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mardi 2 juillet 2024

Robert Gillet a bien marié sa fille Nathalie

 

 

Robert Gillet, arrière-petit-fils de François Gillet, tout comme Marc Chatin, père de Lucienne Chatin, mariée en 1963 au malade mental Jean-François Lemaire, apparaît comme l'un des principaux héritiers de la famille Gillet, et en tous les cas celui qui a accédé aux plus hautes fonctions dans l'appareil d'Etat français (voir ci-dessous). 

En outre, il a hérité du château de Galleville, à Doudeville.

Et en 1981, il a marié sa fille aînée Nathalie Madeleine Maria Candelaria Gillet née à Madrid, en Espagne, le 3 février 1952, à Arnaud Marie Gilbert Brunel, né le 20 novembre 1947... frère cadet de Jean-Luc Didier Henri Brunel, né à Neuilly-sur-Seine et décédé le dans le 14e Arrondissement de Paris, l'associé de Jeffrey Epstein... dont il a lui-même été associé, mais les médias se sont très peu focalisés sur lui...

L'entreprise du couple et de ses enfants depuis 2000, 36, rue du Bac, 75007 Paris :

https://www.tectona.net/

 

Lire ou relire :

https://satanistique.blogspot.com/2023/04/dou-vient-laudace-de-lavocat-lyonnais.html

https://satanistique.blogspot.com/2024/06/pedocriminels-de-la-rue-du-bac-de.html

https://satanistique.blogspot.com/2024/07/des-origines-lyonnaises-de-jean.html

http://satanistique.blogspot.com/2024/07/maison-gillet-fils-fabricant-de-soiries.html

https://satanistique.blogspot.com/2024/07/joseph-gillet-proprietaire-saint-cyr-au.html

https://satanistique.blogspot.com/2024/07/descendance-de-joseph-gillet-fils-de.html

 

 




https://fr.wikipedia.org/wiki/Tectona_(entreprise)

    Tectona (entreprise)

    Site web http://www.tectona.fr

    Chiffre d'affaires comptes non disponibles

    Tectona est une entreprise française, créée en 1977, qui conçoit et commercialise du mobilier d'extérieur.

    Historique

    En 1977, Tectona naît dans l'objectif de faire redécouvrir à la France la vie à l'extérieur ; l'offre mobilier d'extérieur demeurant inchangée depuis de nombreuses années. Tectona s'inspire, dans un premier temps, de modèles britanniques en teck ayant fait leurs preuves depuis des décennies dans les parcs et jardins privés ou publics outre-Manche. Puis au fil des ans, l'éventail des matériaux s'ouvre : au teck, s'ajoute le bois peint, la résine tissée, le fer forgé puis l'aluminium laqué.

    L'identité de Tectona trouve aujourd'hui une expression inédite avec l'intervention de designers auxquels Tectona a confié le soin de renouveler le répertoire de ses formes. Ces collaborations remontent à 1992 avec l'édition du banc dessiné par Andrée Putman pour le CAPC Musée d'Art Contemporain de Bordeaux. En 2008, Ronan & Erwan Bouroullec revisitent la conception d'un salon de piscine2. En 2010, Normal Studio porte un regard nouveau sur l'utilisation de meubles du quotidien à travers un dessin simple et précis. La table Ladybird dessinée par Normal Studio est exposée aux Arts Décoratifs3.

    Implantations

    La société est établie à Paris, Doudeville, Lyon et Saint Remy de Provence.

    Ouverture à l'international

    Après la France et la Suisse (1992), le premier marché international choisi par Tectona est l'Europe du Sud – l'Espagne et l'Italie –, avec l'ouverture de boutiques à Madrid (2002), trois ans plus tard à Milan et récemment à Rome (2010). Aujourd'hui, le catalogue de vente, traduit en 5 langues, est distribué dans le monde entier et relayé par la participation aux grands salons du meuble à Milan et Paris, mais aussi dans le Sud de la France et en Belgique. Les meubles Tectona ont notamment été choisis par des références prestigieuses : L'Elysée, Le Château de Versailles4, Le Château de Chambord, Le Palais de la Zarzuela, Le Musée du Louvre, Le Musée Rodin, Le Musée National Suisse...

    Les produits et les designers Tectona

    Notes et références


    Sirene, (base de données)
  • salon de piscine [archive], Marie-Claire Maison

  • Exposition Normal Studio, Design Elémentaire [archive], Les Arts Décoratifs, 8 avril 2010 - 15 août 2010, Arts décoratifs

  • Jardinière Versailles [archive], ArchiExpo, le 13 mai 2011

  • Inga Sempé [archive], Domus - 16 avril 2009

    1. Tennis [archive]Le Journal des Arts - n° 262 - 22 juin 2007

    Lien externe

  • Site officiel [archive]



https://fr.wikipedia.org/wiki/Famille_Gillet

  1. Famille Gillet

    La famille Gillet est une famille française de la bourgeoisie lyonnaise, active notamment dans l'industrie textile et chimique depuis le XIXe siècle.

    Historique

    François Gillet est né le à Bully dans les monts du Lyonnais, aîné de trois enfants de parents paysans, modestes et analphabètes1. Il débute un apprentissage de tisseur en milieu rural, puis le poursuit chez un cousin teinturier en soie, installé rue des Trois-Maries à Lyon, spécialisé dans les soies teintes en noir1. Après être passé chez d'autres maisons de teinture, il s'installe à Lyon à son compte en 18381. Pour satisfaire à l'exigence des fabricants de soieries de la place de Lyon, il met au point un nouveau procédé permettant d'obtenir un noir au chatoiement jugé sans égal, le « noir impérial », sommet de la mode sous le Second Empire. Grâce à cette innovation, l'affaire passe de 70 à 350 salariés en trois ans, de 1850 à 1853, puis à 1 200 en 1870, devenant une entreprise de taille nationale1.

    Dès 1853, les Gillet cherchent des terrains pour implanter leurs usines. Ils investissent notamment à Vaise et précédemment sur des terrains en bord de Saône, au pied de la colline de la Croix-Rousse, actuellement sur le quai Joseph Gillet (anciennement quai de Serin). Dès 1880, l'usine de teinturerie du quai de Serin fabrique les « flottes en noir ».

    François Gillet participe à un bouleversement de la profession de teinturier en passant d'une palette de matières végétales, animales et minérales, à l'usage de la chimie, avec des bains successifs de rouille et de carbonate de chaux, des solutions de sels d'étain et de prussiate de potasse, entre autres.

    Bien que patron « bonapartiste et clérical », la Troisième République le décore de la Légion d'honneur en 18741.

    À sa mort, le , soit 3 ans après celle de sa femme, Marie Gillet (née Pierron), la succession de François Gillet est évaluée à plus de six millions de francs1,2.

    Son fils Joseph Gillet, après un parcours de formation incluant en 1862 un stage à l'École de chimie de Wiesbaden, développe l'entreprise paternelle en fondant à Villeurbanne une immense usine de 13 hectares et en investissant dans des secteurs nouveaux, tels que la soie artificielle ou la viscose. Il joue également un rôle décisif, avec Jules Raulin et Edmond Coignet, dans la création de l'École de chimie industrielle de Lyon en 1883.

    La continuité de la lignée est assurée par les trois fils de Joseph Gillet : Edmond Gillet, industriel, régent de la Banque de France et administrateur de Rhône-Poulenc en 1929 ; Paul Gillet, dit « l'homme de Progil », conseiller de la succursale de la Banque de France à Lyon ; et Charles Gillet, industriel.

    Le fils de Charles, Renaud Gillet, préside le groupe Rhône-Poulenc de 1973 à 1979, tandis que son autre fils Robert Gillet, devient ambassadeur de France en Espagne de 1970 à 1976.

    Au faîte de leur puissance à la fin des années 1950, les Gillet anticipent le déclin de leur activité, en prolongeant une politique de partenariats, de prise de participation croisées et d'échanges d'actions avec d'autres groupes. Ils fusionnent l'activité « textiles artificiels » avec Rhodia puis cèdent l'ensemble à Rhône-Poulenc en 1971. L'activité « chimie » est également cédée à Rhône-Poulenc en 1968. La teinture, le métier de départ de cette histoire industrielle, est cédée en 1976 aux Chargeurs réunis. À la faveur de ces accords financiers, les Gillet deviennent des actionnaires de ces mêmes groupes, en particulier de Rhône-Poulenc.

    Liens de filiation entre les personnalités notoires

    Généalogie de la dynastie industrielle lyonnaise Gillet3 (descendance agnatique de l'industriel François Gillet) :

    Possessions

    Pour approfondir

    Bibliographie

    Articles connexes

    Références


  2. Pierre Cayez et Serge Chassagne, Les patrons du Second Empire : Lyon et le lyonnais, Éditions Picard, , 287 p. (lire en ligne [archive])

  3. Pierre Cayez et Serge Chassagne, Les patrons du Second Empire: Lyon et le lyonnais, Éditions Picard, , « La succession de François Gillet est évaluée à plus de 6 millions de francs où, à côté des actions, obligations et du compte courant, s'alignent les biens immobiliers, en particulier les propriétés autour de Bully (...) prouvant ainsi que François Gillet a pris sa revanche sociale en devenant par ailleurs le « châtelain » de son village natal. Sa fortune est comparable à celle de ses fils dont les participations communes dans le capital de l'entreprise en 1895 est aussi de 6 millions de francs ».

  4. « Généalogie des Gillet [archive] », Section généalogique de l'Association Artistique de la Banque de France.

  5. « 69188 - Saint-Clément-sur-Valsonne — Geneawiki [archive] », sur fr.geneawiki.com (consulté le )

  6. http://data.bnf.fr/10639622/hugues_chatin/ [archive]

  7. La Famille Motte de Roubaix, 1794-1909, Tournai, Castermann, s.d., 4°, 86 p.

  8. « Gillet-Motte [archive] », sur thierryprouvost.com (consulté le ).

  9. http://fr.geneawiki.com/index.php/69032_-_Bully [archive]

  10. « Francois Gillet [archive] », sur noms.rues.st.etienne.free.fr (consulté le ).
  11. michelrenard, « Les anciens maires de la commune d'Izieux [archive] », sur canalblog.com, Saint-Chamond, (consulté le ).


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