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samedi 11 mars 2023

Cyberattaque du CHU de Brest : une plainte déposée au Commissariat de Brest

Espérons qu'elle sera un peu mieux traitée que les miennes... et que celles de 2011 contre le pirate des préfectures SaMo_Dz qui n'était autre que le malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi... comme le sait bien son complice Patrick Baudy de Lyon...

Rappelons que ce débile était aussi le pirate informatique auteur de l'attaque du 13 juillet 2011 ayant rendu indisponible la plateforme de blogs OverBlog pour le 14 juillet 2011, ce qui était son but, il voulait faire bosser les informaticiens d'OverBlog durant cette journée de fête nationale, comme il l'avait indiqué publiquement dans les commentaires de son blog. C'était sa fête à lui du 14 juillet... annonciatrice de celle de Nice en 2016...

En attendant que son complice Mohammed Merah soit tout à fait prêt pour ses assassinats de mars 2012, il ne cessait de pirater, seul ou avec divers complices, depuis qu'il avait, selon ses dires, "définitivement" fermé son atelier de dépannage informatique aux alentours du 20 mai 2011, estimant alors avoir reçu suffisamment d'argent pour me dézinguer pour être lui-même à l'abri du besoin jusqu'à la fin de ses jours.

Nous avions même eu avec eux le 4 septembre 2011 une "journée mondiale des hackers" (cliquer sur l'image pour l'agrandir et lire le texte) :

 


 

Le malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi semble depuis le début de cette année 2023 bien revenu à ses petits jeux favoris de cette année-là.

On rappelle qu'il s'est mis au piratage informatique dans le même état d'esprit exactement qui prévalait dans le milieu des radios pirates dont il a fait partie au début des années 1980, c'est-à-dire qu'il revendique le droit de pirater qui il veut quand il veut et "milite" avec d'autres pirates pour que ces activités délictueuses voire criminelles soient totalement dépénalisées, tout comme il milite aussi pour la dépénalisation du cannabis, dont le commerce ou le trafic a été sa principale source de revenus depuis son tout premier trek dans l'Himalaya, cette activité touristique qui d'après lui l'a nourri au lance-pierre durant une bonne décennie n'étant qu'une couverture pour le trafic de drogue entre la France et l'Afghanistan pour lequel il avait été véritablement embauché. Sur place, il s'acoquinera aussi avec des mafias locales pour divers autres trafics, par exemple d'or et d'enfants. Toute son épopée pédestre de 1989 dans l'Himalaya, relatée avec son coéquipier et coauteur le Népalais Mukti Gurung, semble d'ailleurs avoir été surtout un périple pédophile des plus dégueulasses, c'est celui des proxénètes locaux qui vont dans la montagne pour se constituer des catalogues de filles à vendre, et l'auteur dit bien avoir beaucoup menti ou romancé son aventure à la manière de Blaise Cendrars pour pouvoir vendre son bouquin, qui par ailleurs avait dû être entièrement réécrit par le correcteur de l'éditeur avant publication. Tout ce qu'il en reste d'authentique, ce sont des photos comme celles-ci qu'il s'était mis à publier sur Twitter lors du premier confinement, en s'abstenant toujours de préciser le lieu exact de la prise de vue, des fois que d'anciennes victimes ne puissent être identifiées :

http://satanistique.blogspot.com/2020/04/quand-cyprien-luraghi-faisait-du.html

Bien plus que tous ses collègues ou complices pirates informatiques, il revendique en fait un droit à pirater et écouter illégalement qui il veut quand il veut, qu'il dit pour sa part relever de son "droit d'auteur". Il aurait le droit de se "documenter" de la sorte sur ses "personnages", c'est-à-dire des personnes bien réelles dont il a décidé de raconter la vie à sa manière, car il est écrivain, c'est son métier, mais il est incapable d'écrire autre chose que de ces récits de la vraie vie, dit-il. En réalité, obtenir illégalement des tas d'informations sur la vie privée de ses cibles ne l'empêche absolument pas d'inventer, de toutes les transformer ou de tout inverser de manière systématique.

Ce qui l'intéresse surtout, c'est d'identifier les proches, les amis, pour tous les violer et calomnier de la même manière que la cible principale, et pouvoir ensuite les faire assassiner avant publication du chef d'oeuvre, afin d'éviter tout procès consécutif à la diffusion de la montagne d'inventions calomnieuses qu'est systématiquement ce genre de bouquin du dénommé Pascal Edouard Cyprien Luraghi, comme le dit bien aussi sa soeur, très concernée par le second et dernier ouvrage qu'un éditeur ait accepté de publier de cet auteur, après en avoir reçu des lettres d'insultes et de menaces assez violentes, comme toujours de la part de ce malade (Jean-Bernard Pouy des Editions Baleine pour la série "Le Poulpe").

Et pour pouvoir se faire mousser et devenir riche et célèbre au détriment de toutes ces personnes encore plus tranquillement, il voudrait que le piratage informatique soit légalisé comme l'ont été jadis les radios libres, car malgré tout, même s'il affirme être en droit car selon lui "écrivain", il sait très bien que c'est interdit et pénalement réprimé.

Bien sûr, radios pirates ou piratage informatique, ce n'est pas la même chose. Cela se ressemble un peu d'un point de vue technique, le seul à la portée du petit cerveau malade du psychopathe Pascal Edouard Cyprien Luraghi, qui sait acheter tous les outils nécessaires et s'en servir, et aussi, mentir et affabuler en permanence pour ne pas se faire prendre, ou corrompre les autorités judiciaires pour s'éviter les poursuites qu'il mériterait. Mais pour le reste, il est bien incapable d'établir des distingos, il n'a pas les neurones pour ça.

Son trip est assez clair. Il a toujours été hors-la-loi depuis qu'il a quitté l'école et sa famille en situation d'échec scolaire à l'âge de 14 ans, et l'on comprend bien pourquoi : il n'était pas en capacité de travailler normalement dans un cadre légal, étant trop jeune tout en ne sachant strictement rien faire, puisqu'il n'avait même pas les capacités intellectuelles des autres enfants de son âge et aucun don particulier, hormis celui de foutre le bordel. Aussi, systématiquement, après s'être installé dans une nouvelle activité illicite à défaut de pouvoir gagner honnêtement sa vie de manière suffisante pour ses très hautes prétentions personnelles, il voudrait la voir totalement dépénalisée, légalisée ou régularisée et en fait une grande affaire "politique". Et c'est exactement pareil pour toutes ses déviances sexuelles, dont la pédophilie, et bientôt ce sont aussi tous ses snuff movies and books qui vont sortir de la clandestinité.

Tout ce qu'il fait est bien, même très bien, on ne fait pas mieux. Prendre des vies qui selon lui ne valent rien pour parvenir à ses fins, par exemple celles d'ingénieurs, car ces gens-là sont tous mauvais, très très très méchants, comme il l'a écrit 36000 fois à mon sujet, c'est toujours bien. Prendre les vies de présumés "fascistes", "bourgeois", "riches", "bobos" ou simplement diplômés, tous ses ennemis par excellence, c'est aussi très bien. Et les assassinats et attentats terroristes d'extrême-gauche, "islamistes" ou autres, c'est encore excessivement bien, il se vit comme un héros de la Libération.

"Il est interdit d'interdire" reste son slogan de base, pour lui, bien sûr, pas forcément pour les autres, et surtout pas pour ses victimes qu'il cherche toujours à faire taire par tous les moyens, l'assassinat ou l'hospitalisation psychiatrique "à vie", ce qui revient au même, surtout pour des gens qui comme moi non seulement ne sont atteints d'aucune maladie mentale mais se trouvent physiquement incapables de supporter les traitements prodigués en hôpital psychiatrique, tandis qu'en même temps il se présente aussi comme un militant anticarcéral, ce qui est assez logique quand on sait qu'il devrait être en taule depuis très longtemps, et "à vie" ou à perpétuité.



https://www.bretagne.ars.sante.fr/cyberattaque-du-chu-de-brest-point-de-situation

Cyberattaque du CHU de Brest : Point de situation

 
Communiqué de presse

Le jeudi 9 mars 20h33, le CHU de Brest a fait l’objet d’une intrusion dans son système d’information. L’analyse du processus d’attaque a démontré que des serveurs ont été impactés.

Mesures prises pour contenir l’incident

Dès le signalement de cette cyberattaque, le CHU a mis en place les mesures de précaution nécessaires et veille à la disponibilité des applications médicales en interne. Des consignes de sécurité ont été transmises à l’ensemble du personnel. Un fonctionnement en mode dégradé est en place. La cellule de crise a été activée. Une plainte a été déposée au Commissariat de Brest.

Le CHU, accompagné techniquement par l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information (ANSSI), a isolé son système d’information d’internet pour limiter la propagation de l’attaque. En conséquence, toutes les applications CHU en lien avec l’extérieur sont impactées :

  • Prise de rendez-vous,
  • Consultation d’imageries médicales ;
  • Envoi des résultats avec les établissements partenaires.
  • Etc.

Des opérations de renforcement de la sécurité sont en cours et toutes les équipes de la Direction des systèmes d’informations sont fortement mobilisées pour gérer cet incident.

Des données à caractère personnel ou des données de santé sont-elles concernées par l’incident ?

A ce stade, aucune fuite de donnée de santé n’a été identifiée. Aucune donnée n’est compromise en interne.

Quel est l’impact (pour les patients passés et pour les futurs patients) ?

Jusqu’à nouvel ordre, le CHU de Brest n’est pas en mesure de proposer la téléexpertise, la téléconsultation ni la prise de rendez-vous. Il n’y a plus de connexion possible avec les autres établissements de santé, les médecins libéraux, les associations et les SAMU. Les appels téléphoniques sont possibles : 02 98 22 33 33.

Les services d’Urgences sont assurés.

Aucune déprogrammation n’est envisagée.

 

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