Pages

samedi 9 septembre 2023

Encore une Quimpéroise moquée par les magistrats et avocats locaux

Si elle est allée voir un journaliste, c'est qu'elle ne trouve pas plus d'avocat pour prendre en charge la défense de ses intérêts que de magistrat pour instruire son affaire, celle du décès de son fils renversé par une voiture.

Autres cas similaires, pour des affaires d'un autre registre :

http://satanistique.blogspot.com/2022/11/le-gabericois-pierre-andre-quintin-ne.html

http://satanistique.blogspot.com/2022/11/pierre-andre-quintin-dergue-gaberic.html

http://satanistique.blogspot.com/2023/04/comment-lavocat-lyonnais-patrick-baudy.html

 

C'est qui, déjà, le connard de bâtonnier de Quimper ? Cela change, des fois ? Non mais ça change vraiment ?

 

https://www.letelegramme.fr/bretagne/elle-veut-la-verite-sur-la-mort-de-son-fils-6423931.php

À Quimper, elle veut la vérité sur la mort de son fils

 
Article réservé aux abonnés
 

 

Par Benjamin Pontis

« Je suis morte le 8 décembre 2019. » Depuis le décès de son fils, renversé par une voiture, une Quimpéroise a toutes les peines du monde à faire entendre sa souffrance auprès de la justice.

 

« Personne ne me répond au tribunal. Personne ne veut instruire l’affaire », déplore Valérie Lesauvage, une Quimpéroise qui a perdu son fils en 2019, renversé par une voiture au niveau de l’avenue du Morbihan, à Quimper.
« Personne ne me répond au tribunal. Personne ne veut instruire l’affaire », déplore Valérie Lesauvage, une Quimpéroise qui a perdu son fils en 2019, renversé par une voiture au niveau de l’avenue du Morbihan, à Quimper. (Le Télégramme/Benjamin Pontis)

 

Les yeux humides, Valérie Lesauvage plonge les mains dans son sac à main. Les mains tremblantes, des larmes coulant le long de son visage, cette Quimpéroise âgée de 60 ans saisit une photo de son fils, Yoann. Une photo dont elle ne se sépare jamais. Yoann, c’est son unique enfant. Très tôt, trop tôt, tous les deux ont dû apprendre à se débrouiller après le décès du père, en 2009. Aujourd’hui, elle doit apprendre à survivre, seule. « On était un binôme. L’un sans l’autre, ça n’existait pas. Je suis morte le 8 décembre 2019 », raconte cette mère courage, des sanglots dans la voix. Le 8 décembre 2019, au petit matin, elle a perdu son fils, percuté par une voiture sur l’avenue du Morbihan, à Quimper.

« Bonne soirée maman, bisous, à toute »

 

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire