de multiples reprises depuis les années 1990, y compris en septembre et novembre 2016 à Paris contre le pédocriminel et terroriste en chef Pascal Edouard Cyprien Luraghi, assisté, entouré et soutenu par une dizaine de "déconnologues" de sa bande et leur avocat parisien, en sachant pertinemment et sans le moindre doute possible que les attentats islamistes ratés ou avortés de cette époque à Paris sur l'île de la Cité étaient bien pour moi...
J'étais déjà poursuivie par ces attentats islamistes en 1995 et 1996, cela n'a toujours pas changé...
Le cas de Dalila Sadok est aussi très intéressant : le père de ses enfants a exactement le profil des criminels auxquels j'ai eu affaire dans le cadre professionnel dans les années 1990, c'est-à-dire qu'il s'agissait de commerciaux et patrons de SSII qui m'ont employée comme ingénieure d'études en informatique. Je travaillais à la conception et la réalisation de systèmes informatiques tout à fait similaires à ceux qu'il a pu vendre à différentes administrations. J'ai moi-même travaillé pour différentes administrations, sur des projets plus ou moins sensibles politiquement, et notamment pour l'Armée de l'Air, sur des projets classés Secret Défense qui sont la source de toutes mes difficultés pour avoir motivé toutes les attaques à mon encontre de mes anciens employeurs mafieux, d'origine étrangère. La criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest et ses sbires de l'extrême-gauche en sont complices depuis l'année 1993 au moins. De toute façon, pour eux, tout ce qui est mafieux, c'est super, c'est exactement ce qu'il leur faut pour détruire le pays, démontrer l'inhumanité du capitalisme et le mettre en échec, et moi, ils m'ont toujours haïe depuis les années 1970, à la fois comme étant la fille d'un incorruptible local, donc très dérangeant, et une excellente élève, toujours en tête de classe, avec QI en rapport, d'où, là aussi, une démonstration à mener à bien pour la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest : les matheux, les ingénieurs, les gros QI, seraient en fait tous des débiles et malades mentaux.
Hélène Pelosse, née le à Montréal au Canada est une haute fonctionnaire française. De 2007 à 2009, elle fut directrice adjointe au sein du cabinet du ministre de l’Écologie, Jean-Louis Borloo. Le , elle fut élue directrice générale par intérim de Agence internationale des énergies renouvelables (IRENA) 1,2,.
En cette qualité, elle avait pour mission de diffuser la vision de
l’agence sur son aspiration à devenir le moteur global de la promotion
d’une transition accélérée vers un recours élargi et durable des énergies renouvelables à travers le monde. Elle a démissionné de ces fonctions le .
Parcours
Hélène Pelosse est diplômée de l'École nationale d’administration (ENA) en 1996 et elle a appartenu à la promotion de Victor Schoelcher3. Elle a également obtenu un master en droit public et science politique de l’Institut d’études politiques de Paris, ainsi qu’un master de l’Essec.
Nommée à l'Inspection des finances
à sa sortie de l'ENA, elle accomplit une grande partie de sa carrière
professionnelle au service de gouvernements nationaux et acquiert une
expérience importante en matière d’énergies renouvelables. Elle a également travaillé aux États-Unis en tant que directeur des Affaires stratégiques du groupe Saint-Gobain.
De 1996 à 1998, elle a travaillé au ministère français des Finances, principalement sur la transition de la France à l’euro. De 2001 à 2005, elle a occupé le poste de conseiller financier, puis chargé du commerce, au sein du Secrétariat général des affaires européennes,
service placé sous la responsabilité du Premier ministre français et
assurant la coordination de la position française devant les instances
européennes. Dans ce cadre, elle a apporté sa contribution à définir la
position de la France au sein du Conseil ECOFIN de l’UE, et a pris part
aux négociations ministérielles de l’Organisation mondiale du commerce
(OMC).
Elle a également participé à plusieurs négociations internationales sur
le climat, en étroite collaboration avec de nombreuses organisations
internationales de l’énergie, dont l’AIE, le PNUE et le PNUD. De 2006 à
2007, elle a travaillé au sein du cabinet de la chancelière Angela Merkel
durant la présidence allemande de l’UE, en qualité de membre du comité
de pilotage et contribuant à développer les objectifs de l’UE concernant
l’efficacité énergétique,
les énergies renouvelables et les émissions de gaz à effet de serre. De
2007 à 2009, Hélène Pelosse est directrice adjointe de cabinet du
ministre français de l’Écologie, de l’Énergie, du Développement durable
et de l’Aménagement du territoire4.
Direction de l'Agence internationale des énergies renouvelables (IRENA)
En ,
Hélène Pelosse a été élue directrice générale par intérim par les États
membres. Son credo, faire de l’agence la voix des énergies
renouvelables. IRENA a été créée en par 75 pays. L’objectif de cette agence est de promouvoir et d’accélérer le développement des énergies renouvelables5,6.
Début , les statuts de l'agence ont été signés par 148 pays et l'Union européenne et 39 pays et l'UE les ont ratifiés7 Le statut est entré en vigueur le 8. Hélène Pelosse démissionna de ses fonctions en , selon elle à la suite de pressions de plusieurs pays. Dans une interview au journal Le Monde daté du ,
elle déclare avoir démissionné « parce que les autorités du pays siège
de l’Agence, les Émirats arabes unis ont demandé à la France de me faire
démissionner et que l’on m’a contrainte à écrire une lettre de
démission ». Dans son entrevue, elle dénonça l’achat par les Émirats arabes unis,
des voix des pays en développement pour obtenir le siège de l’Agence
ainsi que le comportement du pays hôte lui-même. Selon Hélène Pelosse,
plusieurs pays comme les États-Unis, le Japon et l'Australie ne veulent
pas voir réussir l’Irena9.
Les câbles diplomatiques rendus disponibles par wikileaks montrent en
effet que les Emirats Arabes Unis et les US souhaitaient sa démission10 et s'employaient à son remplacement dès février 2010.
Lors de son élection, Hélène Pelosse s’est engagée à promouvoir
l’égalité des genres et d’embaucher dans ses équipes la moitié de femmes
ce qui fut effectif à l’été 201011.
Retour à l'Inspection Générale des Finances
Hélène Pelosse retourne à l'inspection des finances
en tant qu'Inspectrice Générale des Finances. Elle pilote notamment
plusieurs missions sur « le financement de l’insertion par l’activité
économique »12 ou « la mise en place d’une fiscalité incitative dans le domaine des produits phytosanitaires »13.
Hélène Pelosse, Laurent Winter, Pierre Painault et Jérôme Laurent, La Fiscalité et la Mise en œuvre de la nouvelle stratégie nationale pour la biodiversité (2010-2020) (rapport), (lire en ligne [archive]).
Il est cofondateur de l'Association pour la science et la transmission de l'esprit critique (ASTEC) et de la chaîne YouTubeLa Tronche en biais, consacrée à l'esprit critique et à la zététique. Il tient aussi un blog intitulé La Menace théoriste.
Thomas Durand a publié les deux premiers romans de la saga de fantasy humoristiqueLes Énigmes de l'Aube (réédition chez ActuSF6). Il est par ailleurs l'auteur de quelques nouvelles et d'une quinzaine de pièces de théâtre[réf. nécessaire]. Membre de la Société des auteurs et compositeurs dramatiques (SACD) depuis 2007, ses pièces de théâtre publiées sur les sites Internet du Proscenium[réf. nécessaire]7 et de la Théâtrothèque8 ont été jouées par une quarantaine de troupes d'amateurs en France et à l'étranger. En 2008, il fonde Vies en Scène9
qui organise un concours d'écriture théâtrale principalement destiné
aux étudiants. Le concours a connu à ce jour deux éditions. Un recueil
des textes lauréats de 2009 a été publié aux éditions ABS10.
Science et vulgarisation
Démarche
L'objectif de Thomas Durand est de promouvoir l'esprit critique via entre autres la connaissance des biais cognitifs,
pas tant pour que son public puisse les identifier chez d'autres
individus que pour qu'il prenne conscience que ceux-ci n'épargnent
personne y compris parmi ceux qui se réclament du scepticisme
scientifique11. Selon lui, « Personne ne possède la zététique. Il faut favoriser une diversité d’approches et de tons »4.
En , il publie La science des balivernes.
Il tente d'analyser pourquoi de nombreuses personnes tendent à croire à
des légendes urbaines, alors qu'il est facile de réaliser qu'elles sont
fausses11.
Médias utilisés
La Tronche en Biais
Informations
Vidéos populaires
Les Pyramides, l'Univers et le Reste - (Jacques Grimault) Réponse à une maman Antivax Les lois de l'attraction mentale
En 2014 il est, avec Vled Tapas, l'un des créateurs et le principal auteur de La Tronche en Biais, une chaîne YouTube consacrée à la zététique12 et plus particulièrement aux biais cognitifs13,14, où il s’exprime sous les pseudonymes Acermendax15 et Mendax.
En novembre 2021, la chaîne YouTube La Tronche en Biais cumule
247 000 abonnés et ses quelque 300 vidéos ont été visionnées 27,5
millions de fois17,4. Les activités de la chaîne génèrent 5 000 euros par mois pour l'ASTEC. Thomas Durand finance ses tournages grâce au financement participatif, aux publicités de Youtube, à quelques formations et à une dotation du ministère de la Culture4.
En 2022, l'association dont il est le directeur — Association
pour la science et la transmission de l'esprit critique (Astec) — a des
locaux dans l'Université de Lorraine
et y organise des débats avec des chercheurs. Lui-même délivre des
cours de « Zététique et esprit critique » à l'école doctorale. Des
tensions naissent avec la direction de l'université après que Thomas
C.Durand a critiqué des cours d'homéopathie délivrés par une enseignante
de la faculté à un partenaire de l'Université, l'Institut de formation en soins infirmier. Selon une étudiante, le cours présenterait l'homéopathie
comme efficace, sans signaler le consensus scientifique à ce sujet,
basé sur de nombreuses études concluant que l'efficacité ne va pas
au-delà de l'effet placebo18.
En 2024, Thomas Durand dépose une plainte auprès du parquet de Paris à l'encontre d'André Bercoff, Xavier Azalbert et Idriss Aberkane,
les accusant d'avoir activement participé à une vague de
cyberharcèlement à son encontre en initiant ou en « alimentant la vague
de haine » après avoir dénoncé leur propos complotistes19.
Publications
Bibliographie critique
Thomas C. Durand et Vled Tapas, « Diffuser l'esprit critique de manière ludique via YouTube », dans Nicolas Gauvrit, Sylvain Delouvée, Des têtes bien faites : défense de l'esprit critique, Paris, PUF, , 286 p. (ISBN978-2-13-081612-6), p. 193-20620.
Frédéric Tomas, Thomas C. Durand, Faustine Boulay et Thibault Renard, « Les « documenteurs », nouvelle arme dans la guerre de l’information », Revue internationale d'intelligence économique, vol. 13, , p. 119-142 (ISSN2101-647X et 2102-6408, OCLC473140647)
(en) Thomas C. Durand, Gwendal Cueff, Béatrice Godin, Benoît Valot, Gilles Clément, Thierry Gaude et Loic Rajjou, « Combined Proteomic and Metabolomic Profiling of the Arabidopsis thaliana vps29 Mutant Reveals Pleiotropic Functions of the Retromer in Seed Development », International Journal of Molecular Sciences, MDPI, vol. 20, no 2, , p. 362 (ISSN1422-0067 et 1661-6596, PMID30654520, PMCID6359594, DOI10.3390/IJMS20020362)(en) Thomas C. Durand, Kjell Sergeant, Sabine Carpin, Philippe Label, Domenico Morabito, Jean-Francois Hausman et Jenny Renaut, « Screening for changes in leaf and cambial proteome of Populus tremula × P. alba under different heat constraints », Journal of Plant Physiology, Elsevier, vol. 169, no 17, , p. 1698-1718 (ISSN0176-1617 et 1618-1328, OCLC888481721, PMID22883629, DOI10.1016/J.JPLPH.2012.06.016)(en)
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Renaut, « Acute metal stress in Populus tremula×P. alba (717-1B4 genotype): Leaf and cambial proteome changes induced by cadmium2+ », Proteomics, Wiley, vol. 10, no 3, , p. 349-368 (ISSN1615-9853 et 1615-9861, PMID20148406, DOI10.1002/PMIC.200900484)(en)
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Approche protéomique des stress abiotiques chez Populus tremula x P. alba, thèse soutenue en 2009 (theses.fr [archive]).
Mathilde Cousin, « « L’esprit critique est plein de trous… » Comment le youtubeur Thomas Durand fait de la pédagogie contre les idées reçues », 20 minutes, (lire en ligne [archive]).