Le Konducator Cosmoplanétaire Pascal Edouard Cyprien Luraghi doit
être très fier de cet adepte de son Eglise de Déconnologie, lui qui
déclarait en 2009, pour le plus grand bonheur de son compère Hulk :
à Hulk_ De Cyp_ Kondukator Cosmoplanétaire | 00H12 | 22/03/2009 | J’ai fait ça, et pas qu’une seule fois : mais je n’initie jamais le
délire ; je prends le train en marche ou alors je papote sur des fils
totalement déserts. Sauf chez Serraf : mais là c’est normal. [rajouti] C’est dur pour lui la vie. OK, mais c’est lui qui l’a voulu. Je
n’accorde jamais la moindre excuse à ceux qui se font chier dans la vie.
Je suis d’une cruauté sans borne à leur égard. Quelle que soit sa condition sociale, son milieu familial et tout le
reste, se faire la vie belle est une question de choix, de
détermination, de tripe et de couilles. Même pour les filles. 2 votes Répondre | Alerter
à Cyp_ De Hulk_Gros con de droite | 00H14 | 22/03/2009 |
Eh ben ça, tu vois, c’est une magnifique pensée de droite. J’adore. Bienvenue camarade !
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à Hulk_ De Cyp_Kondukator Cosmoplanétaire | 00H19 | 22/03/2009 |
Ce n’est ni une pensée de droite, ni de gauche : y a des
poltrons et des planqués partout ; des qui manquent de courage ; des
frileux ; des tout petits.
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à Cyp_ De Hulk_Gros con de droite | 00H27 | 22/03/2009 |
Ah ça si, c’est une pensée de droite, à fond. Deux preuves : 1) Je suis d’accord 2) Va donc sur un site de bisounours de gauche leur raconter ça,
tu vas voir ta gueule. Et ensuite, va sur un site de droite ; tu seras
pas accueilli pareil. On dira « Cyp, il est des nô-au-tres, il est de
droite comme les au-au-tres ! »
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Et encore :
Cyp’le 30/08/2009 à 12:12 @ les RG : Je préfère écrabouiller les folles furieuses qui se jettent sous les
roues de ma bagnoles alors que je roule pépère sur la départementale,
plutôt qu’aller me frotter aux CRS ou planter ma caisse dans un platane
pour éviter ces cinglées.
D’ailleurs, vous faites plaisir aux CRS, quand vous manifestez : c’est
grâce à vous qu’ils peuvent écouter Sardou et payer les traites de leur
pavillon Phénix ultra-moche.
Sans vous, ils n’existeraient pas et le monde serait plus sympathique.
Vroum !
Après une suspension de séance de trois heures, la tension n’est pas
retombée puisque Richard Ferrand a décidé de s’arroger tous les postes
de vice-présidents de l’Assemblée pendant le temps durant lequel les
Républicains boycotteront le bureau de l’institution.
Cette décision a été unanimement dénoncée par les groupes
d’opposition de gauche. Notamment par André Chassaigne, patron des
députés communistes, pris d’une colère froide.
Razzia de La République en marche sur l’Assemblée nationale
Reuters le 29/06/2017 à 13:44
RAZZIA DE LA RÉPUBLIQUE EN MARCHE SUR L’ASSEMBLÉE NATIONALE
PARIS (Reuters) – Le groupe La République en marche (LREM), qui
dispose de la majorité absolue à l’Assemblée, s’est taillé la part du
lion dans les postes de responsabilité au Palais-Bourbon en s’attribuant
jeudi six présidences de commissions sur huit.
Son allié du MoDem récupère de surcroît celle des Affaires étrangères
avec l’élection de Marielle de Sarnez, ne laissant à l’opposition que
celle de la commission des Finances.
Le groupe LREM, qui a placé l’un des siens, François de Rugy, à la
présidence de l’Assemblée, a également favorisé l’élection mercredi du
« constructif » Les Républicains Thierry Solère au poste de troisième
questeur.
Une tradition datant de 1973 veut que les deux premiers questeurs
appartiennent à la majorité et le troisième à un membre de l’opposition.
Alors qu’Eric Ciotti, un LR partisan d’une opposition frontale à la
majorité, devait occuper ce poste, Thierry Solère s’est fait élire avec
les voix du groupe LREM, expliquant que son groupe se situait dans une
opposition « constructive ».
Cela a provoqué une vive réaction du groupe LR qui a provoqué une
série de suspensions de séance et son refus de siéger au sein du bureau
de l’Assemblée. Le groupe LR estime que Thierry Solère « n’appartient
pas à l’opposition » et ne peut donc être ce troisième questeur.
LES « CONSTRUCTIFS » DIVISES
Les UDI du groupe « constructif » n’ont pas non plus apprécié cette candidature annoncée au dernier moment.
« Nous n’étions pas au courant. C’est scandaleux. Nous allons en
discuter lundi. Nous sommes sur des plaques tectoniques qui bougent », a
dit Philippe Vigier, ancien président du groupe UDI.
LR, le principal groupe d’opposition qui compte cent élus, pourrait
rentrer dans le rang, un accord scellé dans la nuit de mercredi à jeudi
ayant été respecté mercredi pour l’élection d’Eric Woerth (LR) à la tête
de la commission des Finances.
Afin de faciliter l’élection d’Eric Woerth, acquise à la majorité
relative au troisième tour de scrutin, les groupes LREM et MoDem n’ont
pas participé au scrutin.
Le candidat LR a dû affronter trois autres candidats, le constructif
UDI Charles de Courson, le LFI Eric Coquerel et la Nouvelle gauche
Valérie Rabault, une socialiste.
Le groupe LR a exprimé son mécontentement à propos de la composition
des bureaux des différentes commissions, ses candidats n’ayant pas été
élus à des postes de secrétaires.
Son président, Christian Jacob, a toutefois annoncé que son groupe ne
boycotterait pas le Congrès du Parlement convoqué lundi à Versailles
par le chef de l’Etat, Emmanuel Macron, au contraire de ce qu’a annoncé
l’UDI Jean-Christophe Lagarde.
« On n’est pas dans une attitude de blocage de quoi que ce soit », a dit Christian Jacob dans les couloirs de l’Assemblée.
« Nous participerons à tous les débats, on fera nos propositions, on
fera notre travail de parlementaire mais l’exécutif de cette assemblée
ne peut pas être entre les mains d’un seul parti. Ce n’est pas
possible », a-t-il déclaré.
« Je fais confiance au président de la République, au président de
notre assemblée pour trouver les solutions de façon à ce que
l’opposition soit respectée », a-t-il ajouté.
Bataille des postes, coups de poker, président fantôme… La folle nuit de l’Assemblée nationale en quatre actes
Le groupe des Constructifs a « piqué » le poste de questeur au
groupe Les Républicains, contrairement à la tradition de l’Assemblée,
déclenchant une énorme pagaille dès le deuxième jour de la législature.
franceinfoFrance Télévisions
Mis à jour le 29/06/2017 | 12:56
publié le 29/06/2017 | 12:56
Coups bas, polémiques et prises de parole insurgées : les nombreux
députés nouvellement élus ont bénéficié d’un apprentissage très
particulier dès leur deuxième séance au Palais-Bourbon, qui s’est
terminée tard dans la nuit, mercredi 28 juin. L‘Assemblée nationale
devait élire son bureau : les six vice-présidents, les douze
secrétaires et les trois questeurs, chargés de gérer son budget. Une
séance qui relève normalement de la pure formalité. En 2012, elle avait
duré cinq minutes. A 15 heures, mercredi, les députés ne se doutaient
donc pas qu’ils quitteraient l’Hémicycle… à 0h35.
Tout est parti d’un coup de poker du groupe Les Constructifs (des
élus de droite prêts à travailler avec Emmanuel Macron), qui ont
récupéré un poste de questeur que la tradition de l’Assemblée nationale
réserve en général au plus grand groupe d’opposition, donc aux
Républicains. Ce qui a déclenché un boycott, une suspension de séance
interminable et de nombreux coups de gueule. Récit en actes de cette
folle soirée.
Acte 1 : Les Constructifs piquent un poste aux Républicains
C’est une candidature surprise qui a mis le feu aux poudres. La
séance a débuté par l’élection des trois questeurs. Depuis 1973, la
tradition veut que deux soient issus de la majorité et un de
l’opposition, et les présidents de groupe se mettent d’accord, en amont,
pour que seuls trois candidats soient présentés. Mais mercredi, outre
les deux candidats de La République en marche et le Républicain Eric
Ciotti, Thierry Solère, élu LR mais membre du groupe des Constructifs,
se présente.
Les Républicains comptent 100 membres, ce qui en fait le principal
groupe d’opposition, mais Les Constructifs, trois fois moins nombreux,
raflent les voix des macronistes : Thierry Solère est largement élu,
avec 306 voix contre 146 pour Eric Ciotti.
Christian Jacob, le président du groupe LR, s’insurge. Pour lui, non
seulement l’Assemblée vient de rompre avec la tradition, mais elle a
choisi « trois questeurs totalement acquis au gouvernement ».
La position des Constructifs est au cœur du débat : ils sont
officiellement inscrits comme un groupe d’opposition, mais, pour
Christian Jacob, ils soutiennent la majorité, étant notamment prêts à
voter la confiance au Premier ministre, Edouard Philippe. « Il n’y a plus de contrôle budgétaire dans cette maison », s’emporte le chef de file des Républicains.
Son homologue chez Les Constructifs, Franck Riester, se défend à la tribune : « La
candidature du groupe Les Constructifs a vocation, au contraire, à
faire en sorte que les droits de l’opposition soient respectés. Cette
questure sera celle de tous les groupes de l’opposition. »
Acte 2 : Les Républicains boycottent le bureau de l’Assemblée
Après l’élection des questeurs, Christian Jacob demande une
suspension de la séance et une réunion des présidents de groupe, mais
aucun accord n’est trouvé. A son retour, il annonce donc que les députés
Les Républicains refusent de siéger au bureau de l’Assemblée, en signe
de protestation contre ce qu’il qualifie de « déni de démocratie ».
Acte 3 : un président de l’Assemblée porté disparu
Le coup d’éclat des Républicains entraîne une autre suspension de
séance, à 19h45, pour définir comment élire un bureau sans le groupe LR,
qui aurait dû y occuper deux places si l’on suit la tradition de
l’Assemblée. Mais la suspension, qui devait durer environ une
demi-heure, se prolonge sans explication, laissant les députés
perplexes.
Acte 4 : la majorité s’arroge tous les postes de vice-président
Les débats reprennent trois heures plus tard, vers 22h30. En
l’absence d’accord sur un retour des Républicains, La République en
marche décide de présenter cinq candidats à la vice-présidence, et son
allié du MoDem un, contrairement à ce qu’a annoncé le président du
groupe LREM, Richard Ferrand, quelques heures plus tôt. La manœuvre
assure à la majorité de remporter tous les postes.
Tollé dans l’Hémicycle. L’opposition s’insurge, et le député Les
Constructifs Yves Jégo menace de déposer un recours. Pour détendre
l’atmosphère, l’indépendant Jean Lassalle affirme avoir trouvé « une solution » et présente sa candidature, sous les rires des députés.
Richard Ferrand intervient alors pour défendre la démarche de la majorité et critiquer la « bouderie » des
Républicains, qu’il accuse de blocage. Il promet que l’hégémonie de
LREM et du MoDem n’est qu’une solution temporaire pour que l’Assemblée
dispose d’un bureau en état de marche : »Dès que Les Républicains voudront reprendre leurs responsabilités, les candidats élus céderont la place. »
Pendant ce temps, Les Républicains et Les Constructifs continuent de s’écharper. Christian Jacob demande que « les droits de l’opposition soient respectés », qualifiant le nouveau questeur des Constructifs, Thierry Solère, de « faux opposant ». Ce à quoi Franck Riester, président du groupe en question, réplique : « De
quel droit, M. Jacob, êtes-vous le seul à pouvoir décider de
l’appartenance à l’opposition ou à la majorité d’un groupe politique ?« La séance se termine par un coup de gueule du vétéran de l’Assemblée André Chassaigne, président du groupe communiste, « époustouflé » par la teneur des débats.
Il ne reste que le vote, au terme duquel, sans surprise, les cinq
candidats La République en marche et le candidat MoDem sont élus
vice-présidents de l’Assemblée. Il est 0h30.
Les députés UDI ne savaient pas que leurs nouveaux collègues
des Républicains Constructifs présenteraient la candidature de Thierry
Solère à la questure de l’Assemblée nationale. Le divorce n’est pas
encore consommé, mais la tension monte.
La nomination du bureau de l’Assemblée nationale
n’en finit pas de créer des remous. Mercredi, les députés ont nommé
Thierry Solère, député Les Constructifs (proche de la majorité), à la
questure de l’Assemblée. Une décision qui a provoqué la colère de
l’opposition puisque que ce poste devait lui revenir, conformément à la
tradition. Les Républicains, qui soutenaient la candidature d’Eric
Ciotti, pensaient l’obtenir.
Mais cette nomination a également provoqué une crise au sein même du
groupe Les Constructifs à l’Assemblée nationale. Il est composé
d’anciens députés Les Républicains favorables au gouvernement et de
membres de l’UDI.
« Cette questure revient au groupe LR »
Or, comme le souligne jeudi matin le député Bertrand Pancher, les UDI
Constructifs ont appris que leurs nouveaux collègues (issus des
Républicains) présentaient la candidature de Thierry Solère au même
moment que les députés des autres groupes, alors qu’ils étaient sur les
bancs l’Assemblée nationale. Philippe Vigier, le président du groupe UDI
sous la précédente législature, ne décolère pas :
Il y a eu un choix d’un candidat sans même qu’il y ait une décision de l’ensemble des parlementaires du groupe.Philippe Vigier
Philippe Vigier estime que « cette questure devait revenir au groupe Les Républicains qui sont les plus nombreux » : « C’est la tradition de cette maison. » L’élu menace, s’il n’est pas entendu prochainement, de provoquer une scission du groupe :
Nous n’en resterons pas là. Je ne resterai pas dans un groupe longtemps dans lequel il y ce genre de fonctionnement.Philippe Vigier
Propos recueillis par Rym Ben Ameur et Stéphanie Depierre
Futur débat en bureau politique. « Nous en débattrons au
prochain bureau politique parce qu’ils s’étaient déjà éloignés
d’eux-mêmes par leur choix, il conviendra probablement d’aller plus
loin », a estimé Bernard Accoyer, invité de L’Opinion.
Il a rappelé que « 12 des parlementaires élus sous étiquette LR
n’avaient pas de candidat En Marche ! en face d’eux, ils ont donc été
élus ». « Ils ont rendu des remerciements au président de la
République », en formant, avec l’UDI et des indépendants, le groupe des
« Constructifs ».
Postes de questeurs : Accoyer dénonce un » scandale politique ».
« On voit aujourd’hui qu’ils se disent d’opposition pour pouvoir
disposer des postes, s’octroyer les postes de l’Assemblée qui
constituent l’équilibre démocratique de l’Assemblée nationale », a
poursuivi Bernard Accoyer en référence à l’élection de Thierry Solère
comme questeur mercredi, aux dépens du député LR Eric Ciotti.
« C’est un vrai scandale politique », a-t-il commenté, évoquant une
« décision téléguidée par l’Élysée au mépris de nos institutions ». Il a
par ailleurs déclaré que le discours d’Emmanuel Macron devant le
Congrès était un acte « méprisant » à l’endroit du Premier ministre.
Il sera à la tribune mais restera loin des journalistes.
Une volonté d’échapper à la presse ? Non non, répond l’Elysée. En fait, de cette même source (citée par « le Monde »)
« il n’y a pas de refus d’obstacle avec la presse ». Mais la « pensée
complexe » du président se prête mal à l’exercice des
questions-réponses… Tout simplement.
Il l’a annoncée en date d’hier dans un nouveau dégueulis délirant intitulé « 666 666 ».
Et voilà qu’effectivement, une cyberattaque sans précédent paralyse
aujourd’hui nombre d’entreprises et administrations dans plusieurs
parties du monde…
On rappelle ici que dès 2011, alors qu’il jouait à SaMo_Dz et
quelques autres en attaquant simultanément la plateforme de blogs
OverBlog et plusieurs autres sites, notamment ceux de préfectures
françaises, le malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard
Cyprien Luraghi se vantait publiquement d’« enculer l’informatique mondiale » (sic) et bénéficiait déjà du soutien hyperactif de ses amis « islamigrés » ou islamistes.
Ses attaques de natures diverses et variées ont depuis lors bien progressé.
Par ailleurs, afin de s’éviter trop d’ennuis judiciaires, il a dû
progressivement supprimer quantité de ses textes publics me concernant,
puis limiter drastiquement leur production.
Pour autant, il n’est toujours pas capable de s’abstenir de toute manifestation sataniste…
Outre celles de son blog ICYP, par exemple le 19 mai dernier ou hier,
je suis toujours régulièrement interpellée par diverses cyberattaques
et de curieuses visites de mes blogs.
Ainsi les statistiques de Satanistique ont-elles encore parlé hier,
avec le retour subit de visites en provenance d’Ukraine et certains
records de lectures :
Il est aussi notable que ce même blog est depuis longtemps frappé
d’un phénomène bloquant à 666 le nombre de visites totales affiché pour
un de ses articles dans la liste des dix plus lus depuis son ouverture,
celui-là :
Le compteur attaché à cet article m’indique qu’en réalité il a été lu 865 fois depuis sa publication le 21 décembre 2015.
Effectivement, je vois régulièrement le nombre de ses visites inscrit
dans le tableau des dix articles les plus lus du blog augmenter à la
suite de nouvelles lectures, puis irrémédiablement redescendre à 666 sur
intervention sataniste…
Voici ce tableau, attestant par ailleurs que le malade mental
extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi et ses acolytes
Josette Brenterch du NPA de Brest et Jean-Marc Donnadieu de Béziers
n’ont pratiquement et malheureusement jamais intéressé d’autres lecteurs
qu’eux-mêmes :
Un virus informatique de type « ransomware », qui chiffre le contenu d’un ordinateur pour le rendre inutilisable jusqu’au paiement d’une rançon, a paralysé le fonctionnement de très nombreuses entreprises dans le monde, mardi 27 juin. Le virus semble être une variante d’un ransomware apparu en 2016, baptisé Petya, d’après les premières constatations des spécialistes de la sécurité informatique.
Les premières alertes ont été données en Ukraine,
le pays le plus sévèrement touché, en début d’après-midi. Le
fonctionnement de plusieurs banques, du métro, de plusieurs
administrations et de l’opérateur d’énergie de la région de Kiev est
largement perturbé. L’ordinateur du vice-premier ministre ukrainien a
lui-même été touché, a-t-il annoncé sur Facebook :
Le premier ministre ukrainien a qualifié cette épisode de « sans précédent » tout en précisant que « les systèmes vitaux [du pays] n’ont pas été affectés ». Le
système de contrôle automatisé des radiations de la centrale de
Tchernobyl a cependant été affecté par le virus, forçant l’autorité de
surveillance à revenir à des contrôles manuels, selon l’agence chargée du contrôle de la zone d’exclusion autour de la centrale.
Selon une première analyse effectuée par le spécialiste Kaspersky, 60 % des ordinateurs infectés se trouvent en Ukraine, et 30 % en Russie.
Ordinateurs totalement inutilisables
Ailleurs dans le monde,
plusieurs entreprises majeures, dont le géant du bâtiment Saint-Gobain,
le pétrolier russe Rosneft, le groupe publicitaire britannique WPP, ou
encore le poids lourd danois du transport maritime Maersk ont confirmé être victimes d’« attaques informatiques » paralysant en partie ou totalement leurs services.
C’est le cas notamment du géant pharmaceutique Merck, qui a fait savoir sur Twitter que son réseau informatique était ciblé par l’attaque « mondiale ». Selon le site spécialisé Motherboard, des bureaux du cabinet d’avocat DLA Piperont également été visés.
En France, le géant des matériaux Saint-Gobain (170 000 salariés) a confirmé avoir été touché par « une cyberattaque », qui a notamment provoqué une panne de son système e-mail. La SNCF a également dit « subir l’attaque en cours » niant toutefois en être « victime », a insisté le porte-parole du groupe soulignant que les opérations de l’entreprise ferroviaire n’étaient pas affectées.
« Le niveau de cette attaque est sans précédent », a indiqué le secrétaire d’Etat au numérique Mounir Mahjoubi. Il a cependant vanté la solidité du web français : « les
entreprises les plus importantes et les services publics les plus
importants sont protégés par des systèmes de haut niveau », a-t-il déclaré.
Le virus Petya touche la partie du disque dur qui contient les
logiciels utilisés au démarrage de l’ordinateur, le rendant totalement
inutilisable, là où la plupart des ransomwares habituels se
« contentent » de bloquer l’accès aux documents personnels.
Une faille de sécurité connue soupçonnée
« Nous constatons actuellement plusieurs milliers de tentatives
d’infection, un rythme comparable à celui des premières heures de
déploiement de Wannacry [un virus qui s’était propagé de façon spectaculaire le 19 mai] », a déclaré Costin Raiu, de l’entreprise Kasperksy, interrogé par Forbes.
Selon plusieurs entreprises de sécuritéinformatique,
cette souche de Petya utilise EternalBlue, un outil issu de la NSA, la
puissante agence de renseignement américaine. C’était lui qui était déjà
responsable de la propagation éclair du rançongiciel WannaCry, en mai.
La faille qu’il utilise est pourtant corrigée depuis le mois d’avril par
Microsoft, ce qui signifie que les machines touchées par cette dernière variante de Petya n’étaient vraisemblablement pas mises à jour.
En revanche, selon un bulletin émis mardi en fin d’après-midi par le centre
d’alerte de l’Agence nationale de sécurité des systèmes d’information
(Anssi), le garde du corps numérique de l’Etat, le vecteur de diffusion
demeure « inconnu » à ce stade. Cependant, il précise que Petya pourrait, outre les postes de travail, toucher également les serveurs.
Le logiciel demande aux victimes de payer une rançon en bitcoins, une monnaie virtuelle, pour pouvoirdébloquer leur ordinateur. La cible devait ensuite envoyer un e-mail à une adresse indiquée avec un identifiant spécifique pour prouver qu’il avait bien payé la rançon et donc récupérer l’accès à son système. Le fournisseur e-mail utilisé par le ou les rançonneurs, Posteo, a précisé sur son site avoir fermé l’adresse incriminée. Ce qui signifie que, même si une victime choisit de payer la rançon, elle ne pourra plus récupérer l’accès à son ordinateur.
Europol, l’agence de coordination policière de l’Union européenne, est en train de prendre
langue avec les unités de cybercriminalité des Etats membres, afin
d’évaluer la portée de la contagion, a expliqué un porte-parole de
l’agence, sollicité par Le Monde.
Le virus Wannacry avait paralysé de nombreuses administrations et
entreprises un peu partout dans le monde. Sa progression avait été
stoppée de manière presque accidentelle par un chercheur en sécurité
informatique qui avait découvert par hasard un mécanisme d’arrêt
d’urgence dans le code du logiciel, stoppant sa propagation, avant que
Microsoft ne publie plusieurs correctifs de sécurité.
C’est ce que tente de nous vendre le spécialiste en marketing, adepte avéré de l’Eglise de Déconnologie…
Je disais dimanche qu’à l’en croire, NKM avait dû simuler son
malaise, mais c’est bien ce qu’il soutient de manière explicite, entre
autres choses qualifiées de « n’importe quoi » par la victime.
Et bien entendu, tous ses copains de Champignolles font bloc autour de leur Konducator…
Que se serait-il donc passé s’il n’avait fait l’erreur de s’en prendre à une «personne chargée d’une mission de service public» ?
Probablement l’affaire aurait-elle été traitée comme l’ont toujours
été les miennes, c’est-à-dire qu’à chaque fois la « justice » n’a retenu
que les inventions délirantes de mon agresseur à mon encontre en dépit
de tous les éléments de preuve dont elle disposait.
Je rappelle ici qu’en ce qui me concerne, cela perdure depuis bien
plus de vingt ans et que mes très nombreux agresseurs ont toujours été
liés entre eux : l’un d’eux a commencé un jour, et tous ses copains ou
groupes de copains ont suivi les uns après les autres en utilisant les
mêmes procédés.
Non seulement la « justice » française a toujours catégoriquement
refusé d’engager des poursuites contre ces délinquants et criminels,
mais elle encourage toutes leurs exactions à mon encontre et y participe
elle-même sans aucun problème.
Il faut bien dire que j'ai beaucoup de torts, notamment ceux-ci : je
suis une femme, je suis ingénieur, et je suis Bretonne. Je cumule à
mort...
VIDÉO – Présenté en comparution immédiate ce lundi après-midi,
Vincent Debraize a obtenu un renvoi pour mieux préparer sa défense.
Il devait être présenté au tribunal ce lundi après-midi, en
comparution immédiate, pour violences et outrage «sur une personne
chargée d’une mission de service public». Vincent Debraize, l’agresseur présumé de Nathalie Kosciusko-Morizet,
aura finalement quelques semaines supplémentaires pour préparer sa
défense. «Au regard du fait qu’il a passé plus de 20 heures en garde à
vue et une nuit au dépôt», explique son avocat, Me Antoine Lachenaud,
l’affaire a été renvoyée au 11 juillet. Le suspect a été placé sous
contrôle judiciaire: il lui est interdit d’entrer en contact avec NKM et
de paraître à proximité de son domicile. Le moins que l’on puisse dire
est que la version de Vincent Debraize diffère totalement de celle de
l’ancienne ministre. «C’est elle qui a été insultante, assure son
avocat. À aucun moment, il n’a entendu la frapper».
Placé en garde à vue samedi, ce chef d’entreprise de 55 ans, maire
d’une petite commune de Normandie «a reconnu avoir insulté» la candidate
LR, battue aux législatives à Paris, lors d’«une altercation» jeudi sur
un marché de la capitale, mais a contesté «tout contact physique»,
selon une source proche de l’enquête. L’ancienne ministre, qui avait été
brièvement hospitalisée après avoir perdu connaissance, s’est vu
reconnaître deux jours d’incapacité totale de travail.
«Bobo de droite» ou «bobo de merde»?
Samedi, à la veille du second tour des législatives, Vincent
Debraize, maire sans étiquette de Champignolles (Eure), s’était rendu à
la convocation des policiers. Dans l’après-midi, les enquêteurs ont
entendu son récit et celui de Nathalie Kosciusko-Morizet lors d’une
confrontation. Mais leurs versions s’opposent: «Il a reconnu avoir
insulté NKM, avoir arraché les tracts et les avoir jetés en sa
direction, rapporte une source proche de l’enquête. En revanche, il nie
tout contact physique et avoir bousculé» la candidate LR, comme cette
dernière l’affirme. Une photo montre la candidate en train de lever sa
main droite, masquant sa bouche de ses tracts.
«A deux reprises, elle lui a dit ‘Dégage connard’, raconte Me
Lachenaud. Mais c’était presque en chuchotant…» C’est sans doute pour
cela qu’aucun membre de l’équipe de la candidate n’a dit avoir entendu
ces insultes. «Il a ensuite repoussé les tracts, se sentant visé,
insulté en tout cas, poursuit l’avocat. Et elle s’est auto-heurtée avec
les mains. À aucun moment il n’a voulu la frapper. Elle a dû faire une
baisse de tension…» «M. Debraize reconnaît avoir dit ‘bobo de droite’
mais pas ‘bobo de merde’: pour nous il n’y a pas d’insultes», estime
encore Me Lachenaud. En tout cas, martèle-t-il , «il s’agit bien d’«une
altercation suivie d’un malaise», comme les médias l’ont écrit dès le
début. Sans doute après l’intervention de l’équipe de la candidate, ça
s’est transformé en agression…»
Mais l’homme est tout de même parti «en courant vers le métro», selon
des témoins, sans se préoccuper de la candidate qui gisait sur le
trottoir, sans connaissance. «C’est parce que trois personnes, assez
corpulentes et musclées, l’ont poursuivi en proférant des menaces comme
‘On va lui péter la gueule!’, rétorque l’avocat. Il y en a même un qui a
levé le bras en lançant ‘Heil Hitler!’. Et j’ai la photo de sa chemise
déchirée par l’un de ses poursuivants dans le métro». Me Lachenaud a
beau marteler que «tous les éléments sont cohérents», les témoins
entendus dimanche par les enquêteurs n’ont pas la même version. «Un
salut nazi, un jeudi de marché place Maubert, ça ne serait pas passé
inaperçu!», s’exclame l’un d’entre eux.
«Pas de salut nazi»
Présente sur les lieux, une journaliste de l’AFP est formelle:
«Jamais il n’y a eu de salut nazi, ni quelque chose que l’on aurait pu
prendre pour un salut nazi, souligne-t-elle. En revanche, j’ai bien
entendu, comme des passants que j’ai interviewés, l’agresseur dire ‘bobo
de merde’. Une photo de l’AFP le montre en train de regarder
tranquillement NKM par terre. Puis il s’en est allé, sans que personne
ne crie ‘on va lui péter la gueule!’».
Lors de la confrontation, NKM s’est écrié: «C’est n’importe quoi!».
Pour l’avocat de la candidate, Me Xavier Autain, «l’agresseur essaie de
justifier un comportement injustifiable. C’est une agression
caractérisée contre une élue de la République. On espère que la justice
traitera ce dossier avec toute la fermeté nécessaire».
Vincent Debraize, ce maire auteur d’agression présumée contre
Nathalie Kosciusko-Morizet, était jugé en comparution immédiate ce lundi
19 juin au Palais de justice de Paris. Sa défense a demandé un délai
pour préparer le procès, tout en profitant de l’espace médiatique pour
livrer une version bien différente de celle de l’élue de Paris.
Face au juge qui énonce les faits qui lui sont reprochés, «
violences ayant entraîné une incapacité totale de travail inférieure à
huit jours sur personne chargée d’une mission de service public » et « outrage »,
Vincent Debraize reste droit, imperturbable. Mais lorsqu’il commence à
s’exprimer, sa voix laisse transparaître une pointe d’émotion et une
fatigue difficile à dissimuler. Éreinté par 48 heures de garde à vue, ce
maire accusé d’avoir agressé Nathalie Kosciusko-Morizet a, sans
surprise, demandé un délai pour préparer sa défense. La décision est
donc renvoyée au 11 juillet, Vincent Debraize étant en attendant placé
sous contrôle judiciaire avec interdiction de contacter l’ancienne
candidate à la mairie de Paris.
« Dégage connard ! »
L’agression présumée de Nathalie Kosciusko-Morizet, vendredi 16 juin
sur un marché du Vème arrondissement de la capitale, et surtout les
images de la candidate aux législatives, étendue au sol, l’air hagard,
sont encore dans les esprits. Les avocats du prévenu ont profité de
l’espace médiatique, en amont de l’audience, pour exposer la version de
leur client. Vincent Debraize affirme avoir traité NKM de « bobo de droite » (des témoignages relatent plutôt les termes « bobo de merde ») en lui intimant, entre autres, de « retourner dans l’Essonne », il a en revanche réfuté tout « contact physique », et accuse même NKM de s’être rendue coupable de « simulation ».
« Mon client a vu NKM sourire au moment de sa chute », affirme
même l’un de ses deux défenseurs, Me Lachenaud, avant de refaire
l’historique de cette fameuse matinée sur le marché de la place Maubert.
« Mon client faisait ses courses comme tout un chacun (Vincent Debraize réside dans le Vème arrondissement),
quand une discussion animée a éclaté avec l’équipe de campagne de NKM.
L’intéressée est alors arrivée et a voulu dialoguer à son tour. Le ton
est monté et NKM a alors brandi les tracts près du visage de mon client,
de manière extrêmement rapprochée », assure-t-il, en insistant bien sur ce dernier point.
« Il a bien vu qu’elle était tombée par terre »
Me Lachenaud assure par ailleurs que Vincent Debraize n’aurait pas
été le seul à user de mots fleuris. Selon la version du prévenu, NKM lui
adresse alors un « Dégage connard ! ». C’est là que tout aurait basculé. Le photographe de l’AFP qui a assisté à la scène avait pour sa part livré sa version aux médias , allant plus que loin que les avocats de Vincent Debraize : « Un
moment donné, NKM a pris les tracts qu’elle avait en main et elle les a
montrés au niveau de son visage (…) Lui les saisit, il prend les tracts
de la main de NKM et fait un revers de la main avec les tracts vers le
visage de Nathalie Kosciusko-Morizet. Elle, à ce moment-là, met sa main
devant son visage pour se protéger et les tracts heurtant sa main de
manière assez violente, elle reçoit sa propre main dans sa figure. Suite
à quoi, elle fait un pas ou deux en arrière et elle s’effondre. Et
l’agresseur a bien vu qu’elle était tombée par terre (…) et il s’en va
sans courir, en marchant. »
S’ensuivra une courte hospitalisation et deux jours d’interruption
temporaire de travail pour NKM, qui confiera la gestion de la fin de sa
campagne à sa suppléante.
Les avocats de la défense sont aussi revenus sur le départ au pas de
course de leur client. Une fuite, pour des témoins de la scène. « Il ne s’agit en aucun cas d’une fuite, selon Me Lachenaud. Mon
client a été pris à partie par trois hommes, les entendant même dire «
On va se le faire ! » Il a réagi comme tout le monde l’aurait fait dans
une situation pareille, il a pris ses jambes à son cou ». Vincent Debraize se fera « arracher sa chemise » par un homme qui l’avait suivi dans le métro, affirme toujours son avocat.
Durant l’audience, Me Lachenaud et Me Ader s’se sont évertués à
rappeler le profil de leur client. En couple depuis 27 ans, le maire du
village de Champignolles (bien que résident du Vème arrondissement
parisien) affiche un casier judiciaire vierge et s’est présenté de
lui-même aux forces de l’ordre. Les avocats de la défense ont demandé « la relaxe et la disqualification des faits ».
« Je ne le quitte plus depuis deux jours, regrette Me Lachenaud.
Mon client subit un véritable périple judiciaire. Il sort de 48 heures
de garde à vue et doit encore rester vingt heures au dépôt. Il est quand
même très surprenant que cela aille aussi loin pour deux jours d’ITT.
Tout cela est lié à des motifs électoraux ».
Arrivé quelques minutes après le terme de l’audience, l’avocat de NKM s’est contenté de répéter que « les faits avaient été considérés comme suffisamment graves » pour
qu’une telle procédure soit enclenchée et que les accusations d’insulte
avancées par Vincent Debraize contre NKM (le fameux «Dégage connard ») ne « figuraient pas dans le dossier ».
Vincent Debraize s’exprimera en personne lors d’une conférence de
presse, mercredi 21 juin à 17 heures depuis le cabinet de Me Lachenaud.
« Cette affaire aurait dû être jugée par un tribunal de police, nous
allons demander la relaxe et la disqualification des faits », a annoncé Me Ader.
Vincent Debraize, le maire soupçonné d’avoir agressé NKM sera jugé le 11 juillet
Il a été entendu le 17 juin 2017 pour l’agression de NKM. Vincent
Debraize, maire de Champignolles dans l’Eure sera jugé le 11 juillet.
20/06/2017 à 06:33 par hugo.blin
Vincent Debraize souhaite rétablir sa vérité. C’est ce que martelait
son avocat, Maître Antoine Lachenaud quand nous l’avons contacté
dimanche 18 juin. Le maire de Champignolles devait donner hier une
conférence de presse devant sa mairie pour revenir sur l’affaire de
l’agression présumée de NKM, chose qui ne s’est pas produite en raison
de la poursuite de la garde à vue commencée samedi 17 juin pour
l’agression de la députée de Paris Nathalie Kosciuzko-Morizet.
Jugé pour violences et outrage
L’agresseur présumé de Nathalie Kosciusko-Morizet sera présenté au
tribunal à Paris, lundi 19 juin 2017, dans l’après-midi, pour y être
jugé en comparution immédiate pour violences et outrage « sur une personne chargée d’une mission de service public »,
a appris l’AFP de source judiciaire. Les faits se sont produits jeudi
15 juin. Placé en garde à vue samedi 18 juin, Vincent Debraize, 55 ans, « a reconnu avoir insulté » la candidate LR, lors de leur altercation jeudi 15 juin sur un marché de la capitale, mais a contesté « tout contact physique », selon une source proche de l’enquête. Dès lors, Vincent Debraize risque jusqu’à trois ans de prison et 45 000 € d’amende
Jugé le 11 juillet
Le procès de l’agresseur présumé de Nathalie Kosciusko-Morizet a été
renvoyé au 11 juillet, a décidé lundi le tribunal correctionnel de Paris
qui devait le juger en comparution immédiate dans l’après-midi.
Le suspect, Vincent Debraize, qui a demandé un délai pour préparer sa
défense, a été placé sous contrôle judiciaire d’ici à sa prochaine
comparution: il lui est interdit d’entrer en contact avec NKM et de
paraître à proximité du domicile de la candidate LR battue dimanche aux
législatives, selon l’AFP
Confronté à NKM
D’après l’AFP, Vincent Debraize a été confronté à Nathalie Kosciuzko-Morizet dans l’après-midi de samedi. « Mais il nie les faits » de violences et les accusations d’agression verbales, a déclaré Xavier Autain, l’avocat de NKM qui ajoute : « c’est une agression grave sur une élue de la République et j’espère une réponse de l’institution judiciaire à la hauteur. »
Expliquer sa version des faits
La candidate avait été hospitalisée après cette altercation puis était restée en observation.
Le maire de Champignolles estime de son côté que « la presse a monté l’affaire en épingle ». Pour lui, il ne s’agirait « pas d’une agression mais d’une altercation ».
Commentant le traitement médiatique de l’affaire, Maître Lachenaud,
son avocat, considère que les faits parus dans la presse (notamment
nationale) sont inexacts. « Nous apporterons au jugement des faits plus détaillés »,
en donnant une autre version de la réalité qui pourrait bien changer la
vision globale de la scène. Il précise que son client n’a « rien à se reprocher ». Déplorant que dans cette affaire seuls « NKM et l’hôpital aient pu s’exprimer », la garde à vue de Vincent Debraize étant intervenue et ayant été prolongée, elle l’a empêchée de donner sa version des faits. « Il est déterminé », précise son avocat.
A Champignolles, le conseil fait bloc autour du maire Vincent Debraize
On notait un absent dimanche 18 juin à la traditionnelle messe à
l’église de Champignolles pour la Saint-Jean célébrée par le Père
Délogé : le maire Vincent Debraize toujours en garde à vue à Paris.
Après cette affaire qui a mis la plus petite commune de l’Eure sous les
feux des projecteurs : « Nous avons songé tout
d’abord à annuler la messe mais pour Vincent, qui est très attaché à
cette tradition qu’il perpétue depuis qu’il a été élu en 2008, et qui
constitue un jour de fête pour notre commune, nous l’avons maintenue. Je
pense que nous avons bien fait. Au conseil, nous restons solidaires de
notre maire et lui apportons tout notre soutien dans les moments
difficiles qu’il doit traverser », a confié le 1er adjoint
Jean-Louis Hermier. Peu de commentaires sur cette affaire qui agite les
médias depuis quelques jours chez les habitants. « No, comment, on ne sait pas ce qui s’est vraiment passé à Paris, on ne peut donc pas juger », a seulement consenti à dire l’ancien maire Claude Poulain. Même son de cloche du côté d’un habitant qui a estimé qu’« On
le présente dans les médias comme quelqu’un d’agité, voir violent, ce
qui est loin du personnage que l’on connaît. Qui a des convictions,
certes, mais qui aime le débat. C’est un Maire très apprécié et proche
des gens » a témoigné un conseiller. Tristesse donc, du côté de l’équipe municipale qui fait bloc autour du 1er magistrat. « Ce que l’on souhaite avant tout c’est qu’on le laisse s’exprimer et qu’il puisse apporter sa vérité sur cette histoire ».
Pic et pic et colégram, Bour et bour et ratatam, Am, stram, gram ; Pic ! monsieur ; Pic ! madame ;
Pique nique-douille, C’est toi l’andouille, Dans un plat de nouilles, A la sauce à la grenouille, Mais comme le Roi Ne le veut pas, Ce ne sera pas toi ! Au bout de trois… Un, deux, trois !
Même le perchoir lui passe sous le bec...
LE CORBEAU ET LE RENARD
Maître Corbeau, sur un arbre perché,
Tenait en son bec un fromage.
Maître Renard, par l’odeur alléché,
Lui tint à peu près ce langage :
Et bonjour, Monsieur du Corbeau,
Que vous êtes joli ! que vous me semblez beau !
Sans mentir, si votre ramage
Se rapporte à votre plumage,
Vous êtes le Phénix des hôtes de ces bois.
À ces mots le Corbeau ne se sent pas de joie,
Et pour montrer sa belle voix,
Il ouvre un large bec, laisse tomber sa proie.
Le Renard s’en saisit, et dit : Mon bon Monsieur,
Apprenez que tout flatteur
Vit aux dépens de celui qui l’écoute.
Cette leçon vaut bien un fromage sans doute.
Le Corbeau honteux et confus
Jura, mais un peu tard, qu’on ne l’y prendrait plus.
A noter : la cybercriminelle Annie Luraghi envoie un peu partout des
lettres recommandées avec accusé de réception pour m’accuser
mensongèrement de n’importe quoi…
Richard Ferrand, réélu député du Finistère lors des élections
législatives, quitte le Ministère de la Cohésion des territoires.
L’annonce a été faite ce lundi, après une réunion avec Emmanuel Macron.
Richard Ferrand devient président du groupe La République En Marche à
l’Assemblée Nationale.
Un mois et deux jours après sa nomination au Ministère de la Cohésion des territoires, Richard Ferrand démissionne du gouvernement. Il va prendre la tête du groupe La République En Marche à l’Assemblée Nationale. Réélu député de la 6e circonscription du Finistère lors des élections législatives, Richard Ferrand siégera donc à l’hémicycle.
Depuis l’ouverture d’une enquête préliminaire
portant sur ses transactions immobilières lorsqu’il était directeur des
Mutuelles de Bretagne, Richard Ferrand semblait menacé au gouvernement,
même si le Premier Ministre lui avait réitéré sa confiance à plusieurs
reprises. Avec cette nomination comme président du groupe LREM à l’Assemblée, c’est une porte de sortie toute trouvée pour Richard Ferrand.
Trois petits tours et puis s’en va …
Les filles en « ie » ne te vont pas
Elles ne sont pas faites pour toi
Elles savent comment te faire plaisir
Comment faire monter ton désir
Mais tout ça te mène au délire
Les filles qui commencent en « A »
Ont un petit je ne sais quoi
Mais il ne faut pas sauter le pas
Elles te porteront au trépas
Elles ne peuvent que te faire souffrir
Jusqu’à faire palir ton sourire
Les filles en « ie » ne te valent pas
Ne te berce pas de leurs voix
Elles ne sont pas comme tu les vois
Les filles qui finissent par un » ie »
Sont bien trop proches du mot vie
Qui rime avec le mot fini
Ne te laisse pas porter par elles
Un jour elles te couperont les ailes
Ce sont de drôles de volatiles
Leurs vies ne tiennent qu’à un seul fil
Elles ont un petit je ne sais quoi
Qui fait qu’un jour çà te perdra
Leurs prénoms les rendent difficilles
Ces filles ne sont pas des dociles
Ces filles-là ne te comprennent pas
Elles ne voient pas l’amour comme toi
Ne te couche pas dans leurs draps
Elles te disent » je t’aime » comme çà
Trois petits tours et puis s’en va
Elles vont où le vent les portera
Ces trop jolies prénoms de filles
Ont un très fort impact sur toi
Mais je t’en prie ferme les yeux
Tu ne peux qu’être malheureux
Ces filles ne sont pas comme tu veux
Cette fille qui commence par A
S’il te plait ne la revois pas
Elle ne peux pas te rendre heureux
Son prénom fini par un « ie »
Elle n’a su que gacher ta vie
Et tes larmes ne changeront pas
Tout ce qu’elle a brisé en toi
Mais ne pars, non pas comme ça
Elle ne t’a pas laissé le choix
Mais son coeur à souffert comme toi
Dis lui je t’aime une dernière fois
Trois petits tours et puis s’en va …
La garde à vue de Vincent Debraize, agresseur présumé de NKM, a été prolongée
18/06/2017 à 13h47
Le suspect a été placé en garde à vue samedi matin pour »violences
volontaires sur personne chargée d’une mission de service public ».
Nathalie Kosciusko-Morizet a été confrontée samedi après-midi à l’homme soupçonné de l’avoir agressée jeudi à Paris. L’intéressé, Vincent Debraize, maire d’un petit village de l’Eure,
s’était rendu de lui-même au commissariat samedi matin, à la
convocation des policiers chargés de l’enquête. Il avait été placé en
garde à vue »pour des faits de violences volontaires sur personne
chargée d’une mission de service public ».
Devant la police, le suspect a nié « les faits » de violence et les
accusations d’agressions verbales, a déclaré à l’AFP Xavier Autain,
l’avocat de NKM.
Alors que Vincent Debraize avait indiqué vouloir s’exprimer dimanche
devant la presse, dans son village de Champignolles, sa garde à vue a
été prolongée de 24 heures, jusqu’à lundi matin 8h30 maximum, a fait
savoir son avocat à BFMTV.
Des auditions de témoins prévues
Des auditions de témoins sont notamment prévues dimanche. Selon
l’entourage de Nathalie Kosciusko-Morizet, cette dernière a
« formellement reconnu » le suspect lors de la confrontation organisée
par la police,rapporteLe Parisien.
Après cette agression, l’élu avait pris la fuite et était parti vers
la bouche de métro la plus proche. Photographié, son visage avait été
diffusé dans les médias et le parquet de Paris avait ouvert une enquête
immédiatement pour « violences volontaires ».
« Il a été identifié après des témoignages et grâce à l’exploitation
de la vidéo-surveillance », a expliqué une source policière à l’AFP.
Liv Audigane avec Alexandra Gonzalez
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Qui est Vincent Debraize, l’homme suspecté d’avoir agressé NKM?
09h00 , le 18 juin 2017, modifié à 10h24 , le 18 juin 2017
L’homme à l’origine de la perte de connaissance de la candidate
Nathalie Kosciusko-Morizet et qui a été placé en garde à vue
s’appelle Vincent Debraize et est maire d’une petite commune de l’Eure.
Est-ce la défaite d’Henri Guaino, ancienne plume de Nicolas Sarkozy et
candidat éliminé dès le premier tour dans la même circonscription que
NKM, qui a provoqué la colère de Vincent Debraize ? Ce maire sans
étiquette de la paisible commune de Champignolles dans l’Eure – 38
habitants au dernier recensement – faisait partie des 33 élus qui lui
avaient apporté son parrainage. Il invite la presse devant sa mairie
dimanche à midi pour expliquer son geste contre NKM… Interrogé par L’Obs,
Henri Guaino a démenti, de son côté, toute proximité avec Debraize. En
2014, ce dernier s’était manifesté en lançant une pétition contre
l’insécurité dans les zones rurales. Un de ses conseillers municipaux
avait été victime d’une tentative de cambriolage.
Vincent Debraize a été placé en garde à vue
Vendredi soir, après son identification par la police, le
quinquagénaire, qui a entamé en 2014 son deuxième mandat de maire, a
répondu à la convocation des enquêteurs qui l’ont placé en garde à vue.
Avant de quitter Champignolles, où il préparait les fêtes de la
Saint-Jean, l’élu a expliqué à ses adjoints qu’il était l’homme
recherché depuis la veille. Pour avoir agressé NKM, il est susceptible
d’être poursuivi pour « violences volontaires sur personne chargée d’une
mission de service », même si son avocat démentait hier soir le terme
« d’agression ».
Sur les images vidéo disponibles, on voit un homme jeter ses tracts
au visage de Nathalie Kosciusko-Morizet avant que la candidate LR tombe
et perde connaissance. Elle sera hospitalisée une nuit en observation à
l’hôpital Cochin. Un journaliste de l’AFP présent aux côtés de NKM, qui
faisait campagne sur le marché de la place Maubert dans le 5e
arrondissement de Paris, dit avoir clairement entendu l’homme pester
« bobo de merde ». Il aurait ajouté « C’est votre faute si on a Hidalgo
dimanche comme maire », lançant également : « Retournez dans
l’Essonne! » Vincent Debraize a ensuite pressé le pas pour prendre le
métro, pensant ne pas être reconnu… Le choc de NKM a ému la classe
politique et le Premier ministre, Édouard Philippe, est venu la visiter à
l’hôpital. Son adversaire de LERM qui fait la course en tête avec plus
de 41 % des voix dimanche, a arrêté sa campagne. Nathalie
Kosciusko-Morizet, qui s’est déclarée très secouée, n’a pas non plus
terminé sa campagne. C’est sa suppléante qui a honoré ses derniers
engagements. Au premier tour, NKM avait essuyé un camouflet en ne
réunissant que 18,5 % des suffrages. La vague de sympathie qu’elle a
suscitée aura sans doute un effet dans les urnes. Pas sûr cependant
qu’elle inverse la tendance…
Un maire de Normandie suspecté de l’agression contre NKM
>Faits divers|Valérie Hacot et Benoît Hasse|18 juin 2017, 7h39|5
1/2
Valérie Hacot et Benoît Hasse
Vincent Debraize, élu local normand, a été placé en garde à vue hier.
Particularité : c’était l’un des rares maires à avoir parrainé Henri
Guaino à la présidentielle.
Fin mai, il lançait une pétition auprès de ses administrés pour
dénoncer l’insécurité dans les campagnes. Hier, Vincent Debraize, le
maire sans étiquette de Champignolles, un village de 33 âmes dans
l’Eure, a été placé en… garde à vue pour des faits de violences volontaires
sur personnes chargées d’une mission de service public. Identifié grâce
à des images de vidéosurveillance et des témoignages, ce chef
d’entreprise de 54 ans est soupçonné d’avoir agressé Nathalie
Kosciusko-Morizet jeudi dernier sur le marché Maubert, dans le Ve arrondissement de Paris. Hier après-midi, la candidate LR dans la 2e circonscription
de Paris l’a, selon son entourage, « formellement reconnu » lors d’une
confrontation organisée par les policiers.
Avant même de répondre à la convocation de la police, Vincent
Debraize confiait dès vendredi soir à certains de ses administrés qu’il
était bien l’auteur de l’altercation avec l’ex-ministre : « Il a passé
toute la journée à Champignolles pour préparer les festivités autour de
notre église qui accueille ce week-end la messe annuelle », raconte un
adjoint de l’élu local. « Le soir, il a dit à des collègues qu’il devait
remonter sur Paris parce qu’il était convoqué à la police. Et il leur a
expliqué pourquoi », poursuit le colistier de Vincent Debraize qui
avait reconnu « son » maire sur les images diffusées dans les médias. «
Je ne lui ai pas demandé de comptes. Cela ne me regarde pas. » Selon
l’avocat de NKM, le maire n’a pas reconnu les faits durant sa garde à vue hier.
Vincent Debraize figure parmi les 33 élus qui ont accordé leur
parrainage à Henri Guaino pour la présidentielle. L’ancienne plume de
Nicolas Sarkozy, député sortant des Yvelines où il ne se représentait
pas, était un des concurrents de NKM dans cette circonscription. Eliminé
dès le premier tour, il s’était insurgé contre des électeurs « bobos »,
« à vomir ». Jeudi dernier, le maire de Champignolles — qui avait
qualifié NKM de « bobo de merde » en lui renvoyant ses tracts au visage —
aurait-il été inspiré par Henri Guaino ? « Je ne connais pas ce
monsieur. Je l’ai rencontré une fois avec mes équipes durant la campagne
des législatives », balaie Guaino, joint hier au téléphone. Ajoutant
qu’il « condamne la violence en politique, même si, en l’état, on ne
sait pas encore ce qui s’est passé » et récuse toute responsabilité : «
J’ai bien le droit de dire que je n’aime pas les bobos ! Ceux qui veulent me faire porter le chapeau dans cette affaire iront devant les tribunaux. »
Les proches de la candidate dénoncent en tout cas le climat de
violence qui a régné durant la campagne. « On a passé notre temps à dire
que nos dissidents (NDLR : les deux candidats de droite, Henri Guaino
et Jean-Pierre Lecoq, le maire du VIe arrondissement) étaient
dans la violence permanente », assure un des conseillers de
l’ex-ministre de l’Ecologie. De quoi faire sortir de ses gonds Guaino : «
Cette campagne n’a pas été violente. La dernière fois que j’ai croisé
NKM, pour la Fête des mères, je lui ai offert une rose. Ce genre de
remarque est pitoyable et mensongère. Si on en est là pour émouvoir
l’opinion, on est vraiment mal parti. »
En mauvaise posture à la veille du second tour — elle est largement
devancée par Gilles Le Gendre, le candidat En Marche ! —, NKM ne se
rendra pas au bureau de vote aujourd’hui : « Elle a un traumatisme
crânien, elle est astreinte au repos », précise un soutien. Lorsqu’ils
ont recueilli la déposition de la candidate jeudi, les policiers lui ont
ainsi fait une procuration afin qu’elle puisse tout de même voter. Elle
ne participera pas non plus à la soirée électorale.
A Champignolles, les proches de Vincent Debraize comptent encore sur
lui aujourd’hui pour qu’il tienne le seul bureau de vote de la ville.
Ils risquent d’être déçus… Hier soir sa garde à vue a été prolongée.
Jets d’oeufs, enfarinages…
Du jet de farine à la gifle, plusieurs politiques ont été victimes d’agressions pendant leur campagne.
28 mai 2017 : un verre d’eau sur El Khomri. Un
militant d’ultragauche est arrêté à Paris après avoir jeté un verre
d’eau sur l’ex-ministre du Travail Myriam El Khomri, dont la loi a fait
l’objet d’une vive contestation. Il doit être jugé en octobre pour «
violences avec arme par destination ».
6 avril 2017 : Fillon enfariné. François Fillon,
candidat les Républicains à la présidentielle, est victime d’un jet de
farine par deux hommes de 25 et 28 ans, dont l’un est fiché S, alors
qu’il traverse la foule pour prononcer un discours lors d’un meeting, à
Strasbourg.
29 mars 2017 : agressions à Rennes. Deux élus LR,
Bertrand Plouvier et Amélie Dhalluin, sont agressés dans un café de
Rennes, lors d’une réunion de soutien à François Fillon, par un
groupuscule qui les traite de « fachos » et les arrose d’urine et de
soupe de poisson.
1er mars 2017 : un oeuf pour Macron. Emmanuel
Macron, alors candidat, reçoit un oeuf sur le crâne lors de sa visite au
Salon de l’agriculture. « Cela fait partie du folklore », estime-t-il.
18 janvier 2017 : Valls giflé. Un jeune homme de 18
ans tente de gifler l’ex-Premier ministre Manuel Valls, candidat à la
primaire organisée par le PS en vue de la présidentielle, alors que ce
dernier serre des mains à Lamballe (Côtes-d’Armor).
22 décembre 2016 : Valls enfariné. Manuel Valls est
enfariné par un opposant, à l’entrée d’un café de Strasbourg, lors d’un
déplacement de campagne.