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jeudi 8 mars 2018

La juge brestoise Muriel Corre soutient que les femmes ingénieurs sont des prostituées


Aujourd’hui étant la 41ème journée internationale des droits des femmes, je lis ou écoute toutes les annonces gouvernementales relatives à l’égalité hommes-femmes et répète qu’aucune des lois ou mesures envisagées ou existant déjà ne sera jamais efficiente tant que nous n’avons aucune justice pour les faire appliquer ou respecter.

A titre d’exemple, je vais encore donner celui de mon cas personnel, une femme ingénieur dont tous les employeurs, supérieurs hiérarchiques et clients ont toujours loué les compétences professionnelles, jusqu’au jour où l’un d’eux, un proxénète disposant aussi de quelques sociétés à l’activité en apparence légale, eut décidé de s’approprier de sa personne.

D’emblée, il m’a fait vivre l’enfer, et j’ai très vite été victime d’agressions physiques graves.

Le harcèlement moral est une infraction pénale définie et réprimée par la loi n° 2002-73 du 17 janvier 2002 dite de modernisation sociale.

A l’époque où j’ai commencé à en être victime, dans les années 1990, elle n’existait pas et personne ne parlait de l’ensemble des faits aujourd’hui connus sous ce vocable de « harcèlement moral » dans le travail, hormis dans les milieux où il était couramment pratiqué pour casser des salariés gênants, comme celui des ingénieurs informaticiens où j’évoluais.

Les professionnels du harcèlement utilisaient d’ailleurs d’autres termes que ceux de « harcèlement moral » pour décrire leurs pratiques quotidiennes, ils parlaient d’ »action psychologique ». Celle-ci était et est toujours réellement inspirée de toutes les méthodes militaires connues sous le même vocable. C’est en réalité de la torture psychologique, termes que pour ma part, en tant que victime, j’ai toujours préféré employer dans les différentes plaintes que j’ai pu déposer avant que l’expression de « harcèlement moral » ne s’impose à tous après les premières publications de Marie-France Hirigoyen à ce sujet à la fin des années 1990.

Dans la plupart des cas, à l’époque comme aujourd’hui, il s’agit, non pas de pousser le salarié à la démission pour éviter un licenciement qui serait beaucoup plus coûteux pour l’entreprise, surtout s’il est sans cause réelle et sérieuse, mais véritablement de conduire la cible jusqu’au suicide.

Le but de l’employeur qui cherche à se débarrasser d’un de ses salariés de cette manière assez radicale, puisqu’il s’agit quand même de lui donner la mort, est précisément d’éviter tous les ennuis que pourrait lui faire son employé après avoir quitté l’entreprise dans les conditions d’un licenciement injustifié ou d’une démission forcée à l’issue d’une période de harcèlement : procès prud’homal ou autre, divulgation de secrets, dénonciations pour malversations diverses, des plus légères jusqu’aux plus graves.

En ce qui me concerne, la première période des harcèlements dont j’ai été victime dans le travail n’avait ainsi absolument pas pour but de me faire quitter l’entreprise, mais au contraire de m’en empêcher, mon employeur cherchant à s’assurer de manière définitive l’exclusivité de mes services.

Il voulait une esclave de plus dans son cheptel et prévoyait notamment de m’utiliser pour commettre des crimes et délits contre la Nation, sachant que j’étais déjà bien introduite dans les milieux de la Défense nationale, ce qui n’était pas son cas.

Mais j’ai refusé d’obéir à tous ses oukases illégitimes en dépit de toutes les contraintes qu’il avait élevées autour de moi pour s’assurer que je ne puisse rien lui refuser, et dès lors, les harcèlements dont j’étais victime de sa part n’ont plus eu pour but que de me conduire au suicide pour me faire taire sur tout.

Ses exigences secondaires, comme celles relatives à la prostitution, relèvent déjà de l’ensemble des processus susceptibles de me conduire au suicide ou à une mort certaine à brève échéance.

Près de trente ans plus tard, nous en sommes toujours là.

L’action psychologique n’ayant jamais produit le plus ultime des effets escomptés, j’ai fait l’objet de multiples tentatives d’assassinat et la proxénète Josette Brenterch du NPA de Brest, relais dans cette ville du premier de mes harceleurs, continue à gérer la situation depuis l’année 1994 au moins avec l’aide de tous ses sbires de l’extrême-gauche et celle de ses complices magistrats ultra CORROMPUS du Tribunal de Grande Instance de Brest .

En 2013, la juge Muriel Corre m’avait renvoyée en correctionnelle à sa demande pour le procès dont plusieurs de ses complices cyberharceleurs avaient commencé à assurer la publicité sur la toile dès ma première mise en examen en début d’année 2012.

Alors même qu’elle me faisait poursuivre pour avoir publié quelques démentis et droits de réponse à la suite de ses campagnes de calomnies publiques nominatives ayant débuté le 19 juin 2010, lesquelles s’accompagnaient notamment de harcèlement sexuel, et par voie de conséquence, pour m’être plainte aussi de ce type de harcèlement de sa part, tout en niant toutes ses exactions à mon encontre devant les juges, Josette Brenterch continuait à me faire calomnier et harceler sexuellement par de nombreux pervers, sur la toile comme dans la « vraie vie », à telle enseigne que j’ai dû aussi porter plainte contre ceux de ses complices qui me harcelaient hors Internet.

La juge brestoise Muriel Corre a traité mes plaintes à ce sujet comme elle avait traité celles de la proxénète en chef Josette Brenterch, c’est-à-dire qu’elle a continué à soutenir l’intégralité des inventions calomnieuses de cette femme à mon encontre, et a donc rejeté mes plaintes au motif, entre autres, que j’étais bien une prostituée comme le soutenaient Josette Brenterch et ses amis harceleurs.

Elle se permettait d’ailleurs de tenter de dissuader mon avocate de me défendre en lui soutenant que j’étais bien une prostituée.

Ceci étant, comme tous ses collègues magistrats du Tribunal de Grande Instance de Brest à la suite de mes premières plaintes portant sur les difficultés que je rencontrais dans l’exercice de ma profession dans les années 1990, depuis son arrivée à Brest en 2012 la juge Muriel Corre a toujours su que ma formation et mon parcours professionnels étaient ceux d’un ingénieur d’études en informatique.

Tout comme Josette Brenterch du NPA de Brest et son complice mon harceleur primitif, elle soutient donc avec une grande constance que les femmes ingénieurs sont des prostituées.

Ses collègues de la Cour d’Appel de Rennes n’étant toujours pas d’accord avec elle, elle devra bien un jour rendre des comptes pour toutes ses décisions scandaleuses à mon encontre.

Cependant, à ce jour nous en sommes toujours là : des magistrats en exercice, notamment à Brest, et particulièrement cette juge, soutiennent que les femmes ingénieurs sont des prostituées.

Combien de temps leurs victimes vont-elles encore devoir supporter toutes leurs persécutions ?

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