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samedi 12 mars 2016

Ecrevisse de forme


symbiose.tn


En date du 5 mars 2016, en affichant comme à son habitude des éléments que la loi lui interdit de publier afin de me porter préjudice ainsi qu’à tous mes proches, et nécessairement à la demande de sa complice Josette Brenterch du NPA de Brest, sa cheftaine en toutes ses exactions à mon encontre depuis 2008, le cyberdélinquant et psychopathe Pascal Edouard Cyprien Luraghi s’est permis de publier la presque totalité de l’arrêt par lequel la Cour d’Appel de Rennes m’a relaxée le 2 décembre 2015 de poursuites intentées par sa complice, après une première condamnation conforme à ses demandes le 11 juin 2013, à Brest. Cette dernière est donc annulée, comme je l’ai déjà dit deux ou trois fois dans mes articles sur ce blog.

Pour des raisons que j’ignore, ils ont cru bon de ne pas en publier une partie du dispositif, ce qui en est quand même l’essentiel. Ces omissions concernent notamment ma soi-disant « complice » OverBlog, également condamnée en première instance. Or, tout comme moi, elle a été relaxée en appel.

Peut-être cela leur écorchait-il les doigts de l’écrire.

Peu importe.

Cette affaire n’ayant pu être jugée au fond en raison de la multitude des nullités de forme ayant justifié l’annulation de toute la procédure, les plaintes de Josette Brenterch à mon encontre, qui figurent intégralement dans l’arrêt publié, restent sans réponse judiciaire quant au fond du litige.

Dans ces conditions, et contrairement à ce que s’imaginent Josette Brenterch et ses complices, ou qu’ils tentent de faire accroire à leurs lecteurs, ses plaintes à elles seules ne font pas ma culpabilité, elles feraient même plutôt la sienne.

En effet, à plusieurs reprises au cours de la procédure, j’y ai répondu en les dénonçant comme des accusations mensongères.

Et dans l’hypothèse où les juges auraient pu estimer sa procédure régulière, ils avaient entre les mains tous les éléments nécessaires pour prononcer ma relaxe au motif de l’exception de bonne foi.

Je précise à ce sujet qu’en raison même des causes de nullité des plaintes de Mme Brenterch, il ne m’était pas possible de plaider l’exception de vérité pour ma défense.

Le première chose à retenir de l’arrêt prononcé le 2 décembre 2015 est donc cette nullité initiale des deux plaintes avec constitution de partie civile que Josette Brenterch a déposées en 2011 auprès du doyen des juges d’instruction du Tribunal de Grande Instance de Brest pour des faits présumés d’injures et de diffamation publiques.

Et en corollaire, la nullité de leur auteur en droit.

La seconde est l’irrecevabilité des mêmes plaintes en ce qu’elles portaient également sur des faits présumés d’atteinte à l’intimité de la vie privée, pour ces faits en réalité inexistants.

Et toujours la nullité en droit du professeur d’économie et de gestion Josette Brenterch.

Cela signifie que ses plaintes n’auraient jamais dû pouvoir prospérer, car le premier magistrat à en avoir accusé réception, le doyen des juges d’instruction du Tribunal de Grande Instance de Brest, aurait dû d’emblée les rejeter comme nulles pour partie, et irrecevables pour le reste.

Chacun des différents juges s’étant penchés sur ce dossier après lui avait également pour obligation de relever ces défauts des plaintes initiales empêchant les poursuites. Or, il aura fallu attendre l’arrêt du 2 décembre 2015 pour y mettre un terme.

A la question de savoir si les juges brestois sont tous aussi nuls en droit que Josette Brenterch, je laisse à chacun le soin de répondre selon sa convenance.

En tous les cas, elle est bien nulle, c’est écrit noir sur blanc et très précisément étayé dans l’arrêt du 2 décembre 2015.

Elle devrait être rouge de honte de s’en vanter publiquement avec un tel luxe de détails !


http://symbiose.tn/procambarus-clarkii-ecrevisse-rouge/

Procambarus clarkii (Ecrevisse rouge)

Posted on 29 décembre 2014 by admin

symbiose.tn
29 déc

Paramètres de maintenance :
  • pH : 7 à 8.5
  • GH : 15 à 30 (affectionne particulièrement les eaux dures)
  • Température : 5 à 30 °C
Taille :
  • Mâle : 12 cm (maximum 15 cm)
  • Femelle : 12 cm (maximum 15 cm)

l’écrevisse de Louisiane arbore une coloration allant du brun clair au rouge intense, marbré de noir, de bleu ou de rouge. Les colorations sont très variables selon les populations et formes d’élevages rencontrées. Le rostre de cette écrevisse ne présente pas de crête médiane dentelée comme on a l’habitude de l’observer chez les crevettes par exemple. Les bords lisses de ce rostre se réduisent petit à petit des yeux jusqu’à l’apex (extrémité du rostre). Le céphalothorax est granuleux au touché et arbore des petits points de couleurs différentes. Les sillons branchio-cardiaques se touchent quasiment sur la face supérieure de la carapace. Le carpopodite porte un ergot proéminent. Les pinces massives sont très efficaces et peuvent infliger des blessures mortelles aux proies potentielles. Elles arborent une coloration intense et permettent d’identifier aisément l’espèce.

Comportement

Très agressive, cette espèce présente une très forte territorialité, y compris envers ces congénères. La cohabitation avec d’autre invertébrés, petits mollusques et poissons est à faire en connaissance de cause. Le risque de prédation n’est pas exclu. Les animaux doivent pouvoir se soustraire à l’agressivité des plus gros spécimens au risque de se voir infliger des blessures profondes pouvant entraîner la mort plus ou moins rapide de l’individu touché. Il n’est pas rare d’observer des sujets issus du milieu naturel amputés d’une pince et de quelques péréiopodes. Le bac devra donc être aménagé en conséquence, un minimum de 100*40 cm est indispensable à la maintenance d’un couple. Le décor devra offrir beaucoup de cachettes, il pourra être constitué de briques, de tubes PVC ou en terre cuite (tube à Loricariidés par exemple). Des éboulis rocheux pourront convenir aussi. Les plantes à titre décoratives sont à exclure en raison du régime alimentaire.

Espérance de vie : sup. à 24 mois.

Régime alimentaire : Détritivore, accepte tout type de nourriture [en clair : bouffe à tous les râteliers !]. La nourriture habituelle pour les poissons est acceptée sans difficulté. Le menu peut être complété avec des larves de moustiques, des vers de vase rouge, du krill, un mélange pour Cichlidés, des épinards, de la salade pochée, des carottes, des orties séchées. Les distributions de nourriture dans l’aquarium sont très rapidement détectées grâce à leur odorat développé et feront sortir les écrevisses de leur cachette. Ces animaux sont très gourmands et très voraces, il faudra donc veiller à distribuer suffisamment de nourriture. Si la nourriture manque, le risque de cannibalisme n’est pas exclu. Vu la charge organique générée par les nourritures riches distribuées, il faudra veiller à une qualité d’eau irréprochable avec une filtration correctement dimensionnée et des changements d’eau fréquents (15% semaine).

Dimorphisme sexuel

Le mâle possède des pinces plus longues et légèrement plus effilées que la femelle. Le pleon de la femelle est un peu plus large pour y loger les oeufs lors de l’incubation entre les pléopodes.

Reproduction

Espèce dulçaquicole. La reproduction est de type direct. Lors de l’accouplement le mâle retourne la femelle et la maintient à l’aide de ses pinces pour déposer les spermatophores à proximité des orifices génitaux de la femelle (photo sur le site DORIS). L’incubation dure 3 à 4 semaines selon la température de l’eau. Les juvéniles sont de véritables répliques des parents et vivent comme ces derniers directement au sol (vie benthique). Des femelles matures peuvent donner en une seule incubation environ 150-200 juvéniles. La reproduction en captivité ne semble pas poser de problème particulier. Toutefois il faut veiller à bien nourrir les juvéniles, et éventuellement les séparer en divisant en plusieurs groupes la progéniture pour éviter tout cannibalisme.

Particularité

Il est impératif de ne pas relâcher les reproductions ou les adultes dans le milieu naturel. Ils ont suffisamment fait de dégâts en venant concurrencer la faune indigène et en détruisant les berges des canaux, étangs et rivières que cette écrevisse peuplent. Cela inclut bien évidemment les bassins de jardin ou il n’est pas exclu que lors d’inondations ou de forte pluie, la Procambarus clarkii arrive à rejoindre un fossé ou un ruisseau. la propagation arrive très vite !

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