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dimanche 25 septembre 2022

My name is... Lolita...

 

 

Puissant...

En principe, à l'âge adulte on double sa taille de deux ans. Le calcul est vite fait, j'aurais dû mesurer 1,68 m, soit très exactement la taille de Marilyn, mais j'ai perdu quelques centimètres en cours de route - c'est le changement de climat quand nous sommes arrivés à Brest : privée du soleil de ma prime enfance, je me suis arrêtée de grandir et n'ai repris ma croissance qu'à l'adolescence, trop tard pour rattraper tous les centimètres perdus; du coup, je fais une tête de moins que ma mère, ce qui est quand même peu commun pour les filles de ma génération.

J'ai donc presque toujours fait beaucoup plus jeune que mon âge réel, et en même temps, mentalement, j'étais bien en avance. Je ne vous dis pas les décalages... Comme j'étais quand même nettement plus en phase avec des filles plus âgées que moi, et que certaines me reconnaissaient bien pour ce que j'étais, j'ai eu des copines qui avaient déjà leur taille adulte quand pour ma part j'en étais encore vraiment très éloignée.

Cela dit, même à 40 ans, j'avais encore un physique d'adolescente, qui est d'ailleurs utilisé par les pervers narcissiques qui me harcèlent en bande organisée pour me faire passer mensongèrement pour une attardée mentale, mais je suis bien tout l'inverse du PN, qui lui est un enfant dans un corps d'adulte.

Le malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi, qui a publié ce genre de saloperies sur mon compte, avec bien d'autres, toutes plus monstrueuses les unes que les autres, et qui continue encore à en diffuser massivement, n'aime pas les vélos, il en a même fait le symbole de sa haine des "bourgeois" (voir son "enfance du Cyp") - en fait, il jalousait les heureux propriétaires de vélos quand lui n'en avait pas et se plaisait pour cette raison à les saloper quand il pouvait, ce qui lui a valu au moins une fois une correction paternelle mémorable.

Chez nous, il y en a toujours eu.

Dès l'école primaire, mon père avait commencé à se faire de l'argent de poche en travaillant pour un marchand de cycles de Brest - comme quoi lui non plus n'a vraiment rien du malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi, mais mon QI de "surdouée" n'est pas sorti du néant, mes deux parents en ont eux aussi.

A l'adolescence, il était devenu, entre autres, le pilote d'essai de ce marchand de cycles pour ses motos, et était donc le jeune Brestois aux allures de James Dean que l'on voyait régulièrement faire des tours dans le centre ville, toujours avec une moto neuve, et jamais deux fois la même.

Il avait beaucoup de copains, dont plusieurs cyclistes, et participait lui-même à des courses cyclistes. Bien évidemment, la moto était aussi l'une de ses passions.

Il aurait pu séduire de très nombreuses jeunes filles, mais une seule l'intéressait, celle qui est devenue sa femme, puis ma maman - sa Natalie Wood.

Ma mère ressemble beaucoup à Jackie Kennedy, mais tient aussi de cette actrice. Plus fine que la première, elle est en fait bien plus jolie et je ne le dis pas parce que c'est ma mère mais la réalité.

Le couple de mes parents jeunes, c'est donc un peu celui-là, celui de la Fureur de vivre. Après le mariage, ce sont davantage les Kennedy, car ils sont très sages l'un et l'autre et ont fondé famille.

Là encore, donc, rien à voir avec les Luraghi qui de père en fils vont tirer leur coup à droite et à gauche sans discrimination, comme des chiens, puis se retrouvent coincés avec femmes et enfants, des femmes qu'ils n'aiment pas et des enfants qu'ils n'ont pas voulus, et se mettent à en haïr la terre entière.

Dans les années 1970, quand il commence à déranger très sérieusement la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest et ses amis de l'extrême-gauche, le James Dean des débuts s'est arrondi et sa physionomie se rapproche un peu de celle de Clark Gable sans la moustache - enfin bon, il a toujours les yeux bleus et désormais des joues pleines avec pommettes, comme l'acteur que Marilyn Monroe assimilait à son père, mais n'a toujours rien ni d'Yves Montand ni d'Arthur Miller ni d'aucun autre de ses maris - marrant, quand même, non ?

Il est incorruptible et ne s'intéresse toujours pas à d'autres femmes que ma mère qui elle est sollicitée pour jouer les faire-valoir de socialistes locaux, mais le rôle de pot de fleurs ne l'intéresse pas.

J'ignore si la folledingue Josette Brenterch a tenté de séduire mon père pour le corrompre - si c'est le cas, je me demande un peu comment elle a pu s'imaginer qu'elle pourrait rivaliser avec ma mère, elle que même ses amis au couteau entre les dents ont toujours regretté d'avoir mis en tête d'affiche pour les élections législatives de 2002, sa tronche faisant fuir l'électeur bien plus sûrement que celle de Nathalie Ménigon, mais après tout, elle est bien folle à lier et avec elle tout est possible. En outre, il me paraît assez vraisemblable qu'elle ait tenté de le faire séduire par certaines de ses copines, comme elle en a l'habitude pour "contrôler" les messieurs susceptibles de la déranger, mais dans tous les cas, elle s'est forcément pris un râteau.

Aussi, l'incontrôlable incorruptible a dès lors commencé à recevoir des lettres anonymes contenant des photographies de ses enfants prises sur leurs lieux de vacances et assorties de menaces de mort et de propos dans le genre : nous savons toujours où les trouver.

Car mon papa n'est toujours pas une poule mouillée. 

Depuis les années 1950, celui dont l'un des modèles a été entraîneur de Marcel Cerdan (un de ses oncles) et qui, enfant, a eu pour terrain de jeux le champ de ruines de l'après-guerre à Brest, a fait l'Armée. Or, à peine arrivé dans la Marine, il a exigé et obtenu d'avoir une carafe d'eau à table, ce qui ne s'était encore jamais vu, l'unique boisson qui jusque-là avait toujours été servie aux marins étant du vin rouge. Il s'était simplement levé, était allé demander, et en quelques mots, avait soudainement mis fin à une tradition millénaire dans la Marine française. Voilà un fait historique qui doit pouvoir se vérifier : dans les années 1950, un genre de James Dean venu de Brest a brutalement mis fin à cette tradition millénaire qui consistait à ne servir que du vin rouge aux marins dans la Marine française. Et il ne s'est pas arrêté là, il a continué à stupéfier.

A l'inverse des alcooliques de la LCR de Brest ou de la bande de malfrats du malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi, il n'a donc jamais été "tireur de litres", mais tireur d'élite, par contre, oui - avec 16/10 aux deux yeux et toutes ses facultés mentales, sans aucun problème.

Voilà, voilà. Le vrai dur marche à l'eau plate et ne trompe pas sa femme. Celui-là était de plus aidé par ses sens hyper-développés de "surdoué" - moi aussi, d'ailleurs, je l'ai été : les miens m'ont permis d'échapper à de multiples tentatives d'assassinat, notamment dans les années 1990.

De retour à Brest dans les années 1970, il était très vite devenu l'un des premiers écologistes de cette ville et menaçait ou dérangeait aussi tous les truands et mafieux locaux. 

Très populaire auprès des honnêtes gens, il avait toujours beaucoup d'amis et a eu d'excellentes relations avec les magistrats brestois des années 1970 et 1980.

Cela a changé du tout au tout au début des années 1990 sans aucune raison apparente, après l'arrivée au TGI de Brest du dingue Raymond André qui nous a toujours haïs autant que sa complice Josette Brenterch du NPA de Brest, pour des raisons très probablement similaires.

Même s'il n'a jamais été facile d'être la fille d'une forte personnalité - tous ceux qui le détestent et n'osent pas l'attaquer de front vont volontiers se venger sur l'élément a priori le plus faible de son entourage, c'est-à-dire le féminin, la fille - il me paraît évident que je serais morte assassinée depuis très longtemps si je n'avais pas bénéficié de la protection de mes parents.


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