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mercredi 11 septembre 2024

François Cogné, grand-père de Jean-François Lemaire : des origines à Saint-Chamond

En juin et juillet derniers, j'ai commenté à travers plusieurs articles l'affaire de pédocriminalité révélée par Inès Chatin, fille adoptive du médecin parisien Jean-François Lemaire et de son épouse Lucienne Chatin, de la famille Gillet, des industriels lyonnais :

http://satanistique.blogspot.com/2024/07/maison-gillet-fils-fabricant-de-soiries.html

Cette derniere est née à Izieux, dont le médecin Roger Baudy, le père de l'escroc lyonnais Patrick Baudy, fut le maire après son retour de déportation en 1945 et 1946.

La commune d'Izieux a été absorbée le 14 mars 1964 par celle de de Saint-Chamond, avec Saint-Martin-en-Coailleux et Saint-Julien-en-Jarez.

Jean-François Lemaire et Lucienne Chatin s'étaient mariés l'année précédente, en juin 1963.

Jean-François Lemaire était le petit-fils d'une célébrité, le sculpteur François Victor Cogné, originaire de l'Aveyron, comme je l'ai déjà indiqué dans ces deux articles :

http://satanistique.blogspot.com/2024/06/pedocriminels-de-la-rue-du-bac-de.html

http://satanistique.blogspot.com/2024/07/claude-imbert-journaliste-pedocriminel.html

Concernant la généalogie de François Victor Cogné, je n'étais alors remontée qu'à ses grands-parents en notant que son grand-père paternel Jean Cogné ou Coignet, briquetier, était originaire de Saint-Jean-Bonnefonds dans la Loire, près de Saint-Chamond.

Or, il semble que cette famille Coignet trouve ses origines dans l'ancienne commune de Saint-Martin-en-Coailleux faisant aujourd'hui partie de Saint-Chamond, tout comme Izieux.

Voici l'acte de mariage de Jean Coignet le 12 février 1846 à Decazeville, dans l'Aveyron, indiquant qu'il est né à Saint-Jean-Bonnefonds le 29 mai 1824 et est le fils d'Etienne Coignet, briquetier, et de son épouse Marie Colin, sans profession, tous deux étant domiciliés à Decazeville :



Et son acte de naissance indiquant que son père est alors cloutier :

 


Acte de mariage de son père, Etienne Coignet, journalier, fils de Christophe, cloutier, et de Marie Labret, le 25 octobre 1823 à Saint-Jean-Bonnefonds, avec Jeanne Marie Collin, passementière :

 


 

La généalogie de celui-ci se retrouve sur le site Geneanet :

https://gw.geneanet.org/bsanchis?n=coignet&oc=3&p=etienne

  • Né le 28 février 1802 - St-Jean-Bonnefonds, 42, Loire, France
  • Décédé
  • Journalier

 Parents

 Union(s)

  • Marié le 25 octobre 1823, St-Jean-Bonnefonds, 42, Loire, France, avec Jeanne-Marie COLLIN 1804-

  Fratrie

  Aperçu de l'arbre

Antoine COIGNET ca 1730-/1791   Catherine POIZAT ca 1730-   André LEBRET ca 1725-   Jeanne LINOSSIER 1724-
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Christophe COIGNET 1760-
 
Marie LEBRET 1764-

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Etienne COIGNET 1802-


Descendants de

Jusqu'à la 4e génération.

Antoine COIGNET ~1730-/1791 & Catherine POIZAT
  Jacques COGNET 1755-/1827 &1777 Gasparde MURGUE &1785 Catherine CHOVET
   Jeanne-Marie COGNET ~1785- &1812 Antoine FIASSON
    Christophe FIASSON 1815- &1835 Jeanne-Marie MURAT
    Antoinette FIASSON 1820- &1842 Jean-Baptiste THEVENON
   Marguerite COGNET ~1787- &1804 Claude CELLARIER
    Jacques CELLARIER 1805-
    Mathieu CELLARIER 1808- &1831 Fleurie PITAVAL
     Marguerite CELLARIER 1834-
    Gabriel CELLARIER 1812- &1835 Marguerite RIOCREUX
    Antoinette CELLARIER 1814-/1857 &1834 Mathieu TARDY
     Marguerite TARDY 1837-
   Christophe COGNET 1785- &1836 Elisabeth RUEL
   Marguerite COGNET ~1790- &1816 Jean-Baptiste BACHER
    Louis BACHER 1816- &1841 Anne GRENOTIER &1852 Anne-Marie BERAUD
    Marie-Louise BACHER 1818- &1840 Jean-Marie GRANOTTIER
    Antoine BACHER 1820- &1843 Françoise GRANOTTIER
    Marguerite BACHER 1825- &1844 Joseph GEAI
   Antoinette COGNET 1792- &1814 Jean TARDY
    Jacques TARDY 1815- &1841 Catherine FIASSON
    Claudine TARDY 1822- &1846 Jean-Baptiste THEVENON
    Jeanne TARDY 1829- &1851 Claude REVOLIER
    Louis TARDY 1833- &1863 Marguerite CELLARIER
   Marguerite COGNET 1800- &1818 Claude MARCOUX &1827 Jacques SERVANTON
  Christophe COIGNET 1760- &1784 Marie LEBRET
   Jeanne Marie COIGNET 1785- &1816 Francois CAMIER
    Etienne CAMIER 1818- &1839 Claudine MAZENOD
   Marie COIGNET ~1790- &1815 Jean FONTVIEILLE
   Claudine COIGNET 1794- &1822 Claude PICHON
    Jeanne-Marie PICHON 1826- &1853 François PICHON
    Benoite PICHON 1838- &1868 Pierre DEVUN
     Jean-Pierre DEVUN 1867-
     Claudine DEVUN 1874-
   Etienne COIGNET 1802- &1823 Jeanne-Marie COLLIN
  Pierre COIGNET ~1760-
  Jacques COIGNET 1763-/1833 &1791 Claudine PICHON &1807 Antoinette PORTE
   Etiennette COGNET 1793- &1829 Claude LINOSSIER
    Antoinette LINOSSIER 1832- &1856 Jean-Pierre ARGAUD
   Louise COGNET 1795- &1822 Claude PRUDHOMME
    Elisabeth PRUDHOMME 1824- &1845 Jean-Michel PEUBLE
   Pierre COIGNET 1798- &1818 Jeanne PINATEL
    Jacques COIGNET 1819- &1847 Florine DURAND
    Etiennette COIGNET 1824- &1851 Jean-Marie TARDY
    Elisabeth COIGNET 1831- &1851 Jean Claude PONSONNARD
    Jean COGNET 1836- &1862 Marie-Anne BREAT
   Louise COGNET 1800-/1851 &1822 Jean REVOLIER
    Claude REVOLIER 1825- &1851 Jeanne TARDY
    Jean-Marie REVOLIER 1827- &1857 Marguerite TARDY
    Jean REVOLIER 1834- &1856 Benoîte MALHAIRE
    Marguerite REVOLIER 1837- &1857 Claude ABRIAL
   Antoinette COIGNET 1808- &1830 Jean VERROT
    Pierre VERROT 1832- &1856 Antoinette VALLON
    Louise VERROT 1835- &1857 Jean COGNET
   Jean-Baptiste COGNET 1810-/1862 &1833 Marie ROYON
    François COGNET 1834-/1890 &1855 Antoinette ORIOL
     Antoine COGNET 1863-
    Catherine COGNET 1840- &1863 Joseph PICHON
    Antoinette COGNET 1843- &1862 Jean-Baptiste DELORME
   Pierre COIGNET ~1815-
   Jean-Baptiste COGNET 1817- &1842 Claudine LOUISON
    Antoinette COGNET 1843- &1864 François LOUAT
   Marguerite COIGNET 1819- &1838 Vital FIASSON
  Jean-Baptiste COGNET ~1770- &1797 Marie-Antoinette MONTAGNY &1802 Marguerite BERTHON
   Jacques COIGNET 1804- &1828 Marie JOUBERT
   Anne COGNET 1810- &1832 Jean TARDY
   Gaspard COGNET 1814- &1837 Françoise BAYLE

 

Antoine Coignet est également cloutier :

https://gw.geneanet.org/grangemc?lang=fr&pz=michel+claude&nz=grange&p=anthoine&n=coignet

Sosa : 140
  • Né le 24 février 1730 (vendredi) - Janon - Saint-Jean-Bonnefonds, 42237, Loire, Rhône-Alpes, FRANCE
  • Baptisé le 25 février 1730 (samedi) - Saint-Jean-Bonnefonds, 42237, Loire, Rhône-Alpes, FRANCE
  • Décédé le 14 août 1774 (dimanche) - Saint-Jean-Bonnefonds, 42237, Loire, Rhône-Alpes, FRANCE, à l'âge de 44 ans
  • Cloutier
1 média disponible

 Parents

  • sosa Jacques COIGNET, né le 20 mai 1704 (mardi) - Saint-Jean-Bonnefonds, 42237, Loire, Rhône-Alpes, FRANCE, décédé le 13 mai 1782 (lundi) - Saint-Jean-Bonnefonds, 42237, Loire, Rhône-Alpes, FRANCE à l'âge de 77 ans,
    Cloutier

    Marié le 23 janvier 1725 (mardi), Saint-Jean-Bonnefonds, 42237, Loire, Rhône-Alpes, FRANCE, avec
  • sosa Jeanne TISSOT, née le 11 mars 1694 (jeudi) - Saint-Étienne, 42218, Loire, Rhône-Alpes, FRANCE, décédée le 26 mars 1754 (mardi) - Saint-Jean-Bonnefonds, 42237, Loire, Rhône-Alpes, FRANCE à l'âge de 60 ans

 Union(s), enfant(s), petits-enfants et arrière-petits-enfants

  Fratrie

 Notes

Décès

peut être décédé à Saint Etienne

 Sources

  • Baptême: Saint-Jean-Bonnefonds.-Baptêmes, Mariages, Sépultures. - 3NUMRP1/1MIEC238X2 - De 1724 à 1733 - /rp2/1miec238x02/ad04209_1miec238x2_00010_c - Visualiseur - Acte de Baptême de COIGNET Anthoine (1730-1774) - http://www.archives.archinoe.com/v2/ad42/visualiseur/index.html - - Numerisation
  • Union: Saint-Jean-Bonnefonds.-Baptêmes, Mariages, Sépultures. - 3NUMRP5/1MIEC238X2 - De 1753 à 1757 - /rp2/1miec238x02/ad04209_1miec238x2_00423_c - Visualiseur - Acte de Mariage religieux de COIGNET Anthoine (1730-1774) avec POISAT Catherine (1733-1771) - http://www.archives.archinoe.com/v2/ad42/visualiseur/index.html - - Numerisation

  Photos & documents

Coignet Anthoine bapteme

Coignet Anthoine bapteme

  Aperçu de l'arbre

sosa Mathieu COIGNET 1671-/1725   sosa Anthoinette DUBREUIL   sosa Anthoine TISSOT ca 1655-/1725   sosa Marie REVOLLIER 1665-1707
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sosa Jacques COIGNET 1704-1782
 
sosa Jeanne TISSOT 1694-1754

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sosa Anthoine COIGNET 1730-1774








Jacques Coignet est encore cloutier, fils de laboureur cloutier :

https://gw.geneanet.org/grangemc?lang=fr&pz=michel+claude&nz=grange&p=jacques&n=coignet












Sosa : 280
  • Né le 20 mai 1704 (mardi) - Saint-Jean-Bonnefonds, 42237, Loire, Rhône-Alpes, FRANCE
  • Décédé le 13 mai 1782 (lundi) - Saint-Jean-Bonnefonds, 42237, Loire, Rhône-Alpes, FRANCE, à l'âge de 77 ans
  • Cloutier

 Parents

  • sosa Mathieu COIGNET, né en 1671, décédé avant 23 janvier 1725,
    Laboureur Cloutier

    Marié le 23 octobre 1696 (mardi), Saint-Julien-en-Jarez, Loire, Rhône-Alpes, FRANCE, avec
  • sosa Anthoinette DUBREUIL

 Union(s), enfant(s), petits-enfants et arrière-petits-enfants

  Fratrie

  • F Jeanne COIGNET 1701-
  • H sosa Jacques COIGNET 1704-1782 Marié le 23 janvier 1725 (mardi), Saint-Jean-Bonnefonds, 42237, Loire, Rhône-Alpes, FRANCE, avec sosa Jeanne TISSOT 1694-1754
    Jacques COIGNET 1704-1782 Marié le 25 octobre 1763 (mardi), Saint-Jean-Bonnefonds, 42237, Loire, Rhône-Alpes, FRANCE, avec Catherine GRANGIER
(masquer)

 Événements

20 mai 1704 : Naissance - Saint-Jean-Bonnefonds, 42237, Loire, Rhône-Alpes, FRANCE
Date de naissance : 20/05/1704
Date de baptême : 22/05/1704
Nom : Coignet Prénoms : Jacques
Prénoms père : Mathieu (+)
Prénoms mère : Antoinette Nom mère : Dubreuil
Lieu d'origine père : Boissonnière Paroisse : St-Jean Bonnefond
Note parrain : Jacques Terrasse dudit lieu
Note marraine : Jacquemette Guillaume de chez Cabanis
Notes témoin : Antoine Guillaume dudit lieu et Jean Guillaume de la Boissonnery
Cote / Source : 1697-1704 page 100
23 janvier 1725 : Mariage (avec Jeanne TISSOT) - Saint-Jean-Bonnefonds, 42237, Loire, Rhône-Alpes, FRANCE
Sources: Saint-Jean-Bonnefonds.-Baptêmes, Mariages, Sépultures. - 3NUMRP1/1MIEC238X2 - De 1724 à 1733 - /rp2/1miec238x02/ad04209_1miec238x2_00010_c - Visualiseur - Acte de Mariage religieux de COIGNET Jacques (1704-1782) avec TISSOT Jeanne (1694-1754) - http://www.archives.archinoe.com/v2/ad42/visualiseur/index.html - - Numerisation
1730 : Résidence - Village de Janon - Saint-Jean-Bonnefonds, 42237, Loire, Rhône-Alpes, FRANCE
25 octobre 1763 : Mariage (avec Catherine GRANGIER) - Saint-Jean-Bonnefonds, 42237, Loire, Rhône-Alpes, FRANCE
13 mai 1782 : Décès - Saint-Jean-Bonnefonds, 42237, Loire, Rhône-Alpes, FRANCE

  Aperçu de l'arbre

sosa Etienne COIGNET 1628-1681   sosa Jeanne MAZENOD 1628-1687   sosa Antoine DUBREUIL †/1696   sosa Françoise BERLIER
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sosa Mathieu COIGNET 1671-/1725
 
sosa Anthoinette DUBREUIL

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sosa Jacques COIGNET 1704-1782

 

Etienne Coignet est laboureur fils de laboureur, de Sorbiers :

https://gw.geneanet.org/grangemc?lang=fr&pz=michel+claude&nz=grange&p=etienne&n=coignet

Sosa : 1 120
  • Né en 1628 - Sorbiers, 42302, Loire, Rhône-Alpes, FRANCE
  • Décédé le 21 novembre 1681 (vendredi) - Saint-Étienne, 42218, Loire, Rhône-Alpes, FRANCE, à l'âge de 53 ans
  • Laboureur

 Parents

  • sosa François COIGNET, né vers 1590 - Sorbiers, 42302, Loire, Rhône-Alpes, FRANCE, décédé avant 1640 - Sorbiers, 42302, Loire, Rhône-Alpes, FRANCE,
    Laboureur

    Marié avant 1615, Sorbiers, 42302, Loire, Rhône-Alpes, FRANCE, avec
  • sosa Antoinette SEVE, née vers 1598 - Sorbiers, 42302, Loire, Rhône-Alpes, FRANCE, décédée le 13 novembre 1650 (dimanche) - Sorbiers, 42290, Loire, Auvergne-Rhône-Alpes, FRANCE à l'âge d'environ 52 ans

 Union(s), enfant(s), petits-enfants et arrière-petits-enfants

  Fratrie

 Sources

  • Naissance, décès: Import GEDCOM du 31 décembre 2019 - ma genealogie - Gedcom File - Fichier : grangemc.ged -
  • Union: Import GEDCOM du 31 décembre 2019 - ma genealogie - Gedcom File - Fichier : grangemc.ged

  Aperçu de l'arbre

sosa Antoine COIGNET ca 1570-/1631   sosa Antoinette PACALET †1631/    
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sosa François COIGNET ca 1590-/1640
 
sosa Antoinette SEVE ca 1598-1650

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sosa Etienne COIGNET 1628-1681


























Descendants de

Jusqu'à la 15e génération.

Antoine COIGNET ~1570-/1631 &/1590 Antoinette PACALET
  François COIGNET ~1590-/1640 &/1615 Antoinette SEVE
   Jean COIGNET 1615-1652
   Pierre COIGNET 1618-1661
   Jean COIGNET 1622-1651
   Nicolas COIGNET 1623-1649
   Claude COIGNET 1626-1660
   Etienne COIGNET 1628-1681 &1650 Jeanne MAZENOD
    Antoine COIGNET 1650-
    Pernette COIGNET 1652-
    Benoîte COIGNET 1654-
    Jean COIGNET 1663-1717
    Antoinette COIGNET 1667-
    Mathieu COIGNET 1671-/1725 &1696 Anthoinette DUBREUIL
     Jeanne COIGNET 1701-
     Jacques COIGNET 1704-1782 &1725 Jeanne TISSOT &1763 Catherine GRANGIER
      Jean COIGNET 1726-
      Anthoine COIGNET 1730-1774 &1754 Catherine POISAT
       Jacques COIGNET 1755-
       Marguerite COIGNET 1757-1757
       Christophe COIGNET 1759-
       Jacques COIGNET 1762-1829
       Pierre COIGNET 1766-
       Jean Baptiste COIGNET 1768-1845 &1797 Jeanne Marie Antoinette MONTAGNEY &1802 Marguerite BERTHON
        Marie COIGNET 1801-1858 &1822 Antoine MONMÉAT
         Marguerite MONMÉAT 1823-1870 &1840 Antoine GRANGE
          Antoine GRANGE 1843-1891 &1869 Marie Antoinette PY
           Antoine GRANGE ~1872-1873
           Gaston GRANGE 1874-1943 &1896 Camille Eugénie GUILLIERMIER &1914 Fernande Mélina BERTHOD
            Gaston GRANGE 1914-2004 & Jeanne Joséphine PROST
             Colette GRANGE
             Annie GRANGE
            Fernand GRANGE 1918-2007 &1940 Jeanne Marie Angèle CHASSOUANT & Paulette CAMUSARD
             Michel Claude GRANGE & Marie-Thérèse LEGRAND
              Aline Michèle Bernadette GRANGE & Jean Pascal CHARON
               Fabian CHARON
               Anaïs CHARON & Jessy MOINE
                Janne MOINE
              Anne-Marie GRANGE & Didier BONATO & Cédric KRATTER
               Noé BONATO
               Léna KRATTER
              Guilaine GRANGE & Jérémie ONIMUS
               Nathanaël ONIMUS
               Oriane ONIMUS
           Gustave Prudent GRANGE 1880- &1904 Jeanne Marie Bénédicte LE GALLO
            Jeanne GRANGE & Amand CHAVANET
             Marinette CHAVANET & Pierre QUIAUD
              Thérèse QUIAUD
             René CHAVANET & Michèle ?
             Amande CHAVANET & Robert DESHAYES
              Ludovic DESHAYES
           Jeanne GRANGE
          Marguerite GRANGE 1845-1922 &1877 Michel SIMON
           Léger SIMON 1868-
           Jean Joseph SIMON 1872-
           Marguerite SIMON 1874-
           Léonard SIMON 1876-1962 &1901 Gabrielle VITAL
          Barthélémy GRANGE ~1848-
          Jean Baptiste GRANGE ~1851-
          Marie-Alexandrine GRANGE ~1863-1875
        Jacques COIGNET 1804-1835
        Anne COIGNET 1810-
        Gaspard COIGNET 1814-
       Marguerite COIGNET
      Marguerite COIGNET 1733-
   Nicolas COIGNET †1650
   Louise COIGNET †1649
   Jeanne COIGNET †1650
   Pierre COIGNET †1655
  Jean COIGNET ~1605-1685
  Claude COIGNET ~1610-1631


 

Antoine Coignet est laboureur fils de laboureur et fermier de la rente de la Valla en Gier :


https://gw.geneanet.org/gentraide?n=coignet&oc=5&p=louis

Sosa : 4 154
Fermier de la rente de la Valla en Gier, Laboureur à Chomeols

  • Décédé entre 1599 et 1605

 Parents

 Union(s), enfant(s), petits-enfants et arrière-petits-enfants

 Sources

  • Union: M°Chaboud. Cité dans l'inventaire des biens de son fils Antoine

  Aperçu de l'arbre

|2_ sosa LA VALLA Choméol COIGNET
|--1_ sosa Louis COIGNET, Fermier de la rente de la Valla en Gier †1599..1605
|3_ sosa ? ?

 

Descendants de

Jusqu'à la 14e génération.

Louis COIGNET (Fermier de la rente de la Valla en Gier, Laboureur à Chomeols) †1599..1605 &1572 Benoîte BERTHOLON
  Blanche COIGNET &1599 Maître Antoine DUPONT (Barbier opérateur à Doizieux) &1614 André AROD (Laboureur au Mont)
   Laurence DUPONT &1614 Jérôme AROD
   Claudine DUPONT †1618/ & Jean BONNARD
   Honnête Jean DUPONT (Marchand hôte à Doizieux) †1693/ &1645 Denise MAYERY
    Jeanne DUPONT †1715 &1671 Antoine BRUDOUX (Marchand à Torrépanne)
    Catherine DUPONT ~1640-1700 &1667 François le Jeune DUCULTY (Marchand à Gromont)
     Marie DUCULTY ~1669-1749 &1685 Honnête François MATRICON (Habitant à Gromont, Consul de Doizieux, Consul de Doizieux)
      François MATRICON &1720 Marie RIVORY
      Marie MATRICON (Habitant à Gromont) &1728 Claude CHOMIÈNE
       Antoine CHOMIÈNE &1768 Louise GIRARD
        Jean Marie CHOMIÈNE &1814 Jeanne Marie FRANSON
         Antoine Benoît CHOMIÈNE &1839 Marie Catherine PAYRE
          Louise Joséphine Étiennette CHOMIÈNE &1868 Jean Antoine GIRARD (Marchand de bois)
           Marie GIRARD 1871- &1903 Pierre CROZET
        Louise CHOMIÈNE &1797 Jean Marie PITIOT
         N PITIOT
        Benoît CHOMIÈNE &1807 Marie Anne BEAUFRÈRE &1819 Ursule RIVORY
         Marie CHOMIÈNE &1830 Jean Claude BERLIER
          Françoise BERLIER 1830- &1859 Pierre Marie BERLIER
          Marie Joséphine BERLIER 1834-1875 &1856 Jean Marie BERLIER
           Antoine Marie Félix BERLIER 1861- &1899 Marie Louise Élisabeth PANEL
           Marie Louise Mélina BERLIER 1865- &1898 Jean Marie Zacharie MICOL
         Louis CHOMIÈNE &1844 Marie Catherine PAYRE
          Claudius CHOMIÈNE 1859-1928 & Rosalie CROZET
           Marie Antoinette CHOMIÈNE 1899-1990 &1927 Marius BRUYÈRE
            Marie Françoise BRUYÈRE & Joannès DÉSORMEAUX
             Monique DÉSORMEAUX
             N DÉSORMEAUX
             Alain DÉSORMEAUX & Marie Josèphe DEVILLE
              Frédéric DÉSORMEAUX & Delphine Joëlle DARNON
              Nathalie DÉSORMEAUX
              Évelyne DÉSORMEAUX
             Marie Josèphe DÉSORMEAUX & Gilbert MAS
              Anthony MAS
              Lionel MAS
             Guy DÉSORMEAUX & Joëlle Marie Françoise DAMIZET
              Guillaume DÉSORMEAUX
              Geneviève Marie Jeanne DÉSORMEAUX
             Jean Yves DÉSORMEAUX & Monique Marie Paule FLÉCHET
              Emmanuel DÉSORMEAUX
              Maxime DÉSORMEAUX
            Claudia Marie BRUYÈRE & Joseph Pierre JOURJON
             Bernard JOURJON
            Thérèse BRUYÈRE & Jean DÉSORMEAUX
             Daniel DÉSORMEAUX
             Gilles DÉSORMEAUX
             Olivier DÉSORMEAUX
            Joannès BRUYÈRE
     Honnête Isabeau DUCULTY ~1673-1753 &1687 Antoine VANEL &1695 Jean FRANSON (Laboureur à Combas, Journalier à Veylon)
      Claude FRANSON &1726 Benoîte MONTEILLER
       Jean FRANSON &1757 Claudine OLAGNIER
      Jean FRANSON &1737 Philippa GIRAUDET
       Jacques FRANSON (Laboureur au Combas) ~1737-1795 &1785 Jeanne Marie CHOMIER
        Jeanne Marie FRANSON 1786-1865 & Joseph Marie FARA
        Benoîte FRANSON 1788-1857 &1809 Benoît FARA
        Pierre FRANSON 1790-1790
        Magdeleine FRANSON 1792-1869 &1822 Jean Baptiste RIVAT
      Marie FRANSON &1742 Antoine DEVILLE
     Étiennette DUCULTY ~1675-1750 &1696 Jean PITIOT (Charpentier aux Hermeaux, Journalier aux Hermeaux)
      Benoît PITIOT ~1696-1768 &1746 Françoise BERNE
      Joseph PITIOT ~1697-1709
      Marie PITIOT 1703-1781 &1724 Jean GRANGIER (Charpentier aux Hermeaux)
       Benoît GRANGIER 1724-1727
       Jean GRANGIER (Charpentier aux Hermeaux, Fermier à Côte Bayolle) 1726-1809 &1757 Marguerite BOUCHIER &1784 Anne CHIÈZE
        Jean Marie GRANGIER (Charpentier aux Hermeaux, Charpentier à la Terrasse, Cultivateur à Bayolle) 1757-1809 &1792 Jeanne Marie PAYRE
         Jeanne Marie GRANGIER 1793-1853 &1817 Vincent BONNEFOND
         Antoinette GRANGIER 1796-
         Jacques GRANGIER (Cloutier au Breuil, Cultivateur au Breuil, Cloutier au Pont de la Terrasse) 1798-1846 &1827 Catherine BERTHOLON
          Marie GRANGIER 1827-1828
          Marie GRANGIER 1829- &1856 François CAZALS
          Jacques GRANGIER (Cloutier à Doizieux) 1830- &1852 Virginie VIEROZ
          Marie Antoinette GRANGIER (Ouvrière en soie) 1833-1854
          N GRANGIER 1835-1835
          François Antoine GRANGIER 1836-1836
          Jean Baptiste GRANGIER 1837-
          Marie Pierrette GRANGIER (Ouvrière en soie) 1840- &1861 Augustin RASCLARD
        Jacques GRANGIER (Cultivateur à Saint Just, Cloutier à Saint Just) 1762-1801 &1792 Antoinette CHOMIÈNE
         Jean GRANGIER 1793-1793
         Antoine GRANGIER (Cordonnier à Saint Just) 1796-1847 &1825 Marie Claudine MAILLON &1834 Marie Anne CHORETIER
          Jacques GRANGIER 1826- & Virginie VIEROTZ
           Marie Claudine GRANGIER 1856-
          Jean Claude GRANGIER (Forgeur à Saint Paul) 1828-1857
          Etienne GRANGIER 1829-1868 & Marie BEREAU
           Marie GRANGIER 1861-
           Génie GRANGIER 1863-
          Jean Marie GRANGIER (Militaire) 1835-1862
          Marie Louise GRANGIER 1837-
          Georges GRANGIER 1839-
          Jacques GRANGIER 1842-
         Jeanne Marie GRANGIER 1798-
         Marie Louise GRANGIER 1801-
        Gabriel GRANGIER ~1765-1832 &1799 Marthe BADOUX
         Jacques GRANGIER 1802-
         Jean GRANGIER 1805- &1835 Marie FRANSON
          Jacques GRANGIER 1836-
          Mathie GRANGIER 1837-
          Claudine GRANGIER 1840- &1867 Claude FLECHET
         Marc GRANGIER (Menuisier au Pont de la Terrasse) 1810-1876 &1837 Antoinette MAILLET
          Jules GRANGIER 1838-
          Benoît GRANGIER 1840-
          Marie GRANGIER 1841-
          Antoinette GRANGIER 1852-
        Jean Claude GRANGIER 1766-
        Jean Pierre GRANGIER ~1768-1768
       Pierre GRANGIER 1728-1805
       Jacques GRANGIER (Maître tailleur d'habits à Doizieux) 1731-1805 &1772 Antoinette TARDY
        Jean Marie GRANGIER (Cloutier à Doizieux, Maçon à Doizieux) ~1782-1847
        Antoine GRANGIER (Cloutier à Doizieux) ~1782-1813
        Etienne GRANGIER (Journalier à Saint Paul) ~1785-1847/ &1821 Jeanne Marie PINEY
         Claudine GRANGIER 1832-
       Antoinette GRANGIER 1733-1796 &1769 Antoine RIVORY (Charpentier)
       Jean Claude GRANGIER (Maçon charpentier à Saint Paul) 1735-1783 &1778 Marie VINCENT
       Jean Baptiste GRANGIER 1738-1739
       Jean Pierre GRANGIER (Charpentier aux Hermeaux, Charpentier à l'Audranche, Laboureur) 1740-1824 &1777 Jeanne Marie BERLIER
        Jean GRANGIER (Cultivateur à l'Audranche) 1778-1868
        Jean Marie GRANGIER (Propriétaire à Frachure) 1780-1869 &1812 Catherine DREVET
         Pierre GRANGIER (Maçon) 1814-1833
         Marie GRANGIER 1816-1836
         Jean Marie GRANGIER 1820-1820
         Pierre Marie GRANGIER (Cultivateur à Frachure) 1824-1893 &1852 Françoise COLAUD
          Marie Etiennette GRANGIER 1854- &1883 François DELORME
          Antoine GRANGIER (Cultivateur au Collet) 1856- &1893 Mariette BERLIER
           Francine GRANGIER 1892
           Jean Marie Étienne GRANGIER 1893
        Pierre GRANGIER (Charpentier aux Hermeaux) 1783-1873 &1813 Marguerite PITIOT
         Jeanne Marie GRANGIER 1815-1886 &1839 Jean François BEAUFRÈRE
         Marie GRANGIER 1820-1838
         Jean François GRANGIER (Cultivateur aux Hermeaux) 1826-1892 &1862 Marie Antoinette CHOMIÈNE
          Marie Olympie GRANGIER 1863-1956 &1884 Claude Marie SEYTRE
          Joanny GRANGIER (Cultivateur aux Hermeaux) 1864-1889
          Jean François GRANGIER (Cultivateur Chez le Maigre) 1867- &1895 Mariette DESORMEAUX
          Françoise Marie Antoinette GRANGIER (Ouvrière en soie) 1870-1887
          N GRANGIER 1873-1873
          Jeanne Marie GRANGIER 1875-1953 &1923 Benoît PHILIS
         Jean Marie GRANGIER 1828-
        Jeanne Marie GRANGIER 1785-1867
        Antoinette GRANGIER 1789-1871
        Antoine GRANGIER (Cultivateur à Luclas, Propriétaire à l'Audranche, Charpentier à l'Audranche, Journalier à l'Audranche) 1793-1837 &1828 Marie FARISON (Ouvrière en soie à la Roche)
         N GRANGIER 1828-1828
         Marie GRANGIER 1830-1845
         Marguerite GRANGIER 1831-1906/ &1856 Jean Claude TARDY (Cultivateur aux Chirattes)
          Marie TARDY 1857- &1878 Jean Claude BERLIER (Habitant à la Roche)
           Jean Claude BERLIER 1879-
           Marguerite BERLIER 1880- &1901 Antoine DAMIZET
           Claude François BERLIER 1882-
           Marie Antoinette BERLIER 1885- &1918 Antoine LOUAT & Hippolyte CHARRA
          Claude TARDY 1860- &1885 Marie Magdeleine ESCOFFIER
          Marie Antoine TARDY 1864- &1889 Marie Antonia BERLIER
          Jean Baptiste TARDY 1869-
         Claude Marie GRANGIER (Cultivateur aux Hermeaux, Fermier à Frachure, Fermier à l'Audranche) 1833-1916 &1869 Marguerite Constance BERGERON (Domestique)
          Jean Baptiste GRANGIER (Habitant à Frachure) 1869-1944 &1914 Marie MALASSAGNE
           N GRANGIER
           André GRANGIER 1914-1994
           Régina GRANGIER 1923-2007 & Joseph DUMAS
          Marguerite GRANGIER 1871-1963 &1903 Jean Louis TRANCHAND (Cultivateur à Sagnimorte)
           Germain TRANCHAND 1904-1966
           Jean TRANCHAND 1905
           Eugénie Clémentine TRANCHAND 1907 & Marius Jean Pétrus MOREL
           Germaine TRANCHAND 1908
          Jeanne Marie GRANGIER 1873- &1904 Félix FANGET (Négociant à Véranne)
          Julie Sophie GRANGIER 1875- &1909 Jean Claude Daniel GARDE (Cultivateur à Goëly)
          Xavier Louis GRANGIER 1877-1919/
          Baptistine Marie GRANGIER 1880-1880
          Pierre GRANGIER 1882-1882
          Joannès Auguste GRANGIER (Cantonnier à Doizieux) 1884-1930/ & Marie Louise BERLIER
          Marius Jules GRANGIER (Cultivateur à l'Audranche) 1885-1958 &1911 Catherine Marie POYETON (Ouvrière en soie à Doizieux)
           Marie Claudia GRANGIER 1911-1911
           Camille Louis GRANGIER 1914-/1926
           Louis GRANGIER (Cultivateur à Doizieux, Cultivateur à Roisey) 1915-2009 &1939 Marie Antoinette FERRET (Ouvrière en soie)
            Marcel GRANGIER & Michelle VENET
             Véronique GRANGIER
             Nathalie GRANGIER
            Jean GRANGIER
            Camille GRANGIER & Régis GOUTELLE
            Marie Thérèse GRANGIER
            Irène GRANGIER & Henri EPITALON
             Catherine EPITALON & Franck BERGER
              Ludivine BERGER
              Kévin BERGER
             Christelle EPITALON & Norbert COLEON
              Amandine COLEON
              Aurélie COLEON & Nicolas CIPRIANI
               Maëlys CIPRIANI
              Déborah COLEON
             Séverine EPITALON & Olivier VILLET
              Thibaud VILLET
              Hugo VILLET
            Antoine GRANGIER
            Monique GRANGIER & ? ? & André FÉRÉOL
             Jeannick GRANGIER & David N
              Johann N
              Yann N
            Gérard GRANGIER & Paulette BERTHOLET
             Laurent GRANGIER & Stéphanie PITIOT
              Lucas GRANGIER
             Sylvie GRANGIER & Yvan ARNAUD
            x x & Noëlle Rose DÉSORMEAUX-MARAS
             Murielle GRANGIER & Benjamin PIQUEMAL
              Jules PIQUEMAL
              Antoine PIQUEMAL
             Frédéric GRANGIER
            Bernard GRANGIER & Monique DUCLAUX
             Sandrine GRANGIER & David BERNE
             Eric GRANGIER & Jennifer ?
             Jérôme GRANGIER
           Baptistine Antoinette GRANGIER 1917-2013 & Antoine DELORME
           Camille Léon GRANGIER 1919-1995 & Marie Claudine MICOL
           Gabriel Georges GRANGIER 1922-2016 & ? ?
          Claudius GRANGIER (Croix de guerre avec Palmes, Chevalier de la Légion d'Honneur, Officier de la Légion d'Honneur) 1888-1947 &1918 Jeanne Marie PATOUILLARD &1936 Hélène AUDIT
         Jeanne Marie GRANGIER 1834-1910 &1860 Jean Pierre REVOUL
          Marie Étiennette REVOUL 1865- &1892 Jean Marie MAS
         Christophe GRANGIER (Cultivateur à l'Audranche) 1836-1908 &1870 Victorine Clémentine BERGERON
          Claude Marie GRANGIER 1870-1897
          Augustine Constance GRANGIER 1872- &1899 Paul Catherin BERLIER
          Jean Claude Marie GRANGIER 1874-1875
          Louis Pierre GRANGIER 1877-1877
          Jean Baptiste GRANGIER 1881-1881
          Victor GRANGIER (Maçon à Doizieux) 1883-1949 &1922 Laurentine Marie Aimée ROBERNEC dit ROBIN
          Régis GRANGIER 1887-1957 &1919 Elise Joséphine ROBERNEC dit ROBIN
          Eugénie GRANGIER 1889-1915 &1914 Pierre Joannes BUNZLI
          Augustine Camille GRANGIER 1892-1892
          Alphonse GRANGIER ~1897-1898
        Françoise GRANGIER 1795-1797
        Marie Claudine GRANGIER 1799-1877 &1823 Jean Baptiste RIOUX
       Jeanne Marie GRANGIER 1743-1826 &1769 Antoine BOUDARD &1774 Benoît BONNEL
       Jeanne GRANGIER 1745-1831 &1776 André PLUYE (Charpentier à l'Hermuzière)
        Denise PLUYE ~1776-1851 &1802 Jean Marie GRANGIER (Drapier drapant à l'Hermuzière)
         Jean Marie GRANGIER (Drapier à l'Hermuzière) 1803-1882 &1833 Jeanne Marie CHOVET
          Etiennette GRANGIER 1835-1867 &1859 Mathieu DREVET
          Jean Benoît GRANGIER (Domestique) 1837-1855
          Jeanne Joséphine Philomène GRANGIER (Ouvrière en soie) 1841-1861
          Jeanne Marie GRANGIER 1846-1881 & Jules ALBERTIN
         Louise GRANGIER 1806-1822
         Jean GRANGIER 1807-1808
         Jean Marie GRANGIER 1809-
         Clément GRANGIER (Maçon à Doizieux) 1811-1861 &1843 Jeanne Marie Françoise GRANJON
          Jean Benoît GRANGIER (Cultivateur à Combes) 1844- &1874 Jeanne Marie RIVORY
           Joseph Marie GRANGIER 1875-1956
           André François GRANGIER 1876-1959 &1921 Eugénie Catherine ESCOFFIER
           Françoise GRANGIER 1878- &1900 Jean Baptiste Antoine PRIVAT
           Jeanne Marie Denise GRANGIER 1880-1953 &1904 Mathieu Étienne MARAS
            Jeanne Marie MARAS 1907 & Jean Marie GALLEY
            Françoise Simone MARAS 1909-1991
            Joseph MARAS 1910
            André Louis MARAS 1913-2001 & Marie Claudia GALLEY
            Philomène Joséphine MARAS 1914
           Marie Françoise GRANGIER 1882-
           Philomène Josephine GRANGIER 1884- &1913 Benoît TRANCHAND (Prorpiétaire aux Écarasses)
            N TRANCHAND
           Louis GRANGIER 1886-1965 &1912 Marie Louise MICOL
          Denise GRANGIER 1846- &1871 François JACQUIER
          Jeanne Marie GRANGIER 1851-
          Marie GRANGIER (Ouvrière en soie) 1855-1882
          Joseph GRANGIER 1857-1887 &1884 Jeanne Marie BONNEL
           N GRANGIER 1885-1885
           N GRANGIER 1885-1885
         Antoine GRANGIER 1813-
         Jeanne Marie GRANGIER 1814- &1843 Joseph CHORETIER & N N
          Jean GRANGIER 1835-
         Jean Claude GRANGIER 1817-1818
         Jeanne Marie GRANGIER 1820-1820
        Joseph PLUYE ~1782-1834/ &1806 Anne FERRATON
         Denise PLUYE †1872 &1834 Jean Claude GRANGIER (Cloutier à Arthurey, Cloutier à la Terrasse) &1853 Augustin DERVIEU
          Annette GRANGIER 1835-
          Joseph GRANGIER 1837- &1866 Catherine VIALETTE
           Louise GRANGIER 1868-
       Denise GRANGIER 1749-1751
      Jacques PITIOT (Charpentier aux Hermeaux) 1705-1768 &1732 Benoîte PANEL &1745 Jeanne Marie GERMAIN &1748 Jeanne BERLIER
       Marie PITIOT &1772 Pierre COURBON (Forgeur)
        Jean Louis COURBON (Cloutier) ~1775- &1808 Benoîte VANEL
         Jean COURBON 1809- &1834 Jeanne CHARDON
          Louis COURBON 1835- &1862 Marie MERCIER
          Mariette COURBON 1841- &1865 Pierre BOUCHER
        Claudine COURBON ~1781- &1806 François RAVACHOL
       Jean PITIOT (Charpentier) &1776 Françoise FARA
        Isabelle PITIOT &1802 François FRANSON
         Marie FRANSON 1808- &1830 Étienne LAURENT
         Jean Claude FRANSON 1810- &1833 Antoinette LEGAT
      Catherine PITIOT 1711-1775/ &1737 Jean BERTHOLAT
      Etiennette PITIOT †1754/
     Benoît DUCULTY (Laboureur à Gromont) &1704 Florie PITIOT &1716 Catherine CHORETIER
      Jean DUCULTY &1738 Jeanne CHOMIÈNE
       Claude DUCULTY &1787 Jeanne Marie CHOVET
        Étienne DUCULTY &1827 Marie Claudine FERRET
       Antoine DUCULTY &1775 Marie Anne CHOVET
        Philippe DUCULTY &1812 Jean Baptiste BEAUFRÈRE
         Jean François BEAUFRÈRE &1839 Jeanne Marie GRANGIER
       Jean François DUCULTY &1783 Antoinette PAYRE
      Marie DUCULTY †1726
     Claude DUCULTY (Marchand à la Croix de Montvieux) ~1674-1739 &1704 Florie PAYRE &1734 Jeanne CHAPAS
      Jeanne DUCULTY 1705-1768 &1723 Jean BONNEL (Marchand à Frachure)
       Claude BONNEL ~1733- &1756 Marguerite GINOT
        Jean Marie BONNEL 1764- &1795 Marie Anne DONNET
         Jacques BONNEL 1806-1870 &1831 Jeanne Marie BERLIER
          Jean François BONNEL 1836- &1859 Jeanne Marie BERLIER
      Jeanne Marie DUCULTY 1707-1791 &1734 Jean MAYERY &1765 Claude BERLIER (Laboureur au Monteiller, Charpentier au Monteiller)
       Jeanne MAYERY ~1738-1812 &1765 Jean BERLIER (Habitant au Monteiller)
        Marie Claudine BERLIER 1766-1836 &1801 Pierre OGIER
        Antoine BERLIER 1769- &1803 Marguerite MARLAY
        Claude BERLIER 1773- &1804 Jeanne DUBREUIL
         Jean Benoît BERLIER 1806- &1839 Marguerite GRANJON
          Jean Claude BERLIER 1840- &1875 Marie Anne FOURNEYRON
          Marie Antoinette BERLIER 1847- &1872 André RULIÈRE &1882 Pierre MARTEL
          Jean Claude BERLIER 1856- &1883 Rosine ORIOL
         Jeanne BERLIER 1810- &1833 Jean ANGENIOL
         Jean Marie BERLIER 1817- &1849 Marguerite BASSON
          Benoîte BERLIER 1850- &1874 Antoine BERGER
          Benoît BERLIER 1854- &1885 Benoîte DAVID
      Claude DUCULTY (Habitant à Frachure) 1711- &1731 Claudine PAYRE
       Claude DUCULTY (Charpentier à Torrépanne) &1768 Catherine PAYRE
        Étiennette DUCULTY &1793 Jean Marie BONNEL (Propriétaire au Monteiller)
      N DUCULTY 1713-1713
      N DUCULTY 1713-1713
     Marie DUCULTY 1692-
    Claude DUPONT (Marchand à Doizieux) ~1644-1694 &1671 Jeanne l'Aînée BRUDOUX
     Antoine DUPONT †1707/
     Denise DUPONT ~1678-1728 &1700 Claude MICOL (Laboureur au Breuil)
      Jean MICOL &1723 Marie DEGRAIX
       Jean MICOL &1765 Benoîte BERTHOLON
        Benoîte MICOL †1808/ &1797 Pierre GRENIER (Cloutier à l'Olagnière)
     Anne DUPONT & Antoine DUPLANIL (Consul de Doizieux, Marchand à Doizieux)
      Jeanne DUPLANIL †1756 &1726 Claude le Jeune PAYRE (Laboureur aux Gaux)
       Antoine PAYRE 1731- &1757 Claudine THOULIEU
        Claude PAYRE (Cultivateur aux Gaux) 1758-1832 &1794 Jeanne Marie PINEY &1812 Jeanne Marie PAYRE
       Marie PAYRE &1751 Claude BERTHOLON
       Michel PAYRE †1743/
       Denise PAYRE †1743/
      Denise DUPLANIL &1730 Sieur Claude OLAGNIER (Marchand à Doizieux)
       Claude OLAGNIER &1770 Françoise PITIOT
       Jeanne Marie OLAGNIER
       Marie Anne OLAGNIER ~1745-1829 &1759 Jean TARDY (Habitant à la Touche)
        Marie TARDY 1779- &1804 Jérôme PACALET
         Claude Marie PACALET &1843 Marie Anne POYETON &1858 Jeanne Marie POYETON
      Antoine DUPLANIL (Marchand à Doizieux) ~1705-1776 &1737 Marie CHAVE
     Antoine DUPONT (Cloutier à Saint Chamond) &1707 Louise CHARRETON
    Jean DUPONT †1704/ &1676 Agathe THOULIEU
     Jeanne DUPONT &1710 Jean MICOL
    Claudine DUPONT †/1721 &1687 Jean l'Aîné BEAUFRÈRE (Marchand à la Brudouze)
     André BEAUFRÈRE &1721 Claudine QUEMET
      Antoinette BEAUFRÈRE &1736 Claude PRIER
       Joseph PRIER &1779 Marie BERLIER
       Jean Marie PRIER 1754- &1804 Antoinette PASCAL
        Jean Claude PRIER &1831 Pierrette GIRARD
         François PRIER 1839-1921 &1874 Louise POYETON
          Jean Pierre PRIER 1875-1951 &1906 Marie BACHET
           Marie Louise PRIER 1912-2010 &1937 Joannès Marie CHAPARD
           Félix PRIER 1914-2000 & Marie Joséphine POYETON
            Roger PRIER & N CHAPARD
            Maryse PRIER & Jean Paul CHAPARD
            Marie France PRIER & N POCHON
           Antonin PRIER 1922-2012 & Marthe BEAUFRÈRE
           François Marcel PRIER & Marie Claudia CHAPARD
        Jean Marie PRIER &1840 Marie Anne CHORETIER
         Jean Claude PRIER &1873 Jeanne Marie OLAGNIER
          Benoît PRIER 1879-1959 & Marie Benoîte DELORME
           Francis PRIER 1910-1983 &1937 Antoinette Francia CHAPARD
           Claude PRIER 1913-1960 & Marie Louise ROCHE
          Claudine PRIER &1904 Jean François BERLIER
       Étiennette PRIER &1760 Jean CHOMIÈNE
        Jean Baptiste CHOMIÈNE &1795 Françoise DUPLANIL
         Jean Baptiste CHOMIÈNE &1828 Françoise BEAUFRÈRE
          Olympe Françoise CHOMIÈNE &1849 Jean Marie SEYTRE
           Claude Marie SEYTRE &1884 Marie Olympie GRANGIER
          Marie Antoinette CHOMIÈNE †1895/ &1862 Jean François GRANGIER (Cultivateur aux Hermeaux)
           Marie Olympie GRANGIER 1863-1956 &1884 Claude Marie SEYTRE
           Joanny GRANGIER (Cultivateur aux Hermeaux) 1864-1889
           Jean François GRANGIER (Cultivateur Chez le Maigre) 1867- &1895 Mariette DESORMEAUX
           Françoise Marie Antoinette GRANGIER (Ouvrière en soie) 1870-1887
           N GRANGIER 1873-1873
           Jeanne Marie GRANGIER 1875-1953 &1923 Benoît PHILIS
     Antoinette BEAUFRÈRE †1756 &1720 Jean GRANGIER (Laboureur Chez Grangier, Laboureur au Monteiller)
      Claudine GRANGIER †1723
      Marie GRANGIER †1739
      Gabrielle GRANGIER ~1721-1793 &1739 Jean SEYTRE &1749 Jean TARDY
       Joseph TARDY ~1751-1789 &1788 Françoise RICHARD
       Antoinette TARDY †1821/ &1772 Jacques GRANGIER (Maître tailleur d'habits à Doizieux)
        Jean Marie GRANGIER (Cloutier à Doizieux, Maçon à Doizieux) ~1782-1847
        Antoine GRANGIER (Cloutier à Doizieux) ~1782-1813
        Etienne GRANGIER (Journalier à Saint Paul) ~1785-1847/ &1821 Jeanne Marie PINEY
         Claudine GRANGIER 1832-
      André GRANGIER 1721-1722
      Jean Baptiste GRANGIER 1724-1758
     Claudine BEAUFRÈRE &1726 Benoît COURBON (Charpentier à Doizieux)
      Jean COURBON (Laboureur à la Frache) ~1728-1800 &1753 Marie TONIN
       Françoise COURBON 1754-1754
       Benoît COURBON ~1759-1785
       Claudine COURBON ~1762- &1786 François DUPRE
       Marie Claudine COURBON ~1763-1764
       Jeanne Marie COURBON ~1764- &1786 Jean Pierre BASTIE
       Marie Anne COURBON ~1769-1769
       Claude COURBON 1772-1772
       Joseph COURBON 1773- &1798 Antoinette BONNEL &1844 Marie SEUX
       Françoise COURBON 1776-1863 & Claude BERLIER (Marchand à la Roche) &1845 Claude Louis BOIRON
      André COURBON (Charbonnier à Doizieux) ~1729-1779 &1757 Jeanne Marie SEYTRE
       Benoît COURBON (Charpentier à Doizieux) ~1760- &1785 Antoinette OLAGNIER
        Jeanne Marie COURBON ~1788-1790
        Antoinette COURBON ~1795- &1812 Claude Marie PINEY
       Pierrette COURBON ~1761- &1788 Jean Baptiste VEYRE
       Jeanne Marie COURBON ~1763-1764
       Catherine COURBON ~1764-1766
       Jeanne COURBON 1768-
       Jeanne Marie COURBON ~1769-1770
       Claude COURBON ~1774-1774
      Jeanne Marie COURBON 1735- &1769 François FAURE
  Antoine COIGNET (Laboureur à Choméol) †/1631 &1608 Antoinette PACALET
   Claude COIGNET (Tissotier de soie à Choméol) †1639 &1631 Antoinette NANTAS
    Claude COIGNET 1637-1678/
   Jean l'Aîné COIGNET †1657
   André COIGNET †1621/
   Jean COIGNET †1621/
  Barthélemye COIGNET †1611/ &1605/ Maître Jean RIVAT (Cordonnier à la Valla en Gier, Laboureur à la Valla, Habitant au Bessat, Cordonnier au Bessat)
   Jeanne RIVAT † &1633 Jean GRANJON (Journalier au Moulin du Bost, Laboureur au Moulin du Bost)
  Jeanne COIGNET †1609/
  Antoinette COIGNET †1605/

 

Enfin, on note qu'Antoine Coignet fils de Louis a un frère nommé Martin Coignet, du Coing en Saint-Martin-en-Coailleux, lieu d'où doit provenir le nom de la famille, qui semble donc originaire de l'actuelle commune de Saint-Chamond :


 https://gw.geneanet.org/calinou6?lang=fr&pz=marie+therese&nz=vantajol&p=martin&n=coignet+cognet

  • Gens de labeur du Coing (Saint-Martin-en-Coailleux).

 Parents

 Union(s) et enfant(s)

  Fratrie

  Aperçu de l'arbre

     




Louis COIGNET (COGNET)
 
Benoîte BERTHOLON

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Martin COIGNET (COGNET)

 

Ici, une généalogie des Coignet et Coignet-Dugas de Valfleury et Saint-Christo-en-Jarez qui débute en 1347 indique la maison du Coignet en Saint-Christo comme foyer primitif pour ces branches, anoblies au XVIIème siècle par le service militaire pour ce qui concerne les aînés des Dugas, tous issus de Georges II du Coignet, troisième fils de Georges Ier du Coignet né vers 1350 et de son épouse Jeanne du Bessy. Georges II du Coignet avait hérité de son père du mas du Gas tandis que ses deux aînés Jean et Pierre en étaient institués principaux héritiers : 

https://books.google.fr/books?id=n6DCU7sUYmAC&printsec=frontcover&hl=fr&source=gbs_ge_summary_r&cad=0#v=onepage&q&f=false

Les premiers propriétaires connus de cette maison du Coignet ou du Petit-Coignet selon les sources, en 1347, sont André et son fils Etienne du Coignet, prédécesseurs de Georges premier du nom, sans doute fils d'Etienne. Georges Ier du Coignet fit au mois d'avril 1413 un testament oral partageant ses biens entre ses enfants Jean, Pierre, Georges, Denise et Jeanne.

Les Coignet-Dugas seraient ensuite devenus protestants.

Louis Coignet fermier de la rente de la Valla en Gier et laboureur à Chomeols, dont contrat de marige avec Benoîte Bertholon le 22 mai 1572, peut être issu de cette famille du Coignet identifiée à partir de 1347, d'une autre branche de la même famille, ou d'une autre famille Coignet ayant possiblement son foyer primitif au Coing à Saint-Martin-en-Coailleux, des relations étroites pouvant aussi exister entre Le Coing et Le Coignet ou Petit-Coignet, faisant par exemple du Coing la maison mère du Coignet.

Le Coin à Saint-Chamond est aujourd'hui une zone industrielle et le temple prostestant local se situe au 1, route du Coin, à Saint-Chamond.

 

Notons encore que Saint-Chamond est historiquement lié à Lyon et son archevêque et a eu pour maire, du 12 mai 1929 au 27 août 1944 puis du 19 octobre 1947 au 20 mars 1977, Antoine Pinay, plusieurs fois ministre durant les années 1950, très proche de Valéry Giscard d'Estaing :

 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Antoine_Pinay

Antoine Pinay

Extraits :

 

Biographie

Famille et études

Usine Pinay à Saint-Symphorien-sur-Coise.

Antoine Pinay est le fils de Claude Pinay (1852-1919), industriel, fabricant de chapeaux de paille, et de Marie Besson (1861-1936). Il a une sœur aînée, Jeanne Pinay (1886-1953) qui fut religieuse dominicaine à Orléans1,2. La famille paternelle d'Antoine Pinay exerçait son activité, depuis plusieurs générations, dans l'industrie de la chapellerie dont la région lyonnaise et stéphanoise est l'un des principaux centres.

Deux de ses oncles maternels sont officiers : le colonel Antoine Besson (1857-1947)3,4 et le général Benoit Besson (1876-1969)1. Le grand-père maternel d'Antoine Pinay, Benoît Besson (1829-1905), qui était propriétaire cultivateur, fut maire de la commune de Pomeys de 1861 à 18825,6.

Antoine Pinay fut scolarisé chez les maristes au collège Sainte-Marie à Saint-Chamond, comme en témoigne une carte postale qu'il adresse en 7. Il ne se présente pas au baccalauréat et quitte l'école sans diplôme.

Il est incorporé au 5e régiment d'artillerie le , nommé brigadier le puis maréchal-des-logis le . Après la mobilisation du 2 août 1914, il est resté aux armées un mois, puis il est blessé par des éclats d'obus, le , au nord de Meaux, lors de la bataille de la Marne. Antoine Pinay est alors évacué du front. Il est ensuite réformé, déclaré invalide de guerre et pensionné8.

Le à Saint-Chamond, il épouse Marguerite Fouletier (1895-1970), fille de Louis Fouletier (1862-1922), directeur de la tannerie Fouletier, entreprise établie à Saint-Chamond, fondée en 1772 et employant une centaine d'ouvriers.

De ce mariage naquirent trois enfants :

  • Geneviève Pinay (1918-2017)9,10, éditrice, mariée en premières noces avec Edmond Epstein (1901-1963)11,12,13, éditeur et directeur de revues, dont cinq enfants ; puis mariée en secondes noces avec Ernest Brémond (1899-1966), directeur honoraire de l'Électricité de France et conseiller économique et social11 ;
  • Odette Pinay (1920-2015)14, mariée avec Jean Roy (1921-2005)15 ;
  • Pierre Pinay (1922-1964), fonctionnaire au service juridique des trois communautés européennes, marié avec Suzanne Pinay, dont trois enfants16,17.

 

Après-guerre

Après avoir été membre du Conseil national de Vichy, et avant de devenir ministre et président du Conseil sous la IVe République, il accepte d'être l'un des principaux responsables français des réseaux stay-behind, les réseaux clandestins de l'OTAN mise en place à partir de 1949, selon ce qu'affirme Éric Branca20.

En politique internationale, il crée en 1951, avec l'agent secret Jean Violet, Le Cercle, club de réflexion spécialisé dans la sécurité, connu sous le nom de « Cercle Pinay », qu'il préside de 1953 à 1971.

En 1952, Pinay intervient en faveur d'une libération complète de Xavier Vallat, Commissaire général aux questions juives de 1941 à 1942, qui sera ensuite amnistié en 1954.

 

Échec d'une candidature fédérant la droite anti-gaulliste

En désaccord avec la politique algérienne et extérieure du gouvernement, Antoine Pinay remet sa démission en . Il abandonne alors toute activité politique nationale. À l'automne 1962, c'est la défection des députés du CNIP qui fait chuter le gouvernement et contraint De Gaulle à dissoudre l'Assemblée29. Jean-Marie Le Pen, ex-député poujadiste reconverti au CNIP est battu aux législatives de 196229 tandis que Valéry Giscard d'Estaing réunit une partie des députés CNIP qui ont survécu à la vague gaulliste dans le Comité d'études et de liaison des Républicains indépendants, qui ne se constitue en parti politique que le , après que de Gaulle a écarté Valéry Giscard d'Estaing du gouvernement.

Antoine Pinay est à l'origine d'une des tentatives de structurer l'opposition au général de Gaulle dans la perspective d'une élection présidentielle au suffrage universel, instituée à une large majorité par le référendum dédié de 1962, qui aura lieu en 1965. L'idée d'une candidature Pinay fait son chemin, sur une ligne libérale, atlantiste et pro-européenne, susceptible de rassembler les critiques de droite à la politique gaulliste.

Mais Antoine Pinay aurait été empêché de se présenter par la menace que soient exploités contre lui des dossiers de « ballets roses », qu'aurait étayée une « main courante » déposée contre lui à la suite d'un prétendu « attouchement sur mineur »68. Cette accusation, connue dans les milieux politiques et à Saint-Chamond, n'a été portée à la connaissance du grand public qu'en 2011 avec la publication du livre Sexus Politicus69, pour laquelle les auteurs s'appuyèrent sur les travaux de Sylvie Guillaume70.

Il existe une autre thèse à son renoncement : alors qu'il a quitté le gouvernement après une algarade avec de Gaulle en plein Conseil des ministres sur la dissuasion française, au cœur de la politique gaullienne d'indépendance nationale, une enquête menée par la Direction de la Surveillance du territoire aurait prouvé qu'Antoine Pinay faisait partie du réseau Gehlen, dirigé par un ancien officier de la Wehrmacht passé au service des États-Unis, dont le but était de fédérer les pro-atlantistes et d'affaiblir la politique du général de Gaulle. La renonciation d'Antoine Pinay a été annoncée à la radio alors même qu'il se trouvait toujours dans le bureau de Roger Frey, alors ministre de l'Intérieur, qui lui aurait montré les preuves collectées par la DST après son départ du gouvernement. Le fait qu'Antoine Pinay ait accrédité une rumeur de « ballets roses » semble indiquer qu'il s'agissait d'un leurre pour dissimuler la nature des véritables accusations contre lui71.

La non-candidature d'Antoine Pinay ouvre la voie à d'autres candidats, notamment Jean Lecanuet et François Mitterrand, soutenus tous deux par les États-Unis, et discrètement financés grâce à l'entregent de Jean Monnet auprès des États-Unis[réf. nécessaire].

L'électorat potentiel de Pinay éclate entre la candidature de Jean Lecanuet pour le « rassemblement centriste » lancé par le MRP et le soutien à Jean-Louis Tixier-Vignancour, cofondateur du Front national pour l'Algérie française et ex-fervent défenseur de l'Algérie française, qui dépasse les 5 % après une campagne dirigée par Jean-Marie Le Pen. D'autres sympathisants, enfin, purent, derrière Valéry Giscard d'Estaing, fondateur de la Fédération nationale des républicains indépendants, rester dans l'alliance majoritaire avec l'UNR-UDT.

 

 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Saint-Chamond

Saint-Chamond

Saint-Chamond
Saint-Chamond
Blason de Saint-Chamond
Blason
Saint-Chamond
Logo
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Loire
Arrondissement Saint-Étienne
Intercommunalité Saint-Étienne Métropole
Maire
Mandat
Axel Dugua (LR)
2023-2026
Code postal 42400
Code commune 42207
Démographie
Gentilé Couramiauds
ou Saint-Chamonais
Population
municipale
35 068 hab. (2021 en évolution de +0,57 % par rapport à 2015)
Densité 639 hab./km2
Population
agglomération
374 643 hab. (2021)
Géographie
Coordonnées 45° 28′ 39″ nord, 4° 30′ 55″ est
Altitude Min. 326 m
Max. 1 051 m
Superficie 54,88 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Saint-Étienne
(banlieue)
Aire d'attraction Saint-Étienne
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Chamond
(bureau centralisateur)
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Liens
Site web saint-chamond.fr

Saint-Chamond est une commune française située dans le département de la Loire en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Deux éléments fondent la notoriété de la ville : une tradition industrielle avec les fabriques de lacets au XIXe siècle puis la Compagnie des forges et aciéries de la Marine et d'Homécourt, devenue Creusot-Loire ; la politique avec une personnalité d'envergure nationale : Antoine Pinay qui dirige Saint-Chamond pendant près d'un demi-siècle et la France en 1952.

Capitale de la vallée du Gier, la ville évolue entre les pôles économiques et industriels de Lyon et de Saint-Étienne.

Comme d'autres villes du bassin houiller de la Loire, la commune doit relever plusieurs défis : la sortie de l'industrie de masse, l'explosion urbaine (doublement de sa population entre les décennies 1960 et 1970)1, le renouvellement de son attractivité économique et résidentielle, enfin la préservation de son environnement (atout de la vaste zone rurale du Pilat et des coteaux du Jarez sur l'emprise foncière).

Saint-Chamond est en voie de tertiarisation mais sa population compte une importante part d'ouvriers qualifiés. Les retraités représentent 30 % des habitants.

Son avenir est déterminé par le renouvellement de sa vocation industrielle (avec son tissu de petites et moyennes entreprises), la réussite de sa capacité d'innovation (écoquartier de Novaciéries, retraitement des délaissés urbains), le maintien d'une offre commerciale locale, la mise en synergie de ses différents quartiers et territoires.

Géographie

Localisation

Saint-Chamond est située dans la vallée du Gier entre les monts du Lyonnais, au nord, et le massif du Pilat, au sud, entre Saint-Étienne à 12 km2 et Lyon à 49 km3.

La vallée du Gier est une dépression géographique allongée sur 23 km, selon un axe sud-ouest–nord-est, entre les contreforts du Massif du Pilat et les coteaux du Jarez.

Les communes avoisinantes sont : Saint-Étienne, Lorette, La Grand-Croix, L'Horme, Cellieu, Saint-Jean-Bonnefonds.

Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte topographique

Géologie et relief

La superficie de la commune est de 5 488 ha ou 54,8 km24, soit à peu près un dix-millième de la France.

Son altitude varie de 326 à 1 051 mètres4.

Le territoire communal se trouve au-dessus du bassin houiller de la Loire.

Dans la région, plusieurs sites géographiques sont remarquables. Tels sont le Crêt de la Perdrix, à 1 434 m, qui est le point culminant du massif du Pilat ; le Crêt de l'Œillon, avec une vue magnifique sur la vallée du Rhône et parfois sur le massif du Mont-Blanc ; la cascade du saut du Gier dans le parc naturel régional du Pilat.

Hydrographie

Paysage d'une rivière entre lignes de collines.
Retenue du Gier au barrage de la Rive. 2008.

La ville est traversée par le Gier, aujourd'hui majoritairement couvert, qui prend sa source dans le massif du Pilat puis descend la vallée du Gier avant de se jeter dans le Rhône à Givors sur une longueur totale de 44 km.

Les barrages suivants sont répertoriés :

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-20005. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Nord-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 800 à 1 200 mm, bien répartie dans l’année6.

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 728 mm, avec 8,5 jours de précipitations en janvier et 6,3 jours en juillet5. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 12,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 681,9 mm7,8. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 20229.

Statistiques 1991-2020 et records ST-CHAMOND-P (42) - alt : 394m, lat : 45°29'27"N, lon : 4°32'03"E
Records établis sur la période du 01-03-2004 au 04-01-2024
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 0,7 0,7 3,5 6,6 10 13,8 15,9 15,1 12,2 9 4,5 1,2 7,8
Température moyenne (°C) 3,9 4,6 8,2 11,9 15,3 19,5 21,9 21 17,5 13,3 8 4,5 12,5
Température maximale moyenne (°C) 7,1 8,4 12,9 17,1 20,7 25,3 27,9 26,9 22,8 17,7 11,4 7,7 17,2
Record de froid (°C)
date du record
−9,2
19.01.17
−12,8
05.02.12
−11,6
01.03.05
−3,3
07.04.08
1,8
06.05.10
5,6
01.06.06
8,1
10.07.07
8
27.08.11
4
27.09.10
−2,7
30.10.12
−6,1
18.11.07
−11
20.12.09
−12,8
2012
Record de chaleur (°C)
date du record
19
10.01.15
21,7
25.02.21
25,4
31.03.21
27,8
22.04.18
34,2
13.05.15
37,7
18.06.22
40
07.07.15
41,1
24.08.23
34
14.09.20
32
02.10.23
23,1
01.11.20
20,4
05.12.06
41,1
2023
Précipitations (mm) 38 34,4 38,2 55,5 66,7 71,3 70,4 66,7 53,5 69,3 75,4 42,5 681,9
Source : « Fiche 42207005 [archive] », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/01/2024 dans l'état de la base


Urbanisme

Typologie

Saint-Chamond est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'InseeNote 1,10,11,12. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Étienne, une agglomération inter-départementale regroupant 32 communes13 et 374 643 habitants en 2021, dont elle est une commune de la banlieue14,15.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Étienne dont elle est une commune de la couronneNote 2. Cette aire, qui regroupe 105 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants16,17.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (52,6 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (55 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (28,1 %), forêts (25,6 %), zones agricoles hétérogènes (24,5 %), zones urbanisées (14,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (6,4 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,5 %), eaux continentalesNote 3 (0,2 %)18. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)Carte 1.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Morphologie urbaine

Vue générale d'une ville.
Vue générale dont la cité de Fonsala. 2013.

Le paysage de Saint-Chamond se découpe en plusieurs ensembles :

  • les versants boisés parsemés de quelques habitations dispersées (recyclage d'anciennes implantations agricoles) ;
  • les zones agricoles émaillées des fermes qui les cultivent ;
  • des hameaux anciens revigorés par des constructions plus ou moins récentes ;
  • l'espace urbain central du fond de vallée marqué par l'activité industrielle et le logement ouvrier, mais également par les résidences bourgeoises ;
  • des espaces de mitage de la zone périurbaine et agricole anarchiquement agencés par des constructions dispersées (Chavanne, Izieux, la Chabure, la Ravacholière, l'est de Saint-Martin-en-Coailleux).

Ces dynamiques d'occupation annihilent la distinction entre la ville et la campagne. L'emprise foncière menace l'image verte19.

Lieux-dits, hameaux et écarts

Maison et dépendance le long d'une route sous la neige.
Chemin de la Martinière, hameau de Saint-Chamond. 2008.

Saint-Chamond est divisé en plusieurs quartiers. Historiquement, trois paroisses se partageaient la ville :

  • Saint-Ennemond ;
  • Saint-Pierre ;
  • Notre-Dame.

Les autres secteurs sont nés du regroupement des quatre communes en 1964, favorisant des dynamiques urbaines de construction et d'aménagement. L'année 1970 voit ainsi l'élévation de la zone à urbaniser en priorité (ZUP) de Fonsala, le plus grand quartier de Saint-Chamond, sur un ancien domaine rural. La même année est créée la zone industrielle du Clos-Marquet (24 hectares) sur un autre espace rural dont la derrière mine est fermée dans les années 1950.

Certains territoires sont des divisions déjà existantes au sein des communes regroupées, comme la distinction du bourg de Saint-Martin-en-Coailleux et de la Valette qui relevait de cette ancienne commune.

  • La Chabure
  • Chavanne
  • Clos-Marquet
  • Le Creux
  • Fonsala
  • Izieux
  • Lavieu
  • Les Palermes
  • Saint-Chamond centre
  • Saint-Ennemond
  • Saint-Julien-en-Jarez
  • Saint-Martin-en-Coailleux
  • Saint-Pierre
  • La Valette
  • La Varizelle

Logement

En 2020, la commune comportait 17 789 logements : dont 85.9 % sont des résidences principales, 13.3 % des logements vacants et 0.8 % des résidences secondaires et des logements occasionnels20.

Parmi les résidences principales, 48.3 %, sont occupées par des propriétaires, 50.5 % sont locataires et 1.2 % sont logés gratuitement20.

En 2020, 68.2 % des logements sont des appartements et 31.6 % des maisons20.

Projets d'aménagement

L'ancien site manufacturier des Forges et aciéries de la Marine (1854), devenu la Compagnie des ateliers et forges de la Loire (1954) puis Creusot-Loire (1970) ferme ses portes en 1985. Ainsi le quartier Novaciéries est l'objet d'un projet de développement et de requalification de la ville porté par la municipalité et obtient son classement comme quartier prioritaire de la politique de la ville.

Voies de communication et transports

Façade d'un bâtiment avec corps central et deux ailes.
La gare de Saint-Chamond en 2011.

Autoroutes et routes nationales

Aéroport/Aérodrome

Gare ferroviaire

Transports urbains

Autobus en ville de trois-quarts arrière droit.
Autobus de l'ancienne Ligne 3 à la place du Moulin en 2009.

La Communauté urbaine Saint-Étienne Métropole a la responsabilité des transports en commun de 45 communes. Saint-Chamond est desservie par la Société de transports de l'agglomération stéphanoise (STAS). Elle est desservie par les lignes :

Transports ferroviaires

Des trains express régionaux (TER) assurent la liaison d'une part vers Lyon et d'autre part vers Saint-Étienne ou Firminy.

Risques naturels et technologiques

Toponymie

La ville de Saint-Chamond doit son nom à l'évêque de Lyon saint Ennemond21 :

sancti Aunemundi (976)22 ;
Vuigonis de Sancto Annemundo ou Annemondo ou Ennemundo (1090)23 ;
Castellum Sancti Admundi (1167) ;
Castella Sancti Aunemundi (1173) ;
Parrochia Sancti Chalumundi (1247) ;
Chastel de Saint Chamont (1344)24.

Histoire

Préhistoire

Antiquité

Gravure noire et blanche. Ruines de deux piliers en pierres de part et d'autre d'un ruisseau
Vestiges de l'aqueduc romain.

Un poste de garde de l'un des cinq aqueducs qui alimentait Lugdunum (Lyon) aurait été situé près de l'ancienne église d'Izieux où de nombreux débris (tegula, imbrex) ont été mis au jour25.

L'aqueduc du Gier acheminait les eaux du Gier captées en amont de Saint-Chamond. Des parties aériennes de cet aqueduc sont encore visibles dans la région de Mornant et de Chaponost (Rhône). Des parties souterraines sont découvertes en 1993 dans Saint-Chamond lors de la construction de la ZAC de la Varizelle26,Note 4.

Moyen Âge

Capitale du Jarez (le pays du Gier), Saint-Chamond est une seigneurie très importante dans la région forézienne et lyonnaise.

L'église Saint-André d'Izieux est mentionnée en 984Note 5.

Le comte Guigues II de Forez fait enregistrer le château de Saint-Chamond lors de sa visite en 1167 au roi de France Louis VII qui le lui remetNote 6, la région est alors au centre du conflit opposant l'archevêque de Lyon au comte de Forez.

En 1173, lors de la permutatio entre le comte de Forez et l'archevêque de Lyon, ce dernier garde Saint-Chamond sous son contrôleNote 7. Elle forme, avec un ensemble d'autres cités voisines « laissées à la liberté » de l'Église de Lyon, la limite avec le comté de Forez. En 1278, les droits sur ces localités retournent apparemment au ForezNote 8 sauf Saint-Chamond pour lequel les seigneurs de Jarez continuent à rendre hommage à l'archevêque de Lyon31.

En 1224, Guigues de Jarez accorde une charte de franchise aux habitants de Saint-Chamond32.

Parmi les seigneurs de Saint-Chamond se trouvent :

  • Briand II de Lavieu de Roche (ca 1150-1184) ;
  • Gaudemar de Jarez (ca 1225-1290);
  • Guichard d'Urgel de Saint-Priest (-1403) ;
  • Briand Durgel (d'Urgel) ;
  • Jean d'Urgel (Durgel) de Saint-Priest ;
  • Léonnet d'Urgel de Saint-Priest (-1491) ;
  • Jacques Mitte de Chevrières (1586-1649) , seigneur de Chevrières et de Saint-Chamond, comte de Miolans, chevalier de l'Ordre du Saint-Esprit, conseiller d'État, lieutenant général du Forez, du Lyonnais et du Beaujolais, époux en 1577 de l'héritière Gabrielle d'Urgel de Saint-Priest ;
  • Melchior Mitte de Chevrières (1596-1649), fils du précédent, 1er marquis de Saint-Chamond en 1610 ;
  • Just-Henry (1615-1664) puis son frère cadet Jean-Armand Mitte de Chevrières (1624-1685), deux fils du précédent, respectivement 2e et 3e marquis de St-Chamond ;
  • Charles-Emmanuel de La Vieuville (v. 1653/1656-1720), 4e marquis de St-Chamond et comte de Vienne, gendre de Jean-Armand par son mariage avec la fille héritière de ce dernier, Marie-Anne Mitte de Chevrières (1657-1714) ;
  • Charles-Louis-Joseph de La Vieuville (1686-1744), fils du précédent, 5e marquis de St-Chamond et comte de Vienne ; père de Geneviève de La Vieuville (1732-1777 ; Postérité), 6e et dernière marquise héréditaire de St-Chamond.
  • On trouve enfin Jean-Jacques de Gallet de Mondragon (1715-1796 ; Postérité) comme 7e et dernier marquis de Saint-Chamond, terre acquise en 176833,34,35.

Temps modernes

Cour intérieure d'un bâtiment.
Cour de la mairie, ancien couvent des Minimes.
Reconstitution avec un logiciel d'un ensemble fortifié.
Reconstitution du Château de Saint-Chamond.

L'année 1628 est celle de la peste noire. Les chroniqueurs du temps appellent « contagion » ce grand fléau.

Selon James Condamin, un religieux Capucin écrit que quatre moines de cet ordre, au service des souffrants, sont emportés par la maladie et que « la peste leur fist un si grand degast que, de compte fait, ils perdirent la moitié du peuple de leur ville36 ». Pour préserver le reste de la population, les malades sont isolés et transportés dans des cabanes, au Fay, où ils reçoivent quelques soins et des aumônes37.

Melchior Mitte de Chevrières, seigneur de Saint-Chamond, marque la ville de son empreinte. On peut d'ailleurs voir de nombreux bâtiments de cette époque tels que la Maison des Chanoines des XVe et XVIe siècles (classée monument historique), l'Hôtel-Dieu (classé monument historique), l'église Saint-Pierre du XVIIe siècle (classée monument historique), et le couvent des Minimes, construit entre 1622 et 1624, qui est aujourd'hui la mairie de Saint-Chamond. Toujours au XVIIe siècle, il construit un château — détruit par la suite comme celui de Richelieu[réf. nécessaire].

Révolution française et Empire

Gravure noire et blanche représentant la vue générale d'une ville.
Château des seigneurs de Saint-Chamond. Gravure. 1644.

En , avec la rédaction des cahiers de doléances pour les États généraux, Saint-Chamond plonge dans la Révolution.

À l'instar des villes dont le nom porte celui d'un saint, pendant la Révolution française, Saint-Chamond est dénommée Vallée-Rousseau du nom du fameux philosophe, venu herboriser dans le Pilat. Elle appartient au département de Rhône-et-Loire.

En 1792, le château et la collégiale sont pillés et en partie démolis par les habitants qui détruisent aussi par le feu les archives seigneuriales. Seuls un tronçon vertical de la collégiale, les écuries et la grand'grange — façon paysanne de décrire une grande grange, qui surmonte ces écuries — sont encore visibles aujourd'hui sur la colline de Saint-Ennemond.

En 1793, Lyon se révolte contre la Convention et entraîne Saint-Chamond dans l'insurrection. La défaite de l'armée lyonnaise conduit à l'évacuation de Saint-Chamond. La Convention envoie alors Javogues qui multiplie les arrêtés épuratoires ainsi que les exécutions sommaires et rançonne les habitants.

En 1796, les Saint-Chamonais expédient une colonne mobile contre les prêtres réfractaires et les déserteurs.

XIXe siècle

Tramway dans une ville.
Tramway à vapeur de la CFVE.
Tramway à un carrefour.
Tramway à l'entrée de la ville, rue de Saint-Étienne. Début XXe siècle.
Photo d'une carte de visite d'entreprise.
Manufactures réunies de tresses et lacets. Après 1898.

En 1848/1850, Germain Morel, fils du maître de forges Antoine Morel (à St-Chamond : les Laminoirs de Saint-Chamond), s’associe avec MM. Petin et Gaudet (maîtres de forge à Rive-de-Gier dans une société fondée en 1837), pour créer à Saint-Chamond « Morel et Cie ». En 1854, la société devient la Compagnie des hauts-fourneaux, forges et aciéries de la Marine et des Chemins de fer, avec un nouvel associé, les frères Jackson, d'origine anglaise (fils de Jackson), installés à Assailly depuis 1830 (les Laminoirs et Aciéries d'Assailly).

Vers 1850, les restes du château et de son domaine sont donnés aux frères des écoles chrétiennes par la famille qui acheta la seigneurie de Saint-Chamond en 1768, Monsieur le Marquis de Mondragon (Jean-Jacques de Gallet), à condition d'y dispenser l'éducation à la jeunesse saint-chamonaiseNote 9.

La ville est desservie dès 1882 par les tramways à vapeur de la Compagnie des Chemins de fer à voie étroite (CFVE), qui la relient à Saint-Étienne.

À la fin du XIXe siècle, Saint-Chamond devient la capitale mondiale de l’industrie du lacet. Cette activité, fondée en 1807-1809 par Charles-François Richard, appelé aussi Richard-ChambovetNote 10, repose sur l'usage du métier à poupée — broches multiples animées d'une rotation continue qui permettent de tresser des lacets38.

Le lacet de corset ou le lacet de chaussure est très utilisé à l'époque : « C'est un objet de mercerie d'une assez grande consommation. Les femmes font usage de lacets de soie pour serrer leurs corsets, ou autres pièces de leurs vêtements. Les lacets de fils de lin, de chanvre, de coton, sont employés au même usage, mais on s'en sert également, en place de ficelle, pour des ligatures39 ».

Commencée avec trois métiers, la fabrique en compte plus de cent en 1812 et 1 200 travaillent dans toute la ville en 1838 à partir de plusieurs maisons créées à l'exemple de Richard-Chambovet : « La fabrique de Saint-Chamond fournit des lacets à la consommation intérieure et à l'exportation pour Amsterdam, Bruxelles, Leipzig, Anvers, Milan, la Suisse et les deux Amériques38 ».

Charles-François est secondé plus tard par son fils Ennemond Richard. En 1898, Antoine Reymondon et d'autres associés créent la société des Manufactures réunies qui regroupe dix des plus grands fabricants de lacets.

D'après Le Monde Illustré, du , l'industrie saint-chamonaise du lacet fabrique 75 % de la production nationale.

XXe siècle

Sur une carte postale vue générale d'une zone industrielle.
Les Aciéries et forges de la Marine, au début du XXe siècle.

Aristide Briand (1862-1932), homme politique socialiste, alors partisan du syndicalisme révolutionnaire et de la grève générale, est élu député de la Loire le , dans une circonscription qui comprend une partie de Saint-Étienne et le canton de Saint-Chamond. Il le reste jusqu'en . Il succède à l'ancien maire de Saint-Chamond, Benoît Oriol, élu pendant les deux législatures précédentes.

Aristide Briand est surtout préoccupé de politique nationale et, lorsqu'il se rend à Saint-Chamond, ses discours ont une portée générale. Ainsi en 1909, il se défend de toute attaque contre le catholicisme tout en revendiquant le laïcisme40. De même en , il évoque son projet d'association capital-travail41.

À Saint-Chamond aujourd'hui, une salle de spectacle porte son nom.

Première Guerre mondiale

Médecins et infirmières sous des arcades.
Hôpital complémentaire no 94 dans le collège Saint-Marie en .

Saint-Chamond participe de quatre façons aux efforts de guerre :

  • la mobilisation de ses hommes : peut-être 2 300 hommes dont 451 soldats saint-chamonais morts pour la France ;
  • la production industrielle, notamment des usines Chavanne-Brun (obus) et des Aciéries de la Marine (munitions, artillerie, char Saint-Chamond dont quatre cents unités sont fabriquées en 1917) ;
  • réquisitions, ravitaillement, secours aux familles ;
  • accueil hospitalier des soldats blessés ou convalescents dans l'École supérieure de jeunes filles (hôpital auxiliaire no 10) et dans le collège Sainte-Marie (hôpital complémentaire no 94)Note 11.

Les soldats saint-chamonais morts pour la France ne reposent pas tous dans le cimetière communal. Les victimes inhumées à Saint-Chamond se trouvent :

  • soit autour du monument aux morts ;
  • soit dans des sépultures individuelles, ou familiales le plus souvent.

Les autres sont enterrés dans diverses nécropoles aménagées dans les régions des champs de bataille.

En 1931, se produit la fermeture du tramway électrique de Saint-Chamond.

La Résistance à Saint-Chamond

Photo d'une plaque commémorative.
Plaque commémorative du sabotage de , rue Petin-Gaudet.

Les 1er et , le maréchal Pétain, chef de l'État français, se rend en visite à Saint-Chamond. « Le Nouvelliste de Lyon rapporte qu'aux Aciéries de la Marine de Saint-Chamond, dans le grand hall de l’usine tout le personnel rassemblé fait une ovation enthousiaste au Maréchal et entonne une vibrante Marseillaise. ».

Plusieurs Saint-Chamonais se sont illustrés dans les activités de résistance à l'occupant allemand. Un rôle très actif est assumé par la famille Cave dont quatre membres sont arrêtés par la Milice. Le , les membres de cette famille sont pris au no 8 de la rue Victor-Hugo pour être emmenés en déportation. Claude Cave meurt à Neuengamme. Claudia Cave, son épouse, meurt à Ravensbrück ainsi que sa fille Marie, âgée de 21 ans. Seul Paul, âgé de 16 ans et dernier membre de la famille, déporté à Neuengamme, rentre vivant.

Marie Cave s'est engagée dès 1940 dans la Résistance pour distribuer des journaux clandestins. La maison familiale — c'étaient des commerçants — « devient un lieu de rendez-vous et d'asile pour la Résistance ». En 1942, elle diffuse le journal clandestin Défense de la France et en 1943 elle intègre le réseau Alibi42. Une plaque est apposée à l'entrée de leur immeuble et un rond-point porte leur nom.

Le , aux Forges et aciéries de la Marine, a lieu un sabotage qui « retarde de plus d'un mois la mise en marche du laminoir à blindages43 ». Une stèle commémorative est érigée dans la rue Petin-Gaudet.

Après-guerre

Angle de deux rues bordées d'immeubles à deux étages.
Vieux quartier, rue du Janon. 1965.

Dans les années 1950, les Forges et aciéries s'associent avec les Établissements Jacob Holtzer, l'Usine de la Loire, et les Aciéries et forges de Firminy. De ceci nait la Compagnie des ateliers et forges de la Loire (CAFL) en 1954, tandis que la ville voit la fermeture de sa dernière mine au Clos-Marquet.

La « taille » des années 1950 : initialement l'abattage se fait au marteau piqueur et le charbon est évacué par de petits convoyeurs. Les mineurs, qui travaillent dans une ambiance poussiéreuse et dans un air ambiant à 30 °C, se relayent toutes les huit heures. Les années 1950 voient le développement de soutènements métalliques.

La ville de Saint-Chamond actuelle est le résultat de la fusion en 1964 des communes de Saint-Martin-en-Coailleux, de Saint-Julien-en-Jarez, d’Izieux et de Saint-Chamond. La ville devient alors la troisième commune de la Loire, avec près de 40 000 habitants.

Ces années sont marquées par une spectaculaire régénération urbaine. Déjà en 1929, tout juste élu maire, Antoine Pinay fait établir un diagnostic de l'insalubrité des logements : 70 % de la ville sont à reconstruire44. La mise en place d'un office d'habitations à bon marché (HBM) permet la construction de nouvelles habitations rue Jean-et-André-Dugas et rue James-Condamin.

En 1964 et 1965, plusieurs îlots vétustes sont détruits dont celui du quartier de la Boucherie, sur trois hectares et demi, ainsi que les vieilles maisons du boulevard Waldeck-Rousseau ou de la rue du Janon. Le béton armé et les barres des habitations à loyer modéré (HLM) les remplacent. La cité de Fonsala sort de terre.

En 1970, la rénovation est en grande partie effectuée. Antoine Pinay promeut la modernisation de sa ville. Le , il accueille Albin Chalandon, alors ministre de l'Équipement.

L'élimination du vieux bâti cause, cependant, quelques dommages patrimoniaux. Sont ainsi démolies la chapelle des Ursulines, la chapelle des Pénitents encore visible en 1964 sur la place Notre-Dame mais détruite en 1965 et le couvent des Capucins rasé en 1972.

Historiens de Saint-Chamond

De l'érudit local à l'universitaire américain, la ville a suscité de nombreux travaux d'historiens : Ennemond Richard (1806-1873), Jean-Baptiste Boudet (1814-1887), Martin Presbitero (1837-1910), F. Raymond (?), Maurice de Boissieu (1844-1933), James Condamin (1844-1929), Gustave Lefebvre (1865-1937), Stéphane Bertholon (1862-1931), François Gonon (1863-1957), Mathieu Fournier (1868-1963), Michael P. Hanagan (né en 1947), Lucien Parizot (1920-2000), Elinor Accampo (née en 1949), Père Pupier (1920-2013) et Georges Delorme (?), Éric Perrin (né en 1965), Gérard Chaperon (né en 1922)45, Eric Moulin-Zinutti (né en 1972).

Politique et administration

Façade d'une maison.
Mairie au début du XXe siècle.
Façade d'une maison.
Façade de la mairie. 2015.

La commune de Saint-Chamond absorbe en 1964 celles d'Izieux, Saint-Julien-en-Jarez et de Saint-Martin-en-Coailleux46.

Rattachements administratifs et électoraux

La commune se trouve dans l'arrondissement de Saint-Étienne du département de la Loire. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1988 de la troisième circonscription de la Loire.

La ville était le chef-lieu du canton de Saint-Chamond de 1793 à 1984, année où celui-ci est scindé entre les cantons de Saint-Chamond-Nord et de Saint-Chamond-Sud46. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, ce canton, dont la commune est toujours membre, est modifié, passant de 23 à 70 communes.

Intercommunalité

Saint-Chamond est l'une des 53 communes de Saint-Étienne Métropole.

Tendances politiques et résultats

Liste des maires

Liste des maires depuis la Libération de la France47
Période Identité Étiquette Qualité
août 1944 mai 1945 Alfred Ferraz PCF Architecte
mai 1945 octobre 1947 Jules Boyer MRP Vétérinaire
Conseiller de la République de la Loire (1946 → 1948)
octobre 1947 mars 1977 Antoine Pinay48 CNIP Industriel
Ministre des Finances et des Affaires économiques (1952 → 1953
et 1958 → 1960)

Ministre (1950 → 1952 et 1955 → 1956)
Président du Conseil (1952 → 1952)
Député de la Loire (1936 → 1938 et 1946 → 1959)
Conseiller général de Saint-Chamond (1934 → 1940 et 1945 →1979)
mars 1977 mars 1989 Jacques Badet PS Universitaire
Député de la Loire (1981 → 1988)
Conseiller général de Saint-Chamond (1979 → 1985)
Conseiller général de Saint-Chamond-Sud (1985 → 1992)
mars 1989 mars 2008 Gérard Ducarre RPR
puis UMP
Pharmacien
Conseiller général de Saint-Chamond-Nord (1985 → 1989)
Conseiller régional de Rhône-Alpes (1986 → 2010)
Vice-président du conseil régional (1986 → 1998)
mars 2008 avril 201449 Philippe Kizirian PS Cadre supérieur
1er vice-président de Saint-Étienne Métropole (2008 → 2014)
avril 2014 octobre 2023 Hervé Reynaud

Note 12

UMP puis DVD
puis LR
Cadre de la fonction publique
Sénateur de la Loire (2023 → )
Conseiller général de Saint-Chamond-Nord (2011 → 2015)
Conseiller départemental de Saint-Chamond (2015 → )
1er vice-président du conseil départemental (2015 → 2023)
1er vice-président de Saint-Étienne MétropoleNote 13 (2014 → 2022)
Président de l'EPORA (201750 → )
Démissionnaire à la suite de son élection comme sénateur51
23 octobre 202352 En cours Axel Dugua53 LR Professeur de maintenance industrielle
5e adjoint au maire chargé de la vie sportive (2020 → 2023)

Politique environnementale

Distinctions et labels

En 2017, la commune de Saint-Chamond est récompensée par le label Ville Internet de quatre arobases54, résultat confirmé encore en 201955.

En 2019, Saint-Chamond bénéficie du label ville fleurie avec trois fleurs56 attribué par le conseil national des villes et villages fleuris de France au concours des villes et villages fleuris57.

Jumelages

Maison à colombages dont le rez-de-chaussée en arche laisse passer une route.
Porte du château de Grevenbroich (Allemagne).

Équipements et services publics

Enseignement

Institution Sainte Marie la Grand'Grange (ISMGG).

En 2017, la ville compte dix-huit écoles primaires publiques (classes maternelles et élémentaires) et 6 écoles primaires privées.

Trois collèges publics et un collège privé sont présents sur la commune58.

Lycées de la ville :

  • lycée Claude-Lebois : lycée général, technologique et professionnel (public)
  • lycée Sainte-Marie : lycée général (privé) ;
  • la Grand'Grange : lycée professionnel (privé) ;
  • lycée hôtelier Les Petites Bruyères : lycée professionnel (public) ;
  • lycée professionnel St-Ennemond : lycée professionnel (privé) ;
  • MFR de Saint-Chamond : lycée professionnel et classes préparatoires (privé) ;
  • institut de formation en soins infirmiers du centre hospitalier du Pays du Gier : enseignement supérieur (public).

Santé

Population et société

Foule lors d'un marché.
Affluence au marché aux bestiaux. Début XXe siècle.

Les habitants de la ville sont appelés les Couramiauds. Ce nom viendrait du fait que pendant la fête du feu de la Saint-Jean, les habitants de Saint-Chamond accrochaient une ficelle à la queue d'un chat[Passage contradictoire avec l'article Couramiaud] et les enfants couraient après celui-ci, d'où le nom de « cours-à miaou », soit Couramiauds59. D'autres les appellent Saint-Chamonais60.

Démographie

Évolution démographique

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans61,Note 14.

En 2021, la commune comptait 35 068 habitantsNote 15, en évolution de +0,57 % par rapport à 2015 (Loire : +1,27 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
5 4164 9775 8005 9887 4759 0018 2048 4068 897
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
10 47211 62612 65212 58514 42014 14914 38314 96314 463
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
15 46914 43014 89715 88515 46814 84214 71114 82015 580
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
17 10737 72840 25040 26738 87837 37835 60835 41935 339
2021 - - - - - - - -
35 068--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 199946 puis Insee à partir de 200662.)
Histogramme de l'évolution démographique

En 1964 la commune de Saint-Chamond a fusionné avec trois communes voisines (Saint-Martin-en-Coailleux, Saint-Julien-en-Jarez et Izieux). Cela explique la brusque augmentation démographique apparente entre 1962 et 1968 : les données antérieures à 1964 concernent uniquement l'ancienne commune de Saint-Chamond et les populations des communes historiques de Saint-Martin-en-Coailleux, de Saint-Julien-en-Jarez et d'Izieux sont comptabilisées séparément.

Pyramide des âges

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,8 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (35,0 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 28,4 % la même année, alors qu'il est de 28,4 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 16 406 hommes pour 18 573 femmes, soit un taux de 53,1 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,65 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage63
HommesClasse d’âgeFemmes
0,8 
90 ou +
2,1 
8,8 
75-89 ans
12,1 
15,8 
60-74 ans
17,0 
19,1 
45-59 ans
19,2 
16,8 
30-44 ans
16,3 
17,8 
15-29 ans
16,1 
20,9 
0-14 ans
17,1 
Pyramide des âges du département de la Loire en 2021 en pourcentage64
HommesClasse d’âgeFemmes
0,8 
90 ou +
2,3 
75-89 ans
11 
17,1 
60-74 ans
18,2 
19,5 
45-59 ans
18,7 
17,5 
30-44 ans
17 
17,9 
15-29 ans
16 
19 
0-14 ans
16,8 

Sports et loisirs

Le Saint-Chamond Basket (SCB) évolue dans le championnat de France de basket-ball en division 2 (PRO B).

L'Entente Saint-Chamond Volley, fruit de la fusion, en 1986, de deux entités qui représentaient ce sport, a évolué durant dix-sept ans dans le Championnat de France masculin en division nationale 1. En 2010, le club accède en Championnat de France à la division excellence féminine (division 2 française). Par ailleurs, dans ce club orienté vers la compétition, la formation des jeunes a permis d'obtenir en 1994, un titre de champion de France dans la catégorie cadettes.

En gymnastique, Saint-Chamond est aussi bien classée au niveau régional, notamment avec les Étoiles de la Valette et la Sentinelle de la Grande Grange, qui concourt au plus haut niveau national.

La piscine Roger Couderc, une des rares piscines à vagues de la région, forme de nombreux nageurs, ainsi qu'une équipe en natation synchronisée.

En handball, les seniors filles et garçons évoluent en Championnat de France de division nationale 3, 450 licenciés placent Saint-Chamond Handball pays du Gier au 7e rang national, vingt-deux équipes (onze féminines).

Manifestations culturelles et festivités

Rhinojazz: évènement qui anime la ville de Saint-Chamond par de nombreux concerts durant le mois d'octobre. Ce rendez-vous culturel s'étend aujourd'hui dans une grande partie du sud du département de la Loire. De nombreux artistes y compris venant de l'étranger, ont plaisir à venir s'y produire que cela soit sur de petites scènes de la commune de Feurs, de La Terrasse-en-Dorlay ou bien de Chateauneuf jusqu'à l'Opéra de Saint-Étienne[réf. nécessaire].

Depuis 1998 a lieu en juin La Rue des Artistes65, festival pluridisciplinaire avec trois soirs de concerts et des spectacles de rue.

Cultes

L'imam de la mosquée de St-Chamond, Mmadi Ahamada, est destitué et expulsé aux Comores par le ministre Darmanin à la suite d'un prêche dans lequel il a lu un verset du Coran analysé comme contraire à l'égalité hommes-femmes 66.

Économie

Revenus de la population et fiscalité

Emploi

Entreprises et commerces

Dès le XVIe siècle, Saint-Chamond connaît les manifestations d'une proto-industrialisation à partir de plusieurs activités :

L'histoire de la commune est très fortement liée à l'eau (aqueduc romain, métallurgie, textile, teinturerie…). Jules Duclos, maire de Saint-Chamond sous Napoléon III, fait construire le premier barrage de Saint-Chamond, dénommé barrage de la Rive. Deux autres barrages sont ensuite réalisés, celui du Piney, et celui de Soulages. Aujourd'hui, seuls ceux de la Rive et de Soulage sont encore en eau.

Au début du XXe siècle, et comme beaucoup de villes de la région, l'économie de la ville est tournée vers l'extraction de la houille, la métallurgie, le textile et le cuir (teinturerie, tissage, lacets…). En traversant Saint-Chamond, on peut remarquer seulement deux cheminées conservées de l'époque des hauts-fourneaux. Dont l'une avec ses 103 m de haut qui sert de repère géodésique.

Jusqu'aux années 1970-1980, l'économie de la ville est en grande partie fondée sur la métallurgie représentée par une seule entreprise. Il s'agit de la Compagnie des forges et aciéries de la Marine et d'Homécourt (FAMH) dont le nom change régulièrement, de la Compagnie des aciéries et forges de la Loire puis de Creusot-Loire.

Cette industrie engendre certains spécimens fort célèbres, dont le char Saint-Chamond (fabriqué par la FAMH) qui est un des premiers chars blindés français, le véhicule de l'avant blindé (VAB) qui équipe l'Armée et la Gendarmerie, le Nautile sous-marin civil de l'institut français de recherche pour l'exploitation de la mer (IFREMER) qui permet de visiter 97 % du fond des mers, etc.

Aujourd'hui, et à la suite de la crise, l'économie de Saint-Chamond s'est développée autour de pôles d'activités très variés (industrie textile, métallurgie, ingénierie, plasturgie, câblerie, électrochimie, industrie agroalimentaire).

Saint-Chamond compte sept sites constituant des pôles d'activités industrielles, technologiques, tertiaires, commerciales et de service :

  • le parc d'activités STELYTEC ;
  • la zone d'activité (ZAC) de la Varizelle ;
  • l'aire des pays du Gier ;
  • la zone industrielle (ZI) du Coin ;
  • la ZI du Clos-Marquet ;
  • la ZI Pré-Château ;
  • le centre d'activités artisanales et industrielles (CAAI).

Saint-Chamond compte sept cents entreprises.

Industrie

  • l'usine Linamar (ex-Linamar Faber, aujourd'hui LSC Linamar Sain-Chamond), composants automobiles67.

Culture locale et patrimoine

Édifices disparus

Lieux, édifices et monuments actuels

Façade d'un bâtiment.
Hôtel-Dieu. 2014.
Intérieur d'une église.
Collatérale nord de l'église Notre-Dame.
Jardin public.
Jardin public. 2014.
Rue fleurie.
Entre la gare et la rue du Pont-Fournas. 2015.

Monuments historiques

  • Maison des Chanoines (XVe et XVIe siècles)
  • Église Saint-Pierre (XVIIe siècle)
  • L'ancien Hôtel-Dieu (1670) et sa chapelle (1674)Note 16
  • La façade ancienne de la mairie
  • Les orgues de Claude-Ignace Callinet — dans l'église Saint-Pierre — (XIXe siècle)
  • Les façades et toitures de l'usine Gillet-Thaon — ancienne teinturerie — (XIXe siècle)
  • L'hôtel Dugas de la Boissonny (fin XVIIIe siècle)

Édifices religieux

Patrimoine urbain et architectural

  • Colline de Saint-Ennemond (XVe siècle)
  • Décombres des écuries du château détruit de Saint-Chamond (Saint-Ennemond) (XVe siècle)
  • Le couvent des Minimes — aujourd'hui mairie de Saint-Chamond ; dernièrement rénové — (1622-1624)70
  • Collège Sainte-Marie — lieu d'inspiration de Gabriel Chevallier, auteur de Clochemerle dans son livre Sainte-Colline — (1877)
  • Château du Jarez — rue Victor-Hugo — (XIXe siècle)
  • Maisons bourgeoises — rue Victor-Hugo no 18 puis 30, 32, 34, 36, 40 et 42 — (XIXe siècle et début XXe siècle)
  • Maison bourgeoise — rue Victor-Hugo no 58 — (façade d'inspiration Art nouveau)
  • Hôtel de la Caisse d'épargne — rue Victor-Hugo no 16 — (1901, architecte : Picaud)
  • La maison des artistes — ancienne école primaire supérieure de filles — (1909)
  • Rue de la République : nombreux commerces dans le centre-ville sur une rue piétonne
  • Salle des congrès (salle Aristide-Briand).

Patrimoine industriel

  • La cheminée de Giat industrie haute de 103 mètres (XIXe siècle)

Monuments

  • Statue de la République — place La-Valette — (1889)
  • Monument Sadi-Carnot — dans le Jardin des plantes — (1895)
  • Monument aux morts pour la France — dans le cimetière — (inauguré le )
  • Monument aux morts pour la France — devant l'école Lamartine

Jardin public

Sites naturels

  • Paraqueue : vue imprenable sur tout Saint-Chamond
  • Hauteurs de Chavanne : vue sur tout Saint-Chamond, ainsi qu'une partie de Rive-de-Gier et Saint-Étienne
  • Hauteurs de la Chabure : panorama de la Vallée du Gier.

Patrimoine culturel

Personnalités liées à la commune

Photo d'un buste d'homme sculpté.
Charles-François Richard (1772-1851).
Photo noire et blanche d'un homme de format identité.
Ravachol (1859-1892).
Photo à mi-buste, noire et blanche, d'un homme de face et cravaté.
Aristide Briand (1862-1932).
Lauréats sur un podium.
Alain Prost, à gauche, en 1988.

Personnages historiques

  • Jacques Mitte de Chevrières (1549-1610) , seigneur de Saint-Chamond, conseiller d'État, lieutenant général du Forez, du yonnais et du Beaujolais. Il était l'époux de Gabrielle d'Urgel de Saint-Chamond (1547-1596), fille de Christophe d'Urgel de Saint-Chamond (+ 1580) et de Louise d'Ancézune, unique héritière de la seigneurie de Saint-Chamond.
  • Melchior Mitte de Chevrières (1586-1649), [fils du précédent], lieutenant général des armées du Roi et ministre d'État sous Louis XIII et Louis XIV.
  • Antoine Flachat (1725-1803), né et mort à Saint-Chamond, curé de la paroisse Notre-Dame, prédicateur du roi de Pologne ; élu député du clergé aux États généraux, le , pour la sénéchaussée de Lyon.

Industriels

  • Famille Guerin, aux XVIIe et XVIIIe siècles, marchands fabricants de soie, banquiers, maire.
  • Charles-François Richard, né en 1772 ; fondateur de l'industrie des lacets ; maire de l'ancienne commune d'Izieux en 1830 (aujourd'hui rattachée à la commune de Saint-Chamond) ; décoration du Lys ; chevalier de l'ordre royal de la Légion d'honneur ; mort à Saint-Chamond en 1851.
  • Ennemond Richard, né en 1806 à Saint-Chamond, fils du précédent, vice-président de la Chambre de commerce de Saint-Étienne, chevalier de la Légion d'honneur ; mort à Saint-Chamond en 1873[réf. nécessaire].
  • Roger Zannier (1945), patron du groupe Zannier, a lancé son entreprise à Saint-Chamond.

Hommes politiques

  • Jacques Badet (1943- ), homme politique, maire (1977-1989) et député de Saint-Chamond.
  • Marius Chavanne (1817-1886), homme politique, maire de Saint-Chamond.
  • Claude de Fournas, homme politique né le à Saint-Chamond (Loire) et décédé le à Saint-Chamond.
  • François Delay (1855-1936), industriel, sénateur, maire de Saint-Chamond où il est mort.
  • Henry Jaboulay (Izieux, 1897 - Johannesburg, 1977), résistant, co-organisateur du Défilé du 11 novembre 1943 à Oyonnax, Compagnon de la Libération71
  • Adrien de Montgolfier-Verpilleux (1831-1913), ingénieur des ponts et chaussées, homme politique, mort au château du jarez à Saint-Chamond.
  • Charles Neyrand (1839-1907), conseiller général et député de la Loire, maire de l'ancienne commune de Saint-Julien-en-Jarez où il est né.
  • Benoît Oriol (1840-1926), maire de Saint-Chamond et député de la Loire, officier de la Légion d'honneur, né à Saint-Chamond et mort dans l'ancienne commune de Saint-Julien-en-Jarez.
  • Antoine Pinay (1891-1994), homme politique, maire de Saint-Chamond de 1929 à 1944 et de 1947 à 1977.
  • François Rochebloine, homme politique, né en 1945 à Saint-Chamond.

Militants politiques

  • Ravachol (1859-1892), militant anarchiste, né à Saint-Chamond, guillotiné à Montbrison.
  • Louis Follet (1898-1957), syndicaliste et militant communiste, mort dans l'ancienne commune d'Izieux.

Policiers

Religieux

Écrivains

Savants

Instituteurs, professeurs, directeurs d'école

Artistes

Sportifs

  • Samuel Allegro (1978-), footballeur né à Saint-Chamond.
  • Dominique Aulanier (1973-2020), footballeur né à Saint Chamond.
  • Magali Baton (1971-), judokate française née à Saint-Chamond.
  • Julie Coulaud (1982-), athlète française, spécialiste du steeple.
  • André Giriat (1905-1967), rameur, mort à Saint-Chamond.
  • Pierre Haon (1966-), footballeur professionnel, né à Saint-Chamond.
  • Sébastien Pérez (1973-), ancien footballeur, né à Saint-Chamond.
  • Alain Prost (1955-), quatre fois champion du monde de Formule 1, a passé son enfance et son adolescence à Saint-Chamond.
  • Laurent Redon (1973-), pilote automobile, né à Saint-Chamond.
  • Youcef Zenaf (1957-), sportif, champion du monde de full-contact de 1984 à 1986.

Héraldique, logotype et devise

Blason de Saint-Chamond

Parti, le 1er d'argent à la fasce de gueules ; le 2e d'azur plein72.

Voir aussi

Bibliographie

  • Ennemond Richard, Recherches historiques sur la ville de Saint-Chamond, Saint-Étienne, Janin, (réimpr. 1986, par Les Amis du Vieux Saint-Chamond) (1re éd. 1846-1858), 2 vol. in-8 ° (BNF 36397199).
  • Ennemond Richard, Fontaines publiques de Saint-Chamond, Saint-Étienne, Impr. de Théolier aîné, , 14 p., in 8° (BNF 31210397).
  • Gustave Lefebvre (recueillis et publiés par), Souvenirs de cent ans : 1789-1889 : Saint-Chamond et Rive-de-Gier : notes et documents, Paris, Éditions Picard, , 57 p., in 8 (OCLC 422178936).
  • James Condamin, Histoire de Saint-Chamond et de la seigneurie de Jarez depuis les temps les plus reculés jusqu'à nos jours, s.l., Les Amis de Saint-Chamond, (réimpr. 1996) (1re éd. 1890), XXII-748 p., 23 cm (OCLC 25985998).
  • Stéphane Bertholon, Histoires de Saint-Chamond : notes et souvenirs d'un vieux Couramiaud, Saint-Étienne, s.n. (impr. Théolier), (réimpr. 1989), 1re éd. (1re éd. 1927), XIV-304 p., 21 cm
  • François Gonon, Notre vieux Saint-Chamond : notes historiques . La paroisse Notre-Dame et son histoire : documents d'archives, s.l., Amis du vieux Saint-Chamond, (1re éd. 1944), 118 p., 24 cm (OCLC 37877197).
  • Mathieu Fournier (pseudonyme : Jean Châtelus73), Tableaux de la vie saint-chamonaise, Saint-Chamond, s.n. (libr. A. Bordron), , 147 p., in-16 (OCLC 369882770).
  • Lucien Parizot, La Révolution à l'œil nu : l'exemple du Lyonnais vécu a Saint-Chamond et en Jarez, s.l., Val Jaris, coll. « Bicentenaire de la Révolution », , 343 p., 24 cm (OCLC 159895357).
  • G. Pupier (responsable) et Georges Delorme (responsable), Sur les ruines du château… « des fleurs ont poussé ». Saint Ennemond. La Grand’Grange (additif au no 94 de l' Écho de la Grand'Grange), Saint-Chamond, La Grand'Grange, , 371 p., 22 cm (OCLC 84424216).
  • (en) Elinor Ann Accampo, Industrialization, family life, and class relations : Saint Chamond, 1815-1914 [« Industrialisation, vie de famille et relations de classes : Saint-Chamond, 1815-1914 »] (Publication gouvernementale provinciale, Ressource Internet), Berkeley, California Digital Library et University of California Press, coll. « UC Press E-Books Collection, 1982-2004 », , XVII- 301 p., 24 cm (ISBN 978-0-520-06095-1 et 0-5200-6095-4, lire en ligne [archive]).
  • Eric Perrin, Saint-Chamond, Saint-Cyr-sur-Loire, Éditions Alan Sutton, coll. « Mémoire en images », , 127 p., 24 cm (ISBN 2-84253-763-7 et 978-2-8425-3763-0).
  • Gérard Chaperon, Saint-Chamond au fil du temps, Saint-Étienne, Actes graphiques, , 411 p., 30 cm (ISBN 978-2-910868-86-4 et 2-9108-6886-9).
  • Catherine Coquidé et Ghislaine Macabéo, « Les aqueducs antiques de Lyon : l’apport de l’archéologie préventive (1991-2007) », Revue archéologique de l'Est, Dijon, Revue archéologique de l'Est, vol. 59, no 2,‎ , p. 447-504 (ISSN 1760-7264 et 1266-7706, lire en ligne [archive]).
  • Eric Moulin-Zinutti, Les Dames de Saint-Chamond où l'Histoire de Saint-Chamond et de ses seigneurs. Editeur, Mémodoc, 2019.

Liens externes

Ressources relatives à la géographie
  •  :
  • Ressource relative à plusieurs domaines
  •  :
  • Ressource relative à la musique
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  • Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistes
  • Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes

  • Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.

  • La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.

  • Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.

  • L'étude de l'aqueduc est notamment menée en 201027.

  • Jean-Edmé Dufour rappelle dans un ouvrage que l'on trouve à Izieux : « Ecclesia Sancti Andreæ de Usiaco, variante de Visiaco, 984 (Cart. Lyonnais, t. I, p. 19)28. ».

  • « In nomine sanctae et individuae Trinitatis, amen. Ego, Ludovicus, Dei gratia Francorum rex29 […] » (Au nom de la sainte et indivisible Trinité, amen. Moi, Louis, par la grâce de Dieu, roi des Francs […]).

  • « Pareillement Changy avec son mandement, et les deux forts de Saint-Ennemond avec ses mandements, sont dans les frontières de l’Église, sauf la route du Comte de la Croix du Mont-Violay jusqu’à Feurs. […] Pour ce que le Comte a donné à Brian dans le château de Saint-Ennemond et dans la plaine et le mandement, Brian le tiendra de l'Église et lui en rendra hommage et fidélité lige. ». Bulle du Pape Alexandre III confirmant la permutation de 1173-117430.

  • L'Église de Lyon se réserve en outre, dans les terres de Guy II, une enclave qui comprend Saint-Victor-sur-Loire, Saint-Genest-Lerpt et Villars. Mais ces paroisses sont assez vite restituées au Forez. En 1278, cela est accompli31.

  • Le lieu a donné son nom à ce qui est devenu le Lycée professionnel la Grand'Grange, qui depuis 2004 a fusionné avec l'Institution Sainte-Marie Fénelon pour donner l'actuelle Institution Sainte-Marie la Grand'Grange.

  • Chambovet est le nom de son épouse.

  • Sur des cartes postales anciennes, on peut trouver l'appellation « hôpital auxiliaire », mais c'est une erreur ; il s'agit d'un hôpital complémentaire (HC).

  • https://republicains.fr/2019/11/06/commission-nationale-dinvestiture-du-6-novembre/ [archive]

  • Président par intérim de Saint-Etienne Métropole du 8 décembre 2022 jusqu'au 28 septembre 2023.

  • Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.

  • Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

    1. Ces deux constructions sont dues à Jean-Armand Mitte de Chevrières (1614-1685), deuxième fils de Melchior Mitte de Chevrières, devenu marquis de Saint-Chamond à la mort de son frère aîné, Just-Henry-Melchior Mitte de Chevrières (ca 1615-1664).
    • Cartes

    1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes [archive] », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

    Références


  • Due à la fusion des quatre communes en 1964 : Saint-Chamond, Izieux, Saint-Julien-en-Jarez, Saint-Martin-en-Coailleux.

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  • [Granger 1968] Jean Granger, « Le vieil aqueduc du Janon Des sources qui se perdent », Bull. de la Diana, t. 40, no 8,‎ , p. 351-370 (lire en ligne [archive] [sur gallica], consulté en ).

  • Groupe archéologique Forez-Jarez, « Tableau des vestiges visibles de l'Aqueduc du Gier [archive] », sur forez-jarez.fr, Groupe archéologique Forez-Jarez (consulté en ), clichés 1-8.

  • Coquidé et Macabéo 2010.

  • Jean-Edmé Dufour, Paul Marichal et Marguerite Gonon, Fondation Georges Guichard, Dictionnaires topographiques de la France, vol. 32 : Dictionnaire topographique du Forez et des paroisses du Lyonnais et du Beaujolais formant le département de la Loire, op. cit., (lire en ligne [archive]), vue 454 / 1078.

  • Artaud de Forez, « Ager Jarensis : Florilège d'actes des comtes de Forez [archive] », quelques actes en lignes, sur Ager Jarensis site personnel hébergé par Google Sites, (consulté le ).

  • Musée du diocèse de Lyon, « Documents : Bulle du pape Alexandre III confirmant la permutation de 1173-1174 [archive] », sur Musée du diocèse de Lyon (consulté le ).

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  • James Condamin, Histoire de Saint-Chamond et de la seigneurie de Jarez : depuis les temps les plus reculés jusqu'à nos jours, Paris, Alphonse Picard, , XXXII-748 p., in-8 (OCLC 25985998), p. 354-355.

  • Collectif (Nouvelle édition augmentée d'un supplément par M. Edmond de Granges), Encyclopédie du commerçant : Dictionnaire du commerce et des marchandises contenant tout ce qui concerne le commerce de terre et de mer, vol. 2 : G-Z, Paris, Hachette, , 2252 ; 22, 2 vol. à 2 col. ; in-4° (lire en ligne [archive]), « Saint-Chamond », p. 1975 col. 1-2.

  • Louis-Benjamin Francœur, Molard jeune, Anselme Payen, Louis Sébastien Le Normand, Henri-Edmond Robiquet et al., Dictionnaire technologique ou nouveau dictionnaire universel des arts et métiers, et de l'économie industrielle et commerciale, vol. 6 : Guêt-Lyre, Bruxelles, Lacrosse et Cie, , 476 p. (lire en ligne [archive]), « LAC », p. 272 col. 1.

  • Emmanuel Barbier, Histoire du catholicisme libéral et du catholicisme social en France : du Concile du Vatican à l'avènement de S. S. Benoît XV (1870-1914), vol. 5 : Le pontificat de Pie X (suite), Bordeaux, G. Delmas, , 519 p., 6 vol. ; in-4 (lire en ligne [archive]), chap. VIII (« Les directions pontificales de Pie X (1909-1912) »), p. 83.

  • Marie-Geneviève Dezes (publiée avec le concours du Centre national de la recherche scientifique et le Centre d'histoire du syndicalisme de l'Université de Paris I Panthéon-Sorbonne), « Participation et démocratie sociale : L’expérience Briand de 1909 », Le Mouvement social : bulletin trimestriel de l'Institut français d'histoire sociale, Paris, Les Éditions ouvrières « Réformisme et réformistes français », no 87,‎ , p. 122 (lire en ligne [archive]).

  • Nathalie Forissier, Institut des études régionales et des patrimoines (Saint-Etienne) (préf. Jean-Pierre Azéma), La déportation dans la Loire, 1940-1944 : le mémorial des déportés : aperçu historique de la déportation dans le département de la Loire et listes nominatives des déportés, Saint-Étienne, Publications de l'Université de Saint-Étienne, , 199 p., 24 cm (ISBN 2-86272-376-2, lire en ligne [archive]), chap. V (« Itinéraires et portraits de quelques déportés de la Loire »), p. 65.

  • Monique Luirard (préf. René Rémond), La région stéphanoise dans la guerre et dans la paix : 1936-1951 (texte remanié de : thèse : Lettres : Bordeaux : 1978), Saint-Étienne, Centre d'études foréziennes, , V-1024 p., 24 cm (OCLC 164638362), partie 2, chap. III (« Naissance et essor de la Résistance »), p. 526 .

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  • Articles connexes

     

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