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lundi 7 mars 2022

Michel Walter, bourreau moderne

 

 

 

 

Et voilà mon « ami » Michel Walter – coucou, ça va ?

Concernant les chiffres du suicide, nous sommes d’accord, je m’y suis intéressée moi aussi, c’est bien ça : tout l’Ouest de Lille jusqu’à Bordeaux avec un gros point noir à l’épicentre breton depuis l’après-guerre, alors qu’auparavant, les régions les plus concernées étaient tout autres et qu’ici, franchement, on n’avait pas à se plaindre.

On peut y ajouter que le taux de « schizophrènes » déclarés dans le Finistère est aujourd’hui de plus de 2% de la population alors que partout ailleurs dans le monde il est invariablement de 1%, d’où il faudrait déduire qu’au moins la moitié de nos « schizophrènes » finistériens n’en sont pas, mais ça, mon bon « ami » Michel ne le fait pas.

Il ne sait pas non plus interpréter les chiffres du suicide, alors que pour ma part, je l’ai déjà fait depuis très longtemps, comme il doit bien le savoir – s’il n’a pas trouvé tout seul mes écrits publics à ce sujet, je ne doute pas que son complice le pédophile Pascal Edouard Cyprien Luraghi les lui ait communiqués.

En fait, Michel Walter s’exprimant sur le suicide en Bretagne, c’est un peu son complice le pervers narcissique Cyprien Luraghi s’extasiant sur la conversion de l’ancien extrême-gauchiste convaincu Joël Roma en fervent militant du Front national (c’est bien lui, Cyprien Luraghi, qui l’aura poussé dans les bras de Marine Le Pen en le calomniant publiquement et le harcelant comme il l’a fait à compter de juin 2010, comme je l’ai encore expliqué il n’y a pas très longtemps) ou sur la réinscription sur le site Rue89 sous un pseudonyme masculin de l’une de ses cibles favorites après qu’il en eut obtenu la suppression du premier compte à force de harcèlements à son encontre :

 

71144

cyp répond à 71143

Le 24 juin 2010 à 18:47 | Permalien

Je sais pas si tu te souviens, mais en pleine Guerre des Andouilles, cette croûtule de Georges Ouane avait piqué un caca nerveux extraordinaire parque que lamorille avait affiché le portrait de son Nino potiolo en hyper grand format…

Elle hurlait à s’en déchiqueter la gorge… c’était rigolo.

Georges ne vaut pas mieux que ces acariennes, je dois dire. Je la pense aussi ravagée du bulbe.

  • 71146

    Mon-Al répond à 71144

    Le 24 juin 2010 à 19:03 | Permalien

    Pas le même ravage : la Ouane aime se donner des airs professoraux et asséner des vérités. Ses délires sur sa deuche, les plus belles plages et autres âneries ne sont que décors pour ses diatribes pseudos-pilotiques.

    Mais les deux autres n’ont pas d’idées politiques réelles (la haine anti-troskisse de l’une et les délires culs-bénis pro-gouvernement de l’autre) sont simplissimes et ne cachent rien. Elles sont paranos, mauvaises et totalement inaccessibles à toutes raison ou pensée politique rééelle.

    Edit : je viens de me replonger dans des échanges de mails franchement rigolissimes, dommage que la nétiquette que je respecte infiniment, ne me permette pas de les divulguer !! Délires, menaces, on croit rêver …

    • 71149

      cyp répond à 71146

      Le 24 juin 2010 à 19:18 | Permalien

      Attends Mamama : que penser d’un(e) qui change aussi soudainement de genre, passant de femme féministe ultra-sectaire − souviens-toi de ses diatribes enflammées sur « ses sœurs » − tout en avilissant ma p’tite darlingue (ma bobonne, comme elle disait) et en gerbant sur nos enfants publiquement… puis se réincarne en mec, tout aussi borné et éructant, mais ne parlant quasiment plus de son sujet favori : la cause de Femmes…

      Je suis pas psy, mais bon… y a tout de même un gros gros gros blème, hein…

      Idem pour le Groglavio : figure-toi que j’ai retrouvé (en poursuivant mon enquête sociale sur XXXXXXXXXXXXX (à l’Ouest) un de ses vieux posts dans lequel il évoque ouvertement sa paranoïa passée, qui pensait enfouie à tout jamais :

      http://www.rue89.com/comment/permalink/401154

      Si lui-même le reconnaît, y a pas photo : ils sont bel et bien à foutre tous dans le même sac, intellos secs comme des coups de trique, petite secrétaire brestoise hypernarcissique et atrocement méchante ou prof psychorigide.

      La parano : ça craint !

 

 

Il est bien évident qu’elle se cachait pour éviter qu’il ne lui retombe dessus trop rapidement. Tout le monde ne voit que ça, mais lui, non, il ne décèle toujours que des troubles psychiatriques dans tous les comportements d’évitement ou autres qu’il provoque.

A noter : la « petite secrétaire brestoise hypernarcissique et atrocement méchante », c’est moi vue par ce malade mental ou sa complice Josette Brenterch du NPA de Brest ayant décidé à compter de juin 2010 d’effacer complètement tout mon passé professionnel, comme ma scolarité, ma formation, ma personnalité et ma vie réelles au profit de toutes leurs inventions calomnieuses à mon encontre – car en vérité je n’ai jamais eu nulle part aucun emploi de secrétaire et ne suis pas non plus narcissique ni méchante ni paranoïaque.

Mais revenons à la question du suicide en Bretagne et dans tout le Nord et l’Ouest français en sortant d’abord une carte de l’occupation allemande en France en 1940 (voir ci-dessous) : cela correspond quand même assez bien, non ? Le problème vient de là, c’est évident : les Renseignements Généraux ont échoué dans leur mission de contrôle de la population durant l’Occupation, surtout en Bretagne et à la pointe du Finistère où la Résistance fut la plus forte, en partie grâce à la langue bretonne que les policiers des RG ne comprenaient pas, entraînant après la Libération une répression à hauteur de la claque que s’était pris le service…

La psychiatrie est un outil de cette répression.

Sa justification ne tient qu’à la paranoïa du pouvoir central et de ses représentants locaux, alliés politiques y compris, redoutant qu’après avoir libéré tout le pays, les Bretons ne se libèrent aussi de son joug, quoique par ici, contrairement à ce qui s’est passé dans le Donbass en 2014, il n’y ait jamais eu le moindre début de commencement de sécession.

Au cours de l’été 2005, j’indiquais sur une liste de discussion d’AC ! :

« Pour mémoire, quelques records bretons :

- Réussite au baccalauréat : en 2005, fidèle à sa réputation d’excellence, l’académie de Rennes décroche une nouvelle fois les taux de réussite les plus élevés au baccalauréat, avec 86,5 % de reçus au bac général et au bac technique, contre 80,2% pour la moyenne nationale.

- Répression d’Etat : meilleur taux de fonctionnaires.

- Flexibilité : meilleur taux d’intérimaires.

- Suicides : meilleur taux en Europe.

A la pointe du Finistère, nous sommes toujours à la pointe du progrès… »

Il faudrait encre corréler à ces taux celui de couverture du NPA, anciennement LCR, également record en Bretagne : ailleurs sur le territoire français, bien des collectifs AC ! s’étaient depuis longtemps affranchis de la tutelle de la LCR en 2005, seul le réseau de collectifs bretons restait toujours entièrement sous le contrôle des militants ultra-violents de ce parti, sans qu’aucun d’entre eux n’ait jamais pu prendre son indépendance en dépit de nombreuses tentatives, et ce dès les années 1990 – les sécessionnistes avaient toujours été écrasés dans la violence, cela a continué, pour nous en 2005 comme pour tous les autres précédemment.

Et comme je me fais toujours tout depuis matraquer en permanence par ces agents de la répression mafieuse, je n’ai plus de temps à consacrer qu’à ma défense, mon seul but étant désormais de me maintenir en vie le plus longtemps possible pour pouvoir, éventuellement, un jour, témoigner de la manière dont les ingénieurs bretons se font assassiner, spécialement ceux de ma famille.

En réalité, nous dérangeons surtout du fait que nous sommes trop bien éduqués et instruits pour accepter n’importe quoi de la part d’employeurs ou de dirigeants mafieux, et ce à tous les niveaux.

Jetez un oeil sur le CV de ce monsieur :

https://www.mckinsey.com/our-people/karim-tadjeddine/fr-FR

« Karim Tadjeddine est ingénieur, diplômé de l’Ecole Polytechnique et de l’Ecole Nationale des Ponts et Chaussées. Il est également titulaire d’un DEA d’économie politique obtenu à l’Ecole Normale Supérieure de Paris. »

Avec un nom comme le sien, il n’y a aucun problème. Avec un nom breton, par contre, c’est le profil d’un malade mental extrêmement dangereux, un client pour Michel Walter à l’hôpital psychiatrique de Bohars, où les psychiatres ont mis au point un protocole de traitement médicamenteux un peu particulier, dont le but est de réduire à l’état de légumes tous ces malades mentaux extrêmement dangereux en un temps record.

Notez que cela ne fonctionne pas toujours comme prévu. Par exemple, si le coeur ou le foie explose ou implose avant le cerveau, on obtient seulement un cadavre.

Mais point n’est besoin de ces traitements extrêmes pour obtenir que les individus pris en charge en psychiatrie, avec ou sans pathologies psychiatriques, soient suicidaires à leur sortie de l’hôpital psychiatrique ou ne le deviennent dès lors très rapidement.

Ecoutez bien ce que dit Michel Walter dans la seconde vidéo, vers 22′ ou 23′ : les suicidants ne sont pas comme tout le monde, ils ne savent pas rebondir en inventant autre chose. Son Monsieur ou Madame Tout-le-monde à son image a donc le mental d’un commercial ou d’un pervers narcissique qui ment tout le temps et en cas d’échec rebondit effectivement aussitôt avec de nouvelles inventions délirantes. Voilà bien ce qu’il est lui-même : un pervers narcissique comme tous les autres, prêt à détruire en psychiatrie tous ceux qui n’en sont pas (enfin, c’est déjà ce qu’il fait au quotidien depuis plusieurs décennies), et même, nous dit-il dans sa conférence de 2019, le plus tôt possible, bien avant l’arrivée de la fameuse goutte d’eau qui fait déborder le vase… mais pour qui ? pour le futur suicidant ou pour ses agresseurs divers et variés ?

Tout le monde aura remarqué qu’à aucun moment il n’envisage, pour prévenir le suicide, un quelconque soutien aux victimes de pervers narcissiques, qu’il s’agisse de pédophiles, de violeurs, de harceleurs ou d’escrocs, alors que tout le monde sait tous les dégâts dont ils sont responsables : ce sont en fait ses meilleurs amis, ceux qui lui fournissent toute sa clientèle pour les laboratoires pharmaceutiques qui lui offrent voyages et nombreux autres agréments. Il n’est donc pas question qu’il puisse jamais reconnaître l’existence de leurs très nombreux crimes et délits, sa vocation est au contraire de « neutraliser » en psychiatrie au besoin en les achevant tout à fait toutes les victimes de ces pervers.

Rappelons pour finir qu’il est directement responsable de toute une série de suicides par pendaison d’étudiants en médecine survenue entre octobre 2002 et mars 2003 et suivie le 1er janvier 2004 du suicide à l’identique d’un infirmier psychiatrique qui en était très proche. A l’hôpital, tout le monde est au courant. Comme pour les viols de patientes de psychiatres hospitaliers du CHU de Brest dans leurs chambres de l’hôpital psychiatrique de Bohars par son ancien directeur proxénète Christian Barthes.

 

 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Zone_occup%C3%A9e

Zone occupée

Michel Walter, bourreau moderne 350px-France_map_Lambert-93_with_regions_and_departments-occupation-fr.svg
La France coupée en plusieurs parties en 1940 : zone libre, zone d’occupation italienne, zone occupée, avec à l’intérieur de celle-ci : la zone annexée Alsace-Moselle, la zone placée sous l’administration militaire allemande de Bruxelles (nord de la France), et deux territoires classés zone interdite.

La zone occupée (en allemand : Besetztes Gebiet) est, pendant la Seconde Guerre mondiale, la signature de l’armistice du 22 juin 1940, la partie de la France où stationnaient les troupes allemandes d’occupation. La ligne de démarcation la séparait de la zone libre. Après l’occupation de cette dernière en novembre 1942, la zone occupée est rebaptisée « zone nord ».

Origine de la zone occupée

Article détaillé : Armistice du 22 juin 1940.

La convention d’armistice du 22 juin 1940, à la clairière de Rethondes, en forêt de Compiègne, entre le représentant du Troisième Reich allemand, le maréchal Keitel, et celui du gouvernement français du maréchal Pétain, le général Huntziger, dispose en son article 2 :

« En vue de sauvegarder les intérêts du Reich allemand, le territoire français, situé au nord et à l’ouest de la ligne tracée sur la carte ci-annexée, sera occupé par les troupes allemandes. [...]1 »

La ligne de séparation du territoire français en deux zones est définie par un tracé figurant sur une carte annexée1 :

« [...] commence, à l’est, à la frontière franco-suisse, près de Genève, et est jalonnée ensuite par les localités de Dole, Paray-le-Monial et Bourges, jusqu’à environ vingt kilomètres à l’est de Tours. De là, elle passe à une distance de vingt kilomètres à l’est de la ligne de chemin de fer Tours-Angoulême-Libourne, ainsi que, plus loin, par Mont-de-Marsan et Orthez, jusqu’à la frontière espagnole1. »

Cette ligne de séparation du territoire prend effet le 25 juin 19402. Elle prendra par la suite le nom de ligne de démarcation3.

L’ensemble du territoire et l’Empire sont sous l’autorité du régime de Vichy dirigé par le maréchal Pétain. La souveraineté française s’exerce sur l’ensemble du territoire, y compris la zone occupée, l’Alsace et la Lorraine, mais dans la zone occupée, la convention d’armistice, en son article 31, stipule que l’Allemagne exerce les droits de la puissance occupante :

« Dans les régions occupées de la France, le Reich allemand exerce tous les droits de la puissance occupante. Le Gouvernement français s’engage à faciliter par tous les moyens les réglementations relatives à l’exercice de ces droits et à la mise en exécution avec le concours de l’Administration française. Le Gouvernement français invitera immédiatement toutes les autorités et tous les services administratifs français du territoire occupé à se conformer aux réglementations des autorités militaires allemandes et à collaborer avec ces dernières d’une manière correcte1. »

Subdivisions

Notes et références

  1. Le bulletin d’information du 15 janvier 1941 publié par la direction des services de l’armistice, au secrétariat de la Guerre, note que 57 289 Mosellans (correspondant aux 2/5 du département) ont été expulsés, entre le 11 et le 21 novembre 1940, et 10 490 Alsaciens (des vallées des Vosges), entre le 4 et le 20 décembre 1940. Prévenus quelques heures auparavant, ils n’ont pu emporter que 2 000 francs en numéraire et 50 kg de bagages. Ayant le choix entre l’expulsion vers la France et l’envoi en Pologne, ils ont opté pour la France. Ils ont été remplacés par des Bessarabiens et des habitants du Palatinat.

Articles connexes

Sur les autres projets Wikimedia :

  • La convention d’armistice [archive], sur le site de l’Université de Perpignan, mjp.univ-perp.fr, consulté le 29 novembre 2008.

  • [PDF]« La ligne de démarcation », Collection « Mémoire et Citoyenneté », no 7 [archive], sur le site du ministère de la Défense defense.gouv.fr. Consulté le 24 octobre 2008.

  • Le nom : « Ligne de démarcation » ne figurant pas dans la convention d’armistice, il sera donné par la suite en traduction de l’allemand : Demarkationslinie.

  • Eberhard Jäckel, Frankreich in Hitlers Europa – Die deutsche Frankreichpolitik im Zweiten Weltkrieg, Deutsche Verlag-Anstalg GmbH, Stuttgart, 1966 ; traduction : La France dans l’Europe de Hitler, (préface d’Alfred Grosser, traduction de Denise Meunier), éd. Fayard, coll. « Les grandes études contemporaines », 1968, 554 p., chap. « L’annexion déguisée », p. 123-124.

 

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