Pages

jeudi 7 janvier 2021

Dans l'Yonne, un cyberharceleur terrorise des femmes

 

Plusieurs d’entre elles ayant porté plainte pour des faits ayant débuté pour certaines fin novembre, soit il y a à peine plus d’un mois, une enquête a été ouverte et un suspect identifié et interrogé.

Il reconnaît une partie des faits tout en les minimisant.

Mes harceleurs Pascal Edouard Cyprien Luraghi de Puy-l’Evêque, Jean-Marc Donnadieu de Béziers et Josette Brenterch du NPA de Brest avaient fait de même en 2011 : ils avaient reconnu être les auteurs des écrits publics me concernant qui leur étaient présentés et reprochés, et qui ne correspondaient qu’à une infime partie de tout ce qu’ils avaient produit et publié sur mon compte depuis 2008, tous leurs harcèlements commis en bande organisée à mon encontre avec tous leurs complices cybercriminels qui avaient débuté cette année-là étant devenus quotidiens à compter de février 2009.

Ne figuraient donc là que quelques écrits récents, de 2010 ou 2011, les plus anciens tombant sous le coup de la prescription tant que seules l’injure et la diffamation publiques étaient retenues par les autorités judiciaires. Ils en avaient minimisé la gravité, notamment en les justifiant au moyen d’allégations mensongères, et avaient bien évidemment totalement nié tout le reste.

Mais ils furent vraiment très peu inquiétés par ces enquêtes préliminaires de 2011 n’ayant consisté qu’en un unique interrogatoire très superficiel de chacun d’entre eux avant classement sans suite. Par exemple, ils ne furent jamais interrogés sur la source de toutes leurs informations me concernant, notamment celles relevant à l’évidence de ma vie privée, à commencer par mon identité et toutes mes coordonnées, alors que je ne les avais moi-même jamais données au public, n’ayant toujours écrit sur la toile que sous pseudonyme. Ne pouvant nier être les auteurs de propos tenus publiquement sous leurs identités réelles sur leurs supports d’expression personnels, ils avaient simplement reconnu que les contenus de leurs publications me concernant n’étaient pas très gentils ou très sympas à mon égard et précisé s’être selon eux juste « moqués » de moi ou m’avoir « taquinée ». C’est tout ce qu’ils admettaient.

Cependant, le malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi expliquait bien être à la tête d’un groupe d’internautes pratiquant tous ensemble la « déconnologie », une activité de son invention ayant consisté, pour tous ses amis « déconnologues » et lui-même, à compter de l’année 2008, à aller se « moquer » de divers commentateurs du site Rue89, notamment des femmes qui intervenaient sur le sujet du harcèlement moral en entreprise en prétendant avoir été victimes de cette pratique, dont moi-même.

Il reconnaissait donc bien s’être, selon lui, toujours « moqué » de moi sur la toile pour ce motif avec tous ses amis internautes dits « déconnologues » à compter de l’année 2008 et c’est avec une fierté non feinte que son complice Jean-Marc Donnadieu de Béziers se revendiquait lui aussi « déconnologue ».

Ils étaient en fait les auteurs de raids numériques quotidiens d’une grande violence à mon encontre sur les différents supports d’expression que j’utilisais, dont le premier fut le site d’information Rue89, incroyablement tolérant à leur égard, tout en publiant quotidiennement des monceaux de saloperies sur mon compte sur leurs propres blogs ou sites, et encore sur de très nombreux autres sites où je n’intervenais pas davantage.

Dès l’année 2008, ce que je subis est au moins aussi grave et terrifiant que ce qui est décrit dans l’article ci-dessous, mes harceleurs multipliant à dessein les allusions à ma vie privée, alors qu’ils ne sont même pas censés connaître mon identité et que je n’en connais moi-même aucun, la plupart d’entre eux intervenant de toute façon sous pseudonyme, en usant de plus de comptes anonymes spécifiquement dédiés à leurs harcèlements à mon encontre.

D’emblée, ils me font comprendre qu’ils savent tout de ma vie privée, aussi bien mes échanges privés quotidiens à cette époque, qu’ils captent manifestement au moyen de piratages informatiques et d’écoutes illégales, que tout mon passé professionnel et privé, qu’ils me recrachent par morceaux avec des appréciations délirantes que je n’ai aucun mal à reconnaître : il s’agit d’inventions des dirigeants de la LCR de Brest qui m’ont déjà été rapportées par des tiers, et dont la cheftaine Josette Brenterch finira effectivement par se révéler être l’organisatrice de tous ces harcèlements que je subis sur la toile depuis 2008, lorsqu’à compter du mois de juin 2010, avec son complice Pascal Edouard Cyprien Luraghi, elle décide de passer à la vitesse supérieure.

Pour moi, ces faits qui perdurent aujourd’hui depuis plus de douze ans n’ont cessé de s’aggraver au fil du temps, les diverses mises en danger et menaces de mort dont mes proches et moi-même avons très tôt été victimes ayant bien fini par produire effet ou par être mises à exécution, les assassins ayant toujours été confortés dans tous leurs agissements criminels à notre encontre par tous les encouragements qu’ils recevaient de magistrats brestois CORROMPUS.

 

https://www.ouest-france.fr/bourgogne-franche-comte/sens-89100/yonne-victimes-de-cyberharcelement-elles-prennent-contact-entre-elles-certaines-portent-plainte-7109298

Yonne. Victimes de cyberharcèlement, elles prennent contact entre elles, certaines portent plainte

 

Plusieurs plaintes ont été déposées à la gendarmerie de Sens (Yonne) par des femmes victimes de cyberharcèlement depuis fin novembre pour certaines. Elles font état d’insultes, de menaces d’agression sexuelles et de mort. Elles se sont rendu compte qu’elles étaient plusieurs. Une enquête a été ouverte et un suspect a été identifié.

 

Le cyberharcèlement est puni de deux ans de prison et de 30 000 € d'amende. Photo d'illustration.
Le cyberharcèlement est puni de deux ans de prison et de 30 000 € d’amende. Photo d’illustration. | THOMAS WHITE / REUTERS
Ouest-France avec NG Publié le 06/01/2021 à 14h08

 

Cinq plaintes ont été déposées à la gendarmerie de Sens (Yonne) par des femmes après avoir subi du harcèlement en ligne et de menaces de viol et de mort. D’autres pourraient suivre car elles sont au moins une dizaine à avoir été victime de faits similaires. Ces dernières ont commencé à recevoir des messages il y a plusieurs semaines, via les réseaux sociaux et notamment Instagram, rapporte France Bleu Auxerre.

Menaces de mort et de viol

« Cela provenait de faux comptes parce qu’il n’y avait pas d’abonné, pas d’abonnement. C’était des comptes qui venaient juste d’être créés », a indiqué l’une d’elles. Des messages d’insultes d’abord, puis de menaces d’agression sexuelle et/ou de violence, jusqu’à la mort.

Certains messages ont grandement inquiété les victimes car le harceleur semblait bien les connaître : « Il me disait à quelle heure je sortais du travail, comment je m’habillais et d’autres détails concernant ma vie privée et mes amis ». Une source de stress et d’angoisse qui a poussé les jeunes femmes à se protéger : « maintenant, j’ai une bombe lacrymogène avec moi et un sifflet de détresse. »

Un homme reconnaît en partie les faits

Les victimes ont rapidement compris qu’elles n’étaient pas seules et ont pris contact entre elles via les réseaux sociaux. « On s’est rendu compte que certains comptes avaient les mêmes noms », a expliqué une jeune femme. Des histoires similaires qui laissent à penser qu’il pourrait s’agir d’une seule et même personne. Un jeune homme est soupçonné et a été entendu par les gendarmes.

Il a reconnu une partie des faits, tout en minimisant leur gravité. La gendarmerie a ouvert une enquête et invite les victimes à venir porter plainte. Pour ces faits de cyberharcèlement, les auteurs encourent jusqu’à deux ans de prison et 30 000€ d’amende. Ils risquent également jusqu’à trois ans de prison et 45 000 € d’amende pour les menaces de mort.

 

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire