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mardi 20 août 2024

Maurice Caillet parle de la franc-maçonnerie

 

 

Cela remonte à 2002 mais c'est toujours intéressant.

Chirurgien, il a été franc-maçon, au Grand Orient de France, durant quinze ans, dans les années 1970 et 1980.

Notamment, il raconte comment on y parodie La Cène au 18ème degré qu'il avait atteint.

Il parle aussi de Rennes, de la Sécurité Sociale, et des travailleurs sociaux.

Ce qui me renvoie immédiatement au tout premier des "déconnologues" de la bande de cybercriminels du pédocriminel Pascal Edouard Cyprien Luraghi à m'avoir attaquée au cours de l'été 2008, à compter du 12 juillet 2008, à savoir l'ancien Brestois originaire de Douarnenez qui était alors Rennais depuis de nombreuses années, feu Dominique Le Brun alias Charles Mouloud, grand copain des dirigeants de la LCR de Brest, notamment sa "Mère Sup" Josette Brenterch, et des psychiatres avec lesquels il avait travaillé à Brest comme éducateur spécialisé, notamment le pédocriminel Serge Rodallec, alors en cavale depuis l'automne 2005 à la suite d'une troisième plainte à son encontre d'un de ses anciens patients handicapés mentaux, et qui sera retrouvé sous une fausse identité en Thaïlande en début d'année 2010. 

Comme je l'ai déjà montré dans divers articles évoquant ce personnage et ses complices, dont les dénommés Josette Brenterch et Cyprien Luraghi dès juillet 2008, la principale préoccupation qu'il affichait en attaquant les victimes de harcèlement moral en entreprise était le trou de la Sécurité Sociale dont nous aurions été responsables avec nos arrêts de travail pour maladie presque systématiques en cas de harcèlement.

La même que celle de Gérard Rameix, grand copain de Thierry Breton et cousin germain de l'escroc lyonnais Patrick Baudy qui lui aussi m'a attaquée assez sévèrement à plusieurs reprises pour le compte du pédocriminel Pascal Edouard Cyprien Luraghi :

http://satanistique.blogspot.com/2023/04/gerard-rameix-cousin-germain-de-lescroc.html

http://satanistique.blogspot.com/p/patrick-baudy-perdu-contre-petitcoucou.html

En 2005, j'avais mené à Brest une enquête sur le sujet du harcèlement moral en entreprise pour l'association AC ! Brest. Or, le médecin de la Sécurité Sociale qui avait bien voulu nous recevoir pour une interview avait bien confirmé que c'est lui qui décide de la fin de ces arrêts de travail pour maladie, pour éviter que la Sécurité Sociale ne verse trop d'indemnités journalières aux victimes de harcèlement moral. La Sécurité Sociale pourrait se faire rembourser toutes ces i. j. par les employeurs fautifs, mais plutôt que de soutenir contre eux leurs victimes, elle préfère demander aux médecins du travail de déclarer celles-ci inaptes au travail, afin que leurs employeurs puissent les licencier pour ce motif.

Bien évidemment, toute la bande du pédocriminel Pascal Edouard Cyprien Luraghi m'attaquait aussi pour le compte de l'ancien psychiatre brestois Serge Rodallec que j'aurais "diffamé" en relayant sur le site Rue89 les articles de la presse locale relatant ses premiers procès, en fin d'année 2007 - il apparaîtra au cours de ses nouveaux procès après son retour forcé en France en 2010 que c'était bien lui qui se plaignait d'avoir été "diffamé" par ces articles de la presse locale (Le Télégramme et Ouest-France).


A noter : Originaire de Rouen, Thomas Jolly est aussi passé par Rennes, une ville qui se singularise par une extrême-gauche très virulente, en lien direct avec celle de Brest :

http://satanistique.blogspot.com/2024/01/rennes-rencontre-du-prefet-de-region-et.html

On notera encore que sa tour Eiffel illuminée de la cérémonie d'ouverture des JO n'était ni plus ni moins que ce symbole maçonnique :

 

 

 

N.B. : Gustave Eiffel, qui était entouré de francs-maçons, est aussi l'auteur de la structure métallique de la statue de la Liberté à New York.

 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Maurice_Caillet_(m%C3%A9decin)

 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Thomas_Jolly

Thomas Jolly


Thomas Jolly
Description de cette image, également commentée ci-après
Thomas Jolly joue Thyeste au Théâtre des Célestins,
à Lyon, en 2019.
Naissance (42 ans)
Rouen
Activité principale comédien, metteur en scène, directeur de théâtre,
directeur artistique.
Style
Lieux d'activité Paris, Avignon, Rouen, Rennes, Nantes, Strasbourg, Angers.
Récompenses . Molière 2015 du metteur en scène d’un spectacle de théâtre public pour Henry VI.
. Molière 2023 du spectacle musical pour Starmania.
. Molière 2023 de la création visuelle et sonore pour Starmania.
Site internet lapiccolafamilia.fr

Thomas Jolly, né le à Rouen, est un acteur français et un metteur en scène de théâtre et d'opéra.

Directeur artistique de La Piccola Familia, compagnie théâtrale qu'il fonde à Rouen en 2006, il dirige le centre dramatique national Le Quai d'Angers à partir du . Il démissionne en novembre 2022 après avoir été désigné, en septembre, comme directeur artistique des cérémonies des Jeux olympiques d'été de 2024 à Paris.

Biographie

Famille et formation

Fils d'un imprimeur et d'une infirmière1,2, il commence le théâtre dès 1993, à Rouen, et intègre la compagnie Théâtre d'enfants, dirigée par Nathalie Barrabé. Il entre ensuite au lycée Jeanne-d'Arc en classe « Théâtre » et il travaille sous la direction des comédiens du théâtre des Deux Rives3.

Dès 1999, parallèlement à une licence d'études théâtrales à l'université de Caen, il crée une troupe de théâtre universitaire et joue dans plusieurs festivals de la région. En 2001, il intègre la formation professionnelle des comédiens-stagiaires à l'ACTEA (renommée depuis La Cité Théâtre) à Caen — dirigée par Olivier Lopez4 —, puis entre en 2003 à l'École nationale supérieure du théâtre national de Bretagne à Rennes — dirigée par Stanislas Nordey — où il travaille en particulier sous la direction de Jean-François Sivadier, Claude Régy, Hubert Colas, Robert Cantarella, J.-C. Saïs et Anton Kouznetsov5,6.

Carrière

2004 - 2014

Parallèlement à sa formation, il met en scène deux spectacles : en 2004, Mariana, une adaptation des Lettres de la religieuse portugaise et, en 2005, La Photographie, de Jean-Luc Lagarce, dans le cadre d'un atelier carte blanche de l'école du TNB. En 2005, il joue dans Splendid's, de Jean Genet, mis en scène par Cédric Gourmelon et, en 2006, sous la direction de Stanislas Nordey, il joue dans Peanuts, de Fausto Paravidino.

Fin 2006, de retour en Normandie, il réunit plusieurs jeunes acteurs et fonde La Piccola Familia. Il met en scène Arlequin poli par l'amour, de Marivaux, en janvier 2007, au Trident, scène nationale de Cherbourg-Octeville. Sa deuxième mise en scène, Toâ, de Sacha Guitry, a été créée au Trident, en janvier 2009. Elle reçoit en 2009 le prix du public de l'Odéon, dans le cadre du festival de jeunes compagnies Impatience7.

Il crée Piscine (pas d'eau), de Mark Ravenhill, en janvier 20118.

En 2011, il cède la distribution de Arlequin poli par l'amour à d'autres comédiens dans une recréation du spectacle.

À partir de 2010, il prépare la mise en scène de l'intégralité de la trilogie Henri VI, de William Shakespeare. Il découpe l'œuvre en deux grands cycles : le cycle 1 (qui regroupe l'intégralité de la première partie de Henry VI et les 3 premiers actes de la deuxième partie de Henry VI) est créé en janvier 2012 au Trident-Scène nationale de Cherbourg-Octeville. Le cycle 2 (qui regroupe les deux derniers actes de la deuxième partie de Henry VI et l'intégralité9 de la troisième partie de Henry VI) est créé en deux temps : l'épisode 3, en novembre 2013 au Théâtre national de Bretagne, l'épisode 4, au 68e Festival d'Avignon où le spectacle est joué pour la première fois dans son intégralité, le , à La Fabrica10,11,12,13,14. Ce spectacle lui apportera le Molière du metteur en scène d'un spectacle de théâtre public en 2015.

En parallèle, sa troupe fait tourner dans des lieux publics le spectacle H6m2, première approche en 45 minutes de Henry VI15,16.

En 2014, il met en scène une version russe d’Arlequin poli par l’amour de Marivaux avec les acteurs du Gogol Centre de Moscou17. En octobre de la même année, il devient artiste associé au Théâtre national de Bretagne, à Rennes18.

2015 - 2019

En 2015, il met en scène Richard III, la suite de Henry VI, programmé à l'Odéon.

En 2016, il devient artiste associé au Théâtre national de Strasbourg.

Il ambitionne de jouer un jour l’intégralité de Henry VI et Richard III, dans la continuité, soit 24 heures, entractes compris19.

En 2016, il présente deux nouvelles créations au Festival d'Avignon : Le Radeau de la méduse, avec les élèves de l’école supérieure d'art dramatique de Strasbourg et Le Ciel, la Nuit et la Pierre glorieuse, spectacle sous forme de feuilleton quotidien et véritable chronique du Festival d'Avignon de 1947 à... 208620. Parallèlement, il conçoit avec l'auteur Damien Gabriac Les Chroniques du Festival d'Avignon, programme court diffusé sur France Télévisions en juillet 2016.

En septembre 2016, il met en scène son premier opéra, Eliogabalo, de Cavali, à l'Opéra de Paris21.

En 2017, il signe la mise en scène de Fantasio, d'Offenbach, à l'Opéra-Comique22,23.

Partisan d'un théâtre populaire, intelligent, exigeant et total24,25, il donne cette définition de son métier : « Le plaisir de l’acteur n’est-il pas de vivre plus grand, plus gros ? Si je fais du théâtre, c’est parce que je souhaite une réalité augmentée. Le théâtre est une loupe. Il décuple la réalité. Les personnages y sont toujours « plus ». Plus amoureux, plus lâches, plus… monstrueux. Le verbe latin "monstrare" signifie "faire que quelqu’un voie quelque chose". Tout acteur est donc un monstre. »26,27.

Thyeste et Atrée

Ainsi, en juillet 2018, il ouvre le festival d'Avignon dans la cour d'honneur du Palais des papes, avec une mise en scène « opératique »28 de Thyeste29,30, tragédie romaine de Sénèque (contemporain de Jésus de Nazareth), traduite du latin par Florence Dupont, dans laquelle il joue le rôle d'Atrée (l'un des "monstres" de Sénèque31), face à Thyeste, interprété par Damien Avice32,33,34,35,36,37.

La pièce est nommée deux fois aux Molières. Selon le quotidien anglais The Guardian, elle « remplit la redoutable scène de la cour d’honneur du palais des papes […] de plusieurs instants de grâce délicate ("fills the Papal Palace’s daunting Cour d’Honneur stage […] with several moments of delicate grace") »38.

En 2018 aussi, à l'occasion du festival Les Emancipéés, il crée avec L. (Raphaële Lannadère) et le musicien BabX un spectacle musical en hommage à la chanteuse Barbara, dans lequel il joue également39.

En août 2019, il joue le rôle de Fortunio dans Le Chandelier, d'Alfred de Musset, mis en scène au jardin des plantes de Rouen, par Bruno Bayeux, l'un des membres de la Piccola Familia.

Le 20 septembre 2019, Thomas Jolly est nommé directeur du Centre dramatique national Le Quai d'Angers, à partir du 40,41.

2020 - 2024

En mars 2020, pendant le confinement décrété en réaction à la pandémie de Covid-19, Thomas Jolly joue Roméo et Juliette sur son balcon42.

Il était prévu qu'il mette en scène la comédie musicale Starmania, à Paris, en novembre 202143,44. En raison des conditions sanitaires, la programmation parisienne de sa nouvelle version de la comédie est reportée à novembre 202245. La tournée, encore en rodage46, débute le 7 octobre 2022 à Nice47.

En juin 2022, il présente l'intégrale d'Henry VI et Richard III au Quai, à Angers, sur 4 week-ends : le premier sans pause nocturne, les 3 suivants avec une pause dans la nuit de samedi à dimanche. La tétralogie dure 15 heures 30 de théâtre effectif, soit près de 24 heures avec les entractes48,49.

En novembre 2022, il démissionne de la direction du Quai d'Angers50,51,52.

En juin 2023, il met en scène l'opéra Roméo et Juliette de Charles Gounod, à l'Opéra Bastille, à Paris53.

2024 : directeur artistique des cérémonies d'ouverture et de clôture des Jeux olympiques d'été de 2024 à Paris

Cérémonie d'ouverture : 26 juillet 2024

En , il est désigné directeur artistique des cérémonies d'ouverture et de clôture des Jeux olympiques d'été de 2024 à Paris54,55. Selon Tony Estanguet, président de Paris 2024, Thomas Jolly est « un choix audacieux et cohérent avec notre vision »56.

Le choix logistique de la cérémonie d'ouverture est marqué par un concept innovant du fait que le spectacle se déroule hors d’une enceinte, sur 6 km de la Seine. Thomas Jolly présente une mise en scène artistique, structurée autour de 12 tableaux, visant à être inclusive et représentative de la France en déclarant « Je veux surtout que cette cérémonie intègre tout le monde. Nous devons tous célébrer cette diversité. »57. La presse internationale est divisée, certains saluent un spectacle « inoubliable » et « audacieux »58, tandis que d'autres le considèrent « kitsch » et « presque sans intérêt », voire « irrespectueux pour les Chrétiens » ou « catastrophique »59.

Cérémonie de clôture : 11 août 2024

À la différence de l'atypique cérémonie d'ouverture qui a eu lieu sur la Seine, la cérémonie de clôture est en grande partie contenue dans le Stade de France, de manière plus classique.

Spectacles de théâtre et d'opéra

Metteur en scène

Acteur

Filmographie

Émissions de télévision

Distinctions

Récompenses

Décorations

Notes et références


  • Ibrahim Molough, « Qui est Thomas Jolly, metteur en scène et cerveau derrière la cérémonie d’ouverture des JO ? », RTBF,‎ (lire en ligne [archive])

  • Yves Jaeglé, « D’une enfance rurale au génial spectacle sur la Seine, Thomas Jolly, itinéraire d’un grand maître de cérémonie », Le Parisien,‎ (lire en ligne [archive], consulté le ).

  • Chloé Aeberhardt, « Thomas Jolly. Lumineuse apparition », Libération,‎ (lire en ligne [archive]).

  • « ACTEA de La Cité Théâtre » [archive]

  • « Thomas Jolly » [archive], Théâtre contemporain.net, 17 mars 2014.

  • « Thomas Jolly » [archive], Théâtre National de Strasbourg, consulté le 28 mai 2019.

  • « 10 choses à savoir sur Thomas Jolly » [archive], L'Obs, 12 juillet 2018

  • « Thomas Jolly, un jeune homme qui pense à tout » [archive], Le Monde, 15 janvier 2014

  • « “Richard III” le feu d'artifice mortel du roi jolly [archive] », sur lesechos.fr, 05/20/2015 (consulté le )

  • « « Henry VI », l'épopée de Thomas Jolly éclaire la nuit d'Avignon [archive] », sur next.liberation.fr, (consulté le )

  • « Thomas Jolly : « Hollywood a tout repompé sur Shakespeare » » [archive], Aparté, 5 octobre 2014

  • « Beaucoup de bruit pour rien » [archive], Les Inrockuptibles, 6 janvier 2016

  • « Richard III, le fabuleux opéra rock de Thomas Jolly » [archive], Le Figaro, 6 octobre 2015

  • « Thomas Jolly vient présenter son spectacle "Richard III" de Shakespeare. » [archive], On n'est pas couché, France 2, 20 février 2016

  • « "H6M2" l’irrévérencieux petit frère d’Henri VI » [archive], Aparté, 2 octobre 2014

  • « Poitiers : "Henri VI" en version condensée et déglinguée » [archive], La Nouvelle République, 10 février 2015

  • « Thomas Jolly sur le site de l'Opéra de Paris » [archive], consulté le 15 août 2021

  • « “Richard III” au théâtre de l'Odéon : Thomas Jolly mêle (un peu trop) les genres » [archive], Télérama, 9 janvier 2016

  • « Thomas Jolly, le monstre de théâtre », Le Progrès de Lyon,‎ (lire en ligne [archive]).

  • « Avignon : les critiques de théâtre selon la Piccola Familia et des enfants sur le « Radeau de la méduse » [archive] », sur next.liberation.fr, (consulté le )

  • « Thomas Jolly : l’audacieux metteur en scène au micro d’Olivier Bellamy » [archive], Radio Classique, 5 avril 2019

  • [vidéo] Fantasio [archive] sur YouTube

  • “Fantasio” sème la bonne humeur à l'Opéra Comique / Télérama, 14 février 2017 [archive]

  • « Thomas Jolly, le théâtre comme principe vital » [archive], Le Monde, 6 juillet 2018

  • « Thyeste [archive] » [PDF], sur lapiccolafamilia.fr, p. 8

  • « Thomas Jolly : “Le vide noir de Sénèque me devenait irrésistible » [archive], Télérama, interview de Thomas Jolly par Fabienne Pascaud, 25 juin 2018

  • « Thomas Jolly, un panache monstrueux à Avignon » [archive], Le Temps, 8 juillet 2018

  • « Avignon 2018 : le "Thyeste" furieux de Thomas Jolly » [archive], Les Échos, 17 juillet 2018

  • « Thyeste au théâtre : les comédiens racontent l'envers du décor » [archive], France Culture, 17 juillet 2018

  • « Damien Avice : « Thyeste, c’est un duel de cow-boys » [archive], Relikto, 18 décembre 2019

  • Les monstres de Sénèque, par Florence Dupont, éditions Belin, 1995 (ISBN 978-2-701-11965-6) / Sénèque, Théâtre complet, traduction et présentation par Florence Dupont, Actes Sud, Thesaurus, 2012 (ISBN 978-2-330-01250-2)

  • « Avignon. Un son et lumière dans la Cour d’honneur » [archive], L'Humanité, 9 juillet 2018

  • «  Thyeste : le roi devenu monstre » [archive], Aliénor, chroniques culturelles de La Rochelle et alentours, 31 décembre 2018

  • « L’Illusionniste « Thyeste » : Comment le théâtre de Thomas Jolly va conquérir le monde » [archive], Vanity fair, 27 novembre 2018

  • « Thyeste : Thomas Jolly réussit son examen de passage » [archive], Le Figaro, 7 juillet 2018

  • « Avignon : la violence de « Thyeste » déchire les murs de la Cour d’honneur » [archive], Le Monde, 7 juillet 2018

  • « Avec “Thyeste”, Thomas Jolly nous plonge dans l’effroi », Télérama, 7 juillet 2018 [archive]

  • « Avignon festival review – shock, awe and 10 hours of Don DeLillo » [archive], The Guardian, 11 juillet 2018

  • [« Les Émancipéés 2018 : l’ombre de Barbara plane sur le festival, avec Raphaële Lannadère » [archive], franceinfo, 24 mars 2018

  • « Thomas Jolly au Quai d’Angers : les centres dramatiques rajeunissent » [archive], Libération, 23 septembre 2019

  • « Nomination de Thomas Jolly à la direction du Quai, centre dramatique national d’Angers » [archive], communiqué du Ministère de la culture, 20 septembre 2019

  • « Confinement: l'acteur et metteur en scène Thomas Jolly joue Roméo et Juliette sur son balcon » [archive], BFMTV, 25 mars 2020.

  • « Thomas Jolly va mettre en scène une nouvelle version de Starmania avec Sidi Larbi Cherkaoui à la chorégraphie » [archive], sceneweb, 12 novembre 2019

  • Starmania : une nouvelle version de l'opéra-rock en 2020 mise en scène par Thomas Jolly » [archive], franceinfo, 12 novembre 2019]

  • « Starmania : la comédie musicale culte finalement de retour en novembre 2022 » [archive], CNEWS, 26 mai 2021

  • https://www.nicematin.com/concerts/on-a-vu-lavant-premiere-de-starmania-2022-a-nice-et-ca-va-faire-du-bruit-799199 [archive]

  • L’opéra-rock de Berger et Plamondon entièrement réinventé : on a vu Starmania, version 2022, en avant-première [archive], sur radiofrance.fr, 8 octobre 2022

  • « 24 heures de théâtre : on a assisté à "Henry VI + Richard III", la tétralogie de Shakespeare par Thomas Jolly » [archive], france inter, 5 juin 2022

  • « Henri VI » et « Richard III » joués à Angers en juin : pourquoi cette pièce est un événement ? [archive], ouest france, 2 juin 2022

  • « Thomas Jolly quitte le Quai d'Angers pour se consacrer aux JO 2024 » [archive], Le Figaro, 10 novembre 2022

  • « Derrière la démission de Thomas Jolly, la question de l’avenir des centres dramatiques nationaux » [archive], Télérama, 17 novembre 2022

  • « Quai d’Angers : les coulisses du départ de Thomas Jolly » [archive], Culturelink, 12 novembre 2022

  • « Mais jusqu’où ira Thomas Jolly ? » [archive], L'influx, 20 janvier 2023

  • Apolline Merle, « Paris 2024 : le metteur en scène Thomas Jolly désigné directeur artistique des cérémonies d'ouverture et de clôture des Jeux olympiques et paralympiques », France Info,‎ (lire en ligne [archive]).

  • « Cérémonie des JO de Paris 2024 : "C'est le spectacle d'une vie", confie Thomas Jolly » [archive], RTL, 7 octobre 2022.

  • Loïc Padovani, « ceremonie-ouverture-jo-paris-2024-gloire-thomas-jolly-directeur-artistique-evenement [archive] », sur olympics.com, Comité international olympique, (consulté le ).

  • « Cérémonie d’ouverture des JO de Paris 2024 : le moment de gloire (annoncé) de Thomas Jolly, directeur artistique de l’événement [archive] », sur Olympics.com, .

  • « La cérémonie d’ouverture des JO encensée par (presque toute) la presse internationale », Le HuffPost,‎ (lire en ligne [archive], consulté le ).

  • Eugénie Boilait, « «Époustouflant», «apothéose» ou «kitsch» voire «catastrophique» : la revue de presse en demi-teinte après la cérémonie d’ouverture des JO de Paris 2024 », Le Figaro,‎ (lire en ligne [archive], consulté le ).

  • « Henry VI », carnages au bout de la nuit / Libération, 22 juillet 2014 [archive]

  • Richard III, une pièce très Jolly / Le Figaro, 6 janvier 2016 [archive]

  • Thomas Jolly : « Je n’ai rien trouvé de mieux que l’artisanal » / Le Temps, 2 novembre 2017 [archive]

  • « Thyeste, Avignon 2018 » [archive]

  • « Thomas Jolly pousse les feux de "La Nuit" » [archive], Les Échos, 20 juillet 2020

  • « Au Festival d'Avignon, Thomas Jolly fait la cour » [archive], L'Express, 4 juillet 2018

  • « "Mithridate" : Racine en un opéra funèbre » [archive], Les Échos, 21 février 2021

  • « Thomas Jolly : 19 idées reçues sur le théâtre », Culturebox,‎ (lire en ligne [archive], consulté le )

  • « Tous les Théâtres en fête à la SACD [archive] », sur sacd.fr, (consulté le ).

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