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dimanche 30 septembre 2018

Nouvelles menaces de Cyprien Luraghi le 21 septembre 2018

A qui Cyprien Luraghi s’adresse-t-il lorsqu’il écrit et publie sur son blog le 21 septembre 2018 :


Les maux te manquent ?


« Vous avez besoin d’écrire ? » « J’ai besoin d’écrire. » « Est-ce important ? » « C’est très important. » (( Edgar Hilsenrath – Fuck America ))
…/…


Il a « besoin » d’écrire et de publier sa version de ma biographie, alimentée autant par tous ses viols de l’intimité de ma vie privée depuis l’année 2008 au moins que par les inventions calomnieuses de sa complice la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest, les siennes propres et celles de toute sa bande de « déconnologues » constituée à compter de la même année 2008.

Il n’a cessé de le répéter depuis 2009, affirmant son droit de viol et d’assassinat de plus en plus bruyamment au fil des ans.

Les attentats terroristes commis sur le sol français en 2015 furent particulièrement fracassants.

Cyprien Luraghi attendait alors une confirmation de ma condamnation prononcée le 11 juin 2013 par le Tribunal de Grande Instance de Brest, une condamnation qu’il avait annoncée à son public dès le début de l’année 2012 alors que commençait tout juste l’information judiciaire préalable.

Celle-ci faisait suite à des plaintes toutes nulles ou irrecevables que sa complice Josette Brenterch avait déposées auprès du doyen des juges d’instruction de Brest en août et décembre 2011.

Chacun des juges brestois qui en avait été saisi aurait dû les rejeter, arrêter ou annuler toute la procédure subséquente une fois celle-ci bien engagée, mais il aura fallu attendre son réexamen par la Cour d’Appel de Rennes le 30 septembre 2015 pour qu’enfin soit prononcée le 2 décembre 2015 la décision qui d’emblée s’imposait, et par voie de conséquence, ma relaxe totale et définitive dans cette affaire.

Cyprien Luraghi et ses complices attaquaient de nouveau dès le mois de mars 2016, toujours selon le même schéma : nouvelles publications délictueuses, nouveaux viols, rapidement suivis d’une nouvelle procédure contre leur victime, afin de prévenir ses propres dépôts de plaintes ou procédures, de les contrer par avance, de les empêcher même de jamais voir le jour.

Débutait alors une nouvelle série d’attentats meurtriers, avortés ou déjoués qui ne s’est terminée que le 23 mars dernier, durant le dernier délibéré relatif à cette nouvelle procédure, avant la décision de la Cour d’Appel de Paris du 11 avril 2018.

Cyprien Luraghi n’ayant pas jugé utile d’en publier le calendrier comme il l’avait fait pour la procédure de sa complice Josette Brenterch du NPA de Brest, je le donne ici même :

- 5 mars 2016 : nouvelles publications délictueuses, appelant nécessairement plaintes et autres réactions des victimes;

- avril 2016 : consultation de l’avocat spécialisé qui dès lors travaille à la perte des victimes avant qu’elles n’aient pu se faire entendre;

- 24 juin 2016 : ordonnance autorisant l’assignation projetée;

- 12 juillet 2016 : assignation délivrée à la principale victime pour le 13 septembre 2016 à 10h00;

- 13 septembre 2016 : la victime étant fermement décidée à se défendre, renvoi à une audience ultérieure à la demande du demandeur qui a besoin d’un nouveau délai pour compléter son assignation; concrètement : comptant que je ne serais pas en état d’y répondre et qu’une ordonnance pourrait être rendue contre moi par le juge des référés du Tribunal de Grande Instance de Paris sur la base des seuls éléments qu’il fournissait, il n’avait même pas jugé utile de justifier ses demandes…

- 15 septembre 2016 : nouvelle demande de renvoi du demandeur qui ne sera pas en mesure de plaider le 27 septembre 2016;

- 20 septembre 2016 : renvoi fixé au 8 novembre 2016 à 11h30;
 
- 1er novembre 2016 à 21h44 : l’avocat du demandeur m’envoie un complément de pièces;

- 2 novembre 2016 à 8h55 : il me promet de nouvelles conclusions pour le vendredi suivant, 4 novembre 2016;

- 4 novembre 2016 à 19h27 : il me transmet de nouvelles pièces en indiquant ne pas prendre de nouvelles conclusions, c’est-à-dire qu’il ne répondra pas aux miennes qui effectivement resteront toujours sans réponse;

- 8 novembre 2016 à 11h30 : audience; nouvelle communication de pièces du demandeur et plaidoiries; délibéré fixé au 16 décembre 2016;

- 16 décembre 2016 : prorogation du délibéré au 5 janvier 2017;

- 5 janvier 2017 : ordonnance de rejet des demandes;

- 15 juin 2017 : déclaration d’appel du demandeur;

- 20 juin 2017 : enregistrement de la déclaration d’appel du demandeur;

- 7 juillet 2017 : fixation des audiences en appel le 7 novembre 2017 à 13h00 pour la clôture et le 20 novembre 2017 à 14h00 pour la plaidoirie;

- 18 juillet 2017 : nouvelle assignation de la victime;

- 28 juillet 2017 : constitution de mon avocat; c’est obligatoire, je ne peux plus me défendre seule à ce stade de la procédure; jusque-là, comptant que je n’aurais sans doute pas plus d’avocat qu’en première instance, le demandeur devait s’imaginer gagner haut la main en appel en l’absence de toute défense de ma part;

- 30 octobre 2017 : le demandeur annonce ses conclusions pour la semaine suivante et indique qu’il sollicitera un report de la clôture compte tenu de cette communication tardive;

- 31 octobre 2017 : Pascal Edouard Cyprien Luraghi, qui n’est toujours pas en mesure de justifier ses demandes, veut désormais transiger; brandissant sans aucune gêne la menace de ma prochaine condamnation pour de soi-disant « harcèlements » à son encontre, comme j’aurais déjà été « condamnée » pour « les mêmes faits » dans toutes les procédures engagées à mon encontre par ses complices Josette Brenterch du NPA de Brest en Bretagne et Jean-Marc Donnadieu dans l’Hérault, il propose de s’engager à ne plus rien publier sur mon compte sans pour autant supprimer ses textes déjà publics me concernant ni cesser ses publications ou diffusions quotidiennes auprès d’un public restreint très intéressé par ma vie privée et celles de mes proches, ou ce qu’il en raconte, ni bien sûr mettre un terme à tous ses viols, multiformes, ses harcèlements véritables et toutes ses dénonciations calomnieuses à notre encontre – je suis notamment obligée de me défendre contre les harcèlements de plusieurs de ses complices hors Internet -, à la condition que de mon côté je supprime tous mes textes le concernant – lesquels ne sont jamais que des droits de réponse consécutifs à toutes ses infâmes campagnes de calomnies publiques à mon encontre – , m’engage à ne plus en produire aucun et surtout renonce à toute réclamation ou plainte et me désiste de toute instance à son encontre… et puis quoi encore ? quel culot ! bien entendu je refuse;

- 7 novembre 2017 : le demandeur obtient un report de la clôture au 20 février 2018 à 13h00 et celui des plaidoiries au 5 mars 2018 à 14h00;

- 19 février 2017 : le demandeur communique enfin et très tardivement ses conclusions;

- 20 février 2017 : à la demande de mon avocat, la clôture est reportée au 5 mars 2018, jour des plaidoiries;

- 5 mars 2018 : plaidoiries et fixation du délibéré au 11 avril 2018;

- 11 avril 2018 : infirmant l’ordonnance entreprise en toutes ses dispositions, statuant à nouveau, la Cour d’Appel de Paris déclare nulle l’assignation délivrée le 12 juillet 2016 et irrecevable en conséquence l’instance engagée par M. Pascal Luraghi… lequel a très largement abusé…

Et maintenant, qui menace-t-il encore, et de quoi, de quels nouveaux attentats ?

jeudi 27 septembre 2018

Cyprien Luraghi continue de faire des émules


Le 31 mai 2017, j’écrivais que Richard Ferrand se défendait comme Pascal Edouard Cyprien Luraghi, ce que la série de lectures de Satanistique rapportée ci-dessous est venue me rappeler le 22 septembre 2018 entre 9h03 et 9h20.

Dois-je en déduire qu’il pourrait me menacer de procès pour les quelques lignes où je l’ai cité la veille, 21 septembre 2018, à propos du chômage et des chômeurs ?

Si ce que j’écris pose problème, la moindre des choses est de commencer par me le faire savoir.

Les commentaires sur Satanistique sont toujours ouverts.

Il est aussi possible de m’envoyer des messages en utilisant le formulaire de contact du même blog.

Cela dit, observons que Richard Ferrand n’est pas le seul à reproduire propos ou comportements de Cyprien Luraghi, puisqu’à l’instar de cet individu lors de nos deux rencontres dans l’enceinte du Tribunal de Grande Instance de Paris en 2016, Tariq Ramadan était très entouré lors de sa confrontation à son accusatrice surnommée « Christelle » la semaine dernière, mardi 18 septembre 2018.

En outre, et ce tout comme lors de sa confrontation à sa première accusatrice, le 19 juillet dernier, il se serait lui aussi abondamment « moqué » de sa victime présumée comme des juges, puisqu’il semble désormais avéré qu’il leur aurait menti avec beaucoup d’aplomb.

Je précise ici qu’en ce qui me concerne, à deux reprises, le 13 septembre 2016 à 10h00 et le 8 novembre 2016 à 11h30, je m’étais trouvée confrontée, seule et sans avocat, à environ une dizaine de « déconnologues ».

Bien évidemment, je m’y attendais, et craignais au plus haut point les agressions physiques aux abords du tribunal.

Aussi, la première fois, j’avais demandé à un ami de m’accompagner, mais il est arrivé en retard et je n’ai pu le retrouver qu’à la sortie du tribunal, cette première audience s’étant assez vite conclue par un renvoi. Nous étions ensuite allés boire un verre à la terrasse du café d’en face, d’où nous avions pu voir Cyprien Luraghi et sa bande, qui m’avaient totalement perdue de vue dès la sortie de la salle d’audience, aller s’installer à l’autre terrasse du même café… que nous n’avons pu éviter de longer en quittant les lieux… Or, ils s’y trouvaient toujours, en grande discussion avec leur avocat qui heureusement pour moi ne les avait pas lâchés depuis l’audience. De ce fait, ils ne nous avaient pas vus passer, jusqu’au moment où la seconde femme du groupe, se caractérisant par des cheveux teints de couleur auburn, et que je présume être Annie Luraghi, l’épouse du « Konducator », s’était mise à s’agiter en faisant des gestes dans notre direction. Trois d’entre eux n’avaient alors tardé à se lever pour nous courir après…

Il s’agissait de cette femme, de Cyprien Luraghi et de Josette Brenterch du NPA de Brest.

Finalement, ils n’avaient rien à nous dire et rebroussèrent chemin après nous avoir rattrapés et dévisagés avec insistance, surtout mon ami qui manifestement les intriguait…





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https://www.lejdd.fr/societe/justice/tariq-ramadan-christelle-raconte-leur-confrontation-devant-le-juge-3759716

Tariq Ramadan : « Christelle » raconte leur confrontation devant le juge


17h58 , le 19 septembre 2018

Une confrontation a eu lieu mardi entre « Christelle » et Tariq Ramadan, qu’elle accuse de viol. La défense du théologien a une nouvelle fois déposé une demande de mise en liberté.

Tariq Ramadan, ici en janvier 2012.
Tariq Ramadan, ici en janvier 2012. (Abaca Press)

La confrontation a duré plus de huit heures. Mardi, Tariq Ramadan et l’une de ses accusatrices, surnommée « Christelle », se sont fait face chez les juges, après une première confrontation en février pendant la garde à vue de l’intellectuel. A L’Obs, la plaignante – qui a déposé plainte pour un viol en octobre 2009 dans un hôtel de luxe lyonnais – raconte avoir subi « mauvaise foi et mensonges, invectives, théories complotistes sauce internet, rires ‘narquois’, provocations ». « C’était difficile à supporter, mais il a fallu faire front », ajoute Christelle, tout en se disant « confiante » car Tariq « Ramadan et Me Marsigny [son avocat] ont été mis face à leurs contradictions multiples et à leurs actes répréhensibles ».

Lire aussi – Tariq Ramadan : la justice suisse ouvre une instruction pour « viol » et « contrainte sexuelle »

« Ils sont venus à six, Tariq Ramadan et cinq conseils français et belges, sans nous prévenir, pour exercer la pression du nombre et essayer de rivaliser face à Me Eric Morain et moi. Sans pour autant, objectivement, y arriver », poursuit-elle sur le site de l’hebdomadaire.

Chacun a « campé sur ses positions »


« C’était une confrontation âpre » où « chacun est resté campé sur ses positions », a déclaré pour sa part l’avocat de « Christelle », Me Eric Morain, à l’AFP. « M. Ramadan a pu constater que malgré onze mois d’insultes, d’injures, de diffamation, d’identité jetée en pâture, ma cliente était tout autant déterminée », a-t-il ajouté. « Il voit des ennemis partout, c’est un adepte de la théorie du complot et ma cliente a pu lui dire droit dans les yeux qu’elle n’était pas son ennemie mais sa victime. Et que ça fait dix ans qu’elle traîne cette douleur », a complété Me Eric Morain.

De son côté, l’avocat de Tariq Ramadan, Me Emmanuel Marsigny, a indiqué que son client avait « maintenu sa position, fermement : il n’a jamais eu de relations sexuelles avec cette plaignante ».

Lire aussi – Tariq Ramadan : les 5 affaires d’agressions sexuelles et viols dans lesquelles il est soupçonné

En juin, le théologien avait reconnu plusieurs relations extraconjugales « consenties » et des « rapports fougueux, de domination » avec d’autres femmes, notamment avec une troisième plaignante apparue en mars et pour laquelle il n’est pas mis en examen à ce jour.

Une demande de mise en liberté déposée


A l’issue de la confrontation de mardi, la défense de Tariq Ramadan a annoncé déposer une troisième demande de mise en liberté. « Je ne comprendrais pas qu’elle ne soit pas acceptée dans la mesure où il a été indiqué au mois de juillet que c’était l’absence de cette confrontation qui s’opposait à sa remise en liberté », a déclaré son avocat Me Emmanuel Marsigny, à la sortie du bureau des juges d’instruction au tribunal de Paris.

« Je rappelle que son état de santé s’aggrave, qu’il est maintenant handicapé, et qu’il est temps que cela cesse », a ajouté Me Marsigny.

Détenu à l’hôpital pénitentiaire de Fresnes, au sud de Paris, Tariq Ramadan est atteint d’une sclérose en plaques dont le traitement a été jugé administrable en prison. L’intellectuel, qui réclame un placement sous contrôle judiciaire avec remise de son passeport suisse et une caution préalable de 300.000 euros, avait vu cette demande rejetée début août par la cour d’appel de Paris.

(avec AFP)


Par Anne-Charlotte Dusseaulx


http://www.leparisien.fr/faits-divers/france-rejet-de-la-nouvelle-demande-de-mise-en-liberte-de-tariq-ramadan-26-09-2018-7903206.php

Tariq Ramadan : des SMS compromettants et une remise en liberté refusée


>Faits divers|Jean-Michel Décugis, Jérémie Pham-Lé et Timothée Boutry| 26 septembre 2018, 11h43 | MAJ : 26 septembre 2018, 20h00 |40

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C’est la troisième fois que la défense de Tariq Ramadan demandait la remise en liberté du théologien musulman. LP/Philippe Lavieille

Un rapport d’expertise de son téléphone et de son ordinateur vient contredire la version du théologien sur ses relations avec l’une des plaignantes pour viol.


« J’étais sous la douche… mais attends ma douce chienne !!! » Ce SMS écrit par Tariq Ramadan à « Christelle », très peu de temps avant le viol dont cette dernière l’accuse, a pesé lourd dans le rejet, mardi, de la troisième demande de remise en liberté du théologien, incarcéré depuis sept mois.

« Christelle », l’une des trois victimes présumées de l’intellectuel musulman, assure avoir subi de sa part des relations non consenties violentes et humiliantes, le 9 octobre 2009, dans un hôtel à Lyon (Rhône). Or Tariq Ramadan a toujours nié tout rapport physique lors de cette unique rencontre.

Lundi, les magistrats ont reçu un rapport d’expertise qu’ils avaient diligenté cinq mois plus tôt et que nous avons pu consulter. Il s’agit de l’analyse du contenu de 14 scellés, ordinateurs et téléphones portables des plaignantes et de Ramadan, saisis lors de l’enquête ou livrés à la Justice. Parmi ceux-ci un vieux téléphone portable retrouvé, par « Christelle », début 2018, au fond d’une boîte à outils.

«Il y a de l’amour, du désir, ce que je sais m’attire»


L’expertise des données a permis de déterminer que, du 31 août au 15 décembre 2009, 255 SMS ont été adressés depuis le portable du théologien dont huit, le 9 octobre 2009, jour du viol présumé. En sens inverse, on ne sait pas ce que « Christelle » répond. Sur la même période, la jeune femme a envoyé 144 messages que les données techniques de l’époque ne permettent pas d’horodater.

Le 9 octobre 2009, le jour du viol présumé, Tariq Ramadan écrit ainsi : « Tu viendras, tu es prête. Je devrais t’attendre en bas car il faut une carte pour monter dans l’ascenseur ». Troublant : Ramadan a assuré jusque-là n’avoir rencontré la plaignante que dans le bar de l’hôtel. Le 8, l’islamologue se montre impatient : « Il y a de l’amour, du désir, ce que je sais m’attire, mais je sais que ce sera plus encore… demain inch Allah ».

Ramadan est bien l’auteur des textos


Plus embarrassant encore, l’expertise confirme la provenance depuis le téléphone de Ramadan d’autres textos envoyés le lendemain du viol présumé. Par exemple, le 10 octobre 2009, à 19h29 : « J’ai senti ta gêne… désolé pour ma violence. J’ai aimé… Tu veux encore ? Pas déçue ? »

Jusqu’à présent, « Christelle » n’avait conservé que des photos de ces derniers SMS, comme nous le révélions en février dernier. « À quoi cela tient. À un vieux téléphone que ma cliente retrouve. Un téléphone qui va peser très lourd pour Ramadan », réagit auprès du Parisien Éric Morain, l’avocat de Christelle.

Le timing est particulièrement cruel pour Ramadan. Lors d’une confrontation avec Christelle la semaine dernière, le prédicateur avait martelé : « Ce n’est pas moi du tout qui ai envoyé ces messages […] Vous n’avez pas le quart du centième d’une preuve. »

«La question est de savoir s’il y a eu viol»


Désormais, selon la défense de Tariq Ramadan, la « seule vraie question est de savoir s’il y a eu viol, c’est-à-dire un rapport sexuel forcé. » Et Me Emmanuel Marsigny, l’avocat de Tariq Ramadan, de citer un message troublant de « Christelle », impossible pour l’instant à dater. « Je suis restée et je t’ai donné plus qu’à quiconque et ta peau me manque… tu m’as manqué des que j’ai passé la porte… […] »

dimanche 23 septembre 2018

Quelle impatience...


Un peu de patience, cela vient…

Je ne suis quand même pas obligée de travailler le dimanche !


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vendredi 21 septembre 2018

Le chômage nuit gravement à la santé







Voilà enfin des gens qui abordent normalement le problème de la santé des chômeurs.

Pour d’autres qui comme moi se sont gravement heurtés aux déviants du tout « microcosme » brestois sur cette question, les lire ou de les entendre fait un bien fou.

Je rappelle l’antienne locale à ce sujet : le chômage et ses difficultés diverses et variées ne provoquent ni troubles anxieux ni dépressions réactionnelles ni suicides, non, non, non, ce sont des décompensations des pathologies psychiatriques dont sont atteints les chômeurs – tous les chômeurs et futurs chômeurs – qui ont d’abord causé leur licenciement ou perte d’emploi, puis leur chômage, lequel, en tant que conséquence de la maladie mentale, en est aussi une manifestation, un symptôme, une caractéristique.

Mettez-moi tous ces chômeurs à l’HP et en AAH et qu’on en parle plus, le problème est réglé : Pôle emploi disparaît et plus personne ne paie tous ces fainéants ou ces incapables à ne rien faire.

Je ne plaisante pas. C’est réellement ce que soutiennent la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest et tous ses amis de la bien-pensance brestoise : Richard Ferrand et autres politiciens de Plougastel et des environs, fonctionnaires, médecins, notamment ceux des services psychiatriques du CHU de Brest.

Ces derniers insistent aussi sur la « faute » originelle du chômeur, celle qui a causé son licenciement : il est bien coupable. Et doublement coupable comme « escroc » de la collectivité tout le temps passé à ne rien faire aux frais de la princesse…


https://actu.orange.fr/france/les-effets-nefastes-du-chomage-sur-la-sante-magic-CNT0000016FV75.html

Les effets néfastes du chômage sur la santé


Les effets néfastes du chômage sur la santé 
©Panoramic

6Medias, publié le jeudi 20 septembre 2018 à 08h58

L’association Solidarité nouvelles face au chômage vient de publier un rapport inquiétant sur l’état de santé des personnes sans emploi.

Le risque de mortalité est plus élevé chez un chômeur que sur le reste de la population. C’est ce qui ressort du rapport de l’association Solidarité nouvelles face au chômage (SNC) intitulé « la santé des chercheurs d’emploi, un enjeu de santé publique », publié ce jeudi 20 septembre et dévoilé par Le Parisien.

Un risque accru qui s’explique par les « comportements à risque » des personnes sans emploi. « Alimentation moins saine, baisse de l’activité physique, addictions plus nombreuses, privation de soins », détaille Pierre Meneton, chercheur à l’Inserm (Institut national de la santé et de la recherche médicale). Parmi les maladies qui touchent le plus les chômeurs : les maladies cardiovasculaires (infarctus, insuffisance cardiaque, AVC…) ainsi que les cancers.

Selon le rapport, entre 10 000 et 14 000 décès chaque année sont « imputables » au chômage, soit « une surmortalité de 300% par rapport au reste de la population », estime l’Inserm. Par ailleurs, le chômage augmenterait également le nombre de suicides. « Il est vécu comme une épreuve qui s’accompagne de stress et d’anxiété, mais aussi d’un profond sentiment de honte et de culpabilité », souligne le rapport.

Parmi les pistes proposées par l’association Solidarité nouvelles face au chômage pour améliorer la qualité de vie des personnes sans emploi : « la mise en oeuvre d’un accompagnement plus global par les pouvoirs publics », rapporte Le Parisien.



http://www.lepoint.fr/societe/pas-de-boulot-ni-la-sante-la-double-peine-des-chomeurs-20-09-2018-2252830_23.php

Pas de boulot ni la santé : la double peine des chômeurs


Une étude souligne que le chômage pourrait provoquer la mort de 10 000 à 15 000 personnes par an. Un problème largement sous-évalué.


Source AFP
Publié le 20/09/2018 à 08:05 | Le Point.fr

Le sujet de la sante des chomeurs est << sous-estime collectivement >> et continue de faire l'objet de tres peu d'etudes scientifiques.
Le sujet de la santé des chômeurs est « sous-estimé collectivement » et continue de faire l’objet de très peu d’études scientifiques.© PASCAL GUYOT / AFP

Stress, perte de sommeil, problèmes cardiovasculaires, addictions, diabète, dépression… Perdre son travail et avoir du mal à en retrouver nuit gravement à la santé, mais celle des chômeurs reste un sujet tabou en France. « On a imposé de rouler à 80 km/h pour éviter 400 morts par an - c’est très bien -, mais là on parle de 10 000 à 15 000 morts par an ! Et qu’est-ce qu’on fait ? » tempête Michel Debout, professeur de médecine légale et psychiatre, auteur du livre Le Traumatisme du chômage.

Vertigineux, le chiffre de 10 000 à 14 000 décès imputables au chômage est issu d’une étude réalisée par Pierre Meneton, chercheur à l’Inserm, publiée en 2015. Cette étude montre que « vous avez trois fois plus de risques de décéder si vous êtes chômeur », rappelle-t-il. Comme le souligne l’association Solidarités nouvelles face au chômage (SNC) dans un rapport publié jeudi et que l’Agence France-Presse s’est procuré, le sujet de la santé des chômeurs est « sous-estimé collectivement » et continue de faire l’objet de très peu d’études scientifiques.

À 60 ans, Marie-France a connu plusieurs périodes de chômage, notamment depuis 2010 lorsqu’elle a changé de secteur, après avoir été « pendant vingt-cinq ans secrétaire d’avocat », raconte-t-elle à l’Agence France-Presse. À deux ans de la retraite, son contrat d’auxiliaire de vie scolaire, un CDD d’un an à mi-temps payé 825 euros, n’a pas été renouvelé. Elle vit chez sa mère, évoque sa « honte » d’être au chômage, raconte son moral dans les chaussettes, ses « trente kilos accumulés », une hypothyroïdie, alors qu’elle se décrit comme quelqu’un de « battant » et d’« optimiste ». Elle renonce parfois à des soins et n’a pas de mutuelle.

Lire aussi Pôle emploi : une offre sur deux ne serait pas valable

Souffrances psychologiques


Madeleine Cord, qui coordonne le réseau de psychologues de l’association SNC, connaît bien les souffrances psychologiques des chômeurs. Elle a décidé de lancer le réseau le jour où une demandeuse d’emploi lui a dit : « À 9 heures du matin, j’ai dit au revoir à mon fils et je lui ai dit qu’il ne va peut-être plus me revoir ce soir. » « Au moment du chômage, les fragilités remontent à la surface », explique-t-elle, avec « isolement » et « sentiment de dévalorisation ». « L’une des incidences les plus importantes, ce sont les addictions », souligne-t-elle. Elle plaide pour que la souffrance psychique liée au chômage soit introduite dans la formation des professionnels de santé et du personnel de Pôle emploi.

Pour approfondir la question, Pierre Meneton conduit un nouveau programme de recherche, basé sur les données de la « cohorte Constances », vaste enquête de santé publique française lancée en 2013 et qui suit 200 000 volontaires. Il veut essayer de savoir si « les effets sur la santé des chômeurs diffèrent entre les hommes et les femmes, selon l’âge, la catégorie socioprofessionnelle, les conditions de travail précédentes », explique-t-il.

Problème de santé publique


Il y a trois ans, quand son étude est sortie, lui et Michel Debout ont vu débarquer une mission de l’Inspection générale des affaires sociales (Igas) pour plancher sur le sujet. Trois ans plus tard, ils n’ont toujours pas vu la couleur du rapport de l’Igas, regrette le chercheur à l’Inserm. « Politiquement, c’est sensible, décrypte-t-il. En dehors du drame humain que cela représente, c’est un problème de santé publique en plus ! » Et ce, sur fond de chômage qui ne baisse pas et d’assouplissement du Code du travail. Au deuxième trimestre 2018, le nombre d’inscrits à Pôle emploi, avec ou sans activité, s’est établi à un record de 5,94 millions.

À 40 ans, Stéphanie a perdu son emploi au moment de sa grossesse. Elle raconte « la violence de l’administration » entre la Caf, Pôle emploi et la Sécu. Elle connaît alors une multiplication d’angines bactériennes, des ennuis gynécologiques à répétition, puis une dépression. Faute d’argent, elle a parfois renoncé à des soins de suivi, comme des échographies, explique-t-elle. Trop heureuse de retrouver ensuite un emploi, elle se « surinvestit professionnellement ». Résultat : burn-out. « Un chômeur en mauvaise santé a plus de difficultés à retrouver du travail qu’un chômeur en bonne santé », constate Michel Debout. Alors, « ne serait-ce que d’un point de vue purement économique, il y a tout à gagner à ce que les chômeurs soient en bonne santé ».

Sur le même sujet


L’emploi salarié continue de patiner au deuxième trimestre



https://www.nouvelobs.com/sante/20180920.OBS2659/stress-depression-addictions-etre-chomeur-nuit-gravement-a-la-sante.html

Stress, dépression, addictions : être chômeur nuit gravement à la santé


Stress, dépression, addictions : être chômeur nuit gravement à la santé
La mauvaise santé des chômeurs est un problème sous estimé (CHAMUSSY/SIPA)

La santé des chômeurs est plus mauvaise que celle des salariés. Un sujet encore tabou en France dit une étude publiée ce jeudi.


Par L’Obs
Publié le 20 septembre 2018 à 11h37


Stress, perte de sommeil, problèmes cardio-vasculaires, addictions, diabète, dépression… Perdre son travail et avoir du mal à en retrouver nuit gravement à la santé. Pourtant, le sujet de la santé des chômeurs est « sous-estimé collectivement » et continue de faire l’objet de très peu d’études scientifiques, affirme l’association Solidarité nouvelles face au chômage (SNC) dans un rapport publié jeudi 20 septembre.

« Politiquement, c’est sensible »


Vertigineux, le chiffre de 10.000 à 14.000 décès imputables au chômage qu’avance le nouveau rapport est issu d’une étude de 2015 réalisée par Pierre Meneton, chercheur à l’Inserm. « Vous avez trois fois plus de risques de décéder si vous êtes chômeur », rappelle-t-il. Quand son étude est sortie, il a vu débarquer une mission de l’Inspection générale des Affaires sociales (Igas) pour plancher sur le sujet.

Trois ans plus tard, il n’a toujours pas vu la couleur du rapport. « Politiquement, c’est sensible », décrypte-t-il. « En dehors du drame humain que cela représente, c’est aussi un problème de santé publique ». Et ce sur fond de chômage qui ne baisse pas et d’assouplissement du Code du Travail. Au deuxième trimestre 2018, le nombre d’inscrits à Pôle Emploi, avec ou sans activité, s’est établi à un record de 5,94 millions.

Isolement et dévalorisation


Le rapport pointe aussi une multiplication des contrats à durée déterminée (CDD), et pour des périodes de plus en plus courtes. « Cela a pour conséquence de maintenir les salariés concernés dans une situation faite d’alternance d’emploi et de chômage qui tend à les enfermer durablement dans la précarité », souligne l’étude. Les individus en situation d’emploi précaire ou de chômage sont deux fois plus nombreux que les salariés ayant un emploi stable à estimer que leur état de santé n’est pas satisfaisant.

« Au moment du chômage, les fragilités remontent à la surface avec l’isolement et le sentiment de dévalorisation », explique Madeleine Cord, membre du réseau de psychologues de l’association SNC, avec « isolement ». « L’une des incidences les plus importantes, ce sont les addictions », souligne-t-elle. Elle plaide pour que la souffrance psychique liée au chômage soit introduite dans la formation des professionnels de santé et des personnels de Pôle Emploi.

Cercle vicieux


De leur côté, les chômeurs renoncent davantage aux soins que les autres, en partie pour des raisons financières. Double peine pour les demandeurs d’emploi, donc, voire un cercle vicieux : « Un chômeur en mauvaise santé a plus de difficultés à retrouver du travail qu’un chômeur en bonne santé », constate Michel Debout, auteur du livre « le Traumatisme du chômage ».

Face à ces constats, l’étude livre quelques pistes pour un soutien accru des chômeurs en matière de santé. Parmi elles, une meilleure information sur leurs droits, une couverture complémentaire plus large, et la mise en place de moyens luttant contre l’isolement.  »Ne serait-ce que d’un point de vue purement économique, affirme Michel Debout, il y a tout à gagner à ce que les chômeurs soient en bonne santé ! »

L.D. avec AFP

L'Obs
L’Obs


https://www.liberation.fr/france/2018/09/20/stress-hypertension-addiction-le-chomage-nuit-a-la-sante_1680071

Stress, hypertension, addiction : le chômage nuit à la santé


Par Amandine Cailhol — 20 septembre 2018 à 16:45

Peu à peu, Pôle Emploi travaille à former ses conseillers afin de les aider à aborder le sujet de la santé (mentale ou non) avec les allocataires. Photo Pascal Guyot. AFP

«Sous-estimés», les effets de l’inactivité subie sur la santé physique et psychique sont multiples, selon l’association Solidarités nouvelles face au chômage (SNC). Dans un rapport publié jeudi, elle appelle les pouvoirs publics à mieux prendre en charge des «chercheurs d’emploi».


  • Stress, hypertension, addiction : le chômage nuit à la santé

Pathologies cardiovasculaires, addictions, aggravations de maladies chroniques, telles que le diabète ou l’hypertension, stress, anxiété, dépression pouvant mener au suicide. Selon l’association Solidarités nouvelles face au chômage (SNC), «plusieurs risques bien connus en santé publique ont des incidences beaucoup plus fortes chez les personnes au chômage que dans la population générale ou dans celle des travailleurs actifs de caractéristiques comparables». Autrement dit : «Le chômage nuit à la santé.»

Les «chercheurs d’emploi», comme préfère les appeler l’association, sont deux fois plus nombreux que les salariés ayant un emploi stable à estimer que leur état de santé n’est pas satisfaisant. Un pourcentage qui devient plus important à mesure que le chômage s’inscrit dans la durée. Ils sont aussi 8 % à déclarer avoir des symptômes dépressifs, contre 4 % pour les actifs occupés (1). Et 39 % à expliquer avoir des troubles du sommeil (contre 31 %). C’est le cas de Mélanie, 47 ans, au chômage de longue durée, qui a confié à l’association ses «problèmes de sommeil et de stress qui s’accompagnent de maux de dos, de problèmes de digestion, d’angoisse et de palpitations».

Sur le plan psychique, l’«humiliation», la «culpabilité» et le «sentiment de dévalorisation» sont autant de réactions liées au chômage qui risque de représenter un cocktail explosif pouvant conduire à la dépression, selon Michel Debout, professeur spécialiste de ces enjeux et médecin, invité à débattre par SNC, lors d’une table ronde, jeudi à Paris.

«Pas fragiles, mais fragilisés»


Publiée par l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm), une étude avait évalué, en 2015, entre 10 000 et 14 000 le nombre de décès imputables au chômage chaque année. Soit plus que le nombre de morts sur les routes. Une surmortalité à relier au risque de maladies, mais aussi aux conséquences de comportements addictifs pouvant être consécutifs à la perte d’emploi. Dans les pages du rapport, Olivier, 51 ans, témoigne : «Quand je me suis retrouvé au chômage, l’alcool a commencé à être une activité, un cocon. […] Cela m’aidait à tenir face au regard des autres, car j’avais le sentiment d’être jugé en permanence parce que j’étais chômeur. J’étais déprimé, angoissé, j’avais des pensées suicidaires. […] Finalement c’est un cercle vicieux qui s’est installé.» Autre chiffre : le risque de suicides est 2,2 fois plus fort pour les chômeurs que pour les actifs occupés.

Le médecin Michel Debout nuance toutefois: «Il ne s’agit pas de stigmatiser ces personnes comme étant malades, mais de dire qu’il y a un risque qu’elles le deviennent. Elles ne sont pas fragiles, mais fragilisées.» Problème, pointe l’association : les impacts du chômage sur la santé des demandeurs d’emploi sont «sous-estimés», le sujet étant très peu étudié. Parmi les pistes d’amélioration, elle propose de mieux informer les chercheurs d’emploi sur leurs droits en matière de santé. Une manière de lutter contre le renoncement au soin, surreprésenté chez les chômeurs. Ou encore de mettre en place un «dispositif de soutien à la santé des chercheurs d’emploi» en partenariat notamment avec Pôle Emploi. Or, pour l’heure, l’agence de placement et d’indemnisation des chômeurs s’avoue démunie sur le sujet.

Chasse aux sorcières


«On ne sait pas grand-chose, y compris à Pôle Emploi, de la santé des demandeurs d’emploi, explique la directrice des partenariats et de la territorialisation de Pôle Emploi, Firmine Duro. Ce n’est pas une compétence pour nous, nous ne savons pas faire.» L’agence travaille toutefois à former ses conseillers afin de les aider à aborder ce sujet avec les allocataires. En 2014, Pôle Emploi a aussi mis en place un «accompagnement global», visant à intégrer les problématiques plus larges des demandeurs d’emploi – logement, mobilité, santé – en partenariat avec d’autres acteurs. Mais pour l’heure, pointe SNC, ces partenariats ne sont «pas généralisés», ni «non plus structurés de façon pérenne».

Pour Jacqueline Farache, membre du Conseil économique, social et environnemental (Cese) et rapporteure d’un rapport sur le sujet, un bilan de santé et un suivi médical doit être mis en place pour ces publics. De même, un soutien psychologique pourrait être, selon elle, proposé par Pôle Emploi. Autre chantier, pour le professeur Michel Debout, il y a urgence à faire la chasse aux stéréotypes. Et non aux sorcières. «Au lieu de nous dire on va s’occuper de la santé des chercheurs d’emploi, le gouvernement nous dit « on va augmenter les contrôles ». Cela veut dire, en somme, « on va s’occuper des escrocs », s’agace-t-il. Derrière ces propos, il y a une société de défiance. Or, ce qu’il faut, c’est une société de confiance.»

(1) Les pourcentages sont issus de diverses études sur la santé des chômeurs, compactés par SNC.


https://lentreprise.lexpress.fr/rh-management/les-chomeurs-ont-deux-fois-plus-de-risques-de-se-suicider_2036201.html

Traverser la rue

Chômeurs: « Un risque de suicide deux fois plus élevé »


Propos recueillis par Nathalie Samson, publié le 21/09/2018 à 07:30 , mis à jour à 08:57

Le risque de passage à l'acte suicidaire est de 3% pour la population générale. Il est le double pour les chômeurs.
Le risque de passage à l’acte suicidaire est de 3% pour la population générale. Il est le double pour les chômeurs.afp.com/Philippe Huguen 
 

Dépression, suicide… La santé des chômeurs est préoccupante et pourtant rien ne bouge, s’alarme le Pr Michel Debout.


L’étude publiée par l’association Solidarités nouvelle face au chômage, publiée ce 20 septembre, tire la sonnette d’alarme sur la santé des chômeurs, même si le constat n’est pas nouveau : une étude de l’Inserm montrait déjà en 2015 que 10 000 à 15 000 décès sont dus au chômage chaque année. Que s’est-il passé depuis trois ans? Rien, dénonce Michel Debout, professeur émérite de la médecine légale et du droit de la santé au CHU de Saint-Etienne (1) et auteur du Traumatisme du chômage. Entretien

L’EXPRESS : Comment le chômage nuit-il à la santé des chômeurs?

Michel Debout : Qu’il s’agisse d’un licenciement individuel, d’un plan social, d’un dépôt de bilan pour les artisans et commerçants ou de la fermeture de l’exploitation agricole pour les agriculteurs, la perte d’emploi est un événement traumatique. Les personnes vont être fragilisées, notamment sur le plan psychologique.

TÉMOIGNAGE >> « J’ai vécu mon dépôt de bilan comme une honte, une infamie »

Beaucoup ont souvent un moment de sidération, certaines peuvent même avoir une angoisse de mort. Imaginez : après trente ans dans la même maison, on vous dit tout d’un coup que vous n’avez plus rien à y faire. Le choc peut être violent, voire humiliant. Les gens disent souvent qu’ils ont été jetés comme des kleenex. Ce contexte est le point de départ.

Cela peut s’arrêter là si la personne trouve un emploi. Mais pas n’importe lequel : il faut qu’il convienne, qu’il corresponde à sa qualification, à ses compétences, à ce qu’elle aime faire.

Les chômeurs ont-ils des comportements à risque?

Le risque de passage à l’acte suicidaire est de 3% pour la population générale, il est du double pour les chômeurs.

ENTRETIEN >> « Quand on est au chômage, on se détruit physiquement et psychologiquement »

Que se passe-t-il si le chômage dure?

Les réactions dépendent de trois facteurs essentiels. Tout d’abord, les capacités que l’on a à réagir à une situation traumatique, la résilience. La plupart du temps, quand ils perdent leur travail, les individus ne restent pas anxieux et rebondissent.

Mais ce n’est pas le cas pour tous. Du fait de la sidération, de l’état de stress, avec l’angoisse qui monte, certains chômeurs deviennent irritables. Ils peuvent se sentir coupables de ce qui leur arrive et se remettent en cause. Pensent ne pas être à la hauteur, ne pas avoir la bonne formation, ils se dévalorisent.

Le risque, alors, est de sombrer dans la dépression, de s’isoler. De ne plus voir ses amis à qui on estime ne pas avoir grand chose à raconter…

LIRE AUSSI >> Chômage. « La perte d’un emploi renvoie à une mort symbolique »

Deuxième élément entrant en ligne de compte, la famille : le (la) conjoint(e), les enfants. Un nombre important de couples se séparent à ce moment-là. Les salariés de Conti ont mené une étude. Au bout d’un an, presque la moitié des 300 salariés qui avaient perdu leur emploi s’étaient séparés.

Le dernier point, c’est le regard négatif de la société. Dire que si les chômeurs ne trouvent pas d’emploi, c’est parce qu’ils n’en cherchent pas est à la fois humiliant et culpabilisant. Cela remet en cause leur loyauté, alors qu’ils ont besoin de retrouver confiance en eux et dans les autres. Aujourd’hui, on fait l’inverse. Au lieu de faire de la santé et de la prévention, on augmente les contrôles et, par là, on augmente la défiance.

Quand le président dit « Je traverse la rue, je vous trouve du travail », ça vous choque?

Malheureusement, le discours ambiant, comme celui entendu à l’Elysée dimanche dernier (« Je traverse la rue… »), va dans le sens d’une mise en accusation. On dit au chômeur : vous n’êtes même pas capable de retrouver un travail. Il ne pose pas la question pourtant essentielle de la qualité de l’emploi.

REPORTAGE >> Les coulisses du contrôle des chômeurs

Aujourd’hui, on peut vous proposer des postes précaires, des contrats de moins d’une semaine. C’est violent pour quelqu’un qui avait un emploi stable, des compétences. Il ne va pas accepter de faire la plonge pendant une journée, non parce que la plonge est dévalorisante, mais par rapport à son parcours de vie.

Des chômeurs de 50-60 ans ont encore besoin de retrouver des postes pérennes, car ils ont des responsabilités, des dettes matérielles qui peuvent parfois les miner : ils ne peuvent pas payer de vacances à leurs enfants… Ils sont pris dans une spirale qui les tire vers le bas, alors qu’il faudrait les accompagner.

Quelles sont les solutions?

La première piste possible est d’expliquer au chômeur ce qui peut arriver à sa santé, même si ce n’est pas une fatalité. Derrière l’angoisse et la dépression, il y a aussi la rechute de certaines maladies, des problèmes cardio-vasculaires, avec des hyper-tensions, parfois des infarctus. Il y a aussi beaucoup d’addictions. Un ancien fumeur sur deux reprend le tabac à ce moment-là.

Plus concrètement…

Quand on trouve un emploi, on a une visite d’embauche. Il devrait y avoir une visite sur ce modèle lorsque l’on perd son emploi, pour faire un bilan. Si la personne a déjà des problèmes de santé, c’est l’occasion de lui en parler.

L’ÉTUDE >> Le chômage tuerait entre 10 000 et 20 000 personnes par an

Sinon, on l’encourage à faire ce qu’il faut pour retrouver un emploi, pour qu’elle se réinscrive dans un cercle vertueux. L’important est de ne pas la désaffilier du travail. Lui dire qu’elle est toujours un travailleur potentiel, c’est le message à lui faire passer pour ne pas la dévaloriser.

On parle de ce que représente le travail pour elle : celui qu’elle a dû quitter, mais aussi celui qu’elle voudrait reprendre, le sens qu’elle lui donne, plutôt que de lui parler de sa vie de chômeur. C’est essentiel car le travail a changé, s’est modifié, raréfié. Les gens sont perdus.

L’autre élément clef, c’est de créer le lien social. Quand on perd son emploi, il y a souvent un repli sur soi et même une désocialisation. C’est le symptôme de la robe de chambre : on perd le rythme et, en restant chez soi, on perd le contact humain. C’est pour cela que l’action des associations est primordiale. Les expériences comme Territoires zéro chômeurs sont aussi une piste importante.

Que peuvent faire les pouvoirs publics?

Quand quelqu’un est victime d’une agression, on met en place une cellule d’accompagnement psychologique. Pourquoi n’accompagnerait-on pas les chômeurs de la même façon ? On recense 10 000 à 15 000 morts chaque année, sans compter ceux qui sont en mauvaise santé. Pourquoi le gouvernement ne prévoit-il pas un plan pour lutter contre ce fléau, comme il l’a fait pour les accidents de la route?

Le président a dit qu’il fallait aider les pauvres à sortir de la pauvreté. Il faut tout faire pour que les demandeurs d’emploi ne sombrent pas dans la pauvreté. La santé des chômeurs doit devenir une question de santé publique.

Vous étudiez la question depuis de nombreuses années, l’écho est-il plus favorable aujourd’hui?

Quand j’ai sorti en 2015 Le traumatisme du chômage, j’ai rencontré le ministre de la Santé de l’époque. Une mission a été mise en place sur la question, ainsi que deux inspections (Igas et inspection du travail). Les deux inspecteurs m’ont reçu en avril 2015. Aucun rapport n’a jamais été publié. Rien n’a été fait pour améliorer la santé des chômeurs.

Ce n’est pas un problème d’orientation politique. Il n’y pas pas de prise de conscience. Les chômeurs n’ont pas besoin qu’on les montre du doigt, ils ont besoin qu’on leur tende la main.

(1) Michel Debout est professeur émérite de la médecine légale et du droit de la santé au CHU de Saint-Etienne. Il est aussi membre du Cese auteur de rapports sur la prévention du suicide et sur la santé des travailleurs.

jeudi 20 septembre 2018

A l'attention de celui qui me dénonce à la Direction Interministérielle du Numérique


Elle est bien passée hier consulter mes blogs :




A l'attention de celui qui me dénonce à la Direction Interministérielle du Numérique dans AC ! Brest frParis, Ile-de-france, France, Direction Interministerielle Du Numerique Et Du Sy
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https://www.google.com/
19 Sep 10:37:04


Seulement voilà, à cette heure-là, je n’avais pas encore ajouté les paragraphes de mon dernier article du 18 septembre 2018 où je nomme deux juges brestois, je l’ai fait juste après.

Dites-lui de repasser, ce serait vraiment dommage qu’elle ne voit pas toute cette partie du texte en ligne.

mardi 18 septembre 2018

L'Etat condamné pour déni de justice : c'est encore une affaire de viols

De plus, dans ce cas particulier, la victime avait entre 5 et 8 ans lorsqu’elle a été violée, à de multiples reprises, par un ami de ses parents à leur domicile.

Cela s’est produit dans le ressort du Tribunal de Grande Instance de Rennes, dont le président déplore qu’il présente un taux de juges des enfants parmi les plus faibles de France.

Comment s’en étonner ?

Nous sommes en Bretagne, une région où le pouvoir central a toujours vu partout de dangereux indépendantistes à mater par tous les moyens, le viol de leurs femmes et de leurs enfants en faisant partie.

Que d’horreurs à ce sujet à la pointe du Finistère, où violeurs et pédophiles ont toujours été particulièrement choyés, voire attirés d'autres régions par l’impunité qui leur était offerte en compensation de la grisaille environnante…

Certes, il arrive parfois que l’un d’entre eux soit poursuivi et condamné, comme par exemple l’ancien psychiatre brestois Serge Rodallec, plusieurs fois poursuivi et condamné pour viols et agressions sexuelles sur trois de ses jeunes patients handicapés mentaux, ou bien encore un ancien directeur de l’hôpital psychiatrique de Bohars, condamné pour sa part pour des faits de proxénétisme aggravé, diverses autres violences, des faux et usages de faux, escroqueries, usurpations d’identités ou de titres, dénonciations calomnieuses et faux témoignages, et j’en oublie sûrement… mais ces cas restent isolés et résultent généralement d’une fâcherie quelconque du pervers avec un certain nombre de ses complices.

Les juges pour enfants ?

Autrefois, nous en avons eu un dont la pédophilie était connue de tous.

Aujourd’hui, il semblerait qu’ils doivent d’abord faire leurs preuves, par exemple en faisant poursuivre et condamner sur la base exclusive de dénonciations calomnieuses des victimes de Pascal Edouard Cyprien Luraghi, un individu qui depuis plusieurs années m’accuse mensongèrement de l’accuser de pédophilie et semble avoir depuis longtemps oublié que c’est lui-même qui au printemps 2010 se plaisait à se dire pédophile sur son propre blog.

C’est ainsi que les juges d’instruction Raymond André et Céline Verdier ont été tous deux nommés juges des enfants à la suite de leurs saloperies à mon encontre, en 2012 pour le premier et 2014 pour la seconde.

Ces magistrats apprécient énormément tous les écrits de l’autoproclamé « écrivain en ligne et à l’oeil depuis 2001″, qu’ils soient publics ou non : tous ses articles et commentaires me concernant, toutes ses dénonciations calomnieuses à mon encontre, dont ils font autant de charges irréfutables à mon encontre, mais aussi tous ses écrits publics lui ayant valu le 8 janvier 2015 la suppression d’un blog Blogspot pour apologie de la pédophilie.

A noter : Céline Verdier a particulièrement apprécié qu’il m’ait dénoncée comme « mécréante » sur plusieurs sites islamistes après avoir révélé mon identité et mes coordonnées au public en 2010. Elle était déjà au courant la première fois que je l’ai vue. C’est d’ailleurs un des rares points de discussion sur lesquels je n’ai pas dû me battre pour me faire entendre : elle a acquiescé tout de suite, sachant déjà que c’était vrai, probablement pour l’avoir lu sur le blog Luraghi, mais n’y voyait aucun mal…



https://www.francetvinfo.fr/economie/emploi/metiers/droit-et-justice/l-etat-condamne-pour-deni-de-justice-dans-l-affaire-de-karine-fillette-violee-chez-ses-parents-pendant-des-annees_2944405.html

L’Etat condamné pour déni de justice dans l’affaire de Karine, fillette violée chez ses parents pendant des années


Entre ses 5 et ses 8 ans, Karine a vécu l’enfer : elle a été violée à de multiples reprises par un « ami » de ses parents, hébergé au sein même de la maison familiale. Elle poursuivait l’Etat pour faute lourde.

Palais de justice de Paris, le 24 mai 2018.
Palais de justice de Paris, le 24 mai 2018. (JULIEN MATTIA / NURPHOTO)

« Je voudrais simplement que la justice reconnaisse ses erreurs pour que le système change. S’il avait fonctionné normalement, je n’aurais jamais subi tout ça… » raconte Karine au Parisien. A 21 ans, avec sa tante Laurence Brunet, elle a attaqué l’Etat, en juillet dernier, pour « faute lourde » : Karine estime en effet que la justice française ne l’a jamais protégée des innombrables abus qu’elle a subis durant son enfance. Elle est finalement parvenue à obtenir, lundi 17 septembre, une condamnation pour « déni de justice », mais a échoué à obtenir réparation pour « faute lourde » pour des raisons de prescription.

Une situation complexe


Tout commence dès le jour de sa naissance, en juillet 1997. La situation du bébé fait d’ores et déjà l’objet d’un signalement aux services sociaux, comme le relate Le Parisien. Sa mère, Anne-Marie, a été condamnée dans les années 1980 à 8 ans de prison pour avoir tué, à la naissance, d’une centaine de coups de couteau son premier enfant, issu d’un viol. Malgré ce passé violent, le juge des enfants choisit de maintenir Karine chez ses parents.

Pour elle, un calvaire de plus de douze ans commence. Délaissée par ses parents, la petite fille est complètement livrée à elle-même. En septembre 1998, un premier jugement impose une assistance éducative au domicile des parents, mais après une expertise psychiatrique, ces derniers conservent la garde de leur fille, relate Europe 1.

Au fil des années, les rapports des services sociaux se suivent, mettant en évidence une situation alarmante. Toujours selon Europe 1, les services de l’enfance ne notent « aucune évolution positive », décrivant un père « ombrageux » et une mère qui ne parvient pas à « gérer son intimité » avec sa fille, tout en refusant tout suivi thérapeutique. Malgré ces conclusions, un juge estime, en mai 2000, qu’une intervention éducative judiciaire n’est « pas nécessaire » : à nouveau, les parents de Karine gardent leur fille auprès d’eux.

De multiples signalements


A partir de 2002, les parents de Karine hébergent à leur domicile un homme, Roland, en connaissant pourtant ses antécédents de pédophilie. Dans un article du Parisien, la jeune femme raconte son calvaire : « Je me souviens parfaitement, quand il leur donnait de l’argent le mercredi pour qu’ils aillent acheter des cigarettes ou de l’alcool et qu’ils me laissaient seule avec lui. Ils savaient très bien ce qui se passait chez eux. »

L’entourage de la fillette s’inquiète. En 2003, Laurence Brunet, sa tante, alerte les services sociaux, alarmée par un comportement anormalement « sexué » de la petite fille, âgée de seulement 5 ans, précise Europe 1. Elle emmène Karine chez un gynécologue, qui dépiste « une très grosse infection gynécologique ». A l’époque, le médecin questionne la fillette. « Avec ses mots à elle, elle a dit que son papa l’allongeait souvent dans la baignoire et qu’il la touchait beaucoup », raconte sa tante à Europe 1. Une première enquête est ouverte, mais elle est classée sans suite en février 2004.

En 2005, une nouvelle enquête est menée, à nouveau sans suite. « Parce que les parents sont arrivés avec un certificat médical, qu’ils avaient fait faire la veille chez le médecin traitant. Il n’y a pas eu d’investigation plus poussée, il n’y a même pas eu une séance avec un psychologue », déplore Laurence Brunet sur Europe 1. La tante, qui tente alors de faire entendre raison à la justice, est poursuivie pour dénonciation calomnieuse, écope d’un rappel à la loi et se voit contrainte d’écrire « une lettre d’excuses à la justice, pour les perturbations à Karine et à ses parents ».

« Un manque de clairvoyance » de la justice


En 2009, Karine parvient à parler. Le parquet de Rennes ouvre une enquête préliminaire en mai de la même année, mais attend ensuite un an, soit octobre 2010, pour confier l’enquête à un juge d’instruction. La jeune fille est finalement placée chez son oncle et sa tante. En juillet dernier, devant les assises d’Ille-et-Vilaine, Roland a reconnu l’avoir agressée sexuellement et violée entre 2002 et 2005, alors qu’elle était âgée de 5 à 8 ans. Il a été condamné à trente ans de réclusion. Les parents de Karine, eux, ont été poursuivis pour l’avoir empêchée de parler (« subornation de témoin »), la mère écopant de deux ans de prison avec sursis et le père de trois ans de réclusion dont six mois ferme. Mais la victime a également choisi de porter plainte contre l’Etat, pour faute lourde. « La justice aurait dû me protéger, elle ne l’a pas fait », déclare-t-elle au Parisien.

Comment est-il possible qu’on m’ait laissée chez eux, alors qu’Anne-Marie avait été condamnée pour un infanticide ?Karine, victime de pédophilie au « Parisien »

En juillet, aux assises, l’avocat général avait conclu son intervention en reconnaissant « un manque de clairvoyance » de la justice dans cette affaire. « Nous avons des questions à nous poser au niveau de notre responsabilité professionnelle », avait-il déclaré. « Le tribunal de Rennes ne peut que regretter que l’intervention judiciaire n’ait pu être plus efficace » à l’égard de Karine, a pour sa part écrit le président du tribunal de grande instance de Rennes, Ollivier Joulin, dans un courrier au Défenseur des droits consulté par l’AFP. Il y souligne que la juridiction de Rennes a un taux de juges des enfants « parmi les plus faibles de France ». « Ils travaillent sans relâche, presque toujours dans l’urgence absolue », parfois jusqu’au « burn-out » et « ont parfaitement conscience qu’ils ne peuvent, malgré l’intensité de leur engagement, éviter que des situations telles que celle qu’a connue Karine se reproduisent ».