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samedi 19 octobre 2024

16 octobre : Grégory en 1984 et Lina 40 ans plus tard

 

 

 

 

Tant qu'à revenir sur l'affaire Grégory, je m'intéresse aujourd'hui à l'autre version, soutenue par les comploteurs du GO de Nancy et rapportée dans cette vidéo par Karl Zéro et Serge Garde, journaliste de L'Humanité, dont l'impartialité peut être en l'occurrence questionnée.

Ce reportage est intéressant du fait que les "comploteurs" contre la mère s'y expriment : les avocats de Bernard Laroche, d'abord Paul Prompt, qui est en fait l'avocat de son employeur comme celui du PC et de la CGT (c'est également un ancien résistant qui a été emprisonné jusqu'à la Libération de Lyon, voir ici son propre récit de ses actions de résistance à Lyon en 1943, jusqu'à son arrestation par la Milice : https://advr.fr/paul-prompt/ ), puis Gérard Welzer, appelé à le seconder par le premier, la journaliste Marie France Lefèvre Bezzina, qui est toujours en vie, dit assumer tous ses écrits et continue à accuser la mère, et le commissaire de police Jacques Corazzi.

On y voit aussi des lettres du corbeau demandant notamment à ses destinataires de ne pas fréquenter "le chef" qu'il qualifie de second "bâtard" de la famille.

Pour moi, c'est intéressant, car moi aussi, j'ai toujours été victime d'ostracisme lorsque j'étais harcelée, d'abord durant ma scolarité, puis à partir des années 1990 lorsque les harcèlements avec violences graves ont recommencé, d'abord dans le travail, puis absolument partout (et cela continue toujours aujourd'hui), ces exigences de mes harceleurs à mon endroit étant également associées à des menaces de mort et représailles violentes à l'égard de tous ceux qui contreviennent à leurs consignes me concernant, comme le montrent notamment plusieurs des témoignages de mes anciens camarades de l'association AC ! Brest pour la période où la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest est directement impliquée, puisque c'est elle qui organise tout en étant elle-même l'auteur de toutes les inventions et accusations calomnieuses qu'elle fait circuler à mon encontre.

Par ailleurs, moi aussi, à partir de l'année 1994, je ne suis plus la fille de mon père, je deviens la fille cachée d'un tel ou de tel autre et vais avoir ainsi un assez grand nombre de pères cachés, dont quasiment tous les ministres de la Défense depuis Charles Hernu. Concernant ce dernier, je l'ai appris dans mon bureau de poste, peut-être en 1996 ou 1997, ou plus tard, je ne sais plus, ce sont les agents de la Poste qui se passaient le mot entre eux à ce sujet ("C'est la fille cachée de Charles Hernu..."), avec des réflexions dans le genre : "Qu'est-ce qu'elle lui ressemble !" C'est le commissaire X (je ne publie pas le nom, mais je l'ai toujours en tête) qui leur avait dit... donc c'était vrai...

Et dès le mois de novembre 1994, à l'occasion d'une visite au Palais de Justice de Paris, j'étais tombée sur un greffier qui à mon grand étonnement connaissait mon affaire alors que mes plaintes allaient toutes au panier. Très gentiment, il m'avait conseillé de bien conserver toutes mes nouvelles pièces, qu'on allait sans doute tenter de me voler... Oui, là, j'étais bien d'accord, on avait déjà tenté de me voler un gros paquet de pièces. Puis il m'avait conseillé de prendre le nom de mon père en m'indiquant même, toujours très gentiment, toute la procédure à suivre... J'en étais restée sidérée. Je connaissais déjà cette invention de mes harceleurs (mon père caché) mais n'imaginais pas qu'elle pusse être connue de magistrats qui l'auraient prise pour argent comptant... A mon sens, il ne s'agissait que d'une nouvelle invention d'un commercial pour se sortir d'affaire à la mi-septembre 1994 - ces gens-là mentent tout le temps, il n'y a pas grand-chose à retenir de leurs argumentations diverses et variées, surtout quand ils viennent de se faire prendre et en rajoutent encore une couche pour se défendre et éviter à tout prix les ennuis... ce qui était le cas.

Concernant la thèse dont les mêmes m'avaient parlé en 1994 à propos de l'affaire Grégory, c'est évidemment celle, accidentelle, du gamin oublié dans son bain par sa mère en train de s'envoyer en l'air avec son amant... 

Et à moi aussi, déjà à cette époque, ils m'inventaient des tas d'amants, et cela a toujours continué, comme en attestent les écrits publics à mon sujet du malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi à partir de juin 2010.

Si l'affaire du petit Grégory et la mienne n'ont évidemment strictement aucun rapport l'une avec l'autre, on y retrouve quand même bien des similitudes qui peuvent résulter de procédés habituels dans certaines organisations, comme déjà indiqué dans ces précédents articles, particulièrement les deux derniers : 

http://satanistique.blogspot.com/2017/07/petits-juges-lambert-et-autres-de-la.html

http://satanistique.blogspot.com/2024/10/affaire-gregory-encore-celle-dun-juge.html

http://satanistique.blogspot.com/2024/10/affaire-gregory-un-complot-gauchiste.html

http://satanistique.blogspot.com/2024/10/affaire-gregory-40-ans-derrements.html

Une troisième affaire, par ses particularités, suggère elle aussi l'implication d'une telle organisation, c'est la disparition de la jeune Lina Delsarte le 23 septembre 2023 à Plaine en Alsace, dont le corps vient d'être retrouvé dans la Nièvre le 16 octobre 2024, tout juste 40 ans après la découverte de celui de Grégory Villemin, de même dans un cours d'eau, des cordes ayant aussi été utilisées pour la ligoter.

Dans ce cas également, la victime était harcelée et menacée, et celui qui est suspecté de l'avoir enlevée est mort.

Il reste aux enquêteurs à tenter d'établir aussi précisément que possible les causes et circonstances de son décès, et à rechercher d'éventuels complices.

Il convient de noter que Grégory Villemin et Lina Delsarte vivaient et ont été enlevés dans la même région, dans des lieux distants de seulement 65 km l'un de l'autre :

 


 

Et le ravisseur présumé de Lina Delsarte, le Bisontin Samuel Gonin, avait fait un premier arrêt dans les Vosges dans l'après-midi du 23 septembre 2023, à Anould, à 25 km de Lépanges-sur-Vologne, et 13 km au sud de Saint-Dié-des-Vosges, où est né Grégory Villemin le 24 août 1980, Samuel Gonin étant lui-même né le 10 septembre 1980, tandis que Lina Delsarte était inscrite à la Maison Familiale et Rurale de Saint-Dié-des-Vosges, à Provenchères-et-Colroy (18 km à l'est de Saint-Dié par la route), où elle a passé son année de 3ème en internat et obtenu en juin 2023 un brevet des collèges dit "professionnel", l'enseignement alternant cours et stages en entreprise (en février 2023, elle avait fait un stage au restaurant "Au Bon Gîte", à Senones, à 20 km au nord de Saint-Dié et 19 km à l'ouest de Plaine, puis en juin 2023, un stage d'une semaine à l'école communale de Plaine, et elle avait débuté le 11 septembre 2023 son stage de six semaines au Proxi de Saint-Blaise-la-Roche; elle aurait aussi travaillé à l'hôtel restaurant & Spa Julien sis à Fouday) :

 


La distance de Plaine à Anould est d'environ 40 km :


 

Mais avant d'entreprendre des fouilles à Anould, le 30 juillet 2024, les enquêteurs avaient fouillé dans la vallée du Rabodeau, non loin de Senones, à 20 minutes en voiture de Champenay, hameau où était domiciliée Lina, chez sa mère.

Son ravisseur présumé avait donc suivi la route décrite par l'ensemble des cartes suivantes, en deux étapes, avec un arrêt près de Senones, après avoir fait monter Lina dans sa voiture sur la départementale D350 entre Champenay et Saint-Blaise-la-Roche aux alentours de 11h22, et en arrivant de Schirmeck (localisation à 10h50 dans le tunnel) :

 

 

La Ford Puma volée utilisée par Samuel Gonin avait été filmée le 23 septembre 2023 à 11h13 par une caméra de surveillance située au nord-est de la Route des Princes, à l'opposé du domicile du retraité Robert, demeurant au 68, Route des Princes, à Champenay, qui dit avoir vu Lina passer devant chez lui dans une voiture ce jour-là vers 11h30, en provenance de la D350 et en direction de Strasbourg, le téléphone de celle-ci ayant cessé d'émettre à 11h22, tandis que le véhicule de Samuel Gonin était repéré à proximité immédiate du lieu de sa disparition sur la D350 à 11h20 et 11h26 :

 


 
L'emplacement exact de la caméra se situe sur un chalet au croisement de la Route des Princes et du chemin de la Basse des Molis, juste avant d'arriver à la maison de l'assistante maternelle Caroline Gress, indiquée sur plusieurs cartes, ce qui fait 23 mn pour effectuer un trajet d'environ 10 mn à partir de la précédente localisation, dans le tunnel de Schirmeck à 10h50 :
 




Qu'il prenne Lina sur la D350 dans un sens ou dans l'autre (mais il semble qu'elle marchait sur le bord gauche de la route et a traversé juste avant de ne plus laisser aucune trace), son ravisseur peut donc l'amener à la gare, être effectivement passé par Saint-Blaise-la-Roche, ou avoir coupé comme suit entre la D350 et la D424 par la Rue de la Besse, ou en passant par le Chemin Basse des Champs, où il pouvait déjà se trouver lorsqu'il a enlevé Lina :

 


Noter qu'aller à Senones en venant de Schirmeck n'impose pas de passer par Plaine ou Champenay, il est plus naturel de passer par Saint-Blaise-la-Roche :

 

 

Il est certain que Samuel Gonin a bien emprunté la D1420 descendant directement vers Saint-Blaise-la-Roche (tunnel de Schirmeck, où il est filmé à 10h50), avant de bifurquer vers Plaine et d'être filmé une seconde fois à 11h13 juste avant d'arriver à hauteur de la maison de Caroline Gress.

Le cas échéant, il aurait pu attendre Lina à Saint-Blaise-la-Roche où elle se rendait à pied pour prendre le train de 12h03 pour Strasbourg, mais il semble bien avoir fait un détour par Plaine pour aller la chercher ou l'enlever.

En fait, comme l'ancien maire de Plaine Jean-Marc Chipon dit ne l'avoir jamais vu lors de ses allées et venues, il est probable qu'il ne se soit pas rendu jusqu'à Champenay, mais ait repris la direction de Saint-Blaise-la-Roche à peine arrivé à Plaine, puis soit allé à la rencontre de Lina sur la D350 après être éventuellement passé par la gare. Il a dû s'arrêter dans le Chemin Basse des Champs où il pouvait être caché pour les conducteurs des autres véhicules empruntant la D350, avant de repartir. Toutefois, tout ce circuit n'était pas nécessaire juste pour récupérer ou enlever Lina, sans passer par Champenay. Il est probable qu'il ait dû sortir de la D1420 avant Saint-Blaise-la-Roche pour prendre la D196 puis la Route des Princes pour voir une tierce personne dans ce secteur, ou éventuellement récupérer un ou plusieurs complices avant d'aller enlever Lina (mais selon les déclarations du procureur à la presse, les seuls ADN retrouvés dans sa voiture sont le sien, celui de Lina, et ceux d'un homme et d'une femme du centre de la France qu'il aurait pris en stop en décembre 2023 et janvier 2024... sans que le public n'ait pu en savoir davantage sur ces deux personnes, leurs relations avec Samuel Gonin, leur identification par la justice, leurs ADN étant a priori déjà connus ou enregistrés quelque part pour qu'ils aient pu être identifiés, et les vérifications effectuées par les enquêteurs sur leurs déclarations quand même très surprenantes).

Dans tous les cas, s'il est bien caché, c'est un guet-apens, il sait qu'elle ne va pas tarder à passer et en a donc été prévenu, soit par un tiers, soit au moyen d'un outil d'espionnage. Il a fait un détour pour l'enlever à cet endroit car il est bien plus discret que la gare ou le centre de Saint-Blaise-la-Roche.

Ensuite, il a pu reprendre la D350 en direction de Champenay et tourner à gauche dans la rue de la Besse pour gagner la D424 et se rendre à Senones, ou éventuellement retourner vers Saint-Blaise-la-Roche, puis prendre la D424 vers Senones, ou encore poursuivre en direction de Champenay, passer devant chez Robert, aller vers Plaine et redescendre vers Saint-Blaise-la-Roche pour prendre la direction de Senones (à vérifier avec le minutage jusqu'à la localisation à Senones, que je n'ai pas; celle à Anould à 12h23 laisse cette possibilité d'un tour supplémentaire avec passage devant chez Robert, tout à fait compréhensible si Samuel Gonin n'est pas un familier des lieux et ne sait pas qu'il peut couper par la rue de la Besse, ou souhaite l'éviter par peur d'y être trop facilement repéré par ses riverains).

Il a pu aussi prendre la route directe de Champenay à la D424, en direction de Senones :

 


Cette dernière solution pour sortir de Plaine paraît en fait la plus probable car c'est la seule qui lui évite de passer devant la caméra du col du Hantz qui se situe à la frontière entre le Bas-Rhin et les Vosges, sur la D424, juste avant que la route directe en provenance de Champenay n'y débouche.

Or, après la disparition de Lina, cette caméra ne fait pas apparaître la Ford Puma et celle du col de Saales qui se situe sur la route directe de Plaine à Anould non plus.

Voilà les positions des caméras dont les enquêteurs avaient saisi les images de vidéosurveillance au début de l'enquête :

 


Il est tout à fait possible que Samuel Gonin ait volontairement évité d'être filmé par l'une de ces caméras sitôt après l'enlèvement. Cela signifierait que son trajet avait été au préalable bien étudié et que toute l'opération était donc préméditée.

N.B. : Je trouve cette réflexion sur un forum de discussion consacré à l'affaire, le 8 novembre 2024 :

"Il faut 7 minutes du lieu de l'enlèvement jusqu'au col du Hantz. Avec l'arrêt à 11H26 il est probablement arrivé au col après 11H30. Les vidéos ont été sauvegardées jusqu'à 11H30, donc on n'a pas de vidéo de la Ford Puma si elle passait le col après 11H30 .."

Il n'y aurait donc toujours aucune certitude concernant la route empruntée par Samuel Gonin pour sortir de Plaine après l'enlèvement.

On apprend également sur ce forum que le Chemin Basse des Champs ne serait pas praticable en voiture sur toute sa longueur, selon un intervenant qui serait du secteur, mais aurait pu quand même l'être suffisamment pour d'autres, à la condition, bien évidemment, si c'est bien le cas, de connaître ce chemin et son état à l'époque des faits, car personne ne risquerait de s'y aventurer sans ces informations. Il reste par ailleurs la solution la plus discrète pour quitter les lieux, quoique dans sa dernière partie il passe devant deux habitations dont les occupants auraient pu remarquer le véhicule...

Dans l'hypothèse où Samuel Gonin ne s'y serait même pas caché, à aucun moment, il faut envisager qu'il arrive de Saint-Blaise après le maire et repart aussi vers Saint-Blaise avant le second passage du maire, ou réussit à bifurquer dans la rue de la Besse avant ce second passage.

Après s'être arrêté à Senones, il a repris la route vers Anould en passant par Saint-Dié-des Vosges :


 

Noter que la route directe de Schirmeck à Anould ne passe ni par Plaine ni par Senones, mais uniquement par Saint-Blaise-la-Roche et Saint-Dié-des-Vosges (par le sud à Sainte-Marguerite) :

 

 

Il est localisé à Anould à 12h23 et s'y arrête 1h30.

Son détour par Plaine et Serones a rallongé son parcours d'environ 40 mn, alors qu'il avait manifestement prévu de traverser la France après être allé faire son plein d'essence en Allemagne à 9h23.

Après Anould, il semble se rendre directement à Nevers en passant par Besançon et ne sort de la route qu'à Château-Chinon pour aller à Corancy, au nord, et à Nevers, pour aller à Challuy et Sermoise-sur-Loire, au sud. Son arrêt à Saulx se trouve sur sa route, à 15 km avant d'arriver à Vesoul :



Même si tous ses trajets depuis le vol en Allemagne en août 2023 de la Ford Puma qu'il utilisait, jusqu'à la mise en fourrière de ce véhicule en janvier 2024 à Narbonne, ont pu être retracés par les enquêteurs, leurs raisons restent encore bien mystérieuses, surtout lorsqu'il emprunte des voies a priori connues de leurs seuls riverains dans des lieux qu'il n'est pas censé fréquenter.

On sait qu'il s'agissait d'un toxicomane constamment à la recherche d'argent.

Par ailleurs, ni le téléphone ni les papiers de Lina n'ont été retrouvés. Or, ce sont des éléments qui peuvent servir de preuves de l'exécution d'un contrat quand le tueur à gages se fait payer la totalité de son dû. Cela dit, ses clefs non plus n'ont pas été retrouvées, et il est probable qu'elle avait dans son sac à main encore d'autres affaires que celles indiquées par le procureur dans sa conférence de presse du 19 septembre 2024.

Enfin, on notera que cette région des Vosges est encore celle d'autres harceleurs bien connus comme tels, à savoir le journaliste Vincent Glad créateur de la Ligue du LOL et les zététiciens Patrice Seray et Francine Cordier, tous d'Epinal, et comptant parmi mes propres harceleurs depuis les années 2008 à 2010, le premier d'entre eux étant le Rennais anciennement brestois Dominique Le Brun alias Charles Mouloud, décédé très précisément le dimanche 24 septembre 2023. Né le 22 octobre 1958 à Douarnenez, cet ancien éducateur spécialisé proche du pédocriminel et ancien psychiatre brestois Serge Rodallec et de ses amis de la LCR de Brest aurait eu 65 ans le mois suivant.

Rappelons que la bande de mes harceleurs depuis les années 2008 à 2010, des cybercriminels qui se font appeler "déconnologues" et ont notamment produit la Ligue du LOL, comptent plusieurs pédocriminels, violeurs, proxénètes et trafiquants de drogue tous farouchement ou très violemment opposés à toute pénalisation de leurs crimes.

Le chef de bande Pascal Edouard Cyprien Luraghi se dit d'ailleurs militant anti-carcéral et opte lui-même pour des solutions radicales afin d'éviter tout procès :


Cyp’ le 30/08/2009 à 12:12
@ les RG :
Je préfère écrabouiller les folles furieuses qui se jettent sous les roues de ma bagnoles alors que je roule pépère sur la départementale, plutôt qu’aller me frotter aux CRS ou planter ma caisse dans un platane pour éviter ces cinglées.

D’ailleurs, vous faites plaisir aux CRS, quand vous manifestez : c’est grâce à vous qu’ils peuvent écouter Sardou et payer les traites de leur pavillon Phénix ultra-moche.

Sans vous, ils n’existeraient pas et le monde serait plus sympathique.
Vroum !

 

 

https://www.centrepresseaveyron.fr/2024/03/05/disparition-de-lina-elle-etait-en-train-de-marcher-sur-le-bord-gauche-un-nouveau-temoin-affirme-lavoir-vu-sur-les-29-km-de-trajet-au-coeur-de-lenquete-11806004.php

Disparition de Lina : "Elle était en train de marcher sur le bord gauche", un nouveau témoin affirme l'avoir vu sur les 2,9 km de trajet au cœur de l'enquête


Publié le , mis à jour

Lina, 15 ans, a disparu depuis bientôt six mois, en Alsace. Malgré d'importantes recherches et toutes les investigations menées, l'adolescente reste introuvable. L'enquête se poursuit, sa maman vit dans l'angoisse mais aussi dans l'espoir de retrouver sa fille vivante. 

Lina, 15 ans au moment de sa disparition, n'a plus donné signe de vie depuis le 23 septembre 2023, en Alsace, dans le Bas-Rhin. 

Que s'est-il passé sur le trajet de 2,9 km effectué par Lina ?

L'adolescente, qui ce jour-là, partait prendre un train pour rejoindre Tao, son petit ami, à Strasbourg, n'est jamais arrivée à la gare. Elle a disparu sur le trajet qu'elle effectuait à pied entre son domicile et la gare. Un trajet à pied de 2,9 km entre La Plaine et Saint-Blaise-la-Roche pour prendre le train de 12 h 03. 

Un trajet de 2,9 km où semble-t-il tout s'est joué et sur lequel se concentrent depuis cinq mois les enquêteurs, comme l'a retracé les Dernières Nouvelles d'Alsace.

11 h 22 : le téléphone de Lina cesse de borner

Évidemment, dans ce genre d'affaire où le temps est compté, très vite, les enquêteurs se sont concentrés sur le téléphone de Lina qui n'a pas été retrouvé mais qui a cessé d'émettre à 11 h 22. 

Depuis, les enquêteurs qui se sont constitués en une cellule opérateurs des trois bornes située dans le secteur où a disparu Lina, une cellule d'enquête régionale a été créée.

Un troisième témoin dit avoir vu Lina à 11 h 15

Le week-end dernier, sur le plateau de France 2, la maman de Lina, Fanny Groll, est venue témoigner annonçant notamment la création d'une association. À l'occasion de ce reportage, on apprend que dans le cadre de l'enquête, une information judiciaire est ouverte pour "pour enlèvement et séquestration", un troisième témoin a également vu la jeune fille ce 23 septembre sur la RD 350 qu'elle longeait. 

"J'ai vu la petite avec sa robe grise et son blouson blanc. Elle était en train de marcher sur le bord gauche, en face de moi", comme le rapportent Les Dernières nouvelles d'Alsace citant France 2. L'homme se prénomme Yohann. Il s'agit d'un chef d'entreprise, qui se trouvait au volant de son camion avec deux de ses ouvriers. Il l'aurait aperçu cinq minutes avant que le téléphone portable de Lina ne cesse de borner. 

Deux autres témoins

Dès le début de l'enquête, deux témoins s'étaient rapidement manifestés indiquant avoir aussi croisé la route de Lina. D'abord, l'ancien maire de La PlaineJean-Marc Chipon, qui assure avoir vu la jeune fille son téléphone en mains sur le bord de la route. "Je l'ai croisée, elle était en train de marcher sur le bord de la route. Où elle allait ? Je ne savais pas. Je n'en savais pas plus...", avait-il indiqué. Quelques minutes plus tard, l’homme politique était repassé par la même route mais n'avait pas retrouvé l’adolescente. 

Puis, une semaine plus tard, le 1er octobre, l’émission 66 Minutes produite par M6 a diffusé une séquence au cours de laquelle un homme affirme avoir vu Lina à bord d’une voiture bleue le samedi 23 septembre, jour de sa disparition. Ce riverain, qui vit dans le secteur de Saint-Blaise-la-Roche, avait alors confié être perturbé par ce souvenir. "Ça me travaille hein depuis. Je l'ai vue passer dans une voiture. Elle a fait un salut en passant". L’homme, qui est "sûr" d’avoir vu l’adolescente et pas une autre personne, avait même décrit sa tenue. "Oui (je suis sûr que c’était elle), comme je la connaissais d’ici. Donc je l’ai vue, habillée en blanc".

Une Clio grise recherchée : la piste d'un prédateur sexuel exploitée

Depuis janvier 2024, les enquêteurs s'intéressent aussi à creuser la piste d'un homme âgé d'environ 20 ans, qui circulerait à bord d'une voiture grise de type Renault Clio, et qui aurait approché des jeunes filles, des collégiennes, sur une aire de jeux.

 

https://www.lejdc.fr/nevers-58000/faits-divers/disparition-de-lina-le-corps-de-l-adolescente-retrouve-dans-la-nievre_14580906/

Mort de Lina : Les recherches sont terminées dans le cours d'eau de la Nièvre où le corps a été retrouvé

Le corps de Lina retrouvé

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Le corps de Lina, adolescente de 15 ans, qui avait disparu en septembre 2023 dans le Bas-Rhin, a été retrouvé, ce mercredi 16 octobre, dans la région de Nevers. L'enquête continue dans la Nièvre. 
 

L'ESSENTIEL 

  • Le corps de Lina, une adolescente qui avait disparu en 2023 dans le Bas-Rhin, a été retrouvé dans la région de Nevers, ce mercredi 16 octobre.
  • L’enquête sur la disparition de Lina avait conduit les gendarmes dans un village de la Nièvre, où la voiture du suspect a été localisée le jour de l’enlèvement. Ce dernier s'est suicidé à Besançon début juillet.
  • Le corps a été découvert "dans une zone boisée et isolée", "immergé dans un cours d'eau situé en contrebas d'un talus", sur la commune de Sermoise-sur-Loire. 

LE DIRECT

18 h 10 | Le point en vidéo sur cette journée d'investigations

 

C'est la fin de ce live. Merci de l'avoir suivi.


 

15 h 50 | Les recherches sont terminées

Le dispositif a été levé. Les recherches sont donc terminées depuis 15 h 45.


14 h 05 | Éviter que les indices ne soient emportés

Un agriculteur a été sollicité par les gendarmes, mercredi 16 octobre, en début d'après-midi, pour déposer de la terre dans le ruisseau avec son tractopelle pour éviter que l'eau n'emporte des indices. "Je n'en ai pas dormi de la nuit", explique-t-il simplement, en refusant d'en dire plus.


12 h 25 | Les pompiers plongeurs arrivent à leur tour pour sonder le Peuilly

Des véhicules d'enquêteurs immatriculés dans le Bas-Rhin sont également sur place. Un camion transportant des pompiers plongeurs vient d'arriver rue des Tuileries avec pour mission de sonder le Peuilly, cours d'eau où l'adolescente a été retrouvée, mercredi. 


11 h 50 | "Ce n'est pas l'issue que la famille espérait"

Le colonel de gendarmerie de la Nièvre, Julien Burlet, est sur place. Il confirme que les pompiers sont là pour assécher le cours d'eau et faciliter le travail des enquêteurs de Strasbourg. Il commente : "La famille est bien sûr avisée. Ce n'est pas l'issue qu'elle espérait".

Il poursuit : "C'est un travail de longue haleine de la part des enquêteurs de Strasbourg et de la Nièvre qui ont été mobilisés pour localiser Lina". Lors de l'enquête, les gendarmes ont dû analyser le bornage du téléphone du suspect, le parcours de son véhicule, notamment à l'aide de vidéo surveillance. "Le tout dans une zone boisée. Ça n'a pas rendu la tâche facile."


11 h 45| Interdiction de circuler route des Tuileries

Le maire de la commune de Sermoise-sur-Loire, Manuel de Jésus, a pris un arrêté interdisant la circulation sur la route des Tuileries. L'arrêté a été promulgué ce jeudi 17 octobre à 10 h. Le maire devrait se rendre sur place vers 17 h. Pour l'instant, il laisse les enquêteurs faire leur travail.


11 h 40| Le Parquet de Strasbourg ne communiquera pas

Le parquet de Strasbourg a fait savoir, ce jeudi 17 octobre en milieu de matinée, qu’il ne communiquerait plus sur l’affaire « dans l’attente des résultats d’expertise médico-légale », indiquent nos confrères des Dernières Nouvelles d’Alsace.


11 h 30| Les pompiers sont à l'œuvre pour assécher le cours d'eau où le corps de Lina a été retrouvé

Sur place, les gendarmes sont dans l'attente. Tout comme les journalistes, bloqués par un cordon. Les pompiers sont désormais en action. Leur mission : assécher le ruisseau à la recherche d'éléments utiles à l'enquête qui pourraient s'y trouver.


11 h 11 | Une habitante du hameau des Tuileries témoigne

Contacté le jour de la découverte du corps, mercredi 16 octobre, Manuel de Jésus, le maire de la commune, confiait n'avoir pas eu l'information. Au lendemain des faits, il réagit, encore sous le choc : "C'est impensable !". "S'arrêter à Sermoise-sur-Loire, petite localité de 1.600 habitants..."


11 h 05 | "C'est impensable" : le maire de Sermoise-sur-Loire réagit

Contacté le jour de la découverte du corps, mercredi 16 octobre, Manuel de Jésus, le maire de la commune, confiait n'avoir pas eu l'information. Au lendemain des faits, il réagit, encore sous le choc : "C'est impensable !". "S'arrêter à Sermoise-sur-Loire, petite localité de 1.600 habitants..."


10 h 53 | Des pompiers arrivent dans la zone bouclée

Au barrage filtrant nord, route des Tuileries, des camions de pompiers arrivent sur les lieux. Ils sont à l'approche de la zone bouclée par les gendarmes mais ils sont bloqués par les journalistes.

 

Photo Simon Dubos


10 h 47 | Quand la mère de Lina portait plainte contre un Youtubeur pour diffamation

Près de deux mois et demi après la disparition de Lina, sa mère avait déposé plainte pour "diffamation" contre un Youtubeur. Dans une vidéo, ce dernier avait soutenu la thèse selon laquelle elle aurait une liaison avec le petit ami de sa fille, Tao. On vous explique dans cet article


10 h 30 | À Sermoise-sur-Loire, l'enquête se poursuit au lendemain de la découverte du corps

Les gendarmes des compagnies de Nevers et de Cosne-sur-Loire (Nièvre), renforcés par l'escadron départemental de la sécurité routière, ont installé un barrage filtrant, route des Tuileries, à proximité du hameau du même nom, sur la commune de Sermoise-sur-Loire.

Ils ont pour consigne de ne pas répondre aux questions. Sous une pluie battante, certains agents en treillis font des allers-retours dans la forêt environnante. D'autres se relaient dans les voitures pour être un peu au sec. Dans le même temps, la presse nationale afflue et installe ses caméras sur ce bout de route.

 

Photo Simon Dubos


10 h 10 | Ces questions qui restent désormais en suspens

Qu'est-il arrivé à Lina ? A-t-elle été enlevée puis tuée par Samuel Gonin ? Pourquoi aurait-il fait ça ? Où se cache le téléphone de l'adolescente ? Voici autant de questions qui restent désormais sans réponse. On les évoque dans notre article


9 h 35 | Ce que l'on sait sur les lieux de la découverte du corps

Selon nos informations, le corps de Lina a été découvert à Sermoise-sur-Loire, ce mercredi. La route d'accès à cette zone boisée et isolée est actuellement bouclée par les gendarmes des compagnies de Nevers et de Cosne-sur-Loire, renforcées par l'escadron départemental de la sécurité routière de plus en plus nombreux depuis quelques instants. Notre article


9 h 20 | La maire de Plaine "complètement effondrée"

Patricia Simoni, maire de la commune de Plaine, où habitait Lina, avoue auprès de BFM Alsace avoir été "complètement effondrée" à l'annonce de la découverte du corps de Lina. 

"Même si on pensait que ça serait difficile de retrouver Lina, quand on apprend la nouvelle c'est terrible", a-t-elle confié à nos confrères.

Avant d'ajouter : 

J'ai fait un petit message à la maman de Lina hier soir (mercredi, NDLR), je respecte la détresse dans laquelle ils doivent être en ce moment et je reprendrai contact plus tard.

8 h 37 | La mère de Lina "est atterrée", selon son avocat

La découverte du corps de Lina a mis un terme à terrible attente de plus d'un an pour les proches de l'adolescente. La famille "ne souhaite pas réagir", ont fait savoir Me Marylène Correia et Matthieu Airoldi, avocats qui représentent les parents, aujourd'hui séparés, de Lina. Ils ont toutefois fait part de "l'immense douleur" de leurs clients. 

De son côté, Me Airoldi, avocat de la mère, révèle que Fanny Groll "est atterrée" et demande à ce que le deuil de la famille soit respecté. 

 

Fanny Groll, la mère de Lina. Photo AFP/Patrick HERTZOG


8 heures | Souriante, passion pour l'équitation et le shopping entre amis.. Qui était Lina ?

Avant ce drame, elle est décrite comme une adolescente gaie, souriante et solaire, selon ses proches. Elle a grandi auprès de sa mère dans une maison du hameau de Champenay, à Plaine, dans le Bas-Rhin. Découvrez son portrait


7 h 30 | Ce que l'on sait sur la découverte du corps

Le corps de Lina, adolescente de 15 ans qui avait disparu en septembre 2023 dans le Bas-Rhin, a été retrouvé mercredi dans la région de Nevers, a indiqué le procureur de la République de Strasbourg par intérim Alexandre Chevrier.

Le corps a été découvert "dans une zone boisée et isolée de la région de Nevers", "immergé dans un cours d'eau situé en contrebas d'un talus", a précisé M. Chevrier.

 

Les gendarmes lors des recherches en août dernier en Haute-Saône. Photo archives AFP


7 heures | Bonjour ! 

Soyez les bienvenus dans ce direct commenté. Mercredi, après plus d'un an de mystère, le corps de Lina a été découvert dans la Nièvre. Mais bon nombre de questions demeurent dans cette affaire qui a ému la France. Les enquêteurs vont tenter d'y répondre. 

Mort de Lina : enquête, interpellation du suspect, découverte du corps... Les moments clés de l'affaire


22 heures | Fin de ce direct

Merci à toutes et à tous de l'avoir suivi. Le corps de Lina a été découvert, ce mercredi 16 octobre, dans la région de Nevers. Les circonstances de sa mort restent encore à élucider. Une nouvelle enquête démarre, notamment afin de déterminer où elle est morte, et comment cela s'est produit. Bonne soirée.


21 h 30 | Lina avait déposé plainte pour viol en 2022

La jeune fille avait encaissé les moqueries et les insultes sur les réseaux, mais ne s'était jamais confié à ses amis ni à sa mère, selon les Dernières nouvelles d'Alsace. 


21 h 15 | "C'est très difficile"

Une amie proche de Lina avoue auprès de BFMTV que l'annonce de la mort de l'adolescente a été "très difficile". "J’ai reçu un message me disant : 'tu as vu?' et j’ai directement su. J’ai regardé sur Internet, je n’aurais pas dû…", poursuit-elle. 


20 h 45 | Le principal suspect avait laissé une lettre avant son suicide

Samuel Gonin s'est suicidé le 10 juillet à l'âge de 43 ans à son domicile de Besançon et n'a jamais été entendu par les enquêteurs dans ce dossier.

"J'ai perdu mon honneur, ma dignité, mon humanité, je dois partir."

"J'ai perdu mon honneur, ma dignité, mon humanité, je dois partir. Je ne sais pas me contrôler, ça va trop vite", avait laissé dans de derniers écrits cet homme en rupture de ban, qui avait sombré dans la toxicomanie. Il aurait par ailleurs dû comparaître quelques jours après son suicide pour deux vols avec violence commis le 25 août 2023 à Besançon.


20 h 20 | L'ADN de Lina et du suspect retrouvés sur des cordes

Le procureur de la République par intérim de Strasbourg, Alexandre Chevrier, avait annoncé en septembre que l'ADN de Lina et celui de Samuel Gonin avaient été retrouvés sur des cordes dans le coffre de la voiture, "ce qui tend à démontrer qu'à un moment ou à un autre, Lina a été ligotée". Le sac à main de Lina a également été retrouvé dans la boîte à gants.


20 heures | Samuel Gonin avait été arrêté pour un refus d'obtempérer

En janvier 2024, Samuel Gonin est arrêté près de Narbonne pour un refus d'obtempérer au cours du weekend des 6 et 7 janvier. La Ford Puma est placée à la fourrière. Condamné le 22 janvier pour ce délit routier, il est laissé libre sous contrôle judiciaire.


19 h 57 | Le suspect souffrait de problèmes psychologiques

La Ford Puma dans laquelle sera retrouvé l'ADN de Lina est volée en Allemagne, à Fribourg, vraisemblablement par Samuel Gonin, un quarantenaire en rupture de ban, qui souffrait de problèmes psychologiques. Il s'est suicidé à Besançon début juillet.


19 h 44 | La "douleur est immense"

Contactés par BFMTV, les avocats de la famille ont indiqué que les proches de Lina ne souhaitaient pas réagir après la découverte du corps. "Leur douleur est immense", précisent-ils.


19 h 36 | "Une période difficile"

"La période est très difficile pour la famille, ma cliente est atterrée, je n'ai pas de réaction particulière si ce n'est de vous demander de respecter le deuil de la famille", a réagi auprès de l'AFP Matthieu Airoldi, l'avocat de la maman de Lina.


19 h 30 | Expertises médico-légales pour déterminer les causes de la mort

Le procureur de la République de Strasbourg révèle que des expertises médico-légales "vont être ordonnées par les magistrats instructeurs aux fins de rechercher la cause de la mort".


19 h 28 | La voiture du suspect avait été géolocalisée près de Nevers

"Le véhicule Ford Puma utilisé par Samuel Gonin (le principal suspect, NDLR) avait été géolocalisé à cet endroit le 24 septembre 2023", au lendemain de la disparition de la jeune fille, précise Alexandre Chevrier, procureur de la République de Strasbourg.

L'enquête sur la disparition de Lina a mené les gendarmes dans la Nièvre où la voiture du suspect a été localisée

"Les investigations ont permis d'établir que Samuel Gonin était le conducteur de la Ford Puma le jour des faits, soit le 23 septembre 2023", avait assuré M. Chevrier, lors d'une conférence de presse en septembre. 


19 h 23 | Des analyses de l'IRCGN

Le procureur de la République de Strasbourg a précisé que les analyses génétiques effectuées en urgence par l'Institut de recherche criminelle de la gendarmerie nationale (IRCGN) "ont permis de confirmer qu'il s'agit du corps de Lina".


19 h 20 | "Une zone boisée et isolée de la région de Nevers"

Le corps a été découvert "dans une zone boisée et isolée de la région de Nevers", "immergé dans un cours d'eau situé en contrebas d'un talus", a indiqué M. Chevrier.


19 h 15 | Le corps de Lina a été retrouvé 

Le corps de Lina, adolescente de 15 ans qui avait disparu en septembre 2023 dans le Bas-Rhin, a été retrouvé mercredi dans la région de Nevers, a indiqué le procureur de la République de Strasbourg par intérim Alexandre Chevrier.


19 h 10 | Bonsoir et bienvenue sur ce direct

Nous allons vous faire vivre durant toute la soirée l'actualité concernant la découverte du corps de Lina dans la Nièvre, une adolescente qui avait disparu il y a un an. 

 


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