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mercredi 31 janvier 2024

Les accusatrices de Gérard Miller toutes consentantes...

Ben voyons...

Elles ne sont que trois pour l'instant. 

A 75 ans, on n'a pas affaire à un débutant, la liste de tous ses abus est nécessairement bien fournie, attendons la suite...

 

P.S. : Un de ses collègues psychanalystes pourrait-il analyser sa défense ? Il y a ceux qui nient absolument tout, ils ne connaissent même pas leurs accusatrices, ni de nom ni de vue, ceux qui prétendent qu'il ne s'est jamais rien passé... et ceux qui n'hésitent pas à se vanter de conquêtes qu'ils n'ont jamais faites... un peu, juste pour les faits allégués de viols (et les victimes d'en dégueuler à chaque fois...), et parfois beaucoup, énormément, jusqu'à inventer des relations suivies sur des périodes plus ou moins longues, même si en vérité, pour certains, ils n'ont jamais pu toucher celle qu'ils harcelaient (cas du malade mental Jacques Fornès du Sud Finistère qui s'est jadis largement vanté dans son entourage d'avoir eu des relations sexuelles avec moi alors qu'il ne s'était rien passé, ce qu'il déplorait d'ailleurs vertement dans les mails délirants qu'il m'adressait, me reprochant de ne lui avoir jamais laissé l'opportunité de me sauter dessus). C'est quoi, ces personnalités-là ?

"Je sais que depuis le début du mouvement #Metoo, des paroles essentielles ont émergé, qui remettent en cause la façon dont les rapports hommes-femmes sont constitués dans notre société, sur la base d’une incontestable domination masculine", écrit Gérard Miller. 

Mais... si la notion de viol est nettement perceptible pour celles qui se plaignent de faits de cette nature, c'est qu'elles ont aussi connu d'autres formes de rapports hommes-femmes... Comment ? Gérard Miller n'aurait donc jamais lu Platon ? Incroyable... 

L'"incontestable domination masculine" n'est pas dans toutes les têtes, seulement dans celles d'abuseurs, dont le mouvement #Metoo ne dénonce que l'impunité ou toutes les possibilités de faire taire leurs victimes.



https://www.bfmtv.com/police-justice/accuse-de-viol-et-d-agression-sexuelle-gerard-miller-nie-mais-evoque-des-relations-inegalitaires_AN-202401310846.html

Accusé de viol et d'agression sexuelle, Gérard Miller nie mais évoque des relations "inégalitaires"

 
Justine Chevalier
Gérard Miller est accusé de viol et agression sexuelle par trois femmes.

Gérard Miller est accusé de viol et agression sexuelle par trois femmes. - Joël Saget

Trois femmes accusent le médiatique psychiatre Gérard Miller d'agression sexuelle ou de viol lors de séances d'hypnose dans les années 90 et au début des années 2000. L'intéressé se défend et nie.

Gérard Miller au cœur de la tourmente. Le célèbre psychanalyste, habitué et chroniqueur sur les plateaux de télévision pendant de nombreuses années, est accusé par plusieurs femmes d'agression sexuelle et de viol dans une longue enquête publiée ce mercredi 31 janvier par le magazine Elle. Des faits que l'intéressé, âgé aujourd'hui de 75 ans, nie.

Dans un communiqué transmis à BFMTV.com, Gérard Miller rejette ces accusations avançant qu'"il n'y a jamais eu quoique ce soit qu’on puisse qualifier d’agression sexuelle ou, pire, de viol".

"En ce qui concerne précisément les femmes qui me mettent en cause, si quelque chose leur a déplu lorsqu’elles étaient avec moi, je n’ai aucune hésitation à l’affirmer: rien de ce que j’ai perçu ne m’indiquait qu’elles voulaient mettre un terme à la situation, car sinon à l’instant même j’y aurais mis un terme", écrit-il.

Il inscrit toutefois ces rencontres et ces relations dans "un rapport inégalitaire". "Je sais que depuis le début du mouvement #Metoo, des paroles essentielles ont émergé, qui remettent en cause la façon dont les rapports hommes-femmes sont constitués dans notre société, sur la base d’une incontestable domination masculine", écrit-il.

Pas de plainte à l'époque

Muriel Cousin a accepté pour la première fois de parler publiquement de cette scène qui remonte selon elle à 1990. A l'époque, celle qui est devenue tour à tour animatrice, chroniqueuse et metteure en scène, est âgée de 23 ans et travaille dans le même magazine que Gérard Miller, psychanalyste en vue. Ce dernier cherche un cobaye pour une séance d'hypnose. La jeune femme se porte volontaire.

Alors qu'elle est dans un état second, raconte-t-elle au magazine, elle entend la voix du thérapeute lui demander: "Est-ce que tu sens la chaleur?"

"Il touchait mes seins sous mon pull", poursuit Muriel Cousin, expliquant avoir aussi senti "sa main passer sur mon sexe, par-dessus le pantalon".

À l'époque, il ne lui était alors pas "venu à l'esprit de porter plainte" car "à l'époque, ça ne se faisait pas".

"Je suis un corps mort"

L'hypnose comme mode opératoire? Une autre femme témoigne dans Elle évoquant des faits remontant à 2004. La jeune femme de 19 ans, alors, est venue assister à une émission de télévision à laquelle participait Gérard Miller, dont son père est un grand admirateur. Elle le rencontre à la fin de l'enregistrement, ce dernier lui propose à elle et à son ami de poursuivre la soirée jusqu'à son domicile parisien.

"J’étais avec un mec de la télé hyper connu, c’était comme si j’étais l’élue", témoigne la jeune femme. Elle accepte un verre d'alcool et de participer à un jeu basé sur l'hypnose. Là encore, elle dit que Gérard Miller lui a touché la poitrine. Puis évoque sa sidération quand celui-ci l'embrasse avant de la violer: " Je ne peux plus bouger, je suis un corps mort qui tremble, une poupée qu’on déshabille et à qui l’on peut faire ce que l’on veut."

Par ailleurs, une jeune femme de 19 ans à l'époque en 1993, qui travaillait comme baby-sitter pour le psychanalyste, rapporte aussi une agression sexuelle alors qu'il la raccompagnait chez elle en voiture. Selon le magazine Elle, une actrice du film Terminale, tourné en 1998, sur lequel Gérard Miller était scénariste, "aurait subi une agression sexuelle, sous couvert d'une séance d'hypnose au domicile du psychanalyste, sur le divan de son cabinet".

Gérard Miller se défend d'avoir pratiqué l'hypnose à son cabinet ou à son domicile, assurant que les seules séances qu'il avait pu organiser l'avaient été "en public". Concernant les questions autour de cette pratique en privé, il évoque "un contexte ludique, où n'étaient envisagés que quelques tests élémentaires".

"Celui ou celle qui acceptait de s’y livrer n’était absolument pas hypnotisé, il restait parfaitement conscient, en totale possession de ses moyens, réfléchissant et parlant normalement", détaille le psychanalyste.

"Aveuglement collectif"

S'il rejette les accusations concernant l'usage de l'hypnose pour agresser sexuellement ces femmes, il reconnaît devoir s'interroger sur la notion d'"emprise". "Sans être hypnotisée, tout en restant parfaitement conscient, il y a en effet des situations où celle qui ne manifeste d’aucune manière son refus, qui répond même oui aux questions qu’on lui pose pour s’assurer de son acquiescement, se sent dans l'impossibilité d'exprimer librement un désir qui contreviendrait à celui de l'autre", écrit-il.

"Psychanalyste, universitaire, auteur, chroniqueur télé et radio, j’étais de fait un 'homme de pouvoir', et il y avait dès lors une dissymétrie 'objective', dont on peut se dire aujourd’hui qu’elle était purement et simplement rédhibitoire", regrette Gérard Miller.

Cette prise de parole intervient alors que l'attitude et les propos de Gérard Miller ont été dénoncés récemment. Une interview du cinéaste Benoît Jacquot menée en 2011 par le psychanalyste pour les besoins d'un documentaire est remontée à la surface récemment. Le cinéaste y évoquait ses relations avec de jeunes actrices dont Judith Godrèche alors mineure, devant un Gérard Miller conciliant.

Gérard Miller s'en est justifié: "Aujourd'hui, je ne pourrais plus imaginer le même film, parce que nous ne sommes plus dans cet aveuglement collectif, il faut bien mesurer ce qui a changé, sinon on oublie ce qui a été révolutionnaire dans MeToo", a-t-il notamment déclaré à France 5 début janvier.

https://twitter.com/justinecj Justine Chevalier Journaliste police-justice BFMTV
 

Quand Gérard Miller crachait dans la soupe...

Trop drôle...

 

https://www.voici.fr/news-people/gerard-miller-cette-raison-pour-laquelle-michel-drucker-lavait-vire-de-lemission-vivement-dimanche-prochain-776699

Gérard Miller : cette raison pour laquelle Michel Drucker l'avait viré de l'émission Vivement dimanche prochain

par Melissa Theo

Crédits photos : COADIC GUIREC / BESTIMAGE

 

Il y a vingt ans, Gérard Miller figurait parmi les équipes de Vivement dimanche prochain avec l'animateur Michel Drucker. Un programme dont il a été évincé par l'animateur, par le biais d'un message vocal.

Quelques semaines après le scandale impliquant Gérard Depardieu, voilà qu'une autre personnalité fait couler de l'encre dans toute la France. Il s'agit cette fois-ci de Gérard Miller, véritable figure du monde de la télévision. Le célèbre psychanalyste est accusé de viol et agressions sexuelles par hypnose par pas moins de trois femmes. L'actrice Anna Mouglalis a également brisé le silence à son sujet. Une information parue dans les colonnes du magazine ELLE que l'intéressé a rapidement tenu à nier.

Auprès de nos confrères, le compagnon d'Anaïs Feuillette a assuré "n’avoir jamais abusé sexuellement de quiconque, et ce, en aucune circonstance". Aujourd'hui, force est de constater que cette actualité risque de menacer son avenir à la radio et à la télévision, sachant qu'il y a maintenant 23 ans, il avait déjà attisé la colère de l'un des piliers du PAF : Michel Drucker.

Michel Drucker : ce jour où il a piqué une colère contre Gérard Miller

Certains s'en souviennent peut-être, mais en 2001, Gérard Miller faisait partie des équipes de l'émission Vivement dimanche prochain, aux côtés de Michel Drucker. Néanmoins, c'est du jour au lendemain que le psychanalyste a été mis à pied par le présentateur, par le biais d'un message vocal.

Ce sur quoi il est revenu dans les colonnes de La Dépêche. "Je n'ai aucune autre explication de la part de Michel Drucker, sinon que c'était à la suite de la publication de mon livre, dans lequel je dénonce de façon très vive les pratiques dominantes à la télévision. À aucun moment, je ne le nomme ni ne le désigne", a confié Gérard Miller. Pourtant, ce dernier indiquait que Michel Drucker lui aurait adressé un message "d'une violence inouïe et d'une agressivité qui m'a fait tomber des nues". Depuis, de l'eau semble avoir coulé sous les ponts puisque les deux hommes se sont retrouvés en 2019 pour un tournage de Vivement dimanche.

 

Thomas Durand cherche des avocats à Béziers, Colmar et Brest...

 

 

... pour se défendre, dit-il...

A Béziers, il a l'escroc Philippe Desruelles depuis le début. 

A Brest, il a les deux escrocs David Rajjou et Roger Potin depuis le début... et un paquet d'autres... en fait, il a l'embarras du choix, et si c'est à Brest même qu'il a un procès à soutenir, il n'a même pas besoin d'avocat, il gagne à tous les coups avec nos magistrats ultra CORROMPUS qui ont toujours déroulé le tapis rouge pour les assassins Josette Brenterch / Pascal Luraghi / Jean-Marc Donnadieu & Co... d'où, d'ailleurs, plusieurs annulations de leurs décisions à mon encontre : ils allaient un peu trop loin en se faisant les avocats de ces criminels...

A Colmar, je ne sais pas encore mais cela ne saurait tarder.

 

Damien Baizé ou Gérard Miller ?

 

 

Mon commentaire de l'époque (cliquer sur l’image pour l’agrandir et lire le texte) :

 

2010-12-11 La gauche radicale attaque Miss France sur le plateau de Ruquier - Un petit coucou

 

 

Gérard Miller accusé de viol et agressions sexuelles

Ouééé ! J'en étais sûre... 

"Muriel m’en a parlé dès le début de notre relation. À chaque fois qu’elle voyait Miller à la télévision, tout remontait", a déclaré Stéphane Guillon, ex de Muriel Cousin, une des accusatrices de Gérard Miller.

Il m'a toujours fait le même effet à moi aussi, et pourtant je n'ai jamais eu affaire à ce violeur. Cela doit être une question de gueule, c'est vraiment trop flagrant...

Chez Drucker pour commencer... insupportable...

 

https://www.aufeminin.com/news-people/gerard-miller-accuse-de-viol-et-d-agressions-sexuelles-plusieurs-femmes-temoignent-contre-le-chroniqueur-s4079115.html

Gérard Miller accusé de viol et d'agressions sexuelles : plusieurs femmes témoignent contre le chroniqueur

 
par Jonathan Hamard ,
Gérard Miller accusé de viol et d'agressions sexuelles : plusieurs femmes témoignent contre le chroniqueur© Abaca Press / Marechal Aurore

Gérard Miller fait à son tour l'objet d'accusations de viol et d'agressions sexuelles de la part de plusieurs femmes lors de ses séances d'hypnose. Averti en amont, le célèbre chroniqueur de Laurent Ruquier prépare sa riposte.

L'époque est à la parole. Alors que Gérard Depardieu est emporté dans un tourbillon médiatique à la suite de la diffusion d'un numéro spécial de Complément d'enquête le mois dernier et mettant en cause son comportement vis-à-vis de la gent féminine, Cauet a été à son tour accusé d'agressions sexuelles et de viols par plusieurs femmes. Si l'acteur avait quant à lui d'ores et déjà été mis en examen, voilà que les actes d'une autre personnalité très médiatique sont à leur tour pointés du doigt.

En effet, la Rédaction d'Elle Magazine publie le mercredi 31 janvier une enquête qui s'appuie sur différents témoignages de femmes reprochant à Gérard Miller d'avoir abusé d'elles durant des séances d'hypnose. L'ex-chroniqueur de Laurent Ruquier et auteur de nombreux ouvrages est également psychanalyste. C'est dans le cadre de ces activités qu'il aurait commis plusieurs agressions sexuelles et un viol sur ses patientes, à différentes époques et selon un mode opératoire très semblable.

 

 

Gérard Miller aurait abusé de ses patientes lors de séances d'hypnose

Nos confrères expliquent que, la polémique née après la diffusion d'images de son documentaire dans lequel Benoît Jacquot tient des propos ayant poussé Judith Godrèche à sortir de l'ombre pour qualifier la nature de leur relation passée, est à l'origine de cette prise de parole. Toutes ces femmes ont été interpellées par cette affaire antérieure, parmi lesquelles plusieurs inconnues ou d'autres n'ayant tout simplement pas souhaité rendre publique leur identité. Des célébrités sont concernées : Muriel Cousin, journaliste et ex-compagne de Stéphane Guillon, ou l'actrice Anna Mouglalis, avec qui Gérard Miller avait collaboré sur le film Terminale en 1998.

L'une d'elles témoigne et apporte des précisions sur la manière de procéder. "Je le trouvais vieux et moche, mais quelque chose en moi me laissait croire que je pouvais avoir confiance. Il avait l'âge de mon père… En plus, c'était un psychanalyste", se remémore son accusatrice, avant de détailler : "Pendant qu'on parle, il se tourne vers moi et, d'un seul coup, je sens sa langue râpeuse dans ma bouche ! Et là je vrille. Je suis sidérée, c'est comme un piège qui se referme sur moi. Je ne peux plus bouger, je suis un corps mort qui tremble, une poupée qu'on déshabille et à qui l'on peut faire ce que l'on veut", explique-t-elle, décrivant une scène glaçante.

Gérard Miller se défend de tout abus

Comme il l'indiquait sur X (ex-Twitter) dès le 26 janvier, Gérard Miller avait eu vent de cette enquête, prévenu par la Rédaction d'Elle Magazine. Dans un message, il avait évoqué "un article" le "mettant gravement en cause". "Dès que j'aurai eu connaissance de l'article, je réagirai dans les meilleurs délais ici même", avait-il stipulé. Dans l'attente d'en apprendre davantage à ce sujet, le chroniqueur se défend d'ores et déjà à travers un droit de réponse offert par nos confrères en parallèle de son enquête. Celui-ci affirme n'avoir "jamais abusé sexuellement de quiconque, et ce en aucune circonstance".

Jonathan Hamard
Journaliste

 

https://www.voici.fr/news-people/gerard-miller-accuse-par-muriel-cousin-son-ex-mari-stephane-guillon-reagit-776672

Gérard Miller accusé par Muriel Cousin : son ex-mari Stéphane Guillon réagit

par Inès Denne

Crédits photos : Guignebourg Denis/ABACA

Dans une enquête particulièrement choquante sur le psychanalyste Gérard Miller, publiée dans ELLE ce mercredi 31 janvier, Muriel Cousin, l'une de ses victimes présumées, a accepté de témoigner. Son ex-compagnon, Stéphane Guillon, a lui aussi réagi.

Les faits qui sont reprochés à Gérard Miller sont particulièrement graves. Dans une enquête publiée dans ELLE, ce mercredi 31 janvier, plusieurs femmes ont pris la parole, pour dénoncer un viol et des agressions sexuelles perpétrés par le psychanalyste dans le cadre de séances d'hypnose. Parmi les personnes qui ont témoigné, une certaine Camille, dont le prénom a été modifié, qui s'est souvenue du viol qu'elle avait subi en 2004, alors que Gérard Miller l'avait conviée chez lui.

"Pendant qu’on parle, il se tourne vers moi et, d’un seul coup, je sens sa langue râpeuse dans ma bouche ! Et là je vrille", a-t-elle déclaré. Puis de poursuivre : "Je suis sidérée, c’est comme un piège qui se referme sur moi. Je ne peux plus bouger, je suis un corps mort qui tremble, une poupée qu’on déshabille et à qui l’on peut faire ce que l’on veut."

"Muriel m’en a parlé dès le début de notre relation", Stéphane Guillon s'exprime après le témoignage de son ex-femme

La comédienne Anna Mouglalis, qui avait 19 ans lorsqu'elle a accepté un entretien avec le psychanalyste, s'est quant à elle remémorée un rendez-vous très dérangeant. "Il me parle immédiatement de visiter son home cinéma au sous-sol, je refuse. Il me suggère ensuite une séance d’hypnose, que je décline également [...] Les jours suivants, sur le tournage, toutes les filles parlaient de son comportement problématique. L’une d’elles nous a dit s’être laissé hypnotiser et avoir eu un rapport sexuel", explique-t-elle.

L'un des témoignages les plus édifiants est celui de Muriel Cousin, journaliste et ex-compagne de Stéphane Guillon. Elle raconte avoir été agressée sexuellement par le spécialiste, en 1990, lors d'une séance d'hypnose. Interrogé par ELLE, Stéphane Guillon, dont elle est séparée depuis 2018, a réagi aux accusations de son ex-compagne. "Muriel m’en a parlé dès le début de notre relation. À chaque fois qu’elle voyait Miller à la télévision, tout remontait", a-t-il déclaré. Gérard Miller a démenti les accusations qui pèsent contre lui.


mardi 30 janvier 2024

Les terroristes de Rennes 2...

"La provocation du préfet, nommé à Rennes en août 2023, pourrait avoir des répercussions. Y compris sur sa carrière personnelle."

Alors là, je dois bien dire qu'une sous-préfète de Brest a déjà sauté pour avoir quelque peu contrarié la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest à propos de l'une de ses entreprises de démolition de mes proches et de moi-même. En effet, elle n'avait pas pu tenir sa langue au cours d'une réunion publique...

Si cela devait se reproduire pour le préfet de Région, cela ne passerait plus inaperçu du tout.

 

https://france3-regions.francetvinfo.fr/bretagne/ille-et-vilaine/rennes/les-terroristes-de-rennes-2-l-universite-deplore-les-propos-choquants-du-prefet-2915646.html

"Les terroristes de Rennes 2". L'université déplore les "propos choquants" du préfet

 

Par voie de presse interposée, l’université Rennes-2 n’a pas du apprécié les propos du préfet d’Ille-et-Vilaine Philippe Gustin, qui a dénoncé la présence de « terroristes » dans la fac rennaise. Cet échange discordial intervient juste après une autre polémique, entre le préfet et la maire de Rennes cette fois, après la manifestation contre la loi Immigration qui avait donné lieu à de nombreuses dégradations en ville, jeudi 25 janvier.

Tout a commencé jeudi 25 janvier. Une manifestation non-autorisée rassemble 450 personnes contre loi immigration, en plein centre-ville de Rennes. Une manifestation qui a dégénéré vers 22 heures, avec des feux de poubelles et des magasins pillés.

Aussitôt, la maire de Rennes, Nathalie Appéré critique via les réseaux sociaux l’absence de réaction des forces de l’ordre.

Piqué au vif, le préfet, Philippe Gustin, réagit devant la presse, le vendredi 26 janvier, en fin de journée. Il suggère à la police municipale d’intervenir. Problème :  "Les textes interdisent purement et simplement aux polices municipales de se voir confier des missions de maintien de l’ordre", rappelle la municipalité.

Mais déjà, la polémique s’est déplacée sur un autre terrain. Le préfet s’en prend à l’Université Rennes 2, qui abriterait selon lui les agitateurs qu’on retrouve dans les manifestations rennaises.

"Les terroristes de Rennes 2". Le préfet tape du poing sur la table

"Ces terroristes ont pris leurs quartiers dans une université qui s’appelle Rennes-2. On savait exactement ce qui était en train de se préparer. On avait prévenu, en particulier le président de l’université, qui n’a pas jugé bon d’agir ", avait alors affirmé le préfet.
A noter que le haut fonctionnaire était candidat Les Républicains en aux législatives de 2017, dans la 7ème circonscription des Français de l’étranger.

Dans une tribune publiée sur le site de Ouest-France ce mardi 30 janvier, Vincent Gouëst, le président de Rennes2, défend l’établissement de toute complaisance vis à vis des casseurs, comme l’a laissé entendre le préfet. "Toutes formes de violence, contre les biens et les personnes, ont toujours été condamnées et il est inconcevable de soupçonner les équipes de direction de les cautionner, voire de les encourager, alors même que l’université Rennes 2 est la première à en souffrir", écrit-il notamment dans cette tribune, co-signé ses prédecesseurs à la tête de l'Université. 

Un échange vif entre les deux camps

Les deux parties, préfet et président de la fac de sciences humaines, se sont rencontrées ce lundi 29 janvier.

Dans la foulée, l’université a déploré "les propos choquants qui ont stigmatisé toute sa communauté". Elle évoque également la consternation des personnels et étudiants et assure qu’elle veille à "préserver la sécurité des personnes et l’intégrité des biens". Enfin, elle déplore que les déclarations "portent atteinte à l’image de l’établissement", surtout à la veille de portes ouvertes.

Rennes 2 la rouge

Depuis une vingtaine d’années, l’université Rennes 2 jouit d’une réputation sulfureuse.  CPE, Loi LRU, Parcoursup, de nombreux combats étudiants ont pris naissance ou ont connu un fort impact dans les allées du campus de Villejean.

Des groupuscules d’extrême gauche, souvent actifs en marge des manifestations rennaises lors de grandes batailles sociales et sociétales, sont bien implantés à Rennes2. C'est pourquoi le préfet a demandé au président de faire un peu le "ménage" sur son campus. 

"Il y a un toujours eu un lien dans l’histoire entre les mouvements sociaux et l’université, concède Nathan Guillemot, vice-président étudiant à l'université Rennes 2 et membre du syndicat Union pirate Rennes.  Maintenant, la présidence de l’université n’a pas vocation à faire du maintien de l’ordre, et donc à tout savoir ce qui se passe sur son campus (...). Maintenant, s’il y avait des activités de ce type-là, évidemment qu’elles ne se déclareraient pas auprès de la présidence de l’Université".

Le préfet est là depuis peu de temps et comprend mal comment fonctionnent les mouvements sociaux à Rennes.

Nathan Guillemot, vice-président étudiant à l'université Rennes 2 et membre du syndicat Union pirate Rennes

"Admettons qu’on ferme le campus et qu’il n’y ait plus du tout d’activité militante ici, les gens ne vont pas disparaître, ils vont s’organiser ailleurs, c’est donc juste repousser le problème" fait remarquer Nathan Guillemot. .

À noter que « DefCo » ou « Défense collective », que le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin souhaitait dissoudre, tiendrait régulièrement séance sur le campus de Villejean. Et dernièrement, un atelier de « formation juridique » afin de savoir « comment se préparer pour une manif » et quoi faire « en cas d’arrestation » s’est tenu dans les locaux de l’université.

Rennes 2 est aussi l'un des plus importants centre de recherche et d’enseignement supérieur en sciences humaines et sociales, lettres, langues et art de l’Ouest de la France. Un lieu d'étude pour 22000 personnes.

La provocation du préfet, nommé à Rennes en août 2023, pourrait avoir des répercussions. Y compris sur sa carrière personnelle. 

(Avec Eric Pinault)

 

A Rennes, 4 hommes mis en examen à l'issue d'une vaste opération de police éventée...

 

 

Mouarf !

Depuis le temps que je vous dis qu'en Bretagne il y a de gros problèmes... 

Ce ne serait pas encore Lulu qui aurait eu le tuyau, non, des fois ?

 

https://www.ouest-france.fr/bretagne/rennes-35000/tirs-a-la-kalachnikov-dans-un-quartier-de-rennes-4-hommes-mis-en-examen-pour-tentative-de-meurtre-8039155c-bf61-11ee-9812-c8f10941541a

Tirs à la Kalachnikov dans un quartier de Rennes : 4 hommes mis en examen pour tentative de meurtre

Quatre hommes ont été interpellés, le mardi 23 janvier 2024, à Rennes (Ille-et-Vilaine), dans le cadre de la vaste opération de police qui avait en partie échoué après les divulgations d’une taupe. Les quatre mis en cause ont été écroués et une information judiciaire a été ouverte pour tentative d’homicide volontaire.

 

Vue de drone dan s le quartier du Blosne, à Rennes (Ille-et-Vilaine).
Vue de drone dan s le quartier du Blosne, à Rennes (Ille-et-Vilaine). | JOEL LE GALL / ARCHIVES OUEST-FRANCE

Cela devait être une opération de très grande envergue pour démanteler le trafic de drogue qui sévit dans le quartier du Blosne, dans le sud de Rennes (Ille-et-Vilaine). Le mardi 23 janvier 2024, près de 160 policiers (dont des forces d’élite du Raid et de la BRI) se rassemblent, très tôt le matin, sur le parking du Castorama de Saint-Jacques-de-la-Lande. La conclusion d’une enquête de neuf mois de travail de la police judiciaire pour décapiter les têtes du trafic de drogue dans le...

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https://actu.fr/bretagne/rennes_35238/une-operation-de-police-tourne-au-fiasco-a-rennes-avec-des-dealers-que-s-est-il-passe_60604829.html

Une opération de police tourne au fiasco à Rennes avec des dealers : que s'est-il passé ?

Des trafiquants ont réussi à empêcher le RAID et la BRI de mener une opération anti-drogue sur un point de deal à Rennes. Le procureur dénonce un "dysfonctionnement inadmissible".

 

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L’opération menée par le RAID et la BRI a été un échec en raison d’une fuite d’informations, mardi 23 janvier 2024 à Rennes. (© Illustration/ Timothée L’Angevin/Actu.fr)

Les forces de l’ordre réalisent régulièrement des opérations anti-drogue dans plusieurs quartiers de Rennes gangrénés par le trafic de stupéfiants, comme à Maurepas ou Le Blosne.

En amont de ces opérations – menant à des interventions coordonnées sur les points de deal rennais et bien souvent à des interpellations – les policiers réalisent un travail d’investigations nécessitant entre plusieurs jours et plusieurs mois.

Mardi 23 janvier 2024, une de ces opérations d’envergure, réunissant 160 policiers dont plusieurs appartenant au RAID (Recherche, assistance, intervention, dissuasion) et à la BRI (Brigade de recherche et d’intervention), a échoué avant même de commencer.

Cet échec, révélé par le journal Le Monde, nous a été confirmé par Philippe Astruc, procureur de la République au tribunal judiciaire de Rennes, ce mercredi 24 janvier 2024. Il serait lié à une fuite d’informations. Voici ce qu’il s’est passé.

Les policiers repérés à Saint-Jacques-de-la-Lande

À la suite de très fortes doléances, au printemps dernier, des riverains dans la zone de Rennes sud, le parquet avait pris de nombreuses initiatives afin d’enrayer la dégradation de la situation autour des points de revente de stupéfiants, explique le procureur.

Parmi ces mesures figurait la saisine de la Direction territoriale de la police judiciaire de Rennes d’une enquête de fond sur ces trafics qui a mobilisé fortement les enquêteurs pendant plusieurs mois.

Philippe Astruc Procureur à Rennes

Mardi 23 janvier, les 160 policiers mobilisés avaient pour mission d’interpeller une quinzaine d’individus, tous largement impliqués dans un important trafic de stupéfiants. 

Les forces de l’ordre ont finalement été repérées par des trafiquants à Saint-Jacques-de-la-Lande, avant même le lancement de l’opération. Aucune interpellation n’a été réalisée.

 

          Les forces de l'ordre ont procédé à l'évacuation de deux collèges à Rennes, ce jeudi 21 septembre 2023.

Les forces de l’ordre ont été repérées par les trafiquants avant le lancement de l’opération. (©HM/actu Rennes/illustration)

Selon les informations du Monde, les trafiquants à bord d’un véhicule Audi ont photographié et filmé les policiers en train de planifier leur intervention sur le parking du magasin Castorama. 

Les trafiquants ayant été manifestement informés de cette opération, elle a dû être annulée.

Philippe Astruc Procureur à Rennes

Les policiers ont tenté de suivre le véhicule Audi, en vain, et l’opération d’envergure n’a pas eu lieu.

« Un dysfonctionnement inadmissible »

Ces trafiquants ont, semble-t-il, eu connaissance de cette opération secrète grâce à une fuite d’informations. Ce qui a provoqué la colère et la déception des enquêteurs et des agents mobilisés.

« On est littéralement écœurés (…) ils paraissaient cette fois-ci bien informés », explique un policier au journal Le Monde.

Philippe Astruc nous explique qu’une enquête va être rapidement confiée par le parquet de Rennes à l’IGPN (Inspection générale de la Police nationale) afin de rechercher les raisons de ce « dysfonctionnement inadmissible » et identifier les éventuels auteurs d’une violation du secret de l’instruction.

Un échec et des réussites

En parallèle de cette opération avortée, deux autres opérations ont été réussies dans la même journée à Rennes.

Quatre individus ont été interpellés et placés en garde à vue s’agissant des faits de tentative d’homicide, violences avec arme et association de malfaiteurs commis square de Galicie le 6 décembre (coups de feu tirés depuis un véhicule) et le 9 décembre place de Banat (coups de feu). 

« L’échec de cette opération ne vient en rien entamer notre détermination à lutter contre ces trafics qui pèsent lourdement sur la qualité de vie des riverains », conclut Philippe Astruc.

 

lundi 29 janvier 2024

Menace terroriste : l'alerte "urgence attentat" levée depuis le 15 janvier


 

https://www.bfmtv.com/police-justice/menace-terroriste-l-alerte-urgence-attentat-decretee-apres-l-attaque-d-arras-levee-depuis-le-15-janvier_AN-202401290538.html

Menace terroriste: l'alerte "urgence attentat", décrétée après l'attaque d'Arras, levée depuis le 15 janvier

Justine Chevalier
Le niveau "urgence attentat" est le plus élevé dans le cadre du plan Vigipirate (PHOTO D'ILLUSTRATION).

Le niveau "urgence attentat" est le plus élevé dans le cadre du plan Vigipirate (PHOTO D'ILLUSTRATION). - IAN LANGSDON / POOL / AFP

Depuis le 15 janvier, le niveau d'alerte sur la menace attentat a été discrètement abaissé, passant du niveau le plus élevé "urgence attentat" au niveau 2 du plan Vigipirate.

Un réajustement de la vigilance en toute discrétion. La France est sortie du niveau "urgence attentat" depuis le 15 janvier et est repassée au niveau "sécurité renforcée - risque attentat", a appris BFMTV.com auprès d'une source gouvernementale, confirmant les informations du Figaro.

Le niveau "urgence attentat", le plus élevé dans le cadre du plan Vigipirate élaboré pour répondre à la menace terroriste sur le territoire, avait été déclenché le 13 octobre 2023 après l'attentat d'Arras lors duquel le professeur de français Dominique Bernard avait été assassiné par un ancien élève, un jeune homme radicalisé d'origine ingouche.

La menace s'était également matérialisée par l'attentat de Paris le 2 décembre dernier dans lequel un homme était mort pont de Bir-Hakeim, tué d'un coup de couteau.

"Adapter la réponse de l'Etat"

Depuis le 15 janvier, le niveau de la menace a été réévalué et il a été ramené au niveau 2 "sécurité renforcée - risque attentat". "Ce niveau permet d’adapter la réponse de l’État à une menace terroriste élevée, voire très élevée", est-il précisé sur le site du secrétariat général de la défense et de la sécurité nationale.

Mais le réajustement au niveau 2 du plan Vigipirate est notamment justifié par un contexte qui n'est plus celui d'une situation immédiate post-attentat. Il est précisé par le gouvernement que ce réajustement ne modifie pas pour autant les forces engagées dans le cadre du plan Vigipirate, ni les mesures de protection et de sécurisation mises en place après l'attentat d'Arras.

Menace terroriste: Gérald Darmanin a appelé les préfets à maintenir "une extrême vigilance notamment vis-à-vis des manifestations et des lieux à caractère religieux"
On ne sait pas vraiment sur quelle base d'informations le gouvernement a décidé de baisser le niveau d'alerte le 15 janvier, sachant quand même que le contexte extrêmement tendu au Moyen-Orient est toujours présent, mais c'est bien ce que j'en registre moi aussi :



La surveillance et la sécurisation visent en priorité les établissements d'enseignement ou les lieux de culte, qui peuvent représenter des cibles. Les rassemblements festifs, culturels ou religieux font aussi l'objet d'une grande vigilance.

"Atmosphère extrêmement négative"

Le 13 octobre dernier, le niveau "urgence attentat" avait été décrété. "Il est mis en place en principe pour une durée limitée, le temps de la gestion de crise. Il permet notamment d’assurer la mobilisation exceptionnelle de moyens, mais aussi de diffuser des informations susceptibles de protéger les citoyens", précise le site Internet du gouvernement.

Le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin avait à l'époque indiqué qu'en France, "il n'y a pas de menace caractérisée, il y a une atmosphère extrêmement négative notamment du fait de l'appel à des passages à l'acte". Ce niveau, "c'est pour dire à toutes les administrations de faire attention".

https://twitter.com/justinecj Justine Chevalier Journaliste police-justice BFMTV

 

Pourquoi le terroriste Charles Mouloud issu de Rennes 2 s'attaque à des informaticiens

Relisons son texte de septembre 2008 concernant Edvidge, plusieurs fois modifié jusqu'au 14 mars 2021, tout y est dit :

 

https://www.facebook.com/notes/863095001095319/

Ma vie avec Edvidge...

Ah Edvidge ,
Qu’on s’est aimé tous les deux !
Lorsque je l’ai rencontrée, elle, et ses yeux verts en amandes et ses deux petits seins en forme de poire, prèts à me jouer Sati et ses gymnopédies, j’ai craqué tout de suite.
Regard franc, assurance affichée, douceur et grâce, bref, le coup de foudre.

Au début, j’aimais son sens de l’organisation qui compensait mes habitudes de vieux gars bordélique.
Elle rangeait, triait, classait .Chaque chose à sa place.
Je m’en foutais un peu de tout ce fatras administratif qui nous envahit. Elle m’avait gentiment tancé lorsqu’elle s’aperçut que je laissais filer des droits aux APL, que je ne bénéficiais pas de remises d’impôts et autres « broutilles ».

C’est pour ton bien que je fais tout ça, répétait elle.

Elle croisait les dossiers, réglait mes factures, s’occupait de mes frais de déplacement, prenait mes rendez vous.
Elle avait même pris soin de m’offrir pour mes 40ans , mon arbre généalogique (depuis 1515)
Mes abonnements aux journaux, mes cotisations syndicales, ma cotisation au Grand Orient,les soutiens financiers aux associations des paralytiques hydrocéphales du Bretistan du Sud, tout était prévu…

Puis elle se mit à organiser la vie de l’immeuble, se faire élire syndic et elle tenait dans son petit dossier noir, l’ensemble des renseignements « facilitant » la cohabitation chaleureuse des voisins (âges, professions, vie sociale et politique, école des enfants, heures habituelles de circulation, etc)
Edvige était une perle.Toujours un mot gentil pour chacun, une attention pour l’autre.
Elle fut élue maire, puis député.
Elle donna son nom à la loi sur la nationalisation de la vie privée
Belle carrière.
Elle fit installer des caméras partout, afin que l’on dorme en paix, sans craindre les méfaits d’étrangers aux quartiers désormais apaisés.

Son modèle de fichier fut repris et validé par la CNIL (Congrégation Nationale des Informations Libres)

La police nouvellement équipée de lecteur de pupilles, pouvait accéder à chaque contrôle inopiné et aléatoire, à l’ensemble des données enregistrées dans le ventre de la Princenette2 (nom de la matrice centrale)

C’est ainsi qu’un soir je fus pris par la patrouille.

Accusé de n’avoir pas fait changer mon adresse IP,et d’avoir déjeuné avec une ex-copine de la voisine de palier d’un adolescent de 15 ans, soupçonné d’être l’ami de la sœur d’un voleur de fraises tagadas au FranchePrice.

Je basculais soudain du monde des 99% des personnes qui n’avaient rien à cacher, au rebus de la société.

1% ! J’étais dans la frange des dangers potentiels pour la sécurité d’Etat !

Edvige perdit son poste, fut exilée dans un centre secret à l’étranger.
Je portais désormais des lentilles de contact, copiées sur l’empreinte des yeux d’un clone d’un sans papiers décédé, donc rayé des fichiers.

Je n’existais plus , mais j’étais peinard .

 

 

Voici par ailleurs le CV de Thierry Nivon, tué par un réfugié soudanais à Romans-sur-Isère le 4 avril 2020 :

https://viadeo.journaldunet.com/p/thierry-nivon-4283148

Thierry NIVON

CHATILLON ST JEAN

En résumé

Je suis un ingénieur développement.
Mes domaines de prédilection sont ceux qui nécessitent une forte expertise technique, avec acquisition rapide de connaisssances.
Les domaines que je maitrise le mieux sont
- C++, java, delphi, C#
- Architecture logicielle orientée objet
- Informatique embarquée
- Cartes à puces
- Connexions d'automates
- Bases de données (administration et requetage)
- Traitement du signal (projets personnels)

Mes compétences :
Java
Architecture logicielle
Électronique
C Sharp
C
Informatique embarquée
Temps réel
SQL
C++

Entreprises

  • Eliot Inovative Solutions - Responsable developpement embarqué

    2015 - maintenant Autour des puces RFID ISO15693 :
    ○ Responsable du développement logiciel du système de détection de puces enfouies (C#, C, Windwos CE)
    ○ Développement d'outils de programmation de puces au format ISO15693 (Qt, C++)
    ○ Développement Web services (J2EE/Tomcat) d'intégration de données dans le "cloud" : intégration pour traçabilité et cartographie
    ○ Développement autour des IOT
    ○ Développement autour du bus de message RabbitMQ (C++/Python)
    ○ Collaboration sur le développement d'antennes de tags "grande profondeur" : conception et caractérisation des antennes. Rédaction et dépôt de brevet sur le sujet.
    ○ Développement sous Android :
    - Outil de gestion de tag RFID via NFC
    - Outil de géolocalisation en réalité augmentée (OpenGL ES 2)
  • Mediane-Systemes - Ingénieur Développement

    2012 - 2015 Fresenius Kabi

    ● Développement sur systèmes embarqués pour le secteur médical
    ○ Plateforme ARM Cortex M3, ARM RM48, OS temps réel SafeRTOS, Integrity, C, C++
    ○ Normes de codage MISRA C et C++
    ○ Analyse et spécifications, implémentation des drivers, BSP, (Bus I2C, SPI, ...)
    ○ Implémentation des drivers pour les composants électroniques
    ○ Rédaction documentaire : Cahier des charges, tests de recettes
  • Maya-technologies - Ingenieur développement

    Seyssins 2010 - 2012 Mission pour ACS, développement sur systèmes embarqués.
    Langages : C et C# / DOTNET
    Plateforme : Windows CE
  • Partialis - Ingénieur Developpement, Architecte Java

    2010 - 2010 En mission pour un client confidentiel :
    - Développement d'une architecture de service java temps réel pour personnalisation de cartes bancaires.
  • Decalog - Ingénieur Developpement

    Guilherand-Granges 2009 - 2010 Développements sur un progiciel de gestion des bibliothèques (4 mois) en Delphi
  • Oikialog - Chef de projet technique

    2007 - 2009 Développement autour de l'authentification forte pour postes Windows (Carte à puce, biométrie, ...) en C++/Visual Studio.
    Développement en Java pour Symantec.
    Développement en C# pour un outil de sécurisation par controle d'intégrité de postes/serveurs Windows
  • Infologic - Chef de projet / Ingenieur système

    BOURG LES VALENCE 1989 - 2006 2000-2006 : Chef de projet technique, architecte logiciel pour le développement d'un outil de gestion du temps, puis d'une traçabilité/GPAO.
    Ecrit en Delphi.

Formations


Rennes : rencontre du préfet de Région et du président de Rennes 2

Lire ou relire à ce sujet :

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https://www.letelegramme.fr/ille-et-vilaine/rennes-35000/casse-en-ville-le-prefet-rencontre-ce-lundi-matin-le-president-de-rennes-2-6514709.php

Casse en ville : le préfet rencontre ce lundi matin le président de Rennes 2

Le préfet d’Ille-et-Vilaine et de Région avait eu des mots durs, vendredi 26 janvier, sur les liens entre les manifestants qui ont saccagé le centre de Rennes, lors d’une manifestation sauvage, et l’université Rennes 2. Une rencontre avec son président est prévue, ce lundi 29 janvier.

 

Casse en ville : le préfet rencontre ce lundi matin le président de Rennes 2
(Le Télégramme/David Brunet)

 

Le préfet d’Ille-et-Vilaine et de Région, Philippe Gustin, va rencontrer ce lundi 29 janvier en fin de matinée le président de Rennes 2, avec le recteur d’académie. Cet entretien fait suite aux propos musclés, que le préfet avait tenus, vendredi 26 janvier, en réaction à la manifestation sauvage qui s’était tenue la veille dans le centre-ville de Rennes.

Le soir des faits, environ 500 jeunes s’étaient rassemblés pour dénoncer la loi Immigration. Mais une centaine d’entre eux, visage masqué, avait commis des dégradations. Des vitrines de commerces avaient été brisées, et l’un d’eux avait été littéralement pillé.

« Terroristes »

Pour le préfet, qui les avait qualifiés de terroriste, le problème était largement lié à la « connivence » de l’Université Rennes 2. « Tout le monde est au courant, ça fait des années que ça dure », avait-il commenté. Avant d’ajouter : « Nous savions, pour cette manifestation. Alors nous avons fait des propositions au président de Rennes 2, qui les a refusées. Le président de Rennes 2, c’est une des premières personnes que j’ai voulu rencontrer quand je suis arrivé. Je veux bien qu’on essaie de protéger des étudiants mais on dépasse les bornes. Quand arrive à ces extrémités chacun doit agir… »

 

https://france3-regions.francetvinfo.fr/bretagne/ille-et-vilaine/rennes/loi-immigration-suite-aux-degradations-a-rennes-passe-d-armes-entre-le-prefet-et-la-maire-de-rennes-2914085.html

Loi immigration. Suite aux dégradations à Rennes, passe d'armes entre le préfet et la maire de Rennes

 

Suite à la manifestation non déclarée anti-loi immigration qui s'est tenue dans le centre-ville de Rennes dans la soirée de ce jeudi 25 janvier et les nombreuses dégradations et violences constatées, le préfet Philippe Gustin et la maire de Rennes Nathalie Appéré se renvoient la balle face à l'exaspération générale de la population et des commerçants.

La loi immigration a été promulguée par Emmanuel Macron ce samedi matin. Le texte, dont 35 articles ont été retoqués par le Conseil constitutionnel (soit 40 % du texte), a été publié au Journal Officiel.

Dès jeudi soir, la colère est vite montée dans le centre-ville de Rennes. Une manifestation non déclarée qui a débuté place Sainte-Anne. 450 personnes encagoulées ont causé de très nombreuses dégradations. Mobilier urbain saccagé, vitrines brisées ou taguées, les commerçants, ont une nouvelle fois été la cible des casseurs. Tous partagent un sentiment d’exaspération.

On sait trop ce qui peut se passer sur ce type de rassemblement, alors je pose la question comme tous les Rennais : comment est-ce que l'arrivée de centaines de casseurs a pu se produire ?

Nathalie Appéré

maire de Rennes

Cette nuit de violences à Rennes a mobilisé une soixantaine de gendarmes mobiles, une compagnie de CRS et une trentaine de policiers déployés par la Préfecture, mais Nathalie Appéré, maire de Rennes, leur reproche un manque de réactivité : "On sait trop ce qui peut se passer sur ce type de rassemblement, alors je pose la question comme tous les Rennais : comment est-ce que l'arrivée de centaines de casseurs a pu se produire, quel dispositif policier et comment est-ce qu'on a pu les laisser ou en tout cas constater les dégradations qui ont été commises ?". 

On est là face à des terroristes. On ne doit pas se diviser parce qu'ils vont gagner sinon. Et si madame Appéré veut s'engager dans la police ou la gendarmerie, pour faire du maintien de l'ordre comme elle le dit, la police et la gendarmerie recrutent.

Philippe Gustin

préfet d'Ille-et-Vilaine

Des reproches qui ont suscité une vive réaction du préfet Philippe Gustin : "En général, quand on est face à une difficulté, on ne se divise pas. On est là face à des terroristes. On ne doit pas se diviser parce qu'ils vont gagner sinon. Et par contre, si madame Appéré veut s'engager dans la police ou la gendarmerie, pour faire du maintien de l'ordre, comme elle le dit, la police et la gendarmerie recrutent"

Une enquête pour dégradations et vols en réunion a été ouverte par le procureur de la République de Rennes.

Avec Antoine Calvez