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mardi 10 janvier 2023

De la psychiatrisation des opposants et autres gêneurs en France

 

 

Bien. Très bien.

Mais le phénomène n'est vraiment pas nouveau en France.

S'il devient peut-être un peu plus visible depuis 2012, à mon avis, cela tient surtout à la densité de Finistériens dans l'entourage de François Hollande et Emmanuel Macron. 

En France en général, mais surtout dans le Finistère depuis l'après-guerre, la psychiatrie est en effet essentiellement répressive.

J'en parle depuis des années, toujours avec difficulté vu le nombre de vermisseaux du NPA qui aussitôt se mettent à me chier dessus des kilomètres de merde, et donc assez discrètement sur ce blog que je ne voulais pas voir disparaître trop rapidement, mais en cherchant bien, on y retrouve quand même quelques articles sur le sujet.

Par exemple celui-ci que je viens de remonter dans mon précédent article et où je rappelais notamment que les neuroleptiques de première génération, dont la chlorpromazine, ne devraient plus être utilisés depuis l'apparition à la fin des années 1980 des neuroleptiques de seconde génération, dits aussi atypiques, aux effets secondaires bien moindres, mais sont toujours très employés dans les hôpitaux psychiatriques français, non pas pour traiter des malades mentaux, mais pour incapaciter et punir au moyen des effets secondaires extrêmement lourds produits par ces molécules, des gens qui dérangent :

http://satanistique.blogspot.com/2020/05/un-antipsychotique-contre-le-covid-19.html

Par ailleurs, pour ce qui est de l'histoire de la psychiatrie, surtout en France, Charcot, le grand Charcot qui aux XIXème siècle traitait ses "hystériques" (quasiment toutes des victimes de viol, telle la très célèbre Augustine, mais il n'a jamais pensé à les interroger, il se contentait de les observer comme des animaux non doués de parole), par la cautérisation au moyen de l'introduction de fer rouge dans le vagin et l'utérus, bien sûr à vif, reste incontournable.

Aujourd'hui, pour faire dormir, on donne du Valium, et ce n'est franchement pas plus mal.

 


 

 

P.S. : Moins connue que la compression ovarienne également utilisée par Charcot, son pendant masculin était la compression testiculaire qui me rappelle avoir toujours entendu dire autrefois qu'avant d'être lâchés dans l'arène pour la corrida, les taureaux avaient aussi les testicules "compressés", ceci ayant pour but de les rendre très agressifs ou fous furieux. Je ne le retrouve pas dans les articles actuellement disponibles sur Internet à propos de la préparation du taureau à la corrida, listant des tas d'actes de cruauté destinés au contraire à affaiblir le taureau pour permettre au torero de gagner à tous les coups, alors que la sélection préalable des taureaux de combat consiste à ne retenir que les plus agressifs.

En fait, les traitements psychiatriques actuels s'apparentent très souvent à cette préparation du taureau à la corrida, surtout lorsque leur but est très clairement de débiliter un opposant ou un adversaire, quel qu'il soit, politique ou autre (c'est en fait fréquemment le cas de victimes, que l'on achève en psychiatrie au profit de leurs agresseurs pour étouffer des affaires de viols, de pédophilie, de harcèlement, d'abus de confiance ou d'escroqueries en tous genres, de captations d'héritages, etc...) : sont alors mélangés toutes sortes de psychotropes aux effets délétères divers et variés, leur association, décuplant tous les dangers liés à l'utilisation de chacun d'entre eux seul, étant bien évidemment interdite dans le cadre de bonnes pratiques médicales. Et à cela s'ajoutent encore toutes sortes d'humiliations et de violences de la part du personnel psychiatrique.

A sa sortie de l'hôpital, l'opposant, souffrant de la tremblante du mouton, ayant à moitié perdu la vue et ses autres sens, cherchant ses mots pour balbutier péniblement des demi-phrases, définitivement discrédité par l'étiquette psychiatrique qui lui a été collée, est fin prêt à affronter le torero Macron ou autre et ses affidés tous armés de lances, piques et banderilles...

Comme pour ce qui est du harcèlement moral en entreprise, parfaitement inutile pour se débarrasser d'incompétents ou de fautifs, qu'il suffit tout simplement de licencier pour ces motifs quand ils sont réels, cela ne risque pas d'arriver à des gens dont les capacités, les revendications ou les plaintes ne seraient pas assez sérieuses pour inquiéter le torero.


https://fr.wikisource.org/wiki/Page:Charcot_-_Les_D%C3%A9moniaques_dans_l%E2%80%99art.djvu/107

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LES DÉMONIAQUES DANS L’ART.

que les piqûres ne rendaient pas habituellement de sang, comme il arrive d’ordinaire chez les sujets frappés d’anesthésie hystérique.

Le second point consiste dans la part qui, dans le soulagement apporté par les secours, doit être attribuée à la compression de certaines régions du corps douées de propriétés spéciales et que nous avons décrites chez les hystériques sous te nom de zones hystérogènes.

Une excitation mécanique de ces zones provoque les crises, qui sont enrayées par une nouvelle excitation portée au mâme point. L’abdomen, en la région de l’ovaire, est, chez les femmes, le siège fréquent de semblables propriétés. Dans de nombreux cas, la compression ovarienne suffit pour suspendre comme par enchantement les convulsions les plus intenses. Chez les hommes la compression testiculaire produit souvent de semblables effets.

Nous voyons que la plupart des secours des convulsionnaires consistaient en manœuvres ayant pour but de déterminer une forte compression de l’abdomen, ou de le frapper violemment à l’aide d’un instrument quelconque, mais à extrémité large et mousse.





LES GRANDS SECOURS
Fac-simile d’une gravure de B. Picart extraite des Cérémonies et coutumes de tous les peuples, etc.


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