A Brest, on a déjà commencé à liquider les associations, toutes issues d'initiatives privées très dérangeantes pour la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest et tous ses complices fonctionnaires corrompus et autres : selon leurs plans, elles seront bientôt toutes interdites et ils n'auront plus besoin de s'embêter à les infiltrer pour les pourrir de l'intérieur ou prendre leur contrôle au moyen de putschs et de fraudes diverses et variées.
En parallèle, le "berger du quartier" Nazim Yenier a été victime d'un cambriolage lundi.
À Brest, l’association Parentel finalement liquidée
Sur la sellette depuis un an, l’association Parentel a fini par rendre les armes. Assise sur une fragilité financière évidente, sans gouvernance possible, la structure a été liquidée par le tribunal ce mardi 18 juin.
C’est l’histoire d’une lutte qui ne finit pas bien. Placée sous un plan de sauvegarde judiciaire depuis le 20 septembre 2023, Parentel semblait avoir trouvé un nouveau souffle via un nouveau bureau et une nouvelle énergie. Le but était de sauver ses différentes activités, et notamment celle de l’écoute des parents et des adolescents par des psychologues, au téléphone. Un procédé couronné de succès depuis presque trente-cinq ans… Mais la charge demandée à des personnes qui œuvraient en bénévoles s’est avérée trop lourde. « À un moment, nous n’avions ni directeur ni comptable. Nous nous réunissions deux fois par semaine, et le week-end. Nous devions gérer de l’arrêt maladie aux bulletins de paie, c’était beaucoup trop », rembobine la dernière (et éphémère) présidente de Parentel, Martine Geffrault-Cadec.
À Brest, l’appartement du « berger du quartier » cambriolé
Un vol au troisième étage d’un immeuble, en pleine journée ! Lundi, à Brest, Nazim Yenier, le fondateur du collectif « Les bergers du quartier », a été victime d’un cambriolage pour le moins hardi.
Nazim Yenier, ce Brestois qui a fondé le collectif « Les bergers du quartier », révèle sur sa page Facebook avoir été victime d’un cambriolage en pleine journée, le lundi 17 juin 2024. Selon ses écrits, les malfaiteurs se sont introduits à son domicile par effraction, « en pleine journée, entre 9 h et 17 h », avant de mettre son appartement sens dessus dessous.
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